2016-2017 Les lymphocytes
•Formé d'une chaîne α et une β (= hétérodimère).
•Appartient a la superfamille des Immunoglobulines.
Chacune des 2 chaînes comporte un domaine constant (Cα et Cβ) et un variable (Vα et Vβ).
Le paratope (= juxtaposition de ces 2 domaines variables) va interagir avec l'épitope (l'antigène).
Comme ces chaînes n'ont presque pas de partie intra cytoplasmique, ce n'est pas suffisant pour générer un
signal. Pour cela il faut un axillaire qui sont les molécules CD3 (= plusieurs hétérodimères) → marqueur
important pour phénotyper des LcT.
CD3 est important pour générer des signaux d'activation inflammatoire car elle a un domaine intra
cytoplasmique ainsi qu'un motif ITAM, qui lorsqu'il est engagé génère une cascade de phosphorylation
pour activer le LcT.
Il existe plusieurs hétérodimères (αβ et la plus importante γδ). Ce motif est composé de tyrosine pour
permettre la phosphorylation.
Le TCR reconnaît un Ag et chaque récepteur T à la surface d'un LcT est unique. Entre 2 clones de LcT on
a une spécificité : chaque TCR est donc différent d'un lymphocyte à l'autre.
C) La cellule présentatrice de l'Ag :
•Elle exprime une molécule de CMH au sein de laquelle se niche un peptide
•On a le récepteur qui reconnaît l'association CMH et peptide
•Le CD3 reconnaît le signal et participe à la transduction cellulaire
•On retrouve le LcT qui renforce l'avidité entre les 2 partenaires. Plus l'interaction est importante
plus le signal sera élevé.
D'autres partenaires moléculaires interviennent :
on a des molécules membranaires à la surface de la CPA qui expriment CD28. Cette interaction génère
des signaux de co stimulation.
La reconnaissance de l'Ag par le récepteur T est nécessaire mais non suffisante.
Pour que le LcT s'active il faut des signaux de co stimulation entre des éléments membranaires.
→ C'est la combinaison de ces signaux qui permet l'activation du LcT.
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