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Éditions H&K Publié dans les Annales des Concours 4/20
D’autre part, si vest un endomorphisme de Evérifiant :
∀(x, y)∈E2v(x∧y) = u(x)∧u(y)
alors ∀(x, y)∈E2v(x∧y) = eu(x∧y)
Or e1=e2∧e3e2=e3∧e1et e3=e1∧e2
Par conséquent ∀i∈ {1,2,3}v(ei) = eu(ei)
euet vcoïncident donc sur une base de E; comme ce sont des applications linéaires,
elles sont égales.
v=eu
I.C Il suffit de remarquer que :
e
Id(e1) = e1e
Id(e2) = e2et e
Id(e3) = e3
Par conséquent e
Id =Id
Soient uet vdans L(E). On sait d’après la question précédente que ]u◦vest
l’unique endomorphisme wde Etel que
∀(x, y)∈E2w(x∧y) = (u◦v)(x)∧(u◦v)(y)
Prenons alors un couple (x, y)d’éléments de E. On calcule :
eu◦ev(x∧y) = eu(v(x)∧v(y)) = (u◦v)(x)∧(u◦v)(y)
Par suite ]u◦v=eu◦ev
Si uest inversible Id E=g
Id E=^
u◦u−1=eu◦^
(u−1)
On a donc euest inversible et (eu)−1=g
u−1.
I.D Notons U = (ui,j )i,j∈{1,2,3}et e
U = (eui,j )i,j∈{1,2,3}.
Pour répondre à cette question, il suffit de calculer e
Uet com (U) et de constater
qu’elles sont égales.
e
U = com (U)
De façon un peu plus conceptuelle, on peut prolonger la notation ui,j
de la façon suivante : pour (i, j)∈ {1,2,3}2et pour ket lentiers, on pose
ui+3k,j+3l=ui,j , par exemple : u4,5=u1,2. On peut alors écrire que
eui,j =heu(ei), eji
=hu(ei+1)∧u(ei+2), eji
= det (u(ei+1), u (ei+2), ej)
eui,j =ui+1,j+1 ui+2,j+1
ui+1,j+2 ui+2,j+2
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