1
THÉORIES DES ORGANISATIONS 1
LES 2 DEMARCHES EN ORGANISATION : 1
LES 2 CONCEPTIONS DE LORGANISATION : 1
LES 7 APPROCHES DE LORGANISATION : 1
RAPPELS HISTORIQUES 2
L’EPOQUE PREHISTORIQUE VOIT APPARAITRE : 2
L’ÉGYPTE : 2
ROME : 2
LE MOYEN-AGE : 3
LA PERIODE MODERNE : 3
VENISE : 3
L’ORGANISATION EN FRANCE : 4
L’ÉCOLE CLASSIQUE 6
ELLE SE CARACTERISE PAR LADOPTION DE 6 GRANDS PRINCIPES : 6
FREDERICK TAYLOR 6
HENRY GANTT 7
FRANCK ET LILIANE GILBRETH 8
HENRI FAYOL 8
LUTHER H. GULICK : 10
LYNDALL F. URWICK : 10
MAX WEBER : 10
AU TOTAL : 12
L’ÉCOLE DES RELATIONS HUMAINES 13
ELLE SE CARACTERISE PAR LADOPTION DE 3 GRANDS PRINCIPES : 13
DONT RESULTENT LES CONSEQUENCES SUIVANTES : 13
GEORGE ELTON MAYO 14
KURT LEWIN 15
RENSIS LIKERT 16
ROBERT R. BLAKE ET JANE S. MOUTON 17
CHRIS ARGYRIS 17
ABRAHAM H. MASLOW 19
FREDERICK HERZBERG 19
DOUGLAS MAC GREGOR 20
HYACINTHE DUBREUIL 21
AU TOTAL : 21
2
L’ÉCOLE NÉO-CLASSIQUE 22
ELLE SE DECOMPOSE EN 2 GRANDS MOUVEMENTS : 22
ET FUSIONNE LES CONCEPTS DE LECOLE CLASSIQUE ET DE CELLE DES RELATIONS
HUMAINES : 22
ALFRED PRITCHARD SLOAN 22
PETER FERDINAND DRUCKER 23
OCTAVE GÉLINIER 25
AU TOTAL : 27
LES APPROCHES SOCIOLOGIQUES 28
ELLES INTEGRENT 3 GRANDS MOUVEMENTS : 28
ET PARTENT DUN CONSTAT : 28
L’APPROCHE SOCIO-TECHNIQUE : 28
JOAN WOODWARD 29
ELIOTT JAQUES 30
LES APPROCHES SOCIO-ECONOMIQUES : 30
HENRI SAVALL 30
LES APPROCHES SOCIOLOGIQUES : 31
AMITAÏ ETZIONI 32
PAUL R. LAWRENCE & JAY W. LORSCH 33
MICHEL CROZIER 34
ALAIN TOURAINE 34
RENAUD SAINSAULIEU 35
HERBERT A. SIMON, RICHARD M. CYERT, JAMES G. MARCH 36
AU TOTAL : 37
LES APPROCHES SYSTÉMIQUES 38
LA NOTION DE SYSTEME : 38
L’ANALYSE SYSTEMIQUE (AS) : 38
JACQUES MÉLÈSE 39
HENRY MINTZBERG 39
1
THÉORIES DES ORGANISATIONS
Les 2 démarches en organisation :
La démarche inductive (classiques, néo-classiques) :
- observation des faits, puis proposition d’une démarche expérimentale.
La démarche déductive (école des relations humaines, courants sociologiques) :
- conception préalable, puis validation sur le terrain.
Les 2 conceptions de l’organisation :
L’organisation au service de la stratégie :
- l’organisation apparaît comme un ensemble d’outils et méthodes permettant à
l’entreprise d’atteindre des objectifs préalablement définis.
L’organisation stratégique :
- l’organisation se définit comme un ensemble de choix qui oriente - se substitue à la
stratégie de l’entreprise. A partir de ces grandes orientations naissent les objectifs de
l’entreprise.
Les 7 approches de l’organisation :
L’école classique.
L’école néo-classique.
L’école des relations humaines.
Les approches socio-techniques.
Les approches socio-économiques.
Les approches systémiques.
Les approches sociologiques.
2
RAPPELS HISTORIQUES
L’époque préhistorique voit apparaître :
La naissance de l’échange entre individus et entre communautés.
La nécessité de la communauté avec un chef, des règles communes, des spécialisations, des
activités communes déléguées et une instance d’arbitrage, souvent d’origine religieuse.
L’Égypte :
L’agriculture est l’activité dominante.
L’industrie se limite à la fabrication des outils, des vêtements et de la poterie.
La seule force motrice est celle de l’homme, employé en abondance et à bas prix.
Les mines et les grands chantiers sont placés sous l’autorité de l’état.
Introduite vers 3000 avant J-C., la triade « planification / organisation / contrôle » dans la définition
des fonctions permet d’entreprendre les grands travaux avec une réelle efficacité.
L’organisation égyptienne est marquée par l’absolutisme étatique : le pharaon était le fondement du
système, sa légitimité reposant sur la religion, la politique et l’économie.
Dans la vie de chaque jour, tout acte légal ou officiel passant par la rédaction d’un écrit,
l’administration est très hiérarchisée et centralisée.
Tout fonctionnaire passe par l’école d’administration et y apprend l’écriture et les principes et lois
régissant la nation.
La toute puissance de l’état dans la vie économique résulte de sa qualité de propriétaire exclusif des
terres et moyens de production, voire à certaines époques des métiers. Chaque administration
possède ses artisans, ses ouvriers, répartis en équipes à la tête desquelles se trouve un chef.
Inventaires, recensements et cadastres mettent en évidence l’existence d’une gestion financière très
élaborée. Cette lourdeur et cet excès de précision se traduisent par des retards dans le paiement des
ouvriers, et une extrême lenteur dans l’exécution des décisions.
Rome :
L’exploitation agricole s’organise autour des latifundiae dont l’exploitation repose sur l’utilisation
d’une main d’œuvre servile.
Les terres de culture, prises à l’ennemi sont divisées selon deux modes de production : une
minorité est attribuée, en pleine propriété aux citoyens romains ; le reste est cédé en bail payant à
ses anciens propriétaires.
L’état est propriétaire, de plein droit, des entreprises à valeur stratégiques telles que les mines.
3
L’administration des régions conquises est placée sous l’autorité de gouverneurs de provinces
nommés par le pouvoir politique. L’impôt y est prélevé par les publicains, qui versent par avance à
l’état une somme forfaitaire dont ils récupèrent ensuite le montant sur la population.
L’empire voit apparaître une puissante administration centrale. De nombreux organismes de
contrôles veillent à limiter le pouvoir des gouverneurs de provinces.
L’industrie reste embryonnaire, en raison de l’abondance de la main d’œuvre servile, qui limite les
progrès technique.
La fin de l’empire romain, avec l’affaiblissement du pouvoir central, se caractérise par l’apparition
du système féodal.
Le moyen-âge :
La disparition de la notion d’état durant 5 siècles consacre, à travers la vassalité, l’importance des
relations humaines
Dès le 12éme siècle, grâce à l’amélioration de la production agricole (génératrice de surplus) et au
développement des villes, une nouvelle classe de marchands apparaît (agents des seigneurs ou
des commerçants spécialisés).
Les villes elles-mêmes s’organisent en entités indépendantes telles que les communes ou les
franchises.
La période moderne :
Le rétablissement de l’autorité centrale aboutit, grâce à l’agrandissement des zones
géographiques d’échanges, à l’amélioration des méthodes de travail et de contrôle de celui-ci,
ainsi qu’à la mise en place d’appareils d’état puissants, à l’apparition du capitalisme en Flandre et
en Italie du Nord.
La nouvelle organisation se manifeste à travers l’importance des corps de métiers et la
parcellisation des unités de production.
Les artisans (alimentation, bâtiment et textile) disposent de leurs propres moyens de production.
Le corporatisme s’oppose à la concurrence et à l’accroissement de la main d’œuvre, tendant à
maintenir l’artisanat dans une situation assez humble. Seuls les marchands parviennent à
développer une réelle capacité d’investissement.
Les premières entreprises sont néanmoins largement soumises au contrôle et à la réglementation
de l’état.
Ce dernier légitime son interventionnisme soit par la volonté de protéger les commerçants et
producteurs (Italie), soit par le projet de créer une industrie (France de Colbert).
Venise :
L’activité est essentiellement organisée autour du développement du commerce avec l’orient.
La république est organisée comme une vaste entreprise commerciale placée sous la direction du
Sénat, qui définit les marchandises à importer, les itinéraires à emprunter…
1 / 44 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !