Universidade em Debate
Éduquer à la Culture du Leadership et de la
Responsabilité dans un monde globalisé
Pr Mgr Guy-Réal Thivierge
Le Pr Mgr Guy-Réal Thivierge est licencié en philosophie et docteur en théologie (Rome). Il exerce
les fonctions de Directeur de Centre de Coordination de la Recherche et de Secrétaire Général de la
Fédération Internationale des Universités Catholiques.
Contact: gr.thivierge@bureau.fi uc.org
Article 2
ISSN 2318-700X
Licenciado sob uma Licença Creative Commons
DOI: 10.7213/univ.debate.02.001.AO02
Résumé
Prenant en compte les dé�is du monde actuel, société et Église, le présent article vise à montrer l’importance, pour
les universités catholiques, de former non seulement d’excellents professionnels aux plans scienti�ique et académi-
que, mais aussi des hommes et des femmes qui soient capables d’exercer un leadership responsable pour le monde
d’aujourd’hui et l’Église. Le leadership n’est pas qu’un ensemble de dispositions et capacités naturelles, il s’apprend
aussi, tout autant qu’il doit comporter des caractéristiques spéci�iques. Il relève d’une authentique culture, celle de
l’espérance et de la res-ponsabilité, au service de la transformation personnelle et du changement sociétal.
Mots-clés: Globalisation. Éducation. Leadership. Responsabilité.
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Introduction
Le diagnostic posé sur la situation de l’Église
catholique à travers le monde est sans fard.
Souvent sévère, diraient certains, s’il ne venait
de l’intérieur de l’institution. Le document de
travail préparatoire au Synode consacré à la nou-
velle évangélisation pour la transmission de la foi
chrétienne (Eterovic, 2012), qui coïncidera avec le
lancement de l’année de la foi et le début des com-
mémorations du cinquantième anniversaire du
Concile Vatican II, ne déroge pas à cette règle1.
De l’insuf�isance de la foi à l’éloignement des
�idèles, de la crédibilité des institutions ecclé-
siales aux spiritualités individualistes, le climat
dans lequel baigne l’Église, au Nord comme au
Sud, précisent les évêques, est longuement décrit.
La situation n’est pas nouvelle. Avant Benoît XVI,
Paul VI, dès 1975, et Jean-Paul II en 1983, notam-
ment, avaient pris acte des transformations cultu-
relles et sociales qui modi�ient profondément la
perception que l’homme a de soi et du monde, en-
traînant des conséquences sur la façon de croire
en Dieu, comme le souligne aussi le Pape actuel.
Dans la foulée du Concile Vatican II, ils ont tous
pointé la nécessité de relancer la mission évan-
gélisatrice de l’Eglise, notamment dans les pays
d’ancienne évangélisation.
Dans ce contexte, le mandat donné au Pape
François par les cardinaux électeurs en 2013 et ses
prises de positions depuis lors vont dans ce sens
et ne manquent pas de vigueur. Globalement, c’est
l’échec de l’Église, ressenti comme tel dans beau-
coup de milieux, à donner une réponse adéquate
et convaincante aux dé�is sociaux, économiques,
politiques et religieux du moment qui doivent être
aussi au cœur des ré�lexions des évêques, du cler-
gé, des universités catholiques, des communautés
chrétiennes. La nature de cette réponse n’est ni
purement scienti�ique ni technique, elle est d’un
autre ordre et réside dans un au-delà de tous les
progrès du monde nouveau: elle se nomme inquié-
tude dans l’acception philosophique du terme,
discernement, critique, recherche de cohérence,
de sens, quête de vérité, voire approximation à la
transcendance (Godelier, 2007, p.207).
C’est dans l’univers brièvement décrit ci-haut
que doivent cheminer aujourd’hui, professeurs
et étudiants, des universités catholiques. Elles
doivent être pleinement universités et pleine-
ment catholiques, servir à la fois la société et
l’Église, répondre aux aspirations et aux besoins
des hommes et des femmes de notre temps, tout
mettre en œuvre pour que leur offre éducative
soit à hauteur d’homme et à hauteur de Dieu.
C’est aussi dans ce contexte que les leaders sont
invités à exercer leurs responsabilités, un monde
caractérisé par des dé�is redoutables, dont il est
admis qu’ils sont plus complexes que ceux du pas-
sé. Une stratégie éducative doit être mise en place
pour une formation intégrale des étudiants, des
futurs responsables de demain, dont la vie doit
être porteuse de sens et d’espérance pour leurs
contemporains.
Le présent article ne prétend en rien répondre
à tous les dé�is actuels de nos sociétés et de l’Église.
Plus modestement, il se donne comme objectif de
ré�léchir sur une stratégie éducative qui va au-delà
de la poursuite, louable certes, d’un diplôme pour
ensuite obtenir un travail et une situation hono-
rable dans la vie. En effet, l’université catholique,
soucieuse de la qualité académique et profession-
nelle proposée à ses étudiants, visant par-là à les
former au double plan scienti�ique et technique,
n’a pourtant rempli qu’à-demi sa mission lors-
qu’elle les a couronnés de prestigieux diplômés.
En effet, elle doit aussi être soucieuse d’éduquer
des hommes et des femmes capables de s’investir
au service de leur milieu, de leur pays, de l’huma-
nité, en les incitant à devenir d’authentiques lea-
ders responsables, soucieux d’apporter leur contri-
bution personnelle à la construction d’un monde
plus juste, plus humain, un monde respectueux
de la dignité humaine, de tout homme et de tous
les hommes. Le chantier de l’éducation est grand
ouvert et l’université catholique, avec l’Église dans
son ensemble, y a toujours été présente à travers
ses institutions et ses projets. Aujourd’hui, il faut
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qu’imposent les médias, le cinéma, la musique, com-
ment éduquer, comment former? Dans un monde
le passé est obsolète, où le futur est incertain,
les cultures s’entrecroisent, la religion est sou-
vent perçue comme archaïque, ou même étrangère
à la nôtre, comment faire vivre l’identité de nos ins-
titutions, comment ouvrir le dialogue entre la foi et
la raison, foi et cultures, comment orienter tout à la
fois l’éducateur chrétien et les jeunes générations
qui lui sont con�iées et dont il a la haute responsa-
bilité? En réalité, quel est le portrait du nouvel étu-
diant que nous accueillons et quel est le pro�il du
nouveau professeur dont il a besoin?3 Et de quelle
autorité jouit celui ou celle qui doit transmettre le
message chrétien?
Les grandes découvertes d’hier et d’au-
jourd’hui, sans aucun doute celles aussi de de-
main, notamment dans les domaines des sciences
de l’homme, de la nature et des technologies, mé-
ritent toute notre admiration parce qu’elles ont en
principe pour �inalité de contribuer au mieux-être
des personnes et des collectivités. Certes, encore
que l’information et la connaissance qui fusent de
toutes parts aujourd’hui doivent aussi être évaluées,
elles appellent au discernement critique, fondé en
éthique, en mesure de con�irmer ou d’in�irmer leur
réelle valeur au regard de la dignité humaine et de
la liberté. À ce propos, un des dé�is incontournables
de l’éducation aujourd’hui, quels que soient ses des-
tinataires, jeunes et moins jeunes, est précisément
de former au discernement, à la recherche du sens,
de la sagesse, et à la découverte d’une espérance
qui éclaire la vie d’une lumière renouvelée pour qui
se veut à la fois un excellent professionnel dans son
domaine et un citoyen responsable des autres, de sa
société et de l’humanité, de l’inclusion, de la justice
et de la paix pour tous. Compétences et vocation au
leadership responsable sont indispensables. C’est
en priorité le sens de l’éducation chrétienne,
c’est aussi son principal dé�i au royaume de la per-
formance et de l’ef�icacité.
L’éducation et la formation professionnelle
comportent encore d’autres dé�is qu’il faut prendre
en compte: par exemple, une certaine globalisation
stimuler encore davantage cet engagement à tous
les niveaux et renouveler la tâche de tous ceux et
celles qui y sont engagés, dans la perspective d’un
renouveau de nos civilisations, aussi d’une nou-
velle évangélisation2.
Défi s de l’Éducation Supérieure Catholique
Les enjeux fondamentaux auxquels est confron-
aujourd’hui le monde de l’éducation dans son
ensemble sont en priorité liés, d’une manière ou
d’une autre, à des bouleversements touchant les
civilisations, aux nouveaux contextes culturels et
religieux dans lesquels vivent nos sociétés et dont
sont issus les professeurs et les étudiants que
nous accueillons dans les milieux de l’enseigne-
ment catholique. C’est aussi de qu’émergeront
les leaders responsables de demain.
Nous nous attarderons surtout aux étudiants.
Quel que soit leur âge, ils sont tous soumis à un
violent changement d’époque, à une nouvelle réali-
té qui affecte aussi leurs parents, leurs professeurs,
les institutions et leurs milieux de vie. La vision de
l’homme et du monde rattachée à un Dieu Créateur
de toutes choses s’est évanouie pour faire place, peu
à peu, à une excessive valorisation de l’autonomie
personnelle, une super-af�irmation du moi au détri-
ment du bien commun. La vérité est désormais celle
que je perçois. Les nouvelles technologies, au-delà
des bienfaits qui les accompagnent, ont boulever-
sé le rapport à l’autre aujourd’hui médiatisé par les
outils sophistiqués du nouveau monde des commu-
nications. Le temps et la distance se raccourcissent
jusqu’à ne plus exister, l’immédiateté imposant par-
tout ses règles, demain est déjà trop tard, demain
est déjà dépassé, et vive le moment présent dont il
faut pro�iter au maximum. D’où une conception de
la vie vécue au jour le jour, marquée par une culture
du consumérisme et du pragmatisme qui laisse peu
ou pas de place à la ré�lexion, à la recherche du vrai
et du bien, du sens et des valeurs qui l’enrichissent.
Dans un environnement violemment envahi par
le sensoriel, le sensationnalisme, les émotions
Les nouvelles technologies,
au-delà des bienfaits qui les
accompagnent, ont bou-
leversé le rapport à l’autre
aujourd’hui médiatisé par
les outils sophistiqués du
nouveau monde des com-
munications. Le temps et la
distance se raccourcissent
jusqu’à ne plus exister,
l’immédiateté imposant
partout ses règles, demain
est déjà trop tard, demain
est déjà dépassé, et vive
le moment présent dont il
faut profi ter au maximum.
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chez ceux et celles qui l’expérimente ce véritable
supplément d’âme qui dynamise le service profes-
sionnel et la présence au monde. C’est peut-être
le secret qui anime les leaders responsables, qui
savent mettre leur savoir et leurs compétences au
généreux service du plus grand nombre.
Globalisation et sens critique
Avant d’aborder le leadership responsable,
quelques rappels au sujet du phénomène de la
globalisation (parfois nommé mondialisation,
non sans une certaine ambiguïté) nous semblent
utiles (Congrégation pour l’Éducation Catholique,
Fédération Internationale des Universités Ca-
tholiques). Il s’agit d’un processus se noue un
ensemble de relations d’interdépendance dans
les domaines �inancier, économique, politique et
culturel, qui touche les personnes, les institutions,
les organisations et les pays au niveau mondial. Ce
processus engendre de nouvelles formes organi-
sationnelles et culturelles (Villagrassa, 2003; Bau-
man, 1999). Contrairement à ce que l’on perçoit
souvent, elle ne concerne pas exclusivement les
activités économiques et in�luence, à des degrés
divers, les pratiques culturelles de toutes les so-
ciétés humaine, l’âme des peuples, leur style de
pensée et de vie, ainsi que la psychologie des in-
dividus des groupes. C’est donc dire qu’elle affecte
tant positivement que négativement l’éducation
au sens général du terme, la didactique, la péda-
gogie et engendre de nouveaux rapports entre
tous les acteurs de l’enseignement et de l’appren-
tissage. L’inspiration philosophique et l’idéologie
sous-jacentes à la globalisation engendrent sou-
vent des problèmes éthiques concernant le res-
pect de la personne humaine, la société et les rap-
ports de l’homme avec son environnement naturel
(Bauman, 2000).
Il est donc bien nécessaire de bien cerner les
lumières et les ombres, les avantages, les ambiva-
lences et les risques d’un tel phénomène, sans ba-
nalisation ni accents apocalyptiques, et de cerner
porteuse d’une vision de l’éducation comme ser-
vante de l’économie, une utilisation des nouvelles
technologies à l’école et à l’université qui change
drastiquement les modes d’apprentissage et,
parfois, les déshumanise, une massi�ication de
l’éducation supérieure qui banalise la relation
maître-étudiant, un enseignement à distance par
écran interposé, et combien d’autres encore. Ces
dé�is mobilisent sérieusement les compétences, les
énergies et le temps des éducateurs et il faut les y
encourager (Feuer, 2002; Giovanni Paolo II, 2001).
Car ces mêmes dé�is appellent aussi à une autre ré-
�lexion, anthropologique et éthique, car ils plongent
leurs racines au cœur de la personne humaine, de
ses grandeurs et de ses attentes, et c’est à partir de
qu’elle doit être rejointe, écoutée et interpelée,
qu’elle doit découvrir sa vocation personnelle à être
plus, à être mieux. La science ne crée pas le sens de
la vie. Connaître est un processus et non un produit.
L’éducation doit mettre en route l’étudiant, aussi le
professeur, et la construction du savoir est toujours
nécessaire; néanmoins, plus que l’information et la
connaissance, la transformation personnelle est le
véritable résultat attendu. En ce sens, la motivation
n’est pas non plus une condition préalable, elle se
construit elle aussi, elle est un résultat.
Eduquer, c’est dialoguer toujours, c’est rencon-
trer. Si l’éducation et la formation en milieu de foi
chrétienne offrent cet espace de respect et d’ac-
cueil de l’autre, si elle baigne dans une culture de
l’espérance, le Dieu de l’amour, Jésus libérateur et
une Église de communion doivent y être présentés
comme fondement d’une pensée qui structure une
vision de l’homme et du monde, comme modèles de
croissance et de transformation. À ces conditions,
l’éducation catholique aura rempli son irrempla-
çable mission, au-delà des redoutables dé�is qu’elle
doit apprivoiser. Au cœur des bouleversements de
nos sociétés que nous sommes appelés à accueillir,
déchiffrer, aimer et évangéliser, l’éducation catho-
lique doit offrir une direction, elle doit contribuer à
la découverte du sens de l’existence et faire naître
de nouvelles espérances pour aujourd’hui et pour
demain. Cette découverte du sens de la vie devient
Eduquer, c’est dialoguer
toujours, c’est rencontrer. Si
l’éducation et la formation
en milieu de foi chrétienne
off rent cet espace de
respect et d’accueil de
l’autre, si elle baigne dans
une culture de l’espérance,
le Dieu de l’amour, Jésus
libérateur et une Église
de communion doivent
y être présentés comme
fondement d’une pensée
qui structure une vision
de l’homme et du monde,
comme modèles de crois-
sance et de transformation
Thivierge, G.R.
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Leadership responsable
Il y a quelques années, au cours de l’assemblée
générale d’une grande Fondation, alors qu’était
soulignée l’importance de préparer des leaders
qui sachent assumer la responsabilité de diriger
des compagnies, des entreprises, des institutions,
des administrations territoriales ou des pays,
furent proposées un ensemble de qualités que les
leaders d’aujourd’hui doivent posséder :
une bonne formation professionnelle et une
préparation adéquate qui répondent au be-
soin de guider et de motiver les personnes;
une vision de l’avenir rendue nécessaire par
la discontinuité avec le passé (avènement
d’une nouvelle civilisation);
une grande force et rapidité de réalisation,
imposées par la constante accélération des
phénomènes;
une perspective internationale, requise par
la nature même de la globalisation;
un solide sens éthique, compte tenu du
manque de règles et de références régissant
le monde globalisé.
Ré�léchissons maintenant, à la lumière de ces
considérations, sur la personnalité du leader et
ses caractéristiques.
Le leadership comme vocation
Le leadership consiste à trouver sa propre voie,
son rôle unique et irremplaçable dans le monde
et, riche de ce réel patrimoine, à aider les autres
à trouver eux aussi le chemin qui leur est propre.
Trouver sa voie n’équivaut pas seulement à décou-
vrir les aspirations profondes qui nous meuvent
de l’intérieur, c’est souvent aussi répondre à un
appel, à une vocation. Souvent le leader observe
dans son environnement une réalité, un problème,
que les autres ne voient pas et qui l’incite à agir,
les aspects culturels et éthiques qui le caracté-
risent. Cette démarche peut nous aider à dévelop-
per une démarche éducative susceptible de prépa-
rer les personnes à vivre de manière responsable et
constructive dans le nouveau monde globalisé.
Dans cette perspective, il est particulièrement
utile de nous arrêter davantage sur la signi�ication
multidimensionnelle de la globalisation. Le terme
peut lui-même comporter quatre sens apparentés
ou différents : l’acte de considérer comme un, uni-
taire, donc uni�ier, rendre global, ce qui est varié
et diversi�ié. Ceci peut répondre à l’exigence de
considérer une réalité donnée dans sa totalité, sa
globalité, et constitue aussi un critère scienti�ique
à cultiver; par exemple, l’approche holistique d’un
phénomène. Luniformisation des expressions, des
praxis, qui peut conduire à une sorte de confor-
misme délétère aux dépens de l’identité person-
nelle et culturelle. La totalisation invasive dans le
sens de l’appropriation de l’autre, d’autrui, qui de-
vient une forme d’impérialisme et de colonialisme,
et qui sont des formes d’égoïsme et d’injustice à
combattre. En�in, la diffusion planétaire, univer-
selle, de l’information et du patrimoine culturel,
fruit du progrès, et donc un engagement constant
des individus et des institutions, en vue d’une mise
à disposition et d’un enrichissement réciproque
qui soient source d’humanisation. C’est plus parti-
culièrement ce sens qui doit inspirer le monde de
l’éducation. La globalisation comme phénomène,
scénario culturel, est à considérer comme un pro-
cessus, un contexte, une conscience, une perception
et une vision.
À cet effet, ne faut-il pas mettre en place dans
nos institutions des projets, des dispositifs, de
formation au sens critique des personnes et
des groupes au regard de ce phénomène, de
faire émerger et grandir parmi nos personnels
des capacités d’orientation, d’interventions, qui
sauront insuffler une âme, un sens critique, au
regard des divers domaines aujourd’hui globa-
lisés de la vie culturelle, sociale et politique et
économique?
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