2 p 194 : QCM
a. En appliquant la définition algébrique de l'accélération :
b. Si le mouvement est uniforme la vitesse est constante (3)
Si le mouvement est accéléré de manière non-uniforme,
l'accélération n'est pas constante et donc la vitesse ne peut
être ni constante ni linéaire (1)
Si le mouvement est uniformément accéléré, l'accélération est
constante et donc par définition, la vitesse augmente de
manière linéaire (2)
c.
d. Il n'y a pas de condition
4 p 194 : Calculer et représenter la vitesse et l'accélération
a. Le mouvement étant rectiligne, on peut écrire :
b. Le vecteur accélération est identique et opposé au sens du
mouvement aux deux dates (le mouvement étant
uniformément décéléré). Le vecteur vitesse est d'autant plus
petit que le temps écoulé est grand. Il sera donc de norme
inférieure pour un temps postérieur, mais en étant toujours de
sens identique à celui du mouvement.
9 p 195 : Étudier la force électrique et l'accélération
a. PA : l'électron D : horizontale
S : de B vers A
fe=∣q∣U
d=1,6×10−19×400
0,10 =6,4×10−16 N
b. On applique la deuxième loi de Newton à l'électron :
∑⃗
F=d⃗p
dt =m⃗
a soit ⃗
a=⃗
fe
m
PA : l'électron D : horizontale
S : de B vers A
c. On peut remarquer en passant
que les valeurs de la force et de
l'accélération ne dépendent pas
de la position de l'électron entre
les deux plaques chargées.
10 p195 : Réaliser et exploiter un graphique
La fonction v = f(t) est une fonction linéaire, la vitesse
augmente donc de manière linéaire au cours du temps,
l'accélération est constante et le mouvement est donc
uniformément accéléré.
16 p 198 : Étude cinématique du démarrage d'une voiture
a.
b. phase 1 :
c. Par définition, l'accélération est la dérivée de la vitesse par
rapport au temps, l'accélération correspond donc au
coefficient directeur de la portion de droite située entre 0 et
4s : a = 2,0 m.s-2. L'accélération étant constante, le mouvement
est uniformément accéléré.
d. Dans la troisième partie le coefficient directeur de la droite
est nul. La vitesse est constante, l'accélération est nulle. Le
mouvement est uniforme.
e. En traçant la dérivée de la vitesse par rapport au temps en
fonction du temps (a = f(t)) on peut sur cette courbe effectuer
une lecture graphique de l'accélération, on obtient a(7) = 0,57
m.s-2.
17 p 198 : Galilée à Pise
a. On fait un bilan des forces appliquées à la bille :
Système : bille
Référentiel : terrestre supposé galiléen
Inventaire des forces : - le poids
de la bille
La chute étant considérée comme libre, le poids est donc la
seule force dont on va tenir compte dans l'étude.
On applique la 2ème loi de Newton à la bille :
En ne tenant compte que l'axe vertical orienté vers le bas, on
peut retrouver l'abscisse de la bille par primitivation
(opération inverse de la dérivation).
a(x) = g
v(x) = gt + v0
La bille étant lâchée sans vitesse initiale, on a v0 = 0. La bille
étant lâchée à l'origine, on a x0 = 0. Donc :
h=1
2g t² et donc t=
√
2h
g=
√
2×54
9,8 =3,3 s
c. v = gt = 9,81 x 3,3 = 32 m.s-1
- PHYSIQUE CHIMIE TS – ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE -
Chapitre 9
Chapitre 9
Connaissance du cours Exploitation de documents Exercices de synthèse
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Exos corrigés
Exos corrigés
t (s)
123456
v (m/s)
0
0,05
0,1
0,15
0,2
0,25
0,3
v = f(t)
t (s)
2 4 6 8 10 12
v (m/s)
2
4
6
8
10
12
v = f(t)