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Psychologie sociale de la communication
Laurent Licata : [email protected]
Considération générale
 Examen :
qcm uniquement cette année
 Matière :
notes de cours + transparents sur l’uv (assez complet)
Utiliser le forum pour poser des questions
 Site du cours :
www.psycho-psysoc.site.ulb.ac.be
 Textes :
coopérative : complémentaire, en plus, complète les exposé ,pfs ac un peu plus de
matière pr mieux préparer l’examen. Pas de question sur des parties de matière pas du
tt vue en cours et qui se trouve ds les textes.
 Présence au cours :
non obligatoire mais encouragée
 Type de communication :
Types de communication souhaitée : prof étudiants, étudiantprof
Types de communications à éviter : étudiantsétudiants, étudiantstierce personne
Matière
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Introduction: communication et psychologie sociale
Communication verbale
Communication non-verbale
L’espace
Le Modèle systémique
L’identité, perspective inter-individuelle
L’identité, perspective sociale
Communication, mémoire et cognition
La communication interculturelle
Les Rumeurs
Représentations sociales en période de crise
1. Introduction : communication et psychologie sociale
Nous allons développer les liens entre les 2
Communication
Il s’agit d’un thème extrêmement large pas seulement abordé par psy soc. Thème
transversal dans les sciences humaines: linguistique, sociologie, anthropologie,
philosophie, sciences de la communication. Il y a moyen de faire bcp de choses autour de
la communication
Ici on se focalise sur une approche du point de vue de la psy soc… Mais quasi tt la psy
soc est une psy soc de la communication (gens svt en relation ac d’autres) La
communication est au centre de la psychologie sociale
On va aussi faire référence a d’autre disciplines mais tjs en lien ac la psy soc,
La psy soc permet de comprendre certaines chose ds la communication qu’on ne voyais
pas ac d’autres approches, elle permet d’enrichir la connaissance des processus de
communication
Qu’est ce que la communication ?
Elle suppose l’idée d’échange, il s’agit de qqch qui circule, on échange des chose : des
mots, des signes.
L ‘objet de l’échange est intéressant, on échange pas n’importe quoi. On échange des
signes (verbaux, non verbaux : est-ce qu’on peu les comparer les utiliser de manière
interchangeable ?). Les signes composent un message.  On échange des messages.
Le message peut partir d’un émetteur vers qqn d’autre que l’on peut qualifier de
récepteur.
Les signes peuvent être verbaux ou non. Ex.: Policier qui règle la circulation : le signe fait
partie d’un code qu’on est censé partagé et dc peut être interprété. Le policier utilise un
code ou langage, un répertoire de signes partagé ac d’autre.
Si une personne a un répertoire qu’elle ne partage ac personne, on se trouve plus ds la
psychose que ds la communication.
Le langage est un répertoire de signe partagé ac d’autres.
La communication est un terme plus large que l’interaction, cette dernière signifie qu’on
s’engage volontairement dans un échange. La personne qui marche ds la rue par ex
transmet une info, communique une info ds sa démarche sans le vouloir et on peut
l’interpréter et en tenir compte si on va interagir ac elle.  Vous voyez quelqu’un de
dos: communication (vêtements, posture, démarche, etc.) sans interaction
La communication peut être unilatérale : le récepteur est passif (cf mass média : ils
s‘adresse a un certain nombre de gens sans que ceux-ci ne leur répondent.
D’autres communications sont bilatérales (cf communication interindividuelle).
Les modèles linéaires
Modèle de Harold Lasswell (1948):
C’est un politologue, il s’intéressait surtt aux élection américaine, il en a fait une analyse
en 1948. Il s’intéresse à la communication de masse, à l’effet de la presse sur les
électeurs. Il se focalise sur les effets de la communication, sur l’influence politique des
médias sur les électeurs.
On retient son fameux modèles en 5 question :
 Qui communique ?
 Communique quoi? quel type de msg
 De quelle manière ? quelle est la forme du msg, quel support ?
 A qui ? à qui s’adresse le msg ?
 Ac quel effet ? A l’issu de la communication quel est l’effet du msg sur le
récepteur ?
Ces questions donnent des champs d’investigations pour le chercheur
Voici des exemples de rép aux questions :
 Journaliste (quel journal, quel position…)
 Contenu de l’article
 Forme de l’article (apparente, littéraire, les mots employés  analyse de contenu
pr mettre en évidence les caractéristiques du msg)
 Lecteur (qu’est ce qu’on sait du lectorat de ce journal, comment va-t-elle être
traitée)
 Comportement (cmt les msg va influencer le comportement  voter pr tel ou tel
candidat)  lien entre attitude et comp : attention les gens ne se comporte pas
uniquement en fct de leurs attitudes
C’est un modèle assez ancien mais qui reste utile. Qd on est face à un exemple de
communication, il n’est pas inutile de se poser ces questions, ca ouvre la porte d’une
pragmatique de langage, de communication.
La théorie mathématique du transfert de l’info de Claude Shannon et Warren
Weaver (1948)
Shannon est ingénieur et mathématicien ds la compagnie de téléphone Bell. Dans le
cadre de son contrat, son rôle était de développer un modele du transfert de l’info qui
permette d’optimiser techniquement le transfert de l’info sur les lignes afin d’avoir le
minimum de perte.
Il collabore ac Weaver qui est un sociologue. Ce dernier va moins s’intéresser à l’aspect
technique et va tenter d’en tirer un modèle générale de la communication humaine. Il va
faire une lecture psychosociologique des travaux de Shannon. Il a une influence dans les
sc humaines.
Il s’agit du modèle le plus classique de l’info
On part d’une source. Cette source émet, propose un msg. Ce msg est transféré vers un
émetteur. Cet émetteur va transformer le msg initial en signaux. Ces signaux vont être
transporté par un canal qui va les amené vers un récepteur qui va lui même les
transformer en un msg qui va arriver vers un destinataire.
Ils vont s’intéresser à ce qu’il se passe lors du transport des signaux. Tt modèle du
transfert de l’info doit tenir compte que lors du transport ds les canaux, il va y avoir des
bruit, des interférence qui vont venir altéré la qualité de la transmission des signaux.
Suite à ces altérations, le msg d’origine n’est pas strictement le même au niveau du
destinataire que celui envoyé par la source. Le msg est altéré.
Shannon applique ca au départ a la situation du téléphone seulement.
Par ex : on appelle notre maman nous sommes la source , le fil est le canal, le récepteur
est le téléphone, et le destinataire est notre maman.
Ce qu’entend notre maman au bout du fil n’est pas exactement la même voix ac les même
intonation que celle de départ. Le but de Shannon était de réduire les bruist au max pr
être sur que le msg qui arrive au destinataire soit le plus conforme a celui produit par la
source
Weaver propose une généralisation
Le cerveau de la personne est la source et l’émetteur est le système vocal, l’air est le
transfert des signaux (vibration de l’air). Les vibrations arrive ds l’oreille du destinataire
et les transforme en msg compréhensible par le cerveau du destinataire.
Il y a évidemment aussi des interférences.
On peut donc appliquer ce modèle au communication humaine et comprendre les
malentendu dans les relation interpersonnelles.
La réduction de l’incertitude :
Il font une formalisation en équation de ces communication de manière a pv par des
calcul trouver des formules qui minimise l’altération et maximise le transfert de l’info.
Attention, ils s‘agit d’un modèle du transfert de l’info et pas un modèle qui a pr ambition
d’expliquer le sens des msg (signification). Tout ce qui intéresse Shannon est de savoir
comment l’info est transmise ds le tel et non pas cmt elle est interprétée ( information
est différent de signification)
L’info ds ce modèle a un sens particulier : ils s‘agit d’une opportunité de réduire
l’incertitude. On a un certain nbr événement possible et on connaît la proba
d’occurrence de chacun de ces événements. (Cf jeux de carte de 52 carte : la proba de
tirer une carte particulière 1/52. Une info est un événement qui donne plus de certitude
sur la carte qui va sortir après). Grace à l’info on va aller vers plus de certitude
concernant l’événement qui va avoir lieu. Ce n’est pas juste de l‘info comme ca.
« Les aspects sémantiques de la communication sont non pertinents pour les aspects
techniques »
Shannon se réfère à la notion d’entropie (thermodynamique). Certains dise que c’est une
utilisation métaphorique d’autre dise que c’est la vrai utilisation. Il s’agit d’un processus
qui fait qu’on passe d’une situation ou la matière est organisée à une situation ou la
matière est chaotique. En terme d’info c’est un processus qui fait qu’on passe d’une
situation ou il y a une certaine prédictibilité car les choses sont ordonnées, organisées à
une situation de hasard, de chaos. La quantité d’information contenue dans un message
correspond à sa capacité à combattre l’entropie, remettre de la prédicibilité dans le
chaos. On a un certain nbr événement dt on connaît la proba et l’info va donner un peu
plus d’ordre ds les événements, on combat l’enthropie on va vers qqch de moisn
aléatoire.
Moins un message est prédictible, plus il contient de l’information
Ex :
Vous téléphonez de l’étranger, en réponse à un message de votre petite ami(e), qui a eu
vent du fait que vous êtes parti(e) en vacances avec un(e) de vos collègues
Son message est le suivant : « Appelle-moi et dis-moi ‘Oui, c’est vrai’ ou ‘Non, c’est faux’ et
rien de plus »
Cette simple réponse va permettre de réduire son incertitude de 50%
= BIT (binary digit ( le système informatique est aussi binaire)): communication qui peut
couper l’entropie en deux, il s’agit de l’unité d’information qui fait réduire l’incertitude
par la moitié de sa valeur, c’est l’info qui coupe l’entropie en 2.
Au début de la conversation, vous avouez éprouver des sentiments amoureux pour
quelqu’un d’autre. Votre (ex) petite amie voudrait savoir laquelle, parmi vos 16
collègues, fait l’objet de votre affection
–Ex: Est-ce qu’elle fait partie des professeurs ou des assistantes?
–Vous: Assistantes [16/2 = 8]
–Ex: Travaille-t-elle au 9ème étage ou au 10ème?
–Vous: Au 9ème [8/2 = 4]
–Ex: En psychologie clinique ou en psychologie du travail?
–Vous: clinique [4/2 = 2]
–Ex: La rousse ou la blonde?
–Vous: La blonde [plus aucune incertitude]
Avec 4 BIT d’info on a pu transformer une situation d’incertitude en certitude totale.
Le bruit
Le bruit, c’est ce qui diminue l’efficacité de l‘info, il s’agit de l’ennemi de l’info, le
contraire de l’info. C‘est l’entropie qui revient ds la communication qui revient mettre
du désordre. Il s’agit de tout ce qui s’ajoute au signal et qui n’était pas voulu par la
source.
Si on a un canal qui transporte de l’info ms aussi des interférences pr connaître la
capacité du canal il faut additionner les 2  Capacité du canal = information + bruit.
Pr savoir la quantité info : capacité du canal moins le bruit.
Ex:
Vous n’avez que trois minutes pour téléphoner; la ligne est mauvaise + jalousie de votre
ex (déforme tt ce qu’on lui dit)  perte d’info
Comment lutter contre le bruit pr que le msg arrive comme on le veut ?
Une des solution de Shannon est la redondance : il faut ajouter de l’info pas strictement
nécessaire a la compréhension du msg ms qui permet de s’assurer que le msg arrive a
notre destinataire comme on le voudrait
Exemple (Lohisse, 2001)
 Bruit: « Jeun fil$e bie* so%s +out ra?port désirùrai+ ren£ontrer en vu. d-un
év@tuel mariµge un jeun =omme de pré*érence coth°lique ay+nt une sit**tion
stab$e »
 « Jeune fille bien sous tout rapport désirerait rencontrer en vue d’un éventuel
mariage un jeune homme de préférence catholique ayant une situation stable »
Malgré qu’il y ai de l’interférence (certains signes ont disparu), on a été capable de
reconstituer le msg tel qu’il a été émi par la source. Selon Shannon c’est grâce à la
redondance. Pour le mot jeune si on a les 4 premières lettres on sait que c’est le mot
jeune : le e n’est pas nécessaire à la compréhension du msg. Les mots du langage humain
contiennent déjà un certain niveau de redondance.
 « j.f.b.s.t rapp. dés. conn. j.h. préf. cath. sit. stab »
 Bruit: «j.f.b.*.£.6. dés. conn. $. %.préf. coth. sit. stib »
Si les msg sont trop réduit et qu’il y a du bruit (2ème ligne) le msg devient illisible. Il faut
dc trouver un compromis entre l’économie d’information (prix du msg) et la redondance
(Ex: fichiers mp3)
 Moins il y a de redondance, plus le bruit risque d’altérer le message
Il existe des formules pour mesurer l’information et la redondance (pas vue à ce cours)
Critique de ce modèle de Shannon
Il s’agit du modèle le plus critiqué.
Il fut critiqué car utiliser en sc humaine comme modèle de communication générale or
c’est un moyen très réducteur d’envisager la communication humaine. En effet, on laisse
de coté la signification du msg. Or, on doit s’intéresser à la manière dt l’info est pensé, le
sens de l’info, la source, l’interprétation par le destinataire (feed-back)
Ce modèle est aussi critiqué pr sa linéarité. En effet, cela va de la source vers le
destinataire mais rien n’est prévu ds l’autre sens. On pourrait dire qu’il suffit de
retourner le modèle pr avoir un modèle circulaire mais ce n’est pas satisfaisant pr
l’étude de la communication entre être humain.
Question de l’incertitude : Cherche-t-on vraiment à réduire l’incertitude dans la
communication humaine? si on est ingénieur des téléphones, on veut réduire incertitude
mais dans la communication humaine on ne veut pas tjs réduire l’incertitude, on joue pfs
ac et elle peut mieux remplir nos objectif de transmission. LA communication gagane
pfs à être équivoque.
 Ex: Carte de fête des mères d’un patient schizophrène « Pour quelqu’un qui a été
comme une mère pour moi »
Ce msg est relativement ambigu car il la reconnait comme sa mère mais ne la voit pas tt
a fait comme telle  incertitude dans le sens du msg.
Extrait de film « La vie est belle » (Roberto Benigni, 1997): l’arrivée au camp (1h00)
Au delà de la polémique, ce film se base sur l’utilisation de la communication à certaines
fins.
Il s’agit de juifs italien (monsieur et son fils) déporté ds un camp de la mort. Tt au long
du film le père protège son fils en disant qu’il participe à un jeu. Il utilise la
communication pr rép au besoin de l’enft au prise ac un réalité problématique.
Il peut y avoir des chose extrêmement riche et complexe ds une situation de
communication. Le père fait écran entre réalité et son fils en créant représentation de la
situation qui fait que son fils interprète la situation moins gravement qu’elle n’est. Il
utilise la fois ou il est traducteur pr inventer la situation de jeu , il ne traduit pas ce que
l’allemand dit.
Une approche psychosociologiquede la communication
«La psychologie sociale est la tentative scientifique de comprendre et d’expliquer
comment les pensées, sentiments et comportements des individus sont influencés par la
présence réelle, imaginée, ou implicite d’autres êtres humains » (Allport, 1954)
La psy soc c’est la sc de l’influence en prenant ce mot dans son sens le plus large. C’est
être influencé par autrui par sa présence réelle mais aussi par la manière dt on se
représente les autres.
Quasiment tt les situation soc sont sous tendues par des processus de communications
qu’il s’agissent d’individu ou de normes soc (transmise par processus de
communication)
Les motivations sociales de base (Susan Fiske, social beings ;2004)
Appartenir
Motivations cognitives
Motivations affectives
Comprendre
Se valoriser
Contrôler
Faire confiance
Elle structure son exposé a travers les 5 motivation de base. Il s’agit des 5 motivations
sociales à la base de toute la psychologie sociale. Ces motivations facilitent la vie en
groupe et augmentent les chances de survie.
Il s’agit d’une grille de lecture de base pour les différentes parties du cours.
Ce sont des motivations ressentie par les individus mais qui on aussi des bénéfices pr le
grp. Le fait que les individu ressente ces motivations et veuille les satisfaire va faciliter la
vie en grp en la rendant plus harmonieuse  facilite la survie ds ce grp. Une stratégie de
survie est de s’allier aux autres de nôtres espèces. Un être humain seul n’a pas de chance
de survivre. Le fait de ressentir ces motivation sociale est hérité et actualisé a chaque
génération et permet de vivre en grp et de mieux faire face aux situation de la vie.
Les motivation d’appartenir à un grp sont les suivantes : être accepté par les autres, lien
affectifs, solidarité
Les 4 autres motivations sont ds deux gd catégorie comprise dans la catégorie générale
d’appartenir :
Motivations Cognitives : comprendre et contrôler
Motivations Affectives : se valoriser et faire confiance
Il s’agit de motivation soc : ce qui lie les besoins individuels ac les besoins groupals
Appartenir :
Les gens ont besoin de relations fortes et stables avec les autres. Dans des situations ac
des personnes inconnues, en qlq jours des liens peuvent se former entre personnes. Les
gens ont tendance à faire du lien, à s’unir.
Ex.: Des familles de vétérans américains de la seconde guerre mondiale avaient été
logées au hasard sur des campus universitaires. Une étude (Festinger et al., 1950) a
montré que les gens ont rapidement noué des amitiés avec quiconque vivait à proximité.
 Très vite des liens forts se sont développés, des amitiés qui peuvent durer.
Il y a une lien entre la qualité des relations sociales et du bien-être subjectif (Baumeister,
1991) Si on a bcp et de bonne relation soc, on ressent un bien être plus important
Durkheim a fait des travaux sur le suicide, il a montré qu’il y a plus de suicide qd les
individus sont seul que ds les situations ou il sont fortement lié les un ac les autres.
Ce besoin d’appartenance facilite la vie en grp. Il permet son fct. Si ce besoin existe, la
coopération est facilité, le grp est dc plus efficace, survit et se maintient plus lgt car il
obtient plus de succès ds les situation rencontrée (cf Entreprises: stratégies afin de
faciliter l’esprit d’équipe  Loyauté). La motivation d ‘appartenance aide les individus a
survivre physiquement et psychologiquement. Si il y a de la solidarité, les individus ont
moins de chance de mourir de faim, de se faire tuer. De plus, cette solidarité promu le
bien être.
Cette appartenance sous tend les 4 autres motivation de bases. Elles dérivent de cette
capacité à faire du lien.
Comprendre :
Il s’agit d’une motivation cognitive fondamental : donner du sens a ce qu’on rencontre,
interpréter les situation, comprendre son environnement. Ca donne l’impression que si
on comprend, on va pv prédire ce qu’il va se passer ( est ce qu’on peut faire confiance a
cette personne…). On peut aussi donner du sens à ce qui se passe.
Il est important depouvoir maitriser ce qui se passe.
Les gens préfère se référer a des signification qui sont partagée ac d’autres. On aime
comprendre les choses de la même façon que les autres qui appartiennent au grp. On va
partager les mêmes langages, les mêmes concepts et la même compréhension avec notre
groupe.
Cela ns permet de faire face à l’incertitude :
« L’expérience de l’anxiété accroît de manière considérable le besoin des hommes de se
retrouver en compagnie de leurs semblables » (Schachter, 1959)
Le fait de chercher le contact ac les autres, de se rassembler, d’être d’autant plus motivé
à appartenir a un groupe est du à l’exp de peur.
Expériences de Schachter et hypothèse (1959):
qd les opinion, croyance et attitudes sont ébranlé, on recherche le contact ac autrui. Il a
une vision particulière : selon lui, la motivation a chercher le contact n’est pas
seulement une motivation en terme de chaleur humaine mais aussi en vue de donner du
sens. On va vers autrui pr avoir des info de sa part.  Les situations difficiles à
interpréter font naître le besoin de rechercher des informations auprès d’autrui. A
travers se contact on devrai satisfaire ce besoin d’info (l’affiliation à autrui doit satisfaire
ce besoin).
•Expérience 1: des jeunes filles doivent participer à une « Expérience sur la résistance
humaine aux chocs électriques »
(appareils)
•Variable dépendante: attendre seule ou avec d’autres
Exp 1 : il recrute des étudiantes et il les convoque pr participer à une expérience sur la
capacité humaine a résister au choc électrique. Il modère le sentiment d’anxiété : il émet
2 conditions :
–Condition « Faible anxiété »: consigne peu alarmiste, environnement physique banal
(les choc sont très faibles et la salle d’attente ne contient rien de menaçant)
–Condition « Forte anxiété »: consigne alarmiste et environnement physique inquiétant
(les choc font très mal et il y a des appareils menaçant dans la salle d’attente)  il induit
ainsi plus ou moins d’anxiété selon la condition
On laisse aux participantes, le choix d’attendre seule ou ac d’autres personnes (VD). Il
s’attend a observer plus de choix d’attendre ac d’autre ds la condition forte anxiété.
 Les résultat confirme ses hypothèses.
Attente seule
Faible anxiété
Forte anxiété
67 %
33 %
Attente
d’autres
avec
33 %
63 %
Qd il y a anxiété il y a recherche de contact soc. Mais on est po encore sur qu’il a vérifier
les autres hypothèse car ca pourrait chercher le contact juste pr rép a un besoin affectif,
de chaleur humaine mais la personne ne recherche p-e po de l’info
Exp 2 :
Il s’agit de la même exp mais il n’y a que la condition anxiété :ici on va manipuler la
disponibilité ou non de l’info. Soit les participants vont attendre ac d’autre personne qui
participe a la meme exp (qui possède dc de l’info pertinente) ou avec des personne qui
attende pr un autre rendez vs. Si les étudiants recherches de l’informations, ils vont
choisir d’attendre avec les personnes qui participe a la même exp sinon leur choix serait
aléatoire.
 On obtient une confirmation des résultats : choix des personnes ayant des info
pertinentes.
Demande d’affiliation
Autres sujets expérimentaux
Sujets attendant un rendezvous
60 %
0%
–Besoin d’interactions avec des personnes se trouvant dans la même situation 
susceptibles de fournir de l’information
Ts les événement significatifs suscite une activité interprétative, ils demandent à être
compris. Qd il y a une situation dangereuse, anxiogène, on cherche tjs a comprendre.
Cf vita e bella : le père propose une grille de lecture qui permet au fils d’interpréter la
situation comme non menaçante.
Les théorie explicatives mise en place pr rép au situation anxiogène sont partagée et
entrainent des représentation social (partage social de ces théories)(Moscovici, 1951).
Ces représentation peuvent affecter les prises de décision, même les prises de décision
collective, en groupe. Cela s’observe ds l’échange d’info ds un groupe : on passe son
temps à répéter ce que tout le monde sait déjà plutôt que d’échanger les infos nouvelles.
Exemple: Étude de Larson et al. (1998) :
Des étudiants en médecine regardent chacun une vidéo d’un patient décrivant différents
symptômes sur la maladie dont il souffre. Dans cette vidéo, il y a de l’info qui se trouve
aussi dans la vidéo des autres participant par contre chacun reçoit un certain nbr d’info
que les autres ne sauront pas et qu’il sera donc le seul à connaître. Ils doivent mettre
ensemble les info pr avoir le diagnostic le plus précis : le bon sens voudrait qu’on donne
les info que les autres n’ont pas afin d’améliorer le diagnostique.
Il y a donc :
 Infos partagées: apparaissent dans toutes les versions de la vidéo
 Infos non partagées: infos vues par une seule personne
 Discussion de groupe  diagnostic
•Quelles infos sont communiquées?
•Quand? Fréquence et moment d’apparition
Résultat :
Les info partagée sont d’avantage communiqué que celle non partagée. Les étudiants
répètent ce que tt le monde sait déjà, il se rassurent chacun alors qu’il devrai venir ac
qqch de nv. Les info partagées vienne plus vite que les info non partagée. Tout ca à des
fonctions.
Les gens ds les grp passe leur temps à répété des chose qu’il savent que les autres
savent. Ca permet de faire un bon groupe, tout le monde partage la même chose. Les
motivation soc peuvent dc les induire en erreur mais ca a une fct imp de permettre
d’exister entre grp.
 Comprendre, les représentation soc permettent de s’adapter même si parfois ca peut
ns induire en erreur. Partager des représentation soc permettent au grp de fonctionner.
Ca permet de prendre des décisions même si elle sont mauvaise.
Même des représentations erronées permettent de coordonner les membres du groupe
Ex.: Les membres d’une secte (Festinger, Riecken & Schachter, 1956) ont suivi les
instructions d’extraterrestres – relayées par deux gourous. Persuadés d’un déluge
imminent, ils se réunirent, recrutèrent de nouveaux adeptes, et planifièrent leur sauvetage
par les extraterrestres. Ils se débarrassèrent de tous leurs objets métalliques (dangereux
pour la soucoupe volante) et rompirent tous leurs liens sociaux.
« Je vais devoir partir loin. Je me suis débarrassé de tout. J’ai coupé tous les liens, j’ai brûlé
tous les ponts. Je quitte ce monde… »
La croyance en une représentation partagée est une prophétie. Cela correspond à un
engagement vis-à-vis du groupe
Ces ‘compréhensions partagées’ s’élaborent à travers la communication. On partage de
l’info mais aussi la signification de celle-ci ( dimension symbolique)
La question que Festinger se pose est : qu’est-ce qui se passe qd la prophétie a échoué ?
Que font les membres de la secte ?
Le fait de partager un certain nbr de représentation du réel permet qd même de
coordonner le grp même si elle son acabradabrante.
Ce qui se passe après que la prophétie aie échoué dépend du niveau d’implication des
membres. Un échec renforce la prophétie pr ceux qui sont fortement impliqué ds le grp
Ceux qui étai moins attaché , vont se dissocier de la croyance.
Contrôler :
Il s’agit d’une motivation cognitive
Il s’agit du sentiment que l’on peut contrôler ce qui ns arrive. Il s’agit de mettre en lien
ce que les gens font et ce qu’ils obtienne. Il y a une contingence entre le comportement et
les résultats. Il y a tjs un lien entre nos acte et les conséquence. Tout cela est lié au
sentiment de compétence, de maitrise, d’efficacité.
Si on se sent inefficace on va se sentir incompétent. Ces sentiments ont des
conséquences sur la santé, le bonheur, la longévité. Les personne a qui on retire tt le
contrôle vive moins lgt.
Impuissance apprise (Seligman, 1992):
On a appris qu’on ne peut pas contrôler tt ce qui ns arrive.
Ex : on mettait des chiens ds une pt cage qui recevait des décharge électrique. Certain
pouvait sortir de la cage lors de la décharge, d’autre recevait une décharge aléatoire quoi
qu’il fasse. Les chien ds ce deuxième grp, des qu’ils avait appris que leur comportement
n’avait aucun effet , se laissait aller et n’essayaient plus de s’enfuir (idem chez humain 
conséq bénigne sur la santé mentale)
l’absence de contrôle entraine dépression et apathie
Cf ds la vita e bella : Jeu inventé par le père Guido pour donne a son fils Josué le
sentiment que la situation est maitrisable
Cf enquête sur des fonctionnaire britannique (Stansfeld et al., 1998): les gens tentent tjs
de rétablir le contrôle s’il sente qu’il le perdent. Il y a un apport entre leurs efforts et les
récompenses au travail. Si déséquilibre  manque de contrôle  santé physique et
mentale basses
On peut déléguer le contrôle social à d’autre.
La psycho de l’influence est la psycho de ceux qui laisse aux autres le contrôle des choix.
On délègue le choix a qqn d’autre. (si on se laisse influencer par la propagande….)
Ex.: Se laisser influencer par d’autres pour choisir sa spécialisation en Master
On peut aussi faire l’inverse et contrôler le choix des autres. On veut obtenir ce qu’on
recherche a travers le comportement des autres (publicitaire…)
On peut aussi déléguer le contrôle à son groupe d’appartenance ( grp ami, religieux,
idéologique, ONG….).
Il peut y avoir des différence ds la tendance a faire confiance aux autre selon qu’on soit
ds une culture collectiviste ou individualiste.
Ex : Communication persuasive, propagande, etc.
Se valoriser
Il s’agit d’une motivation affective : il s’agit de se motiver à maintenir ou augmenter
l’estime de soi a travers le contact ac les autres. On aime se sentir bon et aimable et que
cela soit reconnu par les autres. Les individus préférent les échange ac des individus qui
les percoivent favorablement.
Ex.: « On va gagner le char d’assaut » (film)
En quoi l’estime de soi élevée sert au grp ? Quel est l’apport de l’estime de soi au groupe?
Une faible estime de soit est lié a des comportements et a des état psychochologiques
qui font que les individus vont moins participer aux intérêts du grp et ces
comportements interférent même ac les objectif du grps. Une faible estime de sois
entraine des comportements facilitant l’exclusion.Par exemple, on peut pfs même
observer des comportements d’autodestruction qui mette le grp en péril.
Une haute estime de soi assure la pérénité du grp car la personne a des comportements
facilitant l’inclusion. Cette haute estime de soit facilite des relation positives, la
collaboration ce qui permet la cohésion du groupe.
On peut se valoriser en tant qu’individu unique et ainsi faire valoir son amour propre.
On apprécie d’être bien vu par les autres.
On peut vouloir aussi une estime de soi positive au sein du grp : on veut être reconnu
par les autres, on apprécie son rôle ds le grp, on aime être intégrée, être un bon membre
du grp. Tout cela permet de développer l’identité sociale. Ette identité sociale est dérivé
de l’estime de soi collective qui dérive elle-même de l’appartenance sociale à un grp (grp
social prestigieux ou au contraire stigmatisé)
Ex : patriotisme
 On communique donc aussi pr atteindre ces objectifs différents objectifs précités
Faire confiance
Il s’agit de la motivation à se faire confiance. Il s’agit d’une motivation un peu plus
originale (les autres motivations sont habituelles). Mais selon le professeur, la confiance
est une motivation de base.
Les gens ne sont pas seukement motivé a faire des liens sociaux, ils chercheraient des
relations de confiance ac les autres. On a un besoin fondamentale de percevoir notre
environnement comme « étant fondamentalement bien veillant et nn menaçant. Cela
dépasse le fait de simplement aimer les autres, c’est être motivé a avoir une
représentation du monde où il fait bon vivre sans danger constant. Cette motivation
mène donc à valoriser les autres (on ne se valorise pas que soit même). Il y a qqch qui ns
pousse à aller vers les autres de manière à établir de la confiance. Faire confiance c’est
donner un crédit à des personnes même si on ne les connaît pas encore bien –>on va
penser qu’elles ne vont pas ns nuire.
La confiance suppose « la foi ou le crédit accordé à quelqu’un d’autre – duquel on peut
éventuellement dépendre – dans le fait que ses actions n’auront pas de conséquence
négative pour nous » (Boon, 1995)
Cf film la vita e bella : le père dit a son fils qu’il peut avoir confiance car les autres ne sont
pas méchant.
Faire confiance met en jeu la vulnérabilité propre et celle des autres. La confiance
permet de lutter contre un sentiment de vulnérabilité mais on laisse au gens un certain
nbr de liberté qui pourrait ns nuire. C’est en se mettant en danger par rapport aux autre
que ceux-ci von pouvoir ns protéger. Cette motivation à se faire confiance est basé sur
un sentiment de vulnérabilité réciproque. Si on est vulnérable on a besoin des autre, on
leur fait dc confiance et on se met dc en danger.
La confiance est une réponse à la vulnérabilité, mais elle rend vulnérable
vulnérabilité réciproque
En général, on tend à faire confiance aux autres. Si on n’a pas élévé la méfiance des gens
ils vont plus facilement nous faire confiance quant à remettre cette confiance en cause
par la suite.
La confiance est un bénéfice pr individu qui se sent par conséquent plus en sécurité ainsi
que pr le grp : le grp humain peut survivre si il y a de la coopération et de la solidarité
ces dernières étant facilitée par la confiance. La confiance facilite donc la cohésion du
group (attachement et interdépendance). Grâce à la confiance, les gens peuvent compter
sur autrui pour partager l’information et les ressources, ainsi que pour éviter les
difficultés
Si on brise la confiance, que celle-ci est mise à mal, les gens vont essayer de la rétablir.
Ils vont investir de l’énergie pr rétablir une relation où la confiance règne. Si la relation
est très conflictuelle entre les membre d’un grp, on essaye, avant d’amener les gens à se
réconcilier, de ramener un niveau de confiance minimal pr que les gens puisse vivre cote
à cote sans s’entretuer.
Ex: Truth and Reconciliation Commission (Afrique du Sud); juridictions Gacaca : procès
où il ya des punitions mais où on tente aussi de rétablir la confiance entre les
gens(Rwanda), etc.
La motivation à percevoir le monde comme juste et bon se manifeste dans ‘belief in a
just world’ (Lerner) : les gens essayent de maintenir une représentation du monde juste.
Ceux qui font le mal reçoivent des châtiment et ceux qui font le bien sont
récompensés  il veulent un équilibre.
Cette motivtion à maintenir une représnetation juste du monde se répercute ds des
jugements pfs injuste. On perçoit svt les victimes d’injutice comme responsables de ce
qu’elles ont subit même s’il s’agit d’une situation qui ne permet pas de conclure cela.
Cf. les femme qui se sont fait violée elle l’on cherchée.
Si les gens se font agressé sans avoir rien fait de mal c’est que le monde est injuste et on
ne peut donc pas avoir confiance en les autres  les grp humain n’exsiterai plus .
On préfère dc avoir des jugements injuste pr avoir un représentation juste du monde.
Les gens sont sensible à la rupture de confiance. Il est facile de rompre la confiance mais
pas de la récupérer.
Communication et motivations sociales
 5 motivations de base
Il s’agit d’une grille de lecture pour une approche psychosociologique des phénomènes
de communication.
2. La communication verbale
On va parler de certains aspects de cette communication.
Verbal/Vocal
Il ne faut pas confondre la communication verbale ac la communication vocale.
On parle de communication verbale des que ce qui est équivalent à des mots est utilisé
ds la communication (parole, écriture, certains geste qd il réfère a des signifié
particuliers cf malentendant, sourds).
Qd on parle de « vocal » cela fait référence à tt ce que produit la voix et dc on parle de
plus de chose que seulement la parole. La communication vocale comprenr à la fois la
communication verbale et la communication non verbale (tonalité de la voix, débit de la
parole, intonation, pt bruit, cri, soupir, rire…).
Message
Vocal
Non vocal
Verbal
Paroles
Mots écrits, certains gestes
Non verbal
Intonation, débit, …
Mouvements,
faciale, …
expression
Le langage
Le langage se différencie du domaine du monde empirique, réel concret ds le sen où il
fait partir du monde symbolique, représenté. Il s’agit d’un monde représenté par un
système de signes de symbole.
Le référent est l’objet du monde empirique que l’on peut représenter symboliquement
(ce qui représente le référent est le mot correspondant, le signe linguistique variable
selon le langage utilisé)
L’enjeu pr certaine sc humaine est de comprendre la relation entre le langage et le
monde empirique.
Système de symbole
Le terme symbole au sens large est tt ce qui prend la place de qqch et le représente. On
en parle ds le langage pr prendre la place d’un référent pr se le représenter
psychologiquement. Certains symboles sont des images (signe visuel de nature non
verbal). L’image est un signe analogue au référent mais ce n’est pas le référent.
cf Magritte : signe qui représente un référent c’est pq ce n’est pas ce référent.
La représentation a un lien ac le référent et n’est pas totalement arbitraire.
Les signes verbaux quant à eux ont une relation arbitraire ac le référent. Il n’y a pas de
ressemblance entre le signe verbale pr se référer à un objet réel et l’objet réel. Il s’agit de
conventions.
Ce type de réflexion sur ces liens entre référent et symbole est l’objet de la sémiologie.
La sémiologie est la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale" (de
Saussure, 1916).
Langue :
Il s’agit d’un système de symbole particulier. La langue correspond à des phonèmes
(sons) qui sont assemblés en morphème. Les morphèmes sont assemblage de phonème.
Le morphèmes sont les plus pt unité porteuse de sens. Il s’agit de mots ou de syllabes
(préfixes, suffixes, désinences. . .).
Les langues sont régies pr des systèmes de règles. Il existe des règles pr former des
mots. La grammaire régit la formation des phrases : cmt on arrange les mots pr donner
un sens ? Les règles sont explicites ou implicites selon que ce soit une langue où la
grammaire a été mise en place par des grammérien ou non. Qd les règles sont implictes
il s’agit svt des langues orales. Ces règles sont paratagée par un grp donné qui considère
que cette langue est la leur. Les gens de se grp obéissent aux même règles
grammaticales.
Les signes et le sens
Ex.: film « La vie de Brian », chap 19.
Un signe peut être n’importe quoi du moment que c’est qqch que l’on peut percevoir. Un
signe peut être un mot, une image, un son, une odeur, un goût, un acte ou un objet.
Il n’y a pas de lien naturel entre le référent et le signe verbal mais il s’agit d’un lien
arbitraire établi au sein d’un grp culturel donné partageant le même système de signes
verbaux.
Un signe devient un signe des le moment où on lui donne un sens ou on se met d’accord
pr lui donner un sens.
« Rien n’est un signe s’il n’est pas interprété comme un signe » (Peirce, 1931)
Le signe doit faire l’objet d’une convention pr être utilisé ds le langage commun.
Ex : « Vie de Brian » des Monty Python: c’est un film loufoque ac un homme Brian qui vit
en même temps que Jésus Christ et on va le prendre pr le christ ( le signe laissé par Bian
est différent selon l’interprétation)
Le signe existe a partir du moment où il y a une activité interprétative. Ds l’extrait les
gens cherchent à faire du sens, ce sont des surinterprétateur qui veulent donner un sens
à tt.
Modèle dyadique du signe
Le modèle dyadique du signe est une manière de théoriser le lien entre le signe et son
sens. Il a été établi par Ferdinand de Saussure. Il parle de sa théorie structuraliste du
signe dans son « Cours de linguistique générale » en 1916. Cette théorie va donner lieu
au structuralisme.
Le signe est le rapport entre le signifié et signifiant. Un signifié est lié a un signifiant et le
signifiant évoque tjs le signifié.
Le signifié évoque le contenu du signe, le concept.
Le signifiant est l’association d’image acoustique qui forme le coté, la dimension matériel
du signe. La matérialité du signe est le signe tel qu’il est prononcé.
Même un mot écrit renvoie à une prononciation de ce mot écrit et dc renvoi au corps.Le
signifiant et le signifié sont inséparable comme les deux face d’une feuille de papier.
La signification est le rapport entre le signifiant et le signifié. C’est en faisant ce rapport
qu’on donne du sens au signe et il faut que qqn le fasse. Si personne ne le fait le signe
n’existe pas. (Levi-Strauss, Barthes, Lacan, etc.)
Un signe a tjs un signifiant et un signifié.
Un signifié différent donne naissance à un signe différent (ex « open » en informatique =
ouvrir un fichier). Si le signifiant est différent le signe est aussi différent (plusieurs
manières de signifier « ouvrir » : ex : pointillés = « ouvrir »)
Exemple :
Lien entre signes :
Les signes qui constitue un langage ont des lien entre eux selon de Saussure et ces lien
peuvent avoir lieu au plan du signifié et au plan du signifiant (jeu de mots).
Le signe existe uniquement qd qqch au plan du signifié est mis en rapport ac qqch de
matériel au plan du signifiant. Les deux plans peuvent exister sans qu’il y ait de rapport.
 A = plan du signifié
–Contenu
 B = plan du signifiant
–Expression
 Pointillés: relations entre les deux plans formant des signes
On peut jouer sur le signifié :
Ex: ‘Enseignement’
–Lien au plan du signifié: ‘apprentissage’, ‘éducation’ …
Mais on peu aussi faire des lien au plan du signifiant en travaillant sur la fin du mots, les
mots sont associé car ils se ressemblent du point de vue de leur matérialité.
–Lien au plan du signifiant: ‘Alignement’, ‘saignement’ …
Les poètes travaille sur les deux lien à la fois, ils travaillent sur l’intercation signifiantsignifié afin d’émerger qqch de beau, de spécial. Ex : Rimes, allitérations*, etc.
Le modèle de de Saussure à ses limites et ses caractéristqiues particulière. Cet homme
est un linguiste qui ne s’intéresse qu’au système de signe, qu’a la langue et qui ne
s’intéresse pas à l’utilisation de la langue. Il ne théorise dc pas le langage (langue
+parole).
Saussure s’intéresse au langage en enlevant tt la pragamatiqueen enlevant tt son
utilisation. Il s’intéresse donc à la langue (langage – parole).
« l'ensemble des habitudes linguistiques qui permettent à un sujet de comprendre et de se
faire comprendre » (1916)
Il s’intéresse aux habitudes linguistique. Il ne s’intéresse pas aux objets communicants, il
exclutl’intervention des sujets communicants. Sa linguistique est purement
psychologique.
Le monde réel est aussi exclu. Le référent n’est pas dans le modèle. Le signifié est la
représentation mentale de l’objet et non pas l’objet. C’est un signe immatériel qui n’a pas
d’encrage ds le réel. Tt dépend dc des relations entre signe et non pas du lien entre signe
et référent (le réel).
Modèle triadique du signe.
A la même époque ds le monde anglosaxon Charles Sanders Peirce propose un modèle
ressemblant à celui de de Saussure. Il présente 3 constituants d’un signe :
 le représentamen : la forme du signe ( // au signifiant)
L’interprétant : idée que l’on assosie au représentatment (// au signifié). Il s’agit du sens
donné au signe.Il ne s’intéresse pas qu’au premier niveau du lien entre signifiant et
signié. L’interprétant est de nv un signe ds la tête de l’interpréteur. La représentation de
la pomme va être un signe à un autre niveau aussi. Cela mène à des interprétations et
réinterprétation à l’infini.  Variations sur les niveaux de signes.
–« La signification d’une représentation ne peut être qu’une représentation elle-même »
(Peirce)
 L’objet : il fait partie intégrante du signe comme référent en tant qu’objet existant
réellement. Il s’gait de l’objet auquel le signe se réfère.
Il parle de semiosis pr l’activité de mise en lien entre les 3 constituants. Sa sémiologie est
plus ancrée ds le réel que celle de de Saussure.
Le triangle sémiotique (1923)
Ogden et Richard parle du triangle sémiotique qui est dérivé du modèle triadique.
Le lien qui unit le symbole et le référent existe mais il est en pointillé pr montrer qu’il
n’est pas directe il ne peut exister s’il n’y a pas d’interprétation de mise en lien par qqn.
Il faut qu’il y ai une pensée pr faire exister le signe. L’interprétation est dc très
importante, le sens d’un signe en émerge. Le signe nécessite un proccesus actif
d’attribution de sens.
Cette pensée donne lieu à une école plus pragamatique.
Nature du lien signifiant-signifié
Qd on est ds le verbal le lien entre signifiant-signifié est arbitraire. Mais ce n’est pas le
cas pr tous le signes.
 Pour de Saussure :
Le lien est arbitraite,il vient de la convention sociale.
 Pour Pierce :
Il essaye de dégager différents types de lien et esssaye de dégager une typologie. Dans sa
typologie du type de liens il propose 59049 types de signes.
D’autres auteurs vont réduire la complexiété de Pierce dt Chandler.
Chandler résume en 3 catégories en fonction du degré d’arbitraire :
 Lien purement symbolique : il s’agit de convention, d’un lien purement
conventionnel. cf certain panneau routier.
 Lien iconique : le signifiant ressemble ou imite le signifié. Par ex : la peinture
imite le réel mais il n’y a pas de lien directe entre les 2 : seulement une
ressemblance. (cf onomatopée)
 Lien indexique : le signifiant est directement lié au signifié, il ne lui ressemble p-e
pas direcetment mais il indique directement le signifié (cf pas ds le sable, ils
représente les empreintes réelles du pied; fumée : on peut en déduire qu’il y a du
feu ; photgraphie : la personne est vrmt devant la pellicule; les symptôme
médicaux  mais quant est-il des symptômes hystérique ? signe symbolique)
En parlant d’ « index »
Signification et interprétation
La signification est une relation que nous établissons nous-mêmes entreun symbole et
un référent
Qd on parle, on transmet de l’info mais on manie aussi des symbole de manière a faire
naitre ds l’esprit de qqn d’autre les représentations qu’on aimerait que la personne voit
qd on parle. On utilise donc des mots pour évoquer des représentations chez les autres,
avec plus ou moins de succès.
Je sais que vous croyez comprendre ce que vous pensez que j’ai dit, mais je ne suis pas
certain que vous vous rendiez compte que ce que vous avez entendu n’est pas ce que j’ai
voulu dire (Myers & Myers)
L’activité d’interprétation est faillible. Le sens n’est pas fixé, on peut tjs renégocier le lien
entre un symbole et un référent.
Les niveaux de significations.(Barthes)
 Sens dénotatif : il s’agit de la signification objective (consensuelle) d’un terme.
C’est le sens attribué à un mot par les membres d’un même groupe, d’une m^me
communauté culturelle. Cf définition du dictionnaire (elles sont relativement
stables). Ce sens est le premier lien entre signifié-signifiant que l’on peut établir,
le premier qui vien à l’esprit. Il s’agit de la signification de premier ordre.
 Sens connotatif : il s’agit de la signification de deuxième ordre. C’est la
signification émotionnelle ou idéologique s’ajoutant à la signification de base d’un
terme.
Dénotation
Signifiant
Signifié
Signe
Connotation
Signifiant
Signifié
Signe
Selon Pierce  interprétation de l’infini
Exemple :
 Le mot « mort » a une différente signification selon la personne.
-Pour un médecin: « le cerveau a cessé de fonctionner »
-Pour une mère en deuil: tristesse, injustice, maladie, famille, etc.
 Injures ou mots doux: expriment les sentiments du locuteur plutôt que le sens
dénotatif
–« Tu n’es qu’un porc! »
–« Tu es belle à croquer »
 Voir Laurence Rosier « Le lexique clandestin »
Le signifiant peut indiquer une connotation (Façon dt on écrit un mots (forme))
Niveaux d’abstraction
Il arrive que l’utilisation de mots soit pfs très concrete et dans d’autres cas pfs très
abstraite.
Pour se référer au même référent on peut utiliser du vocabulaire très abstrait ou
concret. Plus le terme est abstrait plus les associations, connoation sont nombreuses et
plus l’interprétation est ambigue. On travail sur le niveau d’abstraction du jugement
d’autrui.
Exemples :
 Divertissement – film – film américain – film américain récent – Le pirate des
Caraïbes : Abstarit  concret
 Vignette ou qqn frappe qqn d’autre : ca peut être décrit de différentes manières :
- Eric frappe Gérard : c’est très concert ou
-Eric est violent avec Gérard : c’est plus abstrait,
-Eric est agressif avec Gérard : là c’est une inférence
Les stéréotypes sont des abstractions focalisées sur des membres de grps particuliers. Il
y a un lien entre le niveau d’abstraction qu’on utilise et ce qu’on fait passer sur les
membres d’un grp.
Langage et pensée
Selon Edward Sapir (1951) et Benjamin Whorf ((1956) le langage n’est pas simplement
un ensemble de symboles qu’on peut manier à sa guise pr transmettre de l’info. Il ne
sous sert pas seulement à parler du monde. Le langage détermine ce qu’on peut penser
et ne pas penser. Il détermine ce que ns cherchons à voir (il cache une partie de la
réalité : on voit ce qui est pensé déjà ds notre grp social). Le langage influence notre
manière de penser les choses que ns percevons.
En fct des langues que l’on parle, on découpe le réel de manière différente.  variabilité
du découpage du réel par les langues.
En fonction de la langue qu’on parle, on se représente le monde de manière
radicalement différente.
–« Le fait est que la "réalité" est, dans une grande mesure, inconsciemment construite à
partir des habitudes langagières du groupe. Deux langues ne sont jamais suffisamment
semblables pour être considérées comme représentant la même réalité sociale. Les mondes
où vivent des sociétés différentes sont des mondes distincts, pas simplement le même
monde avec d'autres étiquettes. » (Détrie, Siblot, Vérine 2001, p. 138)
C’est une hypothèse très forte qui suppose donc un lien entre le type de pensée et le
type de langue
L’apprentissage de la langue impose une certaine façon de voir le monde.
Les mots attirent notre attention sur certains aspects de la réalité et détournent notre
attention d’autres aspects
Exemples:
 Les aborigènes australiens distinguent plusieurs essences d’arbres, mais n’ont
pas d’équivalent pour le mot ‘arbre’
 Les Hanunoos des Philippines ont 92 mots pour nommer le riz
 Les Kwakiults (USA): rapporter un événement (chute d’un rocher).
 Expression différente selon que le rocher est visible à la personne qui parle, à
celle qui écoute, ou à une tierce personne
 Représentations du temps  métaphores spatiales (Boroditsky, 2001) : qd on
parle du temps, on a recours a des métaphore spatiale : le tps qu’il ya devant ns,
derrière ns.
Métaphore spatiale horizontales en occidents : anglais, français (before, behind, ahead,
en avance, temps reculés, etc.)
Métaphores spatiales verticales en mandarin (au-dessus = avant; en-dessous = après)
Les Chinois ‘voient’ le temps différemment des Européens
Les gens qui parle du temps écoulé ac des geste, ils utilisent des gestes différents selon la
langue.
Il y a autant de vision du monde que de langues différentes. Si on a appris une langue,
on ne peut pas penser selon la langue de qqn d’autre.
« L'hypothèse énonce que le langage n'est pas seulement la capacité d'exprimer oralement
des idées, mais est ce qui permet la formation même de ces idées. Quelqu'un ne peut penser
en-dehors des limites de sa propre langue. Le résultat de cette analyse est qu'il y a autant
de visions du monde qu’il y a de langues différentes. »
Cette hypothèse a été largement critiquée mais on en garde une partie de
l’enseignement.
Critiques :
 On peut oublier un mot sans oublier le concept
 On peut oublier la signification d’un mot sans oublier le mot
 On peut apprendre des concepts qui n’existent pas dans sa langue. Ex: Les Dani
(Nouvelle Guinée) ont facilement appris les couleurs anglaises, alors qu’il ne
possédaient que deux mots désignant des couleurs (Rosch, 1975)
 La pensée opère également en fonction d’images et de relations entre elles
(Paivio, 1986)
 La communication interculturelle n’est pas impossible
 Le lien entre la langue et la pensée n’est pas si univoque.
On peut oublier un mots sans oubleir le concept, on peu oubleir la signification d’une
mots sans l’oublier
La traduction littérale ne permet pas de s’adapter  il faut aller plus loin
Langue et genre
L’emploi du masculin comme forme générique et neutre entraînerait l’exclusion et la
dépréciation des femmes (Yaguello, 1987 «Les mots et les femmes»). En effet, on utilise
le pronom ILS s’il y a au moins un homme.
En anglais, ‘he’ est considéré comme épicène (forme neutre désignant aussi bien les
hommes et les femmes)
Les femme ne sont activée ds les représentation mentale que si on veut vrtm y faire
référence.
Cf Études: on demande aux sujets de lire des textes utilisant un pronom Neutre (they);
Masculin (he); ou Féminin (she). Puis ils devaiuent écrire une histoire ou choisir un
dessin représentant le personnage. Les résultats montrent que l’épicène n’est pas
neutre, il évoque des personnages masculins
Il y a un emploi générique de ‘Homme’ (Droits de l’Homme, homme des cavernes)
–‘Homme’désigne l’être humain adulte de sexe masculin
Langage et catégorisation
Le simple fait de nommer, de réunir des référents différents sous la même appellation
attire notre attention sur le fait que tt les objet réunis sous le mot partagent des choses
en commun et on oublie les différences entre ces objets.
Ex : chien
Il y a des catégorisations sociales et des stéréotypes.
Ex: Pensez à la personnalité d’un conducteur de BMW et à celle d’un conducteur de Fiat
Punto
Il y a donc des associations suite à l’utilisation de mots.
Polarisation
Le langage masque les nuances.
Ex: Trouver le contraire de heureux, riche, vie, santé, poli, généreux
 Termes intermédiaires?
Il ya très peut de mots pr désigner ce qui se trouve entre des extrêmes. On fonctionne
par catégories svt dichotomiques. On a bcp de mots pr désigner les extrêmes mais pas
bcp pour désigner des choses nuancé. Par conséquent, on décrit le monde en terme
dualiste. C’est l’un ou l’autre.
–« Tous ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi »
–Motivation à comprendre sans fournir d’effort
–Nous vivons dans un monde ‘polarisé’ depuis 11/09 2001 Orient – Occident; Monde
musulman - Monde chrétien …
Pq polarise-t-on ? :
Car on a besoin de comprendre et on a dc besoin de représentation clair et simple et ces
catégories servent justement à ca.
La manière dt on utilise le langage n’est pas neutre et peut asseoir des différenciation
qui ne sont pas tjrs bonne.
Langage et relation interpersonnelles.
Comment parvenir à communiquer verbalement de manière fructueuse ?
Faut-il utiliser des msg directe ou indirecte ?
Ex. 1:
1.« Je m’ennuie tellement! Je n’ai rien à faire ce soir »
2.« J’ai envie d’aller au cinéma. As-tu envie de venir avec moi? »
Ex. 2:
1.« As-tu envie de manger des pizzas ce soir? »
2.« J’ai envie de manger des pizzas ce soir. Et toi? »
 1.1 et 2.1: indirect. L’émetteur veut amener le récepteur à faire quelque chose sans
s’engager lui-même
 1.2 et 2.2: direct. L’émetteur exprime clairement ses préférences
Messages indirects
Les msg indirects ont qlq avantages :
 il permettent d’exprimer un désir sans heurter l’autre.
Ex:
« Il se fait tard, je dois me lever tôt demain » plutôt que « J’en ai marre, je me casse »
« Non merci, je viens tout juste de manger » plutôt que « Je déteste le carpaccio de
langue d’agneau »
 Ca permette de suciter un compliment de manière discrète.
Ex:
« Je viens d’avoir 40 ans, ça ne me rajeunit pas »
« Mais tu ne les fais pas! »
Ces msg présentent aussi des inconvénients :
 ils peuvent susciter des malentendus, conflits
Ex :
Stéphanie: « Tu ne voudrais pas que mes parents viennent souper ce soir? »
Mathieu: « J’avais vraiment envie d’aller faire une balade et de me reposer »
Stéphanie: « Eh bien, vas donc te promener. Je préparerai le souper toute seule »
 Mathieu est pris au piège
Soit il va se promener, et il se sentira coupable de laisser Stéphanie travailler seule
Soit il y renonce, et il aura le sentiment d’avoir été manipulé par Stéphanie
Il y a donc un rapport perdant – gagnant  ressentiment, compétition, conflit dans la
relation.
Messages directs
Ex :
Stéphanie: « J’aimerais bien inviter mes parents à souper ce soir. Qu’en penses-tu? »
Mathieu: « Hum, moi je préférerais plutôt faire une balade et me reposer ensuite … »
 Ils sont sur un pied d’égalité et peuvent tenter de concilier leurs projets.
Msg indirects et genre :
 Stéréotypes
Les femmes emploieraient plus souvent un style indirect pour formuler des demandes
ou donner des ordres  forme d’impuissance
Ex :
«Ce serait bien que ces lettres soient envoyées aujourd’hui»
«Envoyez ces lettres avant 15 heures»
 Cette idée est à nuancer (Tannen, 1994) :
Il ne s’agirait pas d’une marque d’impuissance: « Le pouvoir, c’est la capacité de choisir
son propre style de communication »
Les hommes adoptent le style indirect dans d’autres situations: quand ils n’ont pas le
pouvoir Ex : pour dire des choses allant à l’encontre du stéréotype masculin : comme
exprimer des sentiments.
Msg indirects et culture
Les cultures occidentales ont tendance à valoriser le style direct
Dans ces cultures, il faut exprimer clairement ce que l’on ressent, ce que l’on désire
D’autres cultures valorisent le style indirect où les gens se font comprendre de manière
détournée (culture extrême orientale car on pense a l’harmonie du grp et dc pn veut pas
heurté de front qqn)
 Importance accordée à l’harmonie des relations à l’intérieur du groupe
 Ex: Japon (Tannen, 1994)
Omoiyari: ≈ empathie. Les auditeurs doivent comprendre le locuteur sans qu’il s’exprime
de manière explicite
Sassuru: les auditeurs doivent anticiper ce que le locuteur veut dire, le déduire de
certains signaux subtils
 Ne pas perdre la face et ne pas faire perdre la face à l’autre (voir cours sur la
communication interculturelle)
3. La communication non verbale
Plus de 60% des échanges seraient non verbaux (Burgoon et al, 1989). La majorité des
événements de communicatyion sont non verbaux
Les moyens non verbaux seraient plus riches en significations (Argyle, 1975) : il
permettent d’évoquer des choses plus riches, plus profonde, ils permettent d’avantage
d’interprétation.
Fonctions différenciées :
–Langage verbal: transmission de l’information et des connaissances – communication
digitale (info codée qui correspondent à un et un seul sens ms ce n’est pas tt à fait vrai)
–Langage non verbal: exprime le relationnel – communication analogique (exprime des
émotions…)
C’est sans doute moins simple que ca.
Le « langage du corps » = langage non verbal.
Le fait que le langage non verbal soit considéré comme un langage tout comme le
langage verbal a provoqué bcp de polémique. Certains auteurs ont étudié la CNV comme
un langage. D’autres ont critiqué cette position: ce ne serait pas un langage autonome
c’est qqch de différent.
Les canaux de la communication non verbale.
Comment s’exprime la communication non verbale (ces moyens constituent les
différents domaines d’études)
1. L’apparence corporelle
2. Les gestes
3. Le visage
4. Le regard
5. Le toucher
6. Le paralangage
7. Les silences
1. Apparence corporelle
« Seuls les gens superficiels ne se fient pas aux apparences » (Oscar Wilde)
C’est le contriare de ce qu’on pourrai penser actuellement
Taille :
 Les personnes plus grandes ont plus de chances d’être élues président* (cf débat
Bush et Kerry : Bush avait pris une petite estrade pr ps que la différence de taille
puisse influencer quiconque).
 Les grands gagnent en moyenne un meilleur salaire et trouvent plus facilement
de l’emploi (DeVito et al., 2001)
 Hauteur (taille ou position debout) = est associé à, elle symbolise la domination :
les gens qui dominent se mettent tjs plus haut que les autres ( estrade…)
Stéréotypes liés à l’apparence du corps
 La beauté est associé à l’idée de compétence sociale : les personne qui dispose
d’un physique attrayant sont plus sociable, plus capable d’entretenir des
relations. Les ‘belles’ personnes obtiennent de meilleures notes scolaires, sont
valorisées socialement, etc.
 Le physique athlétique renvoit au trait de caractère suivant: énergique, dominant,
joyeux, déterminé, sociable…
 L’obésité semble être la cause d’un certain manque de contrôle de soi (comme
par ex les pulsion de nourriture) (Joffe, 2005; Crandall, 1994) :en occident on est
poussé a devoir se maitriser. Dc les personne obèse sont handicapé par rapport a
cette perception ( on leur refuse des emploi car elles ne savent pas se maitriser).
Ds d’autres cultures l’obésité est liée à d’autres traits de caractère.
 En fonction du visage, on peut déduire les compétences de personnes
 La couleur de la peau indique l’origine ethnique
Les postures :
Certaines postures sont reconnues par la plupart des gens.
Rosenberg et Langer (1965) demandent d’évaluer une série de postures sur plusieurs
dimensions (sentiment exprimé, stabilité, orientation dans l’espace, etc.)
Il y a un haut degré d’accord entre les participants sur le type d’émotion exprimé par les
posturse. La manière dt on se tient transmet une info.
Les postures sont donc une gamme de signaux valides et partagés.
Les aspects étudiés ds les postures :
–Inclinaison: avant, arrière, sur le côté
–Position des bras: ouverts, croisés, sur les hanches
–Position de la tête: baissée, relevée, inclinée
–Position des jambes: étirées, ouvertes, croisées
Posture général
Une position détendue exprime une relation de domination
Bras et jambes asymétriques; corps penché de côté ou vers l’arrière; mains
détendues
Une position tendue exprime une relation de soumission
Corps droit, pieds ensemble posés par terre, bras près du corps
Corps incliné vers l’avant et bras et jambes ouverts exprime de l’attrait
Relaxation totale  manque de respect, mépris
Relaxation modérée  sympathie
Attention, intérêt
Inclinaison vers l’avant, jambes ramenées vers l’arrière
Ennui
Jambes étirées, tête penchée ou supportée par une main
2. Les gestes et les mouvements
Il existe 5 grandes catégories (Knapp et Hall, 1996) :
1. Gestes emblématiques : il s’agit des gestes qui symbolise autres chose : ce sont les
geste qui se rapproche le plus de la communication verable.
Ce sonrt des gestes directement traduisibles en mots (symboliques). Ce sont dc des
conventions sociales. Ils sont utilisés consciemment et délibérément a l’égard des
personnes qui partagent le meme code culturel.
Attention aux malentendus culturels : ce sont les codes qui s’y prete le plus : la
signification d’un geste est différente selon la culture.
2. Les gestes illustratifs : il s’agit des gestes qui renforcent les messages verbaux qu’ils
accompagnent.
Ex: tourner la tête de droite à gauche tout en disant non; faire un geste vers la gauche
tout en parlant d’un objet se trouvant dans cette direction…
3. Les gestes régulateurs : ce sont les gestes qui règlent, contrôlent ou coordonnent les
échanges verbaux. Ils servent à ponctuer les conversations verbales.
Ex: hocher la tête pour signifier à son interlocuteur de continuer à parler, ou pencher
son corps en avant et ouvrir la bouche pour prendre la parole.
4. Les gestes adaptatifs : il s’agit des gestes qui permettent de satisfaire un besoin
personnel.
Ils sont dirigés :
 Vers soi: se gratter le nez
 Vers l’autre: retirer un cheveu de sa veste
 Vers un objet: déchirer un bout de papier, griffonner, etc.
Ex: « L’effet Pinocchio »
Observation de l’audition de Bill Clinton en ce qui concerne l’affaire Lewinsky : on sait
aujourd’hui qu’il avait menti.
Lors de l’audition :
Il s’est gratté le nez une fois toutes les 4 minutes  indice de mensonge
Lors d’un mensonge, il y a gonflement des tissus nasaux, ce qui entraine un besoin de se
gratter.
5. Les gestes manifestant de l’émotion
–Ex: trembler de peur; sauter de joie; serrer les poings de colère; etc.
–Les mimiques: expression du visage consciente ou inconsciente qui contribue à
communiquer la nature des émotions ressenties
–Accompagnent ou remplacent la communication verbale
3. Le visage
Il s’agit de la partie la plus expressive du corps. C’est par le visage que l’on exprime des
émotions.
Selon Ekman (1982), il y a 6 émotions de base qui se manifeste ds les expressions
faciales. Ce sont des émotion primaires (attention elles ne rassemblent pas tt les
émotion que peut ressentir l’humain). Ces émotions primaires se combinent en
émotions plus complexes (secondaire): inquiétude, intérêt, honte, extase, désarroi, etc.
Reconnaissance des expressions
Des études interculturelles (Japon, USA, Borneo, Europe, Amérique du Sud) on été
menées.
Ces études ont montrés une universalité de la reconnaissance des émotions de base.
Selon Hall (1984), les femmes les interprètent mieux que les hommes
Dc les expressions faciales seraient qqch en deçà de la culture puisque tt le monde sait
les reconnaître.
En outre, Les expressions seraient largement partagées.
Les manifestation sont universelle (ex: enfants aveugles qui expriment les même types
émotion que les enfants voyants même s’ils ne les ont pas vue)
Mais les production dépendent aussi de la culture, il y a des modérations apportées par
les cultures. Ds tt les situations tt les membres des différentes culture ne vont pas faire
les expressions de la même façon.
Ex : Les émotions exprimées par des acteurs italiens, anglais et japonais (Argyle, 1987)
Les émotions des acteurs anglais et italiens reconnues par tous (juges des mêmes pays)
Tous ont des difficultés à reconnaître les émotions de l’acteur japonais même les juges
japonnais.
 qcqh qui vient modérer ces expression meme si elles sont universelles : il y a des
règles de manifestation des émotions du visage
4. Le regard
« Il avait du feu dans les yeux »
Les yeux varient en fait très peu en fonction de l’état émotionnel : ils donnent très peu
info sur la qualité de l’émotion
Selon Argyle (1986), le regard varie en fonction de l’intensité de l’émotion, plutôt qu’en
fonction de sa nature : la pupille varie
La signification attribuée au regard dépend du décodage des autres signaux non verbaux
La taille de la pupille varie en fct du désir
 La pupille se dilate lorsque l’on fixe l’objet du désir (Hess & Polt, 1960)
 Les photos de visages dont les pupilles sont dilatées sont préférées (Hess, 1972)
Argyle (1988), mène une étude du regard lors d’interactions face à face (à 2 m) afin de
savoir a quel point on regarde l’autre ou pas .
 Se regardent: 60 % du temps de la conversation
-75 % durant l’écoute
-40 % en parlant
 Regards mutuels: 30 %
-Coups d’œil de 1.5 secondes
Si le contact visuel dépasse 80 % ou est inférieur à 15 % du temps cela engendre une
impression spécifique
 Contact visuel prolongé  intérêt, invitation à communiquer
–Personnes jugées sociables, compétentes, crédibles et amicales (Kleinke,
1986)
 Évitement : timidité, volonté de ne pas entrer en interaction
–Froides, pessimistes, prudentes, défensives et immatures
Fonctions du regard
 Percevoir les réactions des auditeurs par rapport à ce qu’on lui dit.
 Inviter l’autre à parler (dans la parole, un regard à l’autre montre qu’on l’écoute)
 Information concernant la nature de la relation (hiérérachie)
-un regard attentif signifie une relation positive
-un évitement signifie une relation négative
-Selon Exline et al.,1975, comportement de domination visuelle se traduit
pas regarder l’autre quand on parle
5. Le toucher
Il s’agit de la forme la plus archaïque de communication: cf mère – nourrisson
Significations (Jones & Yarbrough, 1995)
Le toucher permet de communiquer une émotion positive, entrer en interaction,
respecter un rituel (poignée de main, bise, accolade, etc.)
L’évitement du toucher est lié à l’évitement de la communication verbale.
 Toucher et confidences sont des formes intimes de communication. Toucher c’est
entrer ds intimité de l’autre
Différences de genre (Burgoon et al., 1994)
 Les hommes touchent moins les autres hommes que les femmes touchent les
autres femmes
 Les femmes évitent davantage de toucher les hommes que les hommes évitent de
toucher les femmes
Différences culturelles
Dans les pays anglo-saxons, le toucher est utilisé a de rare occasion  poignée de main
distante
Ches les Belges bises entre garçons
En Russie  baiser sur la bouche
–Lien avec le puritanisme
–Les classes sociales élevées évitent généralement le contact physique (surtt en
occident)
6. Le paralangage
Il existe des dimension vocale, mais non verbale, de la parole :
 Timbre de la voix, débit, intensité, inflexions, articulation, accents, pauses, etc.
-Les autorités doivent travailler avec plus de courage !
-Les autorités doivent travailler avec plus de courage !
-Les autorités doivent travailler avec plus de courage !
-Les autorités doivent travailler avec plus de courage !
-Les autorités doivent travailler avec plus de courage !
Le paralangage est important. Il donne des info sur l’état émotionnel d’une autre
personne.
 Manière de dire ‘Allô’ au téléphone influence la suite de la conversation
 Informations sur l’état émotionnel du locuteur
Le paralangage peut concerner la vitesse d’élocution, débit de parole
 Publicité, discours politiques, journalisme
 MacLachlan (1979)
-Ceux qui parlent vite (1.5 fois plus vite que la normale) sont plus persuasifs
-Quand le débit augmente de 50 %, la compréhension baisse de 5 %
-Quand le débit augmente de 100 %, la compréhension baisse de 10 %
l’augmentation du débit est généralement efficace (jusque 2 x plus vite que la
normale)
7. Les silences
Les pauses sont de courts silences entre deux paroles
Si la pause se prolonge cela provoque un malaise (« un ange passe »)
Fonctions:





Temps de réflexion
Exprimer son mécontentement: bouder
Faire face à l’anxiété: se taire pour se mettre à l’abri du rejet
Éviter les conflits: prendre le temps de se calmer
Communiquer des réactions émotionnelles
-Refus de coopération
-Contrariété
-Affection, amour
 Interprétation à partir des autres indices non verbaux
Peut-on parler de langage non verbal ?
Ray Birdwhistell propose d’étudier la communication non verbale (kinésique) de la
même manière que la communication verbale (linguistique)
Linguistique descriptive
On a : Phones (sons)  phonèmes (sons qui composent la langue: + ou – 30)
Les phonèmes correspondent à la classe d’allophones
Ex: i = i long de ‘vide’, i court de ‘vite’, etc.
Kinésique
Ex: un clin d’œil particulier = kine: la plus petite unité de mouvement corporel qui
puisse être extraite et distinguée d’autres mouvements
Les différents types de clins d’œil sont tous reconnus comme étant des clins d’œil
 « C’est la même chose » ou « C’est différent, mais ça signifie la même chose »
Le clin d’œil est un kinème
Kinésique
En linguistique, les phonèmes s’assemblent pour former des morphèmes (syllabes) et
ces derniers forments des mots
En kinésique, les kinèmes forment les kinémorphèmes et ces derniers forment les
constructions kinémorphiques
Plusieurs aspects à étudier :
 Sémantique: relation signifiant – signifié
 Syntaxique: relation signe – signe
 Pragmatique: relation signe – effet
Ex.: un professeur pointe son index vers un élève indiscipliné, puis dirige son
index vers la porte.
-Sémantique: "Vous, sortez de cette classe! »
-Syntaxique: pointer l’élève, puis la porte
-Pragmatique: l'élève quitte la classe
 La kinésique = langage corporel avec son vocabulaire et sa grammaire
Le contexte rend la parole signifiante et significative : c’est ds l’intercation entre le
verbal et non verbal que surgit le sens de la communication
Critiques
Notamment par des psychologues
Moscovici (1967): « Contrairement à certaines opinions, et en dépit de leur fonction
comme indicateurs de perception, les signaux qui véhiculent l’émotion ou la signification
non verbale n’ont aucun rôle décisif dans la transmission de l’information. Leur valeur
expressive considérable ne justifie pas qu’on leur attribue le statut de langages
autonomes » (cité par Rimé, 1992)
Wiener et al. (1972): on ne peut parler de ‘langage du corps’ que si l’on peut mettre en
évidence l’existence d’un code : système de signaux socialement partagé, au moyen
duquel un individu rend publique son expérience à un autre individu qui répond
systématiquement à ce code.
Communiquer sans se voir :
Si les mouvements servent à communiquer, ils devraient disparaître quand on n’est pas
vu ( ms cf gsm : on utilise des geste qd on parle alors qu’il ne servent pas a être mieux
compris par qqn d’autre vuq ue personne ne ns voit).
Si on ne peut pas faire ces mouvements, cela devrait aussi affecter la communication
verbale. Il devrait donc y avoir des compensations. Si on est empêcher de faire ces mvt
qui pourrait amliorer communication verbale on devrait compenser cette perte ac plus
de communication verbale, ou changer le rythme de la communication.
Expérience de Rimé (1982) :
Les participants doivent converser :
 Face à face
 Cachés par un écran
Les Sujets sont filmés et les films sont analysés.
Les résultats montrent qu’il y a très peu de différences :
 Interaction moins bien synchronisée quand les interlocuteurs ne se voient pas
(silences, pauses, etc.)
 Pas de différences dans les mouvements
 Pas de différences d’évaluation subjective de la relation
 Les gens bougent en parlant, mais ce n’est pas directement lié à la transmission de
l’information
Pourquoi bouge-t-on en communiquant? (Rimé et al.,1984)
Des sujets sont immobilisés sur un fauteuil
Le but annoncé de l’expérience est le suisvant : éprouver le confort du fauteuil
Il ya des zones non immobilisées (sourcils, yeux, bouche, mains, doigts et tronc) : serontelles affectées?
Les sujets ont une conversations avant (libre), pendant (attaché), et après (libre).
Les résultats montrent que toutes les zones sont affectées, sauf le tronc ( les gens attaché
font plus de mimique que les autres)
-Mouvements des mains, sourcils et yeux s’accentuent pendant les phases de
parole dès que le sujet est immobilisé
-Retour à la normale dès que le sujet est libéré
-Pas de différences durant les phases d’écoute : c’est pd les phase d’expression
qu’on observe les différences
 Activité motrice compensatoire
Gestes et compétences verbales
Une expérience de Rimé et Gaussin (1982) démontre que plus la conversation est dense
(riche en contenu), plus il y a de mouvements
 L’activité motrice est liée à la densité des tâches d’encodage et de décodage
Étude de Rimé, Thomas et al. (1983)
Ils comparent deux groupes d’adolescents épileptiques aux compétences verbales
faibles ou fortes
Les sujets à compétences verbales fortes présentaient plus de mouvements
communicatifs des bras et des mains
La communication non verbale ne supplée pas la communication verbale, le mouvement
est intégré dans l’activité verbale. Ils ‘agit d’un aspect de la communication verbale.
Mais alors a quoi ca sert ???
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