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« L’homme qui a consacré à la pensée de l’enfant tant de pages et tant d’observations
minutieuses, celui que l’on considère unanimement comme le plus grand psychologue actuel du
développement cognitif…et comme un grand théoricien de la connaissance.»
P.Greco
(Encyclopaedia Universalis, 1968)
À la fois père fondateur du constructivisme, psychologue, biologiste, logicien et épistémologue
de renom, l’auteur sur lequel nous porterons ici notre attention, demeure encore aujourd’hui mal
connu. Peut-être aurez vous deviné qu’il s’agit de Jean Piaget, dont l’œuvre considérable
représenterait à ce jour plus de 20 000 pages de texte. Notre intérêt particulier pour cet auteur
s’explique d’ailleurs par deux dimensions : celle de l’influence éminente de son travail dans le
domaine des sciences humaines et sociales et celle de son approche constructiviste qui, il va
sans dire s’inscrit parfaitement bien dans le cadre de l’étude qui commande cet article. Les
théories heuristiques de Piaget sont d’une fécondité incroyable, et d’ailleurs, elles suscitent
encore de nos jours la réflexion et la recherche. De même, l’auteur fut toujours un précurseur, et
certaines grandes perspectives qu’il adopta ainsi que la plupart de ses concepts explicatifs, bien
qu’ils furent institués au cours de la première moitié du XX ième siècle, annoncent des
perspectives et des concepts de la psychologie actuelle. Dans un premier temps, pour mieux
comprendre Piaget, il s’agira de faire le survol biographique de sa vie personnelle et
professionnelle. Par la suite, nous nous attarderons sur la nature de l’œuvre de l’auteur en faisant
une courte synthèse de 5 grandes périodes de recherches liant ainsi les publications
significatives qui s’y rattachent. Enfin, nous exposerons sommairement la contribution de l’auteur
au paradigme constructiviste.
Biographie
Jean William Fritz Piaget, naquit le 9 août 1896 à Neuchâtel (Suisse), il fut le fils aîné d'Arthur
Piaget, professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca James Jackson. Très tôt,
Jean Piaget manifesta un intérêt marqué pour la science naturelle et la biologie. D’ailleurs à l’âge
de 11 ans, lorsqu’il fut élève au collège de Neuchâtel, il rédigea un bref article sur un moineau
albinos qu’il découvrit dans un parc. Ce petit commentaire écrit fut pour le jeune Piaget comme
un point de départ, annonciateur d’un avenir étincelant et prometteur dans le domaine
scientifique d’où les thèses furent exposées dans plus d’une soixantaine de livres ainsi que
plusieurs centaines d’articles.
Peu après la fin de son adolescence, Piaget développera une affection particulière pour la
classification des mollusques, passion qui l’animera tout au long de sa vie. D’ailleurs, à la suite
de ses études secondaires, il deviendra un malacologiste de réputation considérable qui
l’amènera à publier une série d’articles dans le domaine. Au surplus, l’auteur s’inscrira (après sa
maturité), à la Faculté des Sciences de l’Université de Neuchâtel, où il obtiendra en 1920 un
Doctorat de science sur la malacologie valaisanne. Dès l’âge de 16 ans l’auteur se découvrira un
véritable intérêt pour la philosophie, en fait, il fut introduit à cette discipline par la lecture de
Bergson (1896-1907), dont l’anti-intellectualisme – bien qu’il n’en fut pas éprit – le marqua
ardemment par son idée d’évolution créatrice, responsable des transformations biologiques et qui
mène par la suite à la naissance et aux développement de l’intelligence. De plus, nous
retiendrons les noms de quelques philosophes et auteurs contemporains de langue française
comme ; Kant, Spencer, Arnold Reymond, Janet, Fouillée, Guyau et Lalande, qui contribuèrent à
influencer Piaget au cours de sa formation. Ainsi donc, durant cette période, l’auteur publiera
deux livres à teneur philosophique qu’il étiquettera plus tard comme des «écrits d’adolescence»,
mais qui seront néanmoins fort révélateurs pour sa démarche intellectuelle et bien sûr l’évolution
de sa pensée. En dépit de son double penchant pour la science naturelle et la philosophie et la
formation qu’il obtiendra dans ces domaines respectifs (en particulier dans le premier), c’est à la
psychologie– utilisée au service de la théorie de la connaissance– que Piaget concentrera ses
études tout au long de sa vie d’adulte. Ce dernier commencera son œuvre de psychologie en
2
prenant connaissance (entre autres), de travaux de différents auteurs dans le domaine
scientifique. En effet, il sera influencé par la discussion des tenants de Durkheim (1925) et de
Tarde (1890), en sociologie, la notion de totalité élaborées par ces chercheurs aura de fortes
instances sur les premières analyses de Piaget dans le domaine de la psychologie.1 Par la suite,
Piaget, pour partira travailler à Paris au laboratoire d’Alfred Binet (pédagogue et psychologue
français), durant un an pendant lequel il étudiera les problèmes liés au développement de
l’intelligence. Dans les années 20, plus précisément en 1921, Piaget travaillera auprès d’Édouard
Claparède (médecin et psychologue genevois) et Pierre Bovet (psychologue et pédagogue
suisse), à l’Institut Jean-Jacques Rousseau de l'Université de Genève où il occupera le poste de
chef de travaux. Deux années plus tard, il épousera Valentine Châtenay avec qui il aura trois
enfants, et sur lesquels il approfondira ses recherches sur le développement de l'intelligence de
la naissance au langage. De 1925 à 1971 Piaget enseignera dans divers domaines dont la
psychologie, la sociologie, la philosophie des sciences, l'histoire de la pensée scientifique, la
psychologie expérimentale, cela, dans les universités de Neuchâtel, de Genève et de Lausanne.
Il fut aussi directeur de Bureau International d’Éducation (1929-1967), ainsi que le seul
professeur suisse à être invité à enseigner à la Sorbonne, de 1952 à 1963.Il fondera en 1955 le
Centre International d'Épistémologie Génétique, qu'il dirigera à Genève jusqu’à l’âge de 84 ans,
c’est-à-dire jusqu'à sa mort le 16 septembre 1980. Notons finalement, que Piaget obtiendra plus
de trente doctorats honoris causa de différentes Universités à travers le monde, et sera
récipiendaire de nombreux prix prestigieux soulignant sa brillante carrière et son immense
contribution dans le domaine de la psychologie cognitive. 2
1-La recherche sur la Connaissance et la Pensée chez l’Enfant
Le premier article psychologique de Piaget date de 1920 et se consacre à la relation entre la
psychanalyse et la psychologie de l’enfant. Plusieurs publications dédiées au développement de
la pensée et de la représentation du monde chez l’enfant par la suite marqueront le début d’une
période charnière pour l’auteur. Dans les 4 ouvrages suivants ; Le langage et la pensée chez
l’enfant (1923) ; Le jugement et le raisonnement chez l’enfant (1924) ; La représentation du
monde chez l’enfant (1926) ; La causalité physique chez l’enfant (1927) ; Piaget tente de
comprendre le fonctionnement cognitif de l’enfant et la vision particulière du monde qui découle
de certaines caractéristiques de la pensée enfantine. Bien que Piaget découvre que la pensée de
l’enfant ne diffère pas simplement quantitativement mais qualitativement de la pensée de l’adulte,
ce n’est pas tant dans ce sens que les recherches du psychologue trouvent nécessairement leurs
complète innovation. En effet, la particularité de ses découvertes résident dans le fait que Piaget
constate la différence en analysant les conséquences sur le plan de la vision du monde et de
l’explication des phénomènes physiques. D’autres part, l’auteur témoigne d’une créativité et
d’une originalité sur le plan des méthodes appliquées, qui devance de loin les méthodes, et par
conséquent les résultats qui provenaient des travaux produits à cette époque (méthodes
d’observation pure, questionnaires, test, etc.) et ils représentent une contribution manifeste à la
psychologie du développement.
2- Recherche sur les premières Manifestations de l’intelligence (années 30 et 45)
Cette période (années 30 jusqu’à 45), repose sur une trilogie qui s’élabore en deux ouvrages
Montangero jacques et Maurice-Naville Danielle. Piaget ou l’intelligence en marche. Liège, Pierre Mardaga éditeur,
1994, p16.
1
2
Wikipédia, encyclopédie libre, fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Piaget, [site consulté le 2 février 2009].
3
sur les connaissances pratiques du nourrisson ; La naissance de l’intelligence chez l’enfant
publié en 1936 et La construction du réel chez l’enfant publié en 1937, et d’un livre sur les
débuts de la pensée représentative, intitulé ; La formation du symbole chez l’enfant, publié en
1945. Cette dernière publication constitue pour Piaget la source de la représentation imagée,
c’est-à-dire l’imitation. Dans les écrits de cette deuxième période de sa vie, l’auteur adopte enfin
ce point de vue biologique qu’il applique à l’étude de la connaissance. En fait, la caractéristique la
plus impressionnante et la plus fertile des articles de cette période est le recours au concept
d’adaptation biologique pour expliquer la formation de connaissances. L’idée maîtresse qui
soutient l’explication des comportements est que le développement intellectuel consiste en une
adaptation qui prolonge l’adaptation biologique tout en la dépassant. Piaget explique donc que le
rapport de la pensée avec les choses est le fondement de la connaissance et que ce rapport est
un cas particulier des relations entre l’organisme et le milieu. Dans cette optique, il est
donc légitime d’appliquer à la connaissance la notion d’adaptation biologique et d’analyser le
développement intellectuel de l’enfant en termes d’une interaction entre le sujet et l’objet de la
connaissance, produisant une adaptation toujours plus poussée. L’auteur prend soin de définir de
manière précise les deux mécanismes qui constituent cette adaptation : l’assimilation et
l’accommodation. De même, la marche vers l’équilibre et l’équilibre lui-même –notion centrale
chez Piaget– sont dorénavant définis comme une interdépendance entre assimilation et
accommodation.3 En bref, l’explication d’inspiration biologique que l’on retrouve dans les
précédents ouvrages de Piaget nous éclaire sur une nouvelle façon d’envisager les conduites du
nourrisson et du petit enfant et par conséquent, rendent compte, en partie, à la fois du
fonctionnement et du développement cognitif.
3- Recherches sur le Développement des Opérations concrètes et les Catégories de
Connaissance
Les publications qui s’inscrivent à cette partie de la production piagétienne sont nombreux et
recouvrent une période de trente ans, ces ouvrages sont d’ailleurs parmi les mieux connus de
l’œuvre entière de l’auteur. Quelques unes de ces œuvres dont : La genèse du nombre chez
l’enfant (1941) ; La géométrie spontanée de l’enfant (1948) ; Le développement de la notion de
temps chez l’enfant (1946), pour ne nommer que ceux-ci, ont été élaborés avec d’importantes
équipes de travail et rédigés en collaboration avec de prestigieux chercheurs comme : Bärbel
Inheder ou Alina Szaminska.4 Malgré la diversité des thèmes et des sujets traités, ces ouvrages
abordent en fait les mêmes genres de conduites en développement chez l’enfant. Grossièrement,
Il s’agit d’étudier comment l’enfant agit sur le réel et comment il se construit à partir de son action,
cela, par différents processus d’abstraction, sa connaissance du monde, ses notions de réel.
4- l’épistémologie génétique
Pour Piaget, il s’agit de développer une théorie de la connaissance scientifique qui se centre
sur le développement et la genèse de la connaissance en se servant des données fournies par
3
Montangero jacques et Maurice-Naville Danielle. Piaget ou l’intelligence en marche. Liège, Pierre Mardaga éditeur,
1994, p31.
4
Droz R. et Rahmy M. Lire Piaget, psychologie et sciences humaines. Bruxelle, Pierre Mardaga éditeur, 1978, p22.
4
les recherches en psychologie et sociologie scientifiques. La complexité de l’entreprise a amené
Piaget a effectuer de nombreuses recherches sur la genèse des fonctions cognitives chez
l’enfant avant de pouvoir passer à l’épistémologie génétique proprement dite. Il était donc
nécessaire de faire les recherches appropriées avant de songer à l’élaboration d’une théorie
génétique de la connaissance. Piaget mit au monde trois volumes : Introduction à
l’Epistémologie génétique I, II et III (publiés en 1950), consacrés à la pensée mathématique, la
pensée physique, la biologie, la psychologie et la sociologie. 5
5- Piaget et la pédagogie
L’essentiel des opinions et des points de vue relatifs à la pédagogie se trouve résumé dans
deux articles (parus en 1939 et 1965) qui figurent dans le livre Psychologie et pédagogie publié
en 1969. Ces essais représentent des synthèses originales où Piaget tente de mettre à la
disposition de la pédagogie son savoir de psychologue et d’épistémologue, ainsi que sa fonction
de directeur du Bureau International de l’Éduction, qui lui confère l’accès à plusieurs informations
pertinentes dans le domaine de la pédagogie. 6 Le livre en question porte sur les grands
problèmes de la pédagogie contemporaine. Les articles publiés dans cet ouvrage résument et
présentent la position de Piaget en ce qui a trait aux divers problèmes proprement pédagogiques,
qu’il s’agisse des méthodes d’enseignements, des problèmes de didactiques, des relations entre
psychologie de l’enfant et la psychologie génétique etc., ainsi qu’un certain nombre de questions
touchant plus directement aux questions d’organisation, c’est-à-dire, la formation des
enseignants, collaboration internationale, réformes de structure et de programme etc.
Impact de l’auteur au paradigme constructiviste
L'approche constructiviste de Piaget est définie par son approche de l'apprentissage qui met
l'accent sur l'activité du sujet (en l’occurrence l’enfant) pour appréhender les phénomènes auquel
ce dernier est confronté. La compréhension s'effectue à partir des représentations que le sujet
possède déjà. Cet apprentissage s’articule par la restructuration de concepts connus et
particuliers à chaque individu, ainsi qu’autour de l’idée du sujet actif qui de lui-même construit de
nouveaux concepts à partir des connaissances déjà en place, que l’on pourrait nommer structure
cognitive. Ainsi, en plaçant donc le sujet au cœur du processus, dans l’élaboration de sa théorie
du développement de l’intelligence, Piaget suppose que le sujet construit sa connaissance au fil
des interactions continues avec les objets ou phénomènes. Selon Piaget, il y aurait équilibration
progressive, dans le sens où des processus qu’il nomme «d’auto-régulation» assureraient une
5
Droz R. et Rahmy M. Lire piaget, psychologie et sciences humaines. Bruxelle, Pierre Mardaga éditeur, 1978, p27.
6
Ibid., p147.
7
Perraudeau Michel. Piaget aujourd’hui, réponses à une controverse. Paris, Armand Colin Éditeur, 1996, p33
5
adaptation plus efficace du sujet à son environnement.7 D’ailleurs, comme nous l’avons
mentionné précédemment, lors de ses études sur le développement intellectuel de l’intelligence
cognitif du nourrisson et de l’enfant, Piaget insiste sur le rôle du processus d’assimilation et
d’accommodation : le premier permettant d’assimiler les nouvelles connaissances à celles déjà
établies dans les structures cognitives et la deuxième permettant une transformation des activités
cognitives afin de s’ajuster aux nouvelles situations. Enfin, le constructivisme de Piaget ne se
fonde pas sur un déroulement à unidirectionnel qui peut paraître linéaire. Par exemple, dans le
cas de deux structures présentant deux niveaux différents de connaissance, la démarche
constructiviste se base sur l’intégration croissante. 8 Selon l’auteur, les transformations spiralaires
et intégration semblent être des mouvements conducteurs qui régissent le passage d’une
structure à une autre. Pour Piaget il n’existe pas de structures cognitives innées, selon lui,
l’interaction entre le milieu et l’enfant, l’adolescent ou l’adulte (car le processus n’est pas limité),
résulte de l’action qui, par transformation en opération, c’est-à-dire par mentalisation, développe
la pensée formelle.
Bibliographie
Piaget Jean. Biologie et Connaissance. Paris, NRF, Gallimard, 1967, 430 p.
Piaget Jean. La causalité physique chez l’enfant. Paris, Alcan, 1927, 347 p.
Piaget Jean. La construction du réel chez l’enfant. Neuchâtel et Paris, 1er éd.,
Delachaux et Niestlé, 1937, 398 p.
Piaget Jean. Le développement des quantités chez l’enfant. Neuchâtel et Paris,
Delachaux et Niestlé, 1941, 339 p.
Piaget Jean. Introduction à l’épistémologie. (Tome I, II et III), Paris, Presses
universitaires de France, 1950, 361p, 355p., 344 p.
Piaget Jean. Études sociologiques. Genève, Éd. Droz. 1965, 202 p.
8
Perraudeau Michel. Piaget aujourd’hui, réponses à une controverse. Paris, Armand Colin Éditeur, 1996, p34
6
Piaget Jean. La formation du symbole chez l’enfant. Imitation, jeu et
rêve– Image et représentation, Neuchâtel et Paris, 1er. éd., Delachaux et Niestlé,1946,
308 p.
Piaget Jean et Alina Szeminska. La genèse du nombre chez l’enfant.
Neuchâtel et Paris, 1er. éd., Delachaux et Niestlé, 1941, 308 p.
Piaget Jean, Alina Szeminska et Inhelder Bärbel. La géométrie spontanée de l’enfant.
Paris, Presses universitaires de France, 1948, 508 p.
Piaget Jean. Le jugement moral chez l’enfant. Paris, Presses universitaires de France,
1959, 335 p.
Piaget Jean. Le jugement et le raisonnement chez l’enfant. Neuchâtel et Paris,
1er. éd., Delachaux et Niestlé, 1924, 337 p.
Piaget Jean et Inhelder Bärbel. De la logique de l’enfant à la logique de l’adolescent.
Paris, Presses universitaires de France, 1955, 314 p.
Piaget Jean. Le langage et la pensée chez l’enfant. Neuchâtel et Paris, 1er. éd.,
Delachaux et Niestlé, 1923, 213 p.
Piaget Jean. Le développement de la notion de temps chez l’enfant. Paris,
7
Presses universitaires de France, 1946, 298 p.
Piaget Jean et Inhelder Bärbel. La psychologie de l’enfant. Paris, PUF (Que sais-je?),
1966, 126 p.
Piaget Jean. Psychologie et épistémologie. ( pour une théorie de la connaissance),
Paris, Gonthier, Denoël (Médiations), 1970, 187 p.
Piaget Jean. La psychologie de l’intelligence .Paris, A. Collin, 1947, 212 p.
Piaget Jean. La représentation de l’espace chez l’enfant. Paris, Presses universitaires
de France, 1948, 576 p.
Piaget Jean. La représentation du monde chez l’enfant. Paris, Presses universitaires
de France, 1947, 424 p.
Piaget Jean. Psychologie et pédagogie. Paris, Éd. Denoël (Médiations), 1969, 264 p.
Piaget Jean. Sagesse et illusion de la philosophie. Paris, Presses universitaires de France, 1965,
286 p.
Autres références utilisées
8
Chalon-Blanc Annie. Introduction à Jean Piaget. Paris, l’Harmattant, 1997, 239 p.
Dolle Jean-Marie. Pour comprendre Jean Piaget. Paris, Dunod, 1997, 275 p.
Nicholas André. Jean Piaget. Paris, Seghers, 1976, 230 p.
Wikipédia, encyclopédie libre, fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Piaget, (site consulté le 2 février 2009)
Montangero jacques et Maurice-Naville Danielle. Piaget ou l’intelligence en marche. Liège, Pierre
Mardaga éditeur, 1994, 232 p.
Droz R. et Rahmy M. Lire piaget, psychologie et sciences humaines. Bruxelle, Pierre Mardaga
éditeur, 1978, 242p.
Perraudeau Michel. Piaget aujourd’hui, réponses à une controverse. Paris, Armand Colin Éditeur,
1996, 159 p.
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