Soit Q, une fonction réelle, détïnie sur l’intervalle Z, bornée (il existe une constante A4 telle que,
pour tout réel x de Z, I&x)] 5 A4).
À
cette fonction q est associée la fonction wq>, dite “module de
continuité de p”. Elle est définie sur la demi-droite ouverte 10, oo[ de la manière suivante :
Étant
donné un réel h strictement positif, q,(h)
est
égal à la borne supérieure des réels
I~(X) - &y)] sachant que x et y sont deux réels de l’intervalle Z dont la valeur absolue de la
différence est majorée par h :
Mh) = sup{I~W - vWl ; (x>
Y)
E 12, Cw -U~S h).
I-l. Propriétés du module de continuité :
Soit (p une fonction réelle définie et bornée sur le segment Z.
a Démontrer que le module de continuité de cette fonction q est une fonction croissante définie
sur la demi-droite ouverte 10, a$.
b. Soient h et h’ deux réels strictement positifs, démontrer la propriété :
q,(h + h’) I w,(h) +O&h’).
Soient h et A deux réels strictement positifs, n un entier supérieur ou égal à 1; démontrer les
relations suivantes :
q(nh) 5 nov(h) ; q, (2 h) I (1 + A> q,(h).
c. Démontrer que la fonction p est uniformément continue sur le segment Z si et seulement si la
limite du module de continuité oP en 0 est nulle :
tp est uniformément continue sur Z ohm q,(h) = 0.
h+o
d. Démontrer que, si la fonction q est continûment dérivable sur le segment Z, il vient pour tout
réel positif h :
Mh) 5 h lb II.
I-2. Noyaux de Dirichlet et de Fejer :
Étant
donné un entier n supérieur ou égal à 1
(n 1
1 ), soient D, et F, les fonctions définies
pour tout réel 8 par les relations suivantes Y .
on(e) = 2 eike ; F&I) = +&(e).
h=-?l Ml
Il est admis que la fonction F, vérif5e les relations suivantes :
pourtout0différentde2krr,kentierrelatif,F,@) = c (1- g)eike = &
h=-?l+l
Soit K, la fonction définie dans l’ensemble R \ 2a 2 par la relation suivante :
(
sin(n 912)
sîn(6/2)
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