Spé ψ
ψψ
ψ 2013-2014 page 1/6 Devoir n°7
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ψψ
ψ 2013-2014 Devoir n°7
OPTIQUE
CCP MP 1998-2012
1-a) L'indice absolu d'un milieu transparent est le rapport n
=
0
de la célérité des ondes
électromagnétiques dans le vide à celle dans le milieu.
Pour un verre ordinaire, n = 1,5.
b) L'optique géométrique est un modèle qui convient lorsque les dispositifs sont de
dimension caractéristique très grande devant la longueur d'onde. Il n’y a alors pas de phénomè-
nes de diffraction.
c) Un système optique qui présente la symétrie de révolution par rapport à un axe est
un système centré. L'axe de révolution s'appelle l'axe optique.
d) L'approximation de Gauss consiste à ne prendre en compte que les rayons pro-
ches de l'axe optique et peu inclinés par rapport à cet axe. Il y a alors stigmatisme approché
(l’image d’un objet ponctuel est ponctuelle) et aplanétisme (l’image d’un objet placé dans un plan
perpendiculaire à l’axe optique est dans un plan perpendiculaire à l’axe optique).
2-a) Par définition, le foyer image du miroir M
P
est l’image par le miroir d’un point A à
l’infini sur l’axe optique. On a alors
1
S A
et l’on obtient
1
p
S F =.
A.N.
1
p
S F
= =
–15 m
compte tenu de l’orientation.
Le foyer image F
P
est donc à 15 m à gauche du sommet S
1
.
b Par définition, le foyer image du télescope est l’image par le télescope d’un point A
à l’infini sur l’axe optique ; F
C
est donc l’image de F
P
par le miroir M
S
. La formule de conjugaison
donne alors
P C
+ =
. Comme
2 2 1 1
= +
on trouve numériquement
2
P
S F
= + + −
= –6 m. Par ailleurs
2 2
S C = −
d’après l’orientation donc
2
C
S F = −
=
. On en déduit
2
C
S F
=
=
9,6 m
.
On obtient alors
1 1 2 2
= +
soit numériquement
1
C
S F
= − +
= 0,6 m.
Le foyer image du télescope est placé à 0,6 m à droite de S
1
.
3-a)
L’onde incidente sur le diaphragme provient d’une étoile supposée très loin donc les
rayons sont parallèles entre eux et
l’onde incidente sur le diaphragme
est plane.
En un point du plan focal image de la lentille équivalente convergent tous les rayons qui,
avant cette lentille, sont parallèles entre eux dans une direction
et forment donc,
après le dia-
phragme
, une onde plane.
Ondes incidentes et émergente sont
planes
: on est bien dans les conditions de Fraunhofer.
L’argument de l’exponentielle
2
∆ϕ = π +
est le
déphasage
entre deux rayons
is-
sus du diaphragme donc parallèles entre eux et convergeant en P ; l’un passant par le
point M
de
coordonnées
dans le plan du diaphragme et l’autre passant par le
point O
du diaphragme pris
comme origine.