-excentrique (les extrémités s’éloignent l’une de l’autre).
c) le régime bio métrique : (ex : saut à contrebas, multibonds)
Il s’agit de la combinaison d’une contraction excentrique immédiate suivie d’une contraction
concentrique.
Cela permet un étirement préalable du muscle et donc d’une restitution d’nrj ce qui permet un
indice de force supérieur.
4) Compétences motrices :
Dans différentes compétences motrices on classe :
- endurance
- force
- vitesse
- mobilité
a) Endurance : Capacité du sportif à résister à la fatigue.
FREY distingue l’endurance psychique (désignant la capacité du sportif à résister le plus
longtemps à un stimulus qui exigerai l’interruption de la charge) et l’endurance physique (qui
est la capacité de résistance de l’organisme dans son ensemble et dans différents systèmes)
Endurance de courte durée :
45 sdes à 2 min : peut être assimilée à de la résistance
Endurance de moyenne durée :
2 à 8 min
Endurance de longue durée :
8 min à plusieurs heures.
On distingue : l’endurance musculaire générale qui sollicite plus de 2/3 de la masse
musculaire d’un athlète.
L’endurance locale, qui sollicite 1/3 à 2/3 de la masse musculaire de l’athlète.
Et l’endurance spécifique, sollicitant – d’1/3 de la masse musculaire de l’athlète.
L’endurance est donc la capacité physique, émotionnelle, intellectuelle, qu’a un athlète de
maintenir un effort déterminé grâce à sa capacité, sa durée et sa mobilisation musculaire.
b) La force
= faculté de vaincre une résistance extérieure ou de s’y opposer grâce à la contraction
musculaire.
Facteurs déterminants de la force :
- facteurs morphologiques (taille des leviers osseux, angle formé par l’articulation)
ex : biceps : bras tendu = peu de force
bras plié = davantage de force
- facteurs musculaires : section transversale du muscle, proportion du type de fibres
- facteurs neuromusculaires : recrutement spatial et temporel des unités motrices.
Coordination intramusculaire (= coordination du groupe musculaire dans son ensemble) et
coordination intermusculaire (= contraction du muscle agoniste, décontraction de
l’antagoniste).