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celui obtenu au cours d’études rapportées antérieurement et menées auprès de patients atteints d’une forme
avancée de CPNPC.
« Les résultats de cette étude s’ajoutent au nombre croissant de données appuyant le potentiel du
pembrolizumab dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules », a déclaré le
Dr Roger M. Perlmutter, président, Laboratoires de recherche de Merck. « Améliorer la norme thérapeutique
dans le traitement du cancer exige un effort de collaboration, et nous sommes reconnaissants envers les
patients, les établissements et les soignants qui ont participé à cette étude. Nous nous réjouissons à l’idée de
pouvoir partager nos données complètes avec la communauté scientifique et les organismes de
réglementation dans un proche avenir. »
À propos de l’étude KEYNOTE-010
KEYNOTE-010 est une étude pivot internationale de phases 2 et 3, avec répartition aléatoire, menée
au su (ClinicalTrials.gov, NCT01905657) visant à évaluer l’efficacité de deux doses de pembrolizumab
(2 mg/kg ou 10 mg/kg toutes les trois semaines), comparativement au docetaxel (75 mg/m2 toutes les trois
semaines) chez 1 034 patients atteints d’un CPNPC dont la maladie a évolué après un traitement systémique
à base de platine et dont les tumeurs exprimaient le PD-L1. Les paramètres principaux étaient la SG et la
SSP. La réponse tumorale était évaluée à la semaine 12, puis toutes les 6 semaines par la suite, au moyen
d’une évaluation centralisée indépendante effectuée par radiographie et à l’insu, conformément aux
critères RECIST 1.1 et aux critères de réponse liés au système immunitaire, selon l’évaluation faite par les
chercheurs.
À propos de KEYTRUDA® (pembrolizumab) au Canada
Le pembrolizumab, connu sous le nom de marque KEYTRUDA®, est un anticorps monoclonal
humanisé qui bloque l’interaction entre le PD-1 et ses ligands, le PD-L1 et le PD-L2. En se liant au récepteur
PD-1 et en bloquant l’interaction avec ses ligands, le pembrolizumab lève l’inhibition de la réponse immunitaire
médiée par le PD-1, y compris la réponse immunitaire antitumorale. Au Canada, l’utilisation de KEYTRUDA® a
été approuvée pour le traitement de patients atteints d’un mélanome non résécable ou métastatique avec
évolution de la maladie à la suite d’un traitement avec l’ipilimumab et, en présence d’une mutation V600 du
gène BRAF, à la suite d’un traitement avec un inhibiteur du gène BRAF ou de la protéine MEK. Une
amélioration de la survie ou une réduction des symptômes de la maladie n’ont pas encore été établies.
KEYTRUDA® a reçu une autorisation de commercialisation avec conditions, en attendant les résultats d’études
permettant d’attester son bénéfice clinique.
Merck mène un programme de développement clinique d’envergure et à croissance rapide qui s’est
rapidement élargi pour inclure plus de 30 types de tumeurs dans plus de 130 études cliniques, dont plus de
70 portent sur l’association du pembrolizumab à d’autres traitements contre le cancer.