Efficacité des
interactions
multicanales
Maximiser la valeur des activités
commerciales et marketing par un
mix canal optimal
Le ralentissement de l’économie
mondiale incite les économistes à
maintenir sur les cinq prochaines
années des prévisions de croissance
relativement faibles dans les
pays développés. Parallèlement,
les marchés émergents ne sont
plus en mesure de conserver
leur développement rapide de la
précédente décennie.
Les chiffres récents ne sont pas
encourageants. Sur les trois dernières
années, seulement un dixième des
entreprises référencées par l’indice
S&P Global 1200 a vu son revenu
progresser plus rapidement que la
croissance économique de sa région.
Dans les économies développées le
taux de croissance est moitié moins
élevé qu’il y a cinq ans et dans les
marchés émergents les prévisions
sont constamment revues à la baisse.
Cette conjoncture déprimée rend le
climat des affaires morose. Difficile
pour les dirigeants de compter à court
ou moyen terme sur un vent favorable
pour franchir un nouveau palier
de croissance.
Malgré tout, les investisseurs
continuent à espérer de solides
résultats. Pour preuve, notre
analyse de l’indice S&P Global 1200
révèle d’ambitieuses prévisions de
valorisation des entreprises. Sur la
base du cours actuel de leurs actions,
elles devront trouver chaque année
5,000 milliards de dollars de revenus
supplémentaires pour être en ligne
avec les prévisions des analystes.
Relever ce défi suppose que les
dirigeants d’entreprise mettent en
œuvre des solutions favorisant leur
expansion dans une conjoncture où
le taux de croissance moyen demeure
très faible depuis la crise de 2008.
À la recherche de nouveaux leviers
de développement sur des marchés
très concurrentiels, les entreprises
performantes devront augmenter
ou, a minima, maintenir leurs parts
de marché. Mais aussi et surtout
valoriser les opportunités offertes
par l’évolution des attentes de leurs
clients en optimisant leurs activités
commerciales et marketing.
Dans un contexte de multiplication
des canaux d’interactions avec leurs
clients, les entreprises qui veulent
croître doivent être en mesure
d’évaluer l’efficacité de chaque canal
et d’en définir le mix optimal pour
chaque segment client.
2
3
Le casse-tête des
investissements
multicanaux
Les investissements des entreprises
dans les ventes et le marketing
représentent une part significative
de leurs dépenses. De plus, ces
investissements progressent sur les
nouveaux canaux: digitaux, réseaux
sociaux et mobiles. Rien que sur le
marketing digital, les entreprises de
biens de consommation augmentent
annuellement de 22% leurs dépenses.
Mais dans un environnement
incertain, la multiplication des
canaux d’interactions avec les
clients ne garantit pas le succès ou
la performance. Les dirigeants sont
incités à réduire leurs investissements
ou à mieux les rentabiliser. Ils veulent
aussi minimiser les effets de la crise
économique en mobilisant davantage
les consommateurs et en adoptant
une démarche d’ouverture vers
le client.
Figure 1: Dépenses digitales (en millions de dollars) engagées dans le secteur des biens
de consommation
4
Optimisation du référencement (SEO)
2009 2010 2011 2012 2013 2014
147 182 222 268 324 393
Email
2009 2010 2011 2012 2013 2014
10 12 14 16 19 23
Tous les chiffres sont donnés en US$
(les chiffres ont été arrondis)
Source: Forrester Inc.
Marketing Mobile
Médias sociaux
2009 2010 2011 2012 2013 2014
107 146 195 269 372 520
2014
73
2012
57
2011
47
2010
37
2013
66
2009
25
5
1 / 16 100%
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