Anthropologie
(Pascal Boyer, Lyon)
Les représentations cul-
turelles varient d’un
groupe à l’autre et sont
transmises comme résul-
tat d’un input intérieur
au groupe. L’ anthropo-
logie cognitive s’inté-
resse à tout ce qui
concerne les fondements
psychosociaux des
connaissances cultu-
relles et de leur acquisi-
tion. Les chercheurs qui
établissent des compa-
raisons transculturelles
des modes de raisonne-
ment, qui mettent en
relief les différences sont
des anthropologues
cognitivistes. Ceux qui
procèdent de la manière
opposée, en cherchant à
identifier des processus
cognitifs universels, et
qui regardent comment
ces derniers affectent
l’acquisition et le savoir
dans des environnements
divers le sont aussi. De
quoi est faite une culture ? Elle est consti-
tuée d’un certain nombre d’unités de répli-
cation culturelle, ensembles d’informa-
tions mentales communes à un groupe, que
les anthropologues cognitivistes appellent
des memes. Ces unités de culture fonction-
nent bien et sont transmissibles ; on consi-
dérait jusqu’à récemment que cette trans-
mission suivait un mécanisme apparenté à
une transmission génétique : on observe, en
effet, des variations au hasard, des réten-
tions sélectives de variables, etc. Les points
positifs de cette définition de
la culture sont que la culture
serait une similarité, la trans-
mission culturelle ne serait
pas intentionnelle, et les
grandes tendances seraient
le résultat de petites varia-
tions. Toutefois, la réplica-
tion des memes pose pro-
blème : en fait, elle ne suit pas
les modalités de la transmis-
sion génétique. On peut
prendre l’exemple de la
morale : dès l’âge de 3 ans,
les enfants ont clairement la
conscience que les règles de
morale sont différentes des
conventions sociales. Selon
le modèle “indice plus infé-
rence”, qui fonctionne plutôt
sur le mode épidémiolo-
gique, acquérir le langage, la
grammaire et les concepts au
cours du développement,
consiste, pour l’enfant, à
développer des inférences à
partir d’entrées limitées, le
discours de ses parents en
particulier. La manière dont
ces inférences sont
construites est différente
selon les divers domaines
conceptuels.
Notre catalogue de “ce qu’il y a dans le
monde”, de comment nous savons “ce
dont il s’agit” (how we know what it is)
dépend d’un système d’inférences. Toute
communication est inférencielle ; par
conséquent, une structure est nécessaire
pour l’acquisition de l’information, et le
développement requiert des inférences
contraintes.
Lobjet des sciences cognitives est de décrire, expliquer et, le
cas échéant, simuler les principales dispositions et capacités
de l’esprit humain : mémoire, langage, raisonnement, percep-
tion, coordination motrice, classification et catégorisation. Les
sciences cognitives connaissent, dans les pays à haut niveau
scientifique, un développement considérable. La compréhension
des mécanismes par lesquels s’opère la cognition humaine est un
nouveau défi auquel sont confrontés les chercheurs, qu’ils exer-
cent leurs activités dans les domaines des sciences humaines et
sociales, des neurosciences et de la psychologie cognitive, ou
dans les recherches en intelligence artificielle. L’objet de cette
école thématique était de voir comment peut se réaliser l’articu-
lation entre les différentes disciplines des sciences humaines et
sociales (SHS), des sciences de la vie (SDV) et des sciences pour
l’ingénieur (SPI), qui composent le champ des sciences cogni-
tives. Elle a permis à chacun de se familiariser avec les acquis
méthodologiques et théoriques des sciences cognitives qui res-
sortissent à d’autres disciplines, de comprendre les probléma-
tiques, concepts et outils propres à chaque discipline, afin
d’établir une base commune de connaissances. Petit aperçu d’un
état de l’art récent dans quelques-unes de ces disciplines qui,
pour certaines, se développent actuellement à un rythme accélé-
ré, aussi bien dans les techniques et les méthodes utilisées que
dans les résultats obtenus.
350
Act. Méd. Int. - Psychiatrie (17) n° 10, décembre 2000
* Inserm, Strasbourg.
congrès congrès
Écho des congrès
Approches interdisciplinaires dans le domaine
des sciences cognitives
École thématique du département des sciences humaines et sociales du CNRS
Roscoff : 9-13 octobre 2000
Elisabeth Bacon*
Modélisation cognitive
(Frédéric Alexandre, Nancy)
L’intelligence artificielle est le domaine
qui étudie comment faire faire par une
machine des tâches dans lesquelles,
aujourd’hui, l’homme est encore le
meilleur. Deux grands courants de pensée
s’intéressent à la modélisation cognitive :
l’approche symbolique, ou experte, et
l’approche connexionniste, encore appe-
lée numérique ou statistique. L’approche
symbolique décrit explicitement les phé-
nomènes cognitifs à partir de connais-
sances que l’on peut obtenir des différents
domaines des sciences cognitives. Elle
intègre ainsi les données de la logique, de
la psychologie cognitive ou de la linguis-
tique. Dans son acception la plus récente,
elle concerne les techniques qui permet-
tent de résoudre des problèmes exponen-
tiellement ardus en temps polynomial en
exploitant la connaissance du domaine :
l’homme est en effet un “satisfaiseur” plu-
tôt qu’un “optimiseur”. L’intérêt de l’ap-
proche symbolique est qu’elle est for-
melle, structurée, extensible et explicable.
Toutefois, elle ne manque pas d’inconvé-
nients : restent ainsi posées les questions
de sa cohérence, de savoir si elle permet
vraiment l’approche du monde réel, et de
comment définir l’expertise. L’approche
connexionniste essaie de construire des
modèles numériques à partir de l’obser-
vation des phénomènes cognitifs. Cela
renvoie, par exemple, aux statistiques ou
aux réseaux de neurones artificiels. Il est
important de garder à l’esprit que le neu-
rone artificiel est une métaphore : c’est
une petite unité de calcul numérique, avec
des entrées et des sorties. Son activation
est transmissible, et il peut donc activer
d’autres neurones. Le neurone a des facul-
tés adaptatives, ce qui est obtenu en modi-
fiant son “poids”. La modification du
poids du neurone artificiel, soit l’appren-
tissage, peut se faire selon deux modali-
tés : une modalité d’inspiration biologique
ou neuronale et une modalité d’inspiration
mathématique. Selon l’apprentissage neu-
ronal (loi de Hebb), deux neurones sont
reliés et leurs poids sont modifiés par acti-
vation pré- et postsynaptique. Une appli-
cation en est, par exemple, le “perceptron”,
capable d’apprentissage supervisé par cor-
rection d’erreurs. Selon l’apprentissage
mathématique, il y a minimisation d’une
fonction de coût mesurant la distance entre
le comportement observé et le comporte-
ment souhaité, que ce comportement sou-
haité le soit implicitement ou explicite-
ment. Tant avec l’apprentissage neuronal
qu’avec l’apprentissage statistique, on
cherche à extraire des invariants. Parmi les
chercheurs en intelligence artificielle, le
débat symbolique/connexionniste reste
ouvert. On s’intéresse toujours à un trai-
tement de l’information numérique, dis-
tribué et adaptatif. Mais le problème de
l’ancrage et de l’émergence reste posé
pour les neurones artificiels. Par
ailleurs, l’approche symbolique est fon-
dée sur les connaissances, alors que l’ap-
proche connexionniste l’est sur les don-
nées. Il s’agit de qualités différentes,
indispensables toutes les deux, et l’ave-
nir semble être promis à l’intégration
neurosymbolique.
Linguistique
(Stéphane Robert, Paris –
Jean-Luc Nespoulos, Toulouse)
Le langage est une faculté émergente (non
innée, non autonome), relevant de méca-
nismes cognitifs généraux, relié à l’expé-
rience perceptuelle et sensorimotrice. Le
langage est fondamentalement sémiolo-
gique, puisque le sens et les fonctions
communicatives en déterminent les struc-
tures. Par ailleurs, la syntaxe participe du
système symbolique général, et les caté-
gories grammaticales ont une significa-
tion. Enfin, les catégories linguistiques
sont des systèmes non statiques qui sui-
vent une dynamique de construction. Le
modèle de linguistique cognitive doit être
psychologiquement plausible et compa-
tible avec les théories des neurosciences
cognitives concernant le fonctionnement
du cerveau en général. Si, dans certaines
disciplines, le développement des sciences
cognitives a donné naissance à un champ
spécifique (comme les neurosciences
cognitives ou la psychologie cognitive), il
n'en va pas de même pour la linguistique.
Au sein de cette discipline, plusieurs cou-
rants théoriques se réclament d'approches
“cognitives” de la langue, qui divergent
sur la façon d'articuler le verbal et le
conceptuel, ou d’aborder la question des
universaux linguistiques face à la diversité
des langues. Toutefois, le traitement du
langage fait l’objet de nombreuses études
en sciences cognitives (en neurosciences,
en psychologie, en informatique), qui
s’appuient de façon plus ou moins expli-
cite sur des concepts empruntés à la lin-
guistique. Dans le domaine de la patholo-
gie du langage, trois disciplines se
trouvent ainsi impliquées : la linguistique,
la psycholinguistique et la neuropsycho-
linguistique. La linguistique spécifie les
propriétés structurales de telle ou telle
langue naturelle à chacun de ses niveaux
d’organisation : phonologique, morpholo-
gique, syntaxique. La psycholinguistique
a pour objectif de caractériser les proces-
sus cognitifs présidant au traitement des
structures linguistiques par l’esprit humain
et, si possible, en temps réel. On s’inté-
resse aux processus cognitifs mis en œuvre
dans la production du langage ainsi que
dans sa compréhension, à l’oral comme à
l’écrit. La neuropsycholinguistique, quant
à elle, tente de “réconcilier le corps et l’es-
prit” (le cerveau), dans un effort d’identi-
fication des structures cérébrales ou
réseaux neuronaux mobilisés lors du trai-
tement cognitif de telle ou telle compo-
sante de l’architecture fonctionnelle du
langage. En étudiant le fonctionnement du
langage perturbé de certains patients,
comme des cérébrolésés, l’approche neuro-
psycholinguistique va tenter d’échafauder
351
congrès congrès
Écho des congrès
l’architecture structurale et fonctionnelle
du langage dans le cerveau/esprit humain.
L’observation, chez divers patients, des
dissociations existantes de tel système,
sous-système ou composante de la fonc-
tion linguistique, permettra de mieux dis-
tinguer, dans les langues naturelles, les
composantes qualitatives différentes (pho-
nologie, morphologie, syntaxe), mais aussi
la variabilité de complexité intrinsèque de
chaque composante. À titre d’exemple, on
peut observer chez des aphasiques
diverses perturbations du comportement
verbal : traitement différentiel du lexique
et de la syntaxe, traitement différentiel des
noms et des verbes, traitement différentiel
de certaines catégories lexico-séman-
tiques. Parallèlement, les résultats en ima-
gerie fonctionnelle cérébrale semblent par-
venir à des résultats similaires, puisqu’on
observe, par exemple, l’implication du
lobe frontal gauche dans le traitement des
verbes et du lobe temporal inférieur dans
le traitement des noms.
Économie
(Paul Bourgine, Paris)
L’objet de l’économie cognitive est de
prendre en compte les dimensions de la
cognition dans la théorie économique, tant
au niveau des individus impliqués qu’à
celui de leurs interactions dynamiques et
des formes institutionnelles qui en résul-
tent. Elle applique un modèle de rationa-
lité individuelle : en psychologie cogni-
tive, l’individu rationnel raisonne bien. En
économie cognitive, l’individu rationnel
maximise une fonction, la fonction d’uti-
lité : on parlera alors de rationalité sub-
stantive. Les incertitudes qui structurent
la plupart des marchés sont liées au carac-
tère incomplet des informations dont dis-
posent les acteurs de l’activité écono-
mique, et à la manière dont ceux-ci
l’obtiennent, la traitent et l’utilisent. L’éco-
nomie cognitive pose les questions de
savoir comment vivre dans un monde infi-
niment complexe en ne disposant que de
capacités cognitives limitées et de com-
ment expliquer qu’un expert soit capable
d’atteindre une rationalité remarquable en
n’explorant que peu de possibilités (par
exemple le joueur d’échecs), et cela en uti-
lisant des connaissances procédurales.
Pour l’expert, la rationalité se situe dès lors
davantage dans la procédure que dans son
résultat. Mais d’où viennent ces connais-
sances procédurales et comment les sujets
changent-ils ces connaissances procédu-
rales sur une trajectoire temporelle ? La
place des sciences cognitives en économie
reste marginale, malgré des travaux pré-
curseurs comme ceux de Simon et Hayek.
Pourtant, les apports des sciences cogni-
tives à la compréhension profonde des
concepts centraux des sciences écono-
miques (croyances, normes, conventions,
préférences, rationalité limitée et procé-
durale) sont essentiels. Inversement, les
sciences cognitives se sont longtemps inté-
ressées à la cognition des agents indivi-
duels, indépendamment de leur insertion
sociale. C’est pourquoi une interaction forte
entre l’économie et les sciences cognitives
est à la fois nécessaire et souhaitable. L’ob-
jet de l’économie cognitive est de prendre
en compte les dimensions de la cognition
dans la théorie économique, tant au niveau
des agents qu’à celui de leurs interactions
dynamiques et des phénomènes institu-
tionnels émergents qui en résultent.
Philosophie
(Élisabeth Pacherie, Paris)
La philosophie de l’esprit est la branche
de la philosophie qui a pour objet l’étude
conceptuelle de la nature de l’esprit et des
phénomènes mentaux : Quels sont les cri-
tères du mental ? Comment caractériser
différentes catégories mentales, comme la
perception, la mémoire, les croyances,
l’imagination ? Quels sont les rapports du
physique et du mental ? L’idée générale est
que l’étude des pouvoirs et facultés de l’es-
prit devrait permettre de révéler le contenu
ou au moins les limitations de la connais-
sance humaine en général et de la théorie
de la nature en particulier. Longtemps
avant la naissance des sciences cognitives,
la philosophie a proposé des analyses de
la nature du mental et contribué, de
manière non expérimentale, à la compré-
hension des mécanismes de formation des
connaissances. Toutefois, les sciences
cognitives conduisent à reposer ces ques-
tions dans un cadre théorique nouveau.
Elles considèrent l’esprit comme un objet
d’étude susceptible d’être abordé avec les
méthodes des sciences de la nature et récu-
sent ainsi l’idée d’une dualité irréductible
entre le physique et le mental. Avec le
développement de la théorie des systèmes
de traitement de l’information et de l’in-
telligence artificielle, on s’affranchit des
limitations imposées jusque-là par l’ab-
sence d’un accès direct au mental par des
méthodes objectives. Une étude expéri-
mentale et théorique des processus cogni-
tifs devient possible. Cela lance trois défis
majeurs à la philosophie de l’esprit. L’es-
prit présente, en effet, trois caractéristiques
centrales dont il n’est pas évident, de
prime abord, qu’elles puissent recevoir un
traitement naturaliste : l’intentionnalité,
ou capacité à représenter : nous construi-
sons des représentations de notre environ-
nement et les exploitons pour guider nos
actions. Mais d’où vient cette capacité à
représenter et comment un système phy-
sique peut-il être intrinsèquement capable
de représentation ? La rationalité : une
définition classique des êtres humains est
d’être rationnels. Mais la capacité à rai-
sonner et à penser rationnellement est défi-
nie comme capacité à suivre des règles, à
obéir à des normes de rationalité. Com-
ment concilier l’ordre des normes qui régit
le mental et l’ordre des causes qui règne
dans le domaine du physique ? La
conscience : une partie importante de
notre vie mentale est consciente. Non seu-
lement, nous sommes conscients d’une
partie au moins de nos pensées, mais nos
congrès congrès
Écho des congrès
352
Act. Méd. Int. - Psychiatrie (17) n° 10, décembre 2000
perceptions internes (proprioception, douleur, etc.) et externes (vision,
audition, toucher…) s’accompagnent de certaines expériences quali-
tatives. Est-il possible de rendre compte des phénomènes de la
conscience en supposant que l’esprit est un système matériel ? Au
XXesiècle apparaît l’idée de séparabilité de la conscience et de l’in-
tentionnalité. Dans les sciences cognitives, la conscience n’est pas
supposée constitutive de la pensée. Il est important aussi de bien dis-
tinguer l’inconscient freudien de l’inconscient cognitif : l’inconscient
freudien au sens strict consiste en désirs et pensées qui cherchent sans
cesse à se manifester mais sont rendus inaccessibles à la conscience
par l’action constante de mécanismes de refoulement. L’inconscient
freudien n’est en principe pas inaccessible à la conscience, grâce aux
méthodes psychanalytiques de levée du refoulement. L’inconscient
cognitif est une conséquence de la manière dont notre système per-
ceptivo-cognitif est constitué et nous est en principe inaccessible. Il
s’agit d’un inconscient structurel et non dynamique. La démarche
générale des sciences cognitives a pour présupposé fondamental la
possibilité d’une théorie matérialiste de l’esprit. Or, deux des carac-
téristiques essentielles de l’esprit sont la conscience et l’intentionna-
lité. Pour que la possibilité d’une théorie matérialiste de l’esprit soit
avérée, il faut donc que l’on puisse apporter des réponses convain-
cantes aux deux questions suivantes : Comment un système matériel
peut-il avoir des propriétés intentionnelles ? Comment un système
matériel peut-il être conscient ? Les philosophes de l’esprit ont beau-
coup travaillé sur ces questions au cours des trente dernières années.
“À défaut d’unanimité, constate Élisabeth Pacherie, l’opinion majo-
ritaire semble être qu’on a progressé relativement à la première ques-
tion et qu’il existe des pistes prometteuses pour la naturalisation de
l’intentionnalité. En revanche, en ce qui concerne la naturalisation de
la conscience, le pronostic est pour l’instant beaucoup plus réservé,
et la conscience phénoménale en particulier demeure un obstacle que
l’on ne voit pas encore comment surmonter.
Les philosophes de l’esprit sont aussi là pour réfréner les scientifiques
dans leur tendance à formaliser un peu hâtivement des relations de
cause à effet et pour leur rappeler l’existence du fossé explicatif :
quelle que soit la quantité d’informations nouvelles que nous décou-
vrirons sur la structure physique des neurones, sur les transformations
chimiques ou les activations de zones cérébrales qui se produisent
quand les neurones sont activés, etc., nous ne pourrons jamais expli-
quer pourquoi ces processus et changements physico-chimiques pro-
duisent tel comportement ou telle sensation subjective, ou pourquoi
ils produisent des sensations subjectives plutôt que rien.
Le caractère résolument pluridisciplinaire de cette école, qui cou-
vrait l’essentiel des disciplines impliquées dans les sciences cogni-
tives, a clairement contribué à structurer et renforcer une commu-
nauté scientifique interdisciplinaire dans le domaine des sciences
cognitives et à définir des orientations pour de futurs programmes
de recherche.
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congrès congrès
Écho des congrès
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