Seulement les équivalences logiques simples sont utilisées dans les
preuves mathématiques. Il faut les reconnaître.
Par exemple :
(PQ)((PQ)(QP)) ;
(PQ)(¬Q→ ¬P)(¬PQ).
(Sont déjà montrés.)
MAT1500 1 of 51
Soient Pet Qdeux proposition logiques en mathématiques.
Supposons on veut montrer :
Théorème
PQ.
C.-à-d., on veut montrer que cette proposition logique PQest
vraie (preuve directe).
À cause de l’équivalence avant, il suffit de montrer que
l’implication (¬Q→ ¬P)est vraie (preuve indirecte), ou que la
proposition (¬PQ)est vraie.
Donc il y a logiquement trois façons de montrer le théorème.
MAT1500 2 of 51
Exemple.
Soit donné un nombre nZ.
Il faut montrer :
S’il existe un nombre mZtel que n=m2alors n0.
Il y a trois façons !
(Ce qui a été fait au tableau noir en classe.)
MAT1500 3 of 51
Exemple.
Soit donné un nombre nZ.
Il faut montrer :
Si nest premier et n>2 alors nest impair.
Il y a trois façons.
(Ce qui a été fait au tableau noir en classe.)
MAT1500 4 of 51
Preuve directe typique :
Si Pest fausse, l’implication PQest automatiquement vraie et
il y aura rien à faire (Cette phrase est souvent omise).
Supposons Pest vraie. Puis (avec cette hypothèse et avec de l’aide
des théorèmes déjà montrés), on montre que Qserait en
conséquence aussi vraie.
Ainsi on aura montré que PQest vraie.
En math : si on écrit "On veut montrer P" ça veut dire "On veut
montrer que la proposition logique Pest vraie."
MAT1500 5 of 51
1 / 51 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !