Partie B
1a) Comme le choix des membres est indépendant, la probabilité que, sur les n membres choisis, aucun
n’adhère à la section tennis est :
. Donc la probabilité qu’au moins
un membre adhère à la section tennis (l’événement contraire) est
. Remarque : on aurait pu
définir une variable aléatoire X associée au nombre de membres qui adhèrent à la section tennis sur les n
choisis, cette variable aléatoire suit alors la loi binomiale
. La probabilité cherchée est alors :
P(X 1) = 1 – P(X = 0) = 1 –
ce qui donne le même résultat.
b) Le tableur de la calculatrice, ou un algorithme (ou une résolution avec logarithmes...) donne n 13 .
2a) On assimile ce tirage simultané à un tirage successive sans remise.
On obtient l’arbre ci-contre. La probabilité d’avoir deux jetons gagnants est :
, celle de n’avoir qu’un jeton gagnant est :
et celle de n’avoir aucun jeton gagnant est :
.
b) E(X) =
. On peut espérer perdre un euro, en moyenne,
chaque fois que l’on joue à ce jeu (à condition d’y jouer un grand nombre de fois).
Ex 3 : Partie A
1) Initialisation : pour n = 0 on a bien > 1. Hérédité : on suppose que, pour un certain entier n,
1. On pose, pour x [1 ; +∞[,
telle que . On dérive :
0. Donc f est strictement croissante sur [1 ; +∞[ ce qui implique
que, pour tout x ]1 ; +∞[, f(x) f(1) =
= 1. En particulier, comme 1 on peut choisir x = et
1 cela prouve la propriété au rang n + 1. Conclusion : pour tout n , 1 .
2a)
.
b) On sait que 1, donc 0, 0 et 0. Par règle des signes,
0 et donc . La suite est strictement décroissante .
Partie B
2) Il semble que cette suite converge vers 1.
3a)
. Cela prouve que la suite est géométrique de raison q =
.
b)
et
.
4a) Si = 1 ;
= 1 ; cela impliquerait que – 1 = 1 ce qui est faux.
Donc, pour tout n , ≠ 1 .
b)
. On a bien, pour tout n ,
.
c) La suite est géométrique de raison q =
avec – 1 q 1, donc tend vers 0. Cela implique
que : a pour limite 1 .