STI - 1G1 - CALCUL VECTORIEL DANS LE PLAN
Entretien du calcul vectoriel en liaison avec les disciplines industrielles et
la physique.
La notion de barycentre pourra être abordée lors du traitement
d'exemples.
Produit scalaire ; expressions du produit scalaire :
2 ;u. ;v =
;u + ;v² –
;u² –
;v²
;u. ;v = xx’ + yy’
;OA.;OB = ;OA.;OH
;u. ;v =
;u×
;v× cos θ
Propriétés du produit scalaire : symétrie, linéarité.
La projection orthogonale d'un vecteur ;v sur un axe Δ muni d'un
vecteur unitaire ;u est (;u.;v);u. En particulier, les coordonnées x et
y dans une base orthonormale (;i , ;j) sont x = ;i.;v et y = ;j.;v
Le texte ci-contre suggère une démarche pour l'introduction
du produit scalaire : on s'appuie sur la caractérisation (vue en seconde)
de l'orthogonalité de deux vecteurs par
;u + ;v²=
;u²
+
;v²; ou encore par xx’ + yy’ = 0, ce qui amène aux deux
premières expressions du produit scalaire indiquées ci-contre. Le
professeur peut adopter un autre choix. Quel que soit ce choix, les quatre
expressions doivent être mises en valeur et exploitées sur quelques
exemples simples. La notion de forme bilinéaire symétrique est hors
programme.
Caractérisation d'une droite par ;k.;AM = 0
Les élèves doivent savoir déterminer un vecteur normal à une droite
donnée par une équation.
Équation d'un cercle de centre et de rayon donnés :
(
x
–
a
)² + (
y
–
b
)² = R².
La détermination du centre et du rayon d'un cercle donné par son
équation cartésienne développée n'est pas exigible des élèves.
Formules d'addition pour les fonctions cosinus et sinus; formules de
duplication.
Les formules de conversion de produit en somme et de somme en produit
ne sont pas au programme ; il en est de même de la linéarisation des
puissances autres que cos²
a
et sin²
a
TP : Exemples de calculs de distances, d’angles, d’aires et de volumes,
dans des configurations usuelles du plan et de l’espace.
Pour les polygones réguliers, on se limitera à des cas simples tels que :
triangle et hexagone, carré et octogone. Toute technicité particulière doit
être évitée dans l'étude des triangles. Dans les spécialités « génie
mécanique », « génie civil », « génie énergétique », « génie des
matériaux » on pourra être amené à utiliser les formules suivantes :
a² = b² + c² – 2bc cos;A
S = ½ bc sin;A
Error! = Error! = Error!
;A + ;B + ;C =
I. RAPPELS
a. Coordonnées
Dans tout ce chapitre, le plan est muni d’un repère (O ; ;i , ;j) où base (;i , ;j) est orthonormale.
Soit A(xA ; yA) et B(xB ; yB) deux points distincts. Alors :
le vecteur ;AB a pour coordonnées : ( )
xB – xA ;yB – yA
le milieu I de [AB] a pour coordonnées :
la distance entre A et B vaut : AB = ;(xB – xA)² + (yB – yA)²
b. Equation d’une droite
Toute droite (d) non parallèle à l’axe des ordonnées admet une équation réduite sous la forme y = mx + p
Cela signifie que tout point M(x ; y) doit avoir ses coordonnées qui vérifient l’équation pour appartenir à
cette droite.
m est appelé le coefficient directeur de (d)
p est appelé l’ordonnée à l’origine de (d)
Tout vecteur qui a la même direction que (d) est appelé un vecteur directeur.
En particulier, le vecteur ;u ( )
1 ;m est un vecteur directeur de (d).