Merck annonce la première présentation des données sur l

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Merck annonce la première présentation des données sur
l’utilisation expérimentale du pembrolizumab chez des patients atteints d’un
cancer de l’estomac ou d’un cancer de la vessie de stade avancé au congrès 2014 de
l’ESMO
L’administration du pembrolizumab en monothérapie a été associée à un taux de réponse
global de 31 % chez les patients atteints d’un cancer de l’estomac de stade avancé exprimant le
PD-L1 et un taux de réponse global de 24 % chez les patients atteints d’un cancer de la vessie
(tumeur urothéliale) de stade avancé exprimant le PD-L1.
On prévoit commencer une étude de phase 3 chez des patients atteints d’un cancer de la
vessie de stade avancé d’ici la fin de 2014
Une étude de phase 2 sur le cancer de l’estomac de stade avancé commencera au cours du
premier trimestre de 2015
Kirkland (Québec), le 29 septembre, 2014 – Merck, connue sous le nom de MSD à
l’extérieur du Canada et des États-Unis, a annoncé aujourd'hui la première présentation des
données sur l’utilisation expérimentale du pembrolizumab dans le traitement de deux types de
cancers, soit le cancer de l’estomac de stade avancé et le cancer de la vessie de stade avancé,
lors du congrès 2014 de la European Society for Medical Oncology (ESMO), du 26 au
30 septembre 2014 à Madrid, en Espagne. Présent lors de la conférence, le Dr Normand Blais,
oncologue et hématologue au Centre hospitalier de l’Université de Montréal, a insisté sur
l’importance des données de recherche clinique comme celles-ci pour les Canadiens : « En
2014, le nombre de nouveaux cas de cancer est estimé à 191 000 1. Les recherches cliniques
dans le domaine de l’immuno-oncologie, nouveau type de traitement novateur qui utilise le
système immunitaire du patient pour cibler le cancer, nourrissent l’espoir dans ce domaine. »
-2« Merck poursuit les étapes de mise au point du pembrolizumab dans le traitement de
divers types de tumeurs et évalue divers schémas de traitements », affirme la Dre Alise Reicin,
vice-présidente pour l’oncologie, Laboratoires de recherche de Merck. « Les signes de l’activité
antitumorale du pembrolizumab dans le traitement du cancer de l’estomac de stade avancé
sont encourageants. Nous sommes impatients de commencer l’étude de phase 2 pour mieux
comprendre le potentiel du pembrolizumab dans le traitement du cancer de l’estomac de stade
avancé. Comme indiqué précédemment, Merck commencera cette année une étude de phase 3
pour mieux comprendre le potentiel du pembrolizumab dans le traitement du cancer de la
vessie de stade avancé en raison de ces données. »
À propos des données présentées au congrès 2014 de l’ESMO sur l’utilisation
expérimentale du pembrolizumab chez les patients atteints d’un cancer de
l’estomac de stade avancé
Merck a annoncé aujourd'hui la première présentation des données sur l’utilisation
expérimentale du pembrolizumab (traitement anti­PD­1, pour programmed cell death-1 de
l’entreprise) chez des patients atteints d'un cancer de l’estomac de stade avancé exprimant le
PD-L1. Les premières données présentées révèlent que l’administration du pembrolizumab en
monothérapie est associée à un taux de réponse global (réponse confirmée ou non confirmée)
de 31 %, selon l’évaluation des chercheurs basée sur les critères RECIST 1.1 (n = 12/39 : IC à
95 %; 17-47). Des taux de réponse globale semblables ont été observés chez des patients
asiatiques (population chez qui l’incidence du cancer de l'estomac est élevée) et des patients
non asiatiques. Au moment de l’analyse, la durée de la réponse était de 8+ à 20+ semaines. En
tout, 11 des 12 patients qui avaient présenté une réponse ont poursuivi le traitement.
Ces données, sur une cohorte de l’étude KEYNOTE-012 de phase 1b qui est toujours en
cours, ont été présentées aujourd’hui dans le cadre d’une courte présentation orale tardive du
Dr Kei Muro (Aichi Cancer Center Hospital, à Nagoya, au Japon) lors du congrès de l’ESMO
(RÉSUMÉ nº LBA15). Des données sur l’évaluation de l’utilisation du pembrolizumab en
monothérapie dans le traitement de cinq types de tumeurs seront présentées au congrès 2014
de l’ESMO.
-3Résultats préliminaires sur l’utilisation expérimentale du pembrolizumab dans le
traitement du cancer de l’estomac de stade avancé
Les données ont été tirées de l’analyse d’une cohorte de l’étude de phase 1b
KEYNOTE-012 (toujours en cours), qui visait à évaluer l’administration du pembrolizumab en
monothérapie à raison de 10 mg/kg toutes les deux semaines chez des patients atteints d’un
cancer de l’estomac de stade avancé exprimant le PD-L1 (n = 39), tel que confirmé par un test
d’immunohistochimie exclusif de Merck, pour les études cliniques. Les tumeurs des patients
étaient classées comme exprimant le PD-L1 si au moins un pour cent des cellules tumorales
exprimaient le marqueur PD-L1 ou si un résultat positif était obtenu à la coloration des cellules
du stroma tumoral avec le même réactif. La méthode de sélection des patients visait à inclure
un nombre égal de patients asiatiques et non asiatiques. La majorité des patients avaient déjà
reçu un régime de traitement ou plus.
Activité antitumorale selon les critères d’évaluation RECIST 1.1 (Response Evaluation
Criteria in Solid Tumours)*
Total
n = 39
Taux de réponse global, % (IC à 95 %)
31 (17-47)
Nonasiatiques
n = 20
30 (12-54)
Asiatiques
n = 19
Taux de maîtrise de la maladie, % (IC à
43 (28-60)
35 (15-59)
52 (29-75)
31 (12-56)
95 %)
Meilleure réponse globale, n (%)
•
Réponse complète
0
0
0
•
Réponse partielle
12 (31)
6 (30)
6 (32)
•
Stabilité de la maladie
5 (13)
1 (5)
4 (21)
•
Évolution de la maladie
21 (54)
12 (60)
9 (47)
•
Aucune évaluation
1 (2)
1 (5)
0
* Date de l’analyse : le 6 août 2014
Un prototype d’essai pour l’évaluation du PD-L1 a révélé qu’il existe un lien préliminaire entre l’expression
du PD-L1 et le taux de réponse global (p = 0,071)
Dans le cadre de l’étude, une réduction du volume de la tumeur a été observée chez
41 % des patients dont l’évolution de la maladie était évaluable au moyen d’un examen de
tomodensitométrie après l'instauration du traitement, selon les critères d’évaluation RECIST 1,1.
-4Les événements indésirables étaient conformes aux données déjà rapportées sur
l’innocuité du pembrolizumab. Parmi les événements indésirables les plus courants liés au
traitement, selon l’évaluation faite par les chercheurs (survenus chez plus de 5 % des patients),
on compte l’hypothyroïdie (12,8 %) et la fatigue (12,8 %). Des événements indésirables liés au
traitement de grade 3 à 5 selon l’évaluation faite par les chercheurs ont été observés chez un
total de 3 patients : un cas de neuropathie périphérique du système sensitif (grade 3), un cas
d’hypoxie (grade 5) et un cas de pneumonite (grade 4). Aucune réaction à la perfusion n’a été
observée et aucun patient n’a abandonné le traitement au pembrolizumab en raison d’une
réaction liée au traitement. Un décès lié au traitement causé par une hypoxie a été signalé.
Présentation de résultats additionnels sur l’emploi du pembrolizumab dans le traitement
du cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) de stade avancé
Les derniers résultats de l’étude des cohortes de patients de l’étude KEYNOTE-001 de
phase 1b (toujours en cours) atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) de
stade avancé, préalablement traités ou non, ont également été présentés aujourd'hui (résumé
nº LBA43). Des données présentées dans le cadre d'une présentation orale tardive ont révélé
l’activité antitumorale du pembrolizumab (taux de réponse global) chez des patients atteints
d’un CPNPC de stade avancé préalablement traités ou non (n = 236). Le taux de réponse était
respectivement de 26 % et de 20 % dans ces deux groupes, peu importe la dose administrée et
le schéma de traitement, conformément à l’examen centralisé indépendant, en fonction des
critères RECIST 1.1. L’analyse selon la dose administrée (2 mg/kg toutes les 3 semaines,
10 mg/kg toutes les 3 semaines et 10 mg/kg toutes les 2 semaines) a révélé que le taux de
réponse global était comparable, peu importe le schéma thérapeutique (33 %, 21 % et 21 %,
respectivement).
À propos des données présentées au congrès 2014 de l’ESMO sur l’utilisation
expérimentale du pembrolizumab chez les patients atteints d’un cancer de la
vessie de stade avancé
Merck a également annoncé aujourd'hui la première présentation des données sur
l’utilisation expérimentale du pembrolizumab (traitement anti­PD­1 de l'entreprise) chez des
patients atteints d’une tumeur urothéliale de stade avancé exprimant le PD-L1, ou « cancer de
la vessie ». Les premières données présentées révèlent que l’administration du pembrolizumab
en monothérapie est associée à un taux de réponse global confirmée de 24 %, conformément à
l’examen centralisé, en fonction des critères RECIST 1.1 (n = 7/29 : IC à 95 %; 10,3-43,5), et à
un taux de réponse complète de 10 % (3/29). Au moment de l’analyse, la durée de la réponse
était de 16+ à 40+ semaines. En tout, 6 des 7 patients qui avaient présenté une réponse ont
-5poursuivi le traitement. Dans le cadre de cette étude, 64 % (61/95) des patients dont la réponse
pouvait être évaluée présentaient une tumeur exprimant le PD-L1.
Ces données, sur une cohorte de l’étude KEYNOTE-012 de phase 1b qui est toujours en
cours, ont été présentées aujourd'hui dans le cadre d’une courte présentation orale tardive de la
Dre Elizabeth R. Plimack (Fox Chase Cancer Center de Philadelphie) lors du congrès de
l’ESMO (RÉSUMÉ nº LBA23).
« Bien que les données soient limitées à l’heure actuelle, le taux de réponse, le taux de
réponse complète et la persistance de la réponse chez les patients atteints d’un cancer de la
vessie de stade avancé, sont encourageants », souligne la Dre Alise Reicin, vice-présidente
pour l’oncologie, Laboratoires de recherche de Merck.
Résultats préliminaires sur l’utilisation expérimentale du pembrolizumab dans le
traitement du cancer de la vessie de stade avancé
Les données ont été tirées de l’analyse d’une cohorte de l’étude de phase 1b
KEYNOTE-012 (toujours en cours), qui visait à évaluer l’administration du pembrolizumab en
monothérapie à raison de 10 mg/kg toutes les deux semaines chez des patients atteints d’un
cancer de la vessie de stade avancé, exprimant le PD-L1 (n = 29). Les tumeurs étaient
classées comme exprimant le PD-L1 si au moins un pour cent des cellules tumorales
exprimaient le marqueur PD-L1, tel que mesuré par le test d’immunohistochimie pour les études
cliniques exclusif de Merck, ou si un résultat positif était obtenu à la coloration des cellules du
stroma tumoral avec le même réactif. La majorité des patients avaient déjà reçu un régime de
traitement ou plus.
Activité antitumorale selon les critères d'évaluation RECIST 1.1*
Taux de réponse global
Patients dont la réponse a pu être évaluée
(n = 29)
n
Pourcentage
IC à 95 %
7
24,1
10,3 – 43,5
Meilleure réponse globale
•
Réponse complète
3
10,3
2,2 – 27,4
•
Réponse partielle
4
13,8
3,9 – 31,7
•
Stabilité de la maladie
4
13,8
3,9 – 31,7
•
Évolution de la maladie
14
48,3
29,4 – 67,5
•
Aucune évaluation
4
13,8
3,9 – 31,7
* Date de l’analyse : le 6 août 2014
-6Après six mois, 58 % des patients étaient vivants, et la survie médiane global était de
9,3 mois (IC à 95 %; 3,6 - Non répondeurs). De plus, une réduction du volume de la tumeur a
été observée chez 64 % des patients dont l’évolution de la maladie était évaluable au moyen
d’un examen de tomodensitométrie après l'instauration du traitement. Une analyse du lien qui
existe entre l’expression du PD-L1 et les résultats cliniques est toujours en cours.
Les événements indésirables étaient conformes aux données déjà rapportées sur
l'innocuité du pembrolizumab. Parmi les événements indésirables les plus courants liés au
traitement, tel qu’évalué par les chercheurs (survenus chez deux patients ou plus), on compte la
fatigue (18 %), l’œdème périphérique (12 %) et les nausées (9 %). Des événements
indésirables liés au traitement de grade 3 à 5 tel qu’évalué par les chercheurs ont été observés
chez un total de 4 patients. Une réaction liée à la perfusion a été observée, et un patient a
abandonné le traitement au pembrolizumab en raison d’une réaction liée au traitement. Aucun
décès n’a été associé au traitement.
Notes aux éditeurs
À propos de l’étude KEYNOTE-012
L’étude KEYNOTE-012 est une étude multicentrique en cours, de phase 1b, sans
répartition aléatoire, visant à évaluer l’innocuité, la tolérabilité et l’activité antitumorale du
pembrolizumab en monothérapie chez des patients atteints de formes avancées des cancers
suivants : cancer du sein triple négatif, cancer de la tête et du cou, cancer urothélial (de la
vessie) ou cancer de l’estomac. Les principaux paramètres d'évaluation de l’étude comprennent
le profil global d’innocuité et de tolérabilité ainsi que l’activité antitumorale (d’après les critères
RECIST 1.1) dans les tumeurs dont l’expression du PD-L1 a été confirmée. Les paramètres
d'évaluation secondaires comprennent la survie sans évolution de la maladie, la survie globale
et la durée de la réponse.
À propos du pembrolizumab
Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal humanisé qui bloque l’interaction entre
le PD­1 (programmed cell death-1 : récepteur-1 de la mort cellulaire programmée) et ses
ligands, le PD­L1 et le PD­L2. En se liant au récepteur PD­1 et en bloquant l’interaction avec
ses ligands, le pembrolizumab lève l’inhibition de la réponse immunitaire médiée par le PD­1, y
compris la réponse immunitaire antitumorale.
-7À propos du cancer de l'estomac
Le cancer de l’estomac est un type de cancer qui se forme dans l’estomac 2. La plupart
des tumeurs de l’estomac sont des adénocarcinomes; ils se forment à partir des cellules de la
tunique interne (muqueuse) de l’estomac1. Les facteurs de risque du cancer de l’estomac
comprennent le sexe, l’âge, l’origine ethnique, le lieu géographique de vie et les infections
bactériennes à Helicobacter pylori1. Plus de 70 % des cas de cancer de l’estomac surviennent
dans des pays en développement, la moitié des cas étant observés dans l’est de l’Asie
(particulièrement en Chine) 3. À l’échelle mondiale, le cancer de l’estomac se classe cinquième
parmi les types de cancers les plus courants et est la troisième cause de mortalité causée par le
cancer2. On estime que 3 300 Canadiens auront reçu un diagnostic de cancer de l’estomac en
2014 et que 2 100 en mourront 4.
À propos du cancer de la vessie (tractus urothélial)
Le cancer de la vessie est la forme la plus courante du cancer urothélial, cancer qui se
forme dans la couche de tissu (urothélium) qui tapisse l’urètre, la vessie, l’uretère, la prostate et
le bassinet du rein 5. Les facteurs de risque du cancer de la vessie comprennent le tabagisme,
l’exposition au travail à certains produits chimiques industriels, la race, l’origine ethnique, l’âge
et le sexe 6. L’incidence du cancer de la vessie est élevée en Amérique du Nord, en Europe, en
Afrique du Nord, au Moyen­Orient, en Australie et en Nouvelle­Zélande 7. En 2012, le nombre de
nouveaux cas de cancer de la vessie et le nombre de décès causés par cette maladie ont
respectivement été estimés à 430 000 et à 165 000 à l'échelle mondiale3. Le cancer de la
vessie se classe cinquième parmi les cancers les plus courants au Canada : environ
7 900 Canadiens recevront un diagnostic de cancer de la vessie cette année 8.
Notre intérêt pour le cancer
Notre objectif est de traduire les percées scientifiques en innovations biomédicales pour
aider les personnes atteintes du cancer partout dans le monde. Chez Merck Oncologie, aider à
lutter contre le cancer est une passion, favoriser l’accès à nos médicaments contre le cancer
est un engagement et poursuivre la recherche en immuno-oncologie est un idéal pour apporter
de l’espoir aux personnes qui sont atteintes d’un cancer. Pour obtenir un complément
d’information sur nos essais cliniques en oncologie, visitez le site à l'adresse
www.merck.com/clinicaltrials.
-8À propos de Merck
La société Merck d’aujourd’hui est un chef de file mondial dans le domaine des soins de
santé qui œuvre au bien-être du monde. Merck est connue sous le nom de MSD à l’extérieur du
Canada et des États-Unis. Grâce à nos médicaments d’ordonnance, nos vaccins et nos
traitements biologiques de même qu’à nos produits de santé grand public et de santé animale,
nous collaborons avec nos clients et œuvrons dans plus de 140 pays à procurer des solutions
de santé novatrices. Nous démontrons également notre détermination à améliorer l’accès aux
soins de santé grâce à des politiques, programmes et partenariats d’envergure.
Pour obtenir un complément d’information sur nos activités au Canada, visitez le site à l’adresse
www.merck.ca.
Déclarations prospectives
Ce communiqué contient des « déclarations prospectives » (forward looking
statements), au sens des dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act
of 1995 des États-Unis. Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions
actuelles de la direction de Merck et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes.
Aucune garantie ne peut être accordée quant à l’obtention des approbations réglementaires
nécessaires à l’homologation ou à l’éventuel succès commercial des produits en phase de mise
au point. Si les hypothèses sous-jacentes se révèlent inexactes ou si les risques et incertitudes
se concrétisent, les résultats réels pourraient être considérablement différents de ceux
annoncés dans les déclarations prospectives.
Ces risques et incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les conditions générales de
l’industrie et la concurrence, les facteurs économiques généraux, incluant les fluctuations des
taux d’intérêt et des taux de change; les effets de la réglementation de l’industrie
pharmaceutique ou des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et dans le monde;
les tendances mondiales à l’égard de la limitation des coûts des soins de santé; les avancées
technologiques et les nouveaux produits et brevets des concurrents; les défis liés à l’élaboration
d’un nouveau produit, ce qui inclut l’obtention de l’approbation réglementaire; la capacité de
Merck à prédire précisément les conditions de marché futures; les difficultés ou les retards de
fabrication; l’instabilité financière des économies mondiales et le risque de souveraineté; la
dépendance à l’égard de l’efficacité des brevets de Merck et des autres protections relatives
aux produits innovants; et le risque de faire l’objet d’actions judiciaires ou de mesures
réglementaires.
-9Merck n’est pas tenue de publier des mises à jour des déclarations prospectives, que ce
soit à la suite de nouvelles informations, d’événements futurs ou de tout autre élément. D’autres
facteurs susceptibles d’entraîner une différence notable entre les résultats réels et les résultats
décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport annuel 2013 de Merck
établi sur le formulaire 10-K et dans les autres documents déposés par la société auprès de la
Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et accessibles sur le site Internet
de cette dernière (www.sec.gov).
###
1
Société canadienne du cancer. « Vue d’ensemble des statistiques sur le cancer ». Disponible en ligne :
www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-101/cancer-statistics-at-a-glance/?region=qc. Consulté le 29 septembre 2014.
2
American Cancer Society. « Stomach Cancer ». Disponible en ligne :
www.cancer.org/acs/groups/cid/documents/webcontent/003141-pdf.pdf. Consulté le 17 septembre 2014.
3
Organisation mondiale de la santé (OMS). « Globocan 2012 Stomach Cancer: Estimated Incidence, Mortality and Prevalence
Worldwide in 2012 ». Disponible en ligne : http://globocan.iarc.fr/old/FactSheets/cancers/stomach-new.asp. Consulté le
17 septembre 2014.
4
Société canadienne du cancer. « Statistiques sur le cancer de l’estomac ». Disponible en ligne :
www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/stomach/statistics/?region=qc. Consulté le 29 septembre 2014.
5
National Cancer Institute. « General Information About Bladder and Other Urothelial Cancers ». Disponible en ligne :
www.cancer.gov/cancertopics/pdq/screening/bladder/Patient/page2. Consulté le 23 septembre 2014.
6
American Cancer Society. « What are the risk factors for bladder cancer? ». Disponible en ligne :
http://www.cancer.org/cancer/bladdercancer/detailedguide/bladder-cancer-risk-factors. Consulté le 23 septembre 2014.
7
Organisation mondiale de la santé (OMS). « 5.10 Bladder Cancer », dans : STEWART, B. W. et C. P. Wild, rédacteurs. World
Cancer Report 2014. Lyon (France) Presses de l’OMS, 2014: 681-695.
8
Cancer de la vessie Canada. « Face au cancer de la vessie : faits et chiffres ». Disponible en ligne :
www.bladdercancercanada.org/fr/facing-bladder-cancer/faits-et-chiffres/. Consulté le 29 septembre 2014.
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