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d) Méthode d’encadrement par dichotomie (ou : balayage):
ØSur la calculatrice on programme un pas de 1 en commençant à – 2 :
0 se situe entre (-6) et 4, c’est donc entre (-2) et (-1) que f(x) passe donc par 0 ;
∈ [−2;−1]
ØOn affine la précision de en reprogrammant la calculatrice avec un nouveau pas de
0,1, et en commençant à -2 :
0 se situe entre (-0,896) et 0,125, c’est donc entre (-1,6) et (-1,5) que f(x) passe donc
par 0 ; ∈ [−1,6;−1,5]
ØOn affine la précision de en reprogrammant la calculatrice avec un nouveau pas de
0,01, et en commençant à -1,6 :
0 se situe entre (-0,07) et 0,027, c’est donc entre (-1,52) et (-1,51) que f(x) passe donc
par 0 ; ∈ [−1,52;−1,51]
Conclusion : ∈ [−,;−,] ; nous avons encadré à près
e) f est croissante sur [−2;], de f(-2) = - 6 jusque f()= 0 , donc ()<0 sur [−;[
f est croissante sur [;1], de f()= 0 jusque f(1) =12, donc ()≥ sur [;]
IV. Intérêt et utilisation du Théorème de la valeur intermédiaire :
1. Donner des solutions approchées pour des équations plus « difficiles »
Exemple : ci-dessus la solution de +3+8=0 se situe dans l’intervalle [−1,52;−1,51]
2. Pouvoir étudier le signe de certaines dérivées également plus « difficiles », afin de déterminer
les variations de la fonction dont elles dérivent