Prise de sang Deux nouveaux centres de prélèvement

Blueprint
Trimestriel / n° 121 / décembre 2016
PB- PP B-
BELGIE(N) - BELGIQUE
018
A152
(Les Cliniques Saint-Joseph)
Dr Bogdan Calin, ophtalmologie
Dr Caroline Coibion, imagerie médicale
Dr Florence Counson, pédiatrie
Dr Sami Demir, gynécologie-obstétrique
Dr Célia Fontaine, pédiatrie
Dr Valérie Gaspard, anesthésiologie
Dr Pierre Goffi n, anesthésiologie
Dr Etienne Huvelle, urgences (SMA)
Dr Aurore Joyeux, ORL
Dr André Moureau, gastroentérologie
Dr Pieter-Jan Palmers, cardiologie
Dr Pauline Vanderweckene, néphrologie (gardes)
Dr Isabelle Walraff, chirurgie orthopédique (résident
hospitalier)
1 Sont agréées dans le cadre d’une formation
complémentaire :
Dr Catherine Draguet, pédiatrie/dermatologie
Dr Gwenaëlle Sana, pédiatrie/néphrologie
Respectivement en collaboration avec les secteurs
de dermatopédiatrie (Drs Vincent Bernier et
Justine Pêtre) et de néphropédiatrie (Centre de
néphrologie pédiatrique sud – Drs Laure Collard,
Marie-Sophie Ghuysen, Anne Guffens, Jacques
Lombet et Julie Maquet).
A158 (CHVE – Centre hospitalier
Saint-Vincent – Sainte-Elisabeth)
Dr Carla Gabriela Ciobanu, neurologie
Dr Jean-Charles Crosset, algologie générale
Dr Julie Truong, neurologie
A Liège, dans le quartier proche du Palais des congrès
Au Centre médical Marcellis (quai Marcellis 33 – 4020 Liège)
Ouverture du lundi au vendredi
Permanence de 7h30 à 11h30
HGPO (test de diabète de grossesse) sur rendez-vous au 04 341 70 84
A noter que les heures d’ouverture pourraient être modifi ées en fonction
des demandes des utilisateurs.
Le laboratoire du CHC est soucieux d’offrir un service de proximité aux
nombreux travailleurs du zoning des Hauts-Sarts et aux habitants des en-
virons du Palais des congrès. Ces deux nouveaux centres de prélèvement
s’ajoutent aux nombreux centres existants.
Dans le zoning des Hauts-Sarts
Dans les locaux du CAP Business center
(rue d’Abhooz 31 – 4040 Herstal)
Ouverture du lundi au vendredi
- Permanence de 7h30 à 8h30
- Sur RDV entre 8h30 et 9h30
Tél. 04 240 15 67
Parking aisé et gratuit
Accessible aux personnes à mobilité
réduite
Prise de sang
Deux nouveaux centres de prélèvement
Le laboratoire du CHC a ouvert en novembre deux nouveaux centres de prélèvement (prises de sang) :
nouvelles agréations
/ 1
tion de l’identifi cation la plus précise possible de la lésion,
en particulier à l’heure des thérapies ciblées en oncologie.
Bien que n’ayant aucun contact direct avec le patient, le
pathologiste est un interlocuteur incontournable quant à la
mise au point du dossier médical du patient. Ce médecin de
l’ombre, retranché derrière son microscope, ne peut travail-
ler effi cacement que dans un état d’esprit de collaboration
confraternelle avec les praticiens en charge du patient.
Notre service, qui chaque année analyse environ 25.000
biopsies et 30.000 cytologies, a obtenu en 2011 la certifi ca-
tion ISO 9001-2008, ce qui a nécessité une restructuration
complète de l’organisation de l’équipe et de la gestion des
analyses. Depuis lors, notre staff s’est étoffé d’un chef tech-
nicien en la personne de Sébastien Gathot. Le service a été
remodelé en différents secteurs avec, pour chacun d’eux,
un référent qualité. Cette certifi cation ISO 9001-2008 im-
plique la réalisation de deux audits annuels dépendant de
l’organisme Belac. Cet audit vient de se terminer pour la
cinquième année consécutive avec succès.
Depuis son ouverture en 1982 à la clinique Saint-Joseph, le
service d’anatomie pathologique a vu son activité progres-
ser et se diversifi er. Avec les progrès de la médecine, cette
spécialité évolue énormément et joue un rôle de plus en
plus important dans le dépistage, le diagnostic et le traite-
ment des pathologies. Devant la complexité des pathologies
rencontrées, chaque pathologiste de notre service a déve-
loppé des domaines de prédilection nécessitant des mises à
jour et des formations continues.
L’anatomie pathologique étant une spécialité en pleine évo-
lution technique, nous avons, notamment, développé un
secteur d’immunohistochimie de pointe ainsi qu’un secteur
de cytologie en phase liquide.
De plus, notre service cherche à développer le secteur, ex-
trêmement diffi cile, de la dermatopathologie. Raison pour
laquelle le Dr Anne Servais est allée l’an dernier se spéciali-
ser aux Hôpitaux universitaires Henri Mondor de Créteil, en
France. Non seulement elle y a obtenu le diplôme univer-
sitaire avec grande distinction, mais elle s’est classée pre-
mière de sa promotion et elle a noué des contacts avec des
experts internationaux avec lesquels elle collabore depuis
lors. Notre activité de dermatopathologie est pour l’essen-
tiel réalisée au sein même de notre service. Dans certains
cas réclamant des technique spéciales, nous expédions les
prélèvements vers les centres spécialisés avec lesquels nous
travaillons, précise le Dr Anne Servais.
La dermatopathologie représente un beau potentiel de
croissance pour notre service. Les biopsies cutanées sont un
créneau qui mérite notre attention et notre expertise tant
est grande la demande des dermatologues, mais aussi des
médecins généralistes. Les affections cutanées constituent
par exemple un tiers des consultations en pédiatrie. Dans ce
champ de compétence, la collaboration entre le dermato-
logue et le pathologiste est primordiale.
Le pathologiste est un acteur dans la prise de décision thé-
rapeutique, notamment en participant aux réunions mul-
tidisciplinaires. Les résultats des analyses permettent un
diagnostic et orientent les choix thérapeutiques en fonc-
Le service d’anatomie pathologique
renforce son activité et sa spécialisation
Dr Véronique Jossa / service d'anatomie pathologique
vie des cliniques
Nos cinq médecins pathologistes
et leurs domaines de prédilection :
Dr Véronique Jossa, chef de service :
cytologie, gynécologie et pathologie
mammaire
Dr Noella Bletard : gastroentérologie
et pédiatrie
Dr Florence Dome : pneumologie
et cytologie non gynécologique
Dr Brigitte Massart :
gastroentérologie et pédiatrie
Dr Anne Servais : dermatopathologie
et urologie
Maitrise de stage
Le Dr Philippe Evrard, cardiologue, responsable de l'unité
d'électrophysiologie et de stimulation cardiaque au CHC,
a été reconnu comme maître de stage en cardiologie
pour l'ULg, l'UCL et l'ULB le 18 octobre.
Le service de cardiologie est donc désormais un service
de stage reconnu pour les futurs cardiologues.
Après la reconnaissance du service comme centre B2 et
le développement des techniques d'angioplastie, cette
nouvelle reconnaissance permet de dynamiser encore
l'équipe, en la responsabilisant dans une tâche d'ensei-
gnement et de formation.
2 / blueprint n° 121 / décembre 2016
Ces derniers temps, un glissement des traitements de
la voie veineuse vers la voie orale s’est opéré dans le
cadre de la prise en charge des patients en oncologie.
Bien qu’ayant certains avantages pour le patient (plus
de facilité, moins de risques infectieux consécutifs aux
manipulations, moins de déplacements,…), le traite-
ment oncologique par voie orale peut présenter des
inconvénients : contrainte horaire stricte quant à la
prise des repas et des traitements, effets secondaires
non négligeables, sentiment d’isolement, diminution
des contacts avec l’équipe soignante, beaucoup d’in-
formations sur une courte période,…
La prise per os peut également infl uencer négative-
ment la qualité du traitement (banalisation de la si-
tuation par le patient et/ou son entourage, mauvaise
compréhension, manque d’adhésion, voire arrêt du
traitement), mais également la qualité de vie avec une
sous-évaluation des effets secondaires et des diffi cul-
tés à les gérer avec, comme conséquence, un retard
dans leur résolution. Ce sont toutes ces raisons qui ont
amené la mise en place d’une prise en charge et d’un
suivi infi rmier en oncologie.
Comment cela se passe-t-il ? Lorsque le médecin onco-
logue prescrit la chimiothérapie orale, le patient est
orienté vers le pharmacien hospitalier qui lui délivre
le traitement et lui donne toutes les explications
nécessaires (orales et écrites) sur le traitement, mais
aussi les médicaments classiques contre-indiqués. Le
pharmacien s’assure également qu’il n’y a pas d’inte-
ractions médicamenteuses. Il donne les coordonnées
du patient à l’infi rmière coordinatrice, qui le contacte
ensuite par téléphone et fi xe un rendez-vous à 8 jours.
Lors de cette rencontre, l’infi rmière coordinatrice s’as-
sure de la compréhension et de l’adhésion au traite-
ment. Elle évalue les effets secondaires et donne au
patient les conseils et consignes pour l’aider à les gérer
au mieux (ces conseils sont repris sur des fi ches explicatives re-
mises au patient). Le cas échéant, elle peut alerter rapidement le
médecin oncologue des effets secondaires rencontrés et/ou faire
appel à tout autre intervenant approprié (dermatologue, sto-
matologue,…). Elle vérifi e également si un nouveau traitement
a été prescrit par le médecin traitant depuis l’instauration de la
chimiothérapie.
En fonction de la situation, un plan d’action est réalisé en colla-
boration avec le patient (rencontre complémentaire, instauration
d’un traitement au laser,…). Par la suite et en l’absence de pro-
blème particulier, l’infi rmière coordinatrice reprend contact avec
le patient par téléphone la semaine suivante pour à nouveau réé-
valuer la situation et faire le point avec lui. Le médecin oncologue
revoit mensuellement le patient pour renouveler et/ou adapter le
traitement.
Ce nouveau projet s’inscrit dans la volonté du CHC de placer le pa-
tient au centre des préoccupations d’une équipe pluridisciplinaire
en collaboration étroite avec les intervenants extrahospitaliers.
Clinique Saint-Joseph
Prise en charge et suivi infi rmier en
oncologie : un nouveau service offert à
nos patients
Marie Stevens / coordination des itinéraires cliniques
Les infi rmières coordinatrices chargées de la
consultation : Anne Lambert, Cindy Gilson, Nathalie
Moeneclaey et Patricia Rakoczi, avec Bernard Destexhe,
adjoint à la direction du département infi rmier
Pratiquement
Les rencontres ont lieu à la clinique Saint-Joseph
au niveau 1A (fl échage depuis l’entrée) le lundi
après-midi et le jeudi matin.
En tant que médecin généraliste, si vous êtes
face à un patient sous chimiothérapie orale
présentant des effets secondaires probablement
liés au traitement et que vous souhaitez avoir un
avis complémentaire, n’hésitez pas à contacter
l’infi rmière coordinatrice qui répondra à votre
question ou vous orientera vers l’intervenant le
plus approprié.
Pour joindre l’infi rmière coordinatrice :
0491 90 94 82
/ 3
Début novembre, une convention est entrée en vigueur
pour le remboursement de la reconstruction mammaire
autologue (réalisée avec des tissus prélevés sur la patiente).
Le CHC est le premier hôpital wallon à l’avoir signée avec
l’INAMI.
Chaque année, dans notre pays, près de 1.500 femmes
bénéfi cient d’une reconstruction mammaire autologue, ou
par DIEP, après avoir subi une mastectomie (ablation) suite
à un cancer du sein ou en prévention de celui-ci. La conven-
tion prévoit un meilleur remboursement de la reconstruc-
tion autologue ainsi qu’une plus grande transparence des
coûts facturables. Les suppléments dits « esthétiques » sont
désormais interdits – le CHC n’en facturait déjà pas avant
la convention – et la part des frais à charge de la patiente
est réduite.
La clinique du sein du CHC fi gure parmi les leaders belges en
matière de DIEP. Ce service pluridisciplinaire compte, entre
autres spécialités médicales, une dizaine de chirurgiens
plasticiens dont trois réalisent ce type de reconstruction.
Depuis 2000, plus d’un millier de DIEP ont été pratiquées
aux cliniques Saint-Joseph (Liège) et Notre-Dame Hermalle.
Le DIEP :
la reconstruction la plus appréciée
Il existe plusieurs techniques de reconstruction mammaire :
celles associant des prothèses, donc des corps étrangers,
et celles associant des tissus prélevés sur la patiente (tissus
autologues).
En général, la chimiothérapie ne pose aucun problème
quant au choix de la technique, indique le Dr Xavier Nelis-
sen, chef du service de chirurgie plastique, esthétique et ré-
paratrice. On essaie en revanche d’éviter l’association entre
radiothérapie et prothèse. On s’oriente en ce cas plutôt vers
une reconstruction autologue.
La reconstruction autologue, ou par DIEP, fait partie des
spécialités de la clinique du sein du CHC. Le DIEP (Deep
Inferior Epigastric Perforator) est un lambeau de peau et
de graisse prélevé sur l’abdomen. Il présente l’avantage de
n’être constitué que des propres tissus de la patiente – il
n’y a ni prothèse ni prélèvement de muscle – et permet de
reconstruire un volume important.
Première étape
La reconstruction par DIEP commence par le prélèvement
de peau et de graisse situées entre l’ombilic et le pubis. Les
patientes apprécient cette reconstruction car non seule-
ment on se passe de corps étranger, mais elles bénéfi cient
secondairement d’un ventre plus plat, précise le Dr Nelis-
sen. Avec le DIEP, sont extraits une veine et une artère qui
serviront à restaurer le circuit sanguin. Il s’agit de microchi-
rurgie : les vaisseaux rebranchés sont de l’ordre d’un milli-
mètre de diamètre. Le DIEP est ensuite implanté sur le site
de la mastectomie au travers de la cicatrise existante, et le
volume initial du sein est recréé. L’intervention (sous anes-
thésie générale) dure 4 à 6 heures et est suivie de 4 à 6 jours
d’hospitalisation.
Deuxième étape (3 à 4 mois après)
Une fois que l’abdomen a bien cicatrisé et que le DIEP s’est
assoupli, le plasticien procède à la symétrisation du sein
controlatéral et aux corrections du DIEP – éventuellement
en injectant de la graisse prélevée par liposuccion (lipofi l-
ling).
Troisième étape (3 à 4 mois après)
Le travail du plasticien se termine par la reconstruction du
mamelon. L’intervention (sous anesthésie locale) est prati-
quée en externe (sans hospitalisation) et dure une demi-
heure.
Quatrième étape
Une infi rmière spécialisée réalise le tatouage (aspect pig-
menté) de l’aréole (sous anesthésie locale).
Une reconstruction par DIEP se déroule donc sur une année
et présente nombre d’avantages, parmi lesquels :
la patiente retrouve une féminité normale, après avoir
subi une mutilation
la reconstruction est défi nitive et permet une réinnerva-
tion (le DIEP redevient progressivement sensible)
le DIEP suit l’évolution pondérale de la patiente (il grossit
ou maigrit si elle prend ou perd du poids) ainsi que la
dynamique du sein (en position couchée, par exemple),
ce qui est moins le cas avec l’implantation d’une prothèse
Clinique du sein
Reconstruction mammaire : le CHC, premier
hôpital wallon conventionné avec l’INAMI
Eddy Lambert / service communication
vie des cliniques
Voici les dates des rencontres de la commission de contact
médecins généralistes – médecins hospitaliers pour l’année
2017. Comme d'habitude, elles se dérouleront à 12h30 au
104 rue de Hesbaye à 4000 Liège (asbl des médecins), avec
sandwichs et boissons.
Les réunions sont accréditées. Les thèmes abordés lors des
différentes rencontres seront communiqués ultérieurement.
Mardi 31 janvier
Mardi 21 février
Mardi 28 mars
Mardi 25 avril
Mardi 30 mai
Mardi 27 juin
Mardi 26 septembre
Mardi 24 octobre
Mardi 28 novembre
agenda
4 / blueprint n° 121 / décembre 2016
Dr Carla Ciobanu
Diplômée de la Faculté
de médecine de l’Univer-
sité Carol-Davilla à Bucarest
(Roumanie) et reconnue
neurologue en 2006, le Dr
Carla Ciobanu s’est spéciali-
sée pendant quatre mois en
pathologie neurovasculaire au sein de l’unité neu-
rovasculaire des Cliniques universitaires Saint-Luc à
Bruxelles (Dr André Peeters) en 2014. Après avoir
exercé au Centre hospitalier de l’Ardenne à Libra-
mont, le Dr Ciobanu a rejoint le service de neuro-
logie du CHC. Elle assure la supervision de l’unité
neurovasculaire de la clinique Saint-Joseph (cinq
demi-journées) et une consultation spécialisée des
pathologies neurovasculaires, en collaboration avec
le Dr Philippe Desfontaines. Depuis le 1er octobre
2015, le Dr Ciobanu développe également la prise
en charge de la pathologie neurovasculaire (AVC)
à la clinique Sainte-Elisabeth (Heusy) où elle preste
cinq demi-journées.
Dr Céline D’Aout
Diplômée de l’ULg et recon-
nue neurologue en 2016, le
Dr D’Aout s’est spécialisée
pendant six mois en neuro-
oncologie à l’Université de
Sherbrooke au Canada (Pr
David Fortin), notamment
dans la prise en charge par chimiothérapie intra-
artérielle cérébrale des patients atteints de gliome,
lymphome cérébral et métastases cérébrales. Elle
a rejoint le service de neurologie du CHC afi n de
développer, en collaboration avec les services de
neurochirurgie, d’oncologie et de radiothérapie, un
itinéraire clinique pour la prise en charge des pa-
tients atteints de tumeur cérébrale primitive ou de
métastases.
Elle s’est également formée à la prise en charge
des pathologies neuro-immunitaires (sclérose en
plaques) auprès du Dr Annick Melin, responsable
des consultations spécialisées dans les pathologies
infl ammatoires du système nerveux central au CHC,
ainsi qu’auprès du Pr Valérie Delvaux au CHU de
Liège. Le Dr D’Aout complètera son activité dans
le service de neurologie par la prise en charge, en
collaboration avec le Dr Melin, des patients atteints
de sclérose en plaques. Le Dr D’Aout prestera trois
demi-journées à la clinique de l’Espérance et six de-
mi-journées à Saint-Joseph.
Dr Nathalie Onclinx
Diplômée de l’UCL et recon-
nue neurologue en 2015,
le Dr Nathalie Onclinx s’est
spécialisée pendant un an
dans le diagnostic et la prise
en charge des mouvements
anormaux, dont la maladie
de Parkinson, à l’Hôpital universitaire de la Salpê-
trière à Paris (Pr Marie Vidailhet). Elle a participé et
continue de participer jusque fi n 2017 à un pro-
gramme de recherche à la Salpêtrière sur la neurosti-
mulation dans la maladie de Parkinson. Elle a rejoint
le service de neurologie du CHC pour développer
des consultations spécialisées et un itinéraire cli-
nique dans le diagnostic et le traitement des mouve-
ments anormaux, mais aussi dans la prise en charge
des complications liées à la maladie de Parkinson.
L’unité Parkinson et mouvements anormaux (voir p.
6) est située à la clinique de l’Espérance et dispose
d’un équipement vidéo pour l’enregistrement des
patients afi n de mieux évaluer l’effi cacité des thé-
rapeutiques et le suivi de l’évolution clinique. Le Dr
Onclinx preste cinq demi-journées à l’Espérance et
une demi-journée à Saint-Joseph.
Dr Julie Truong
Diplômée de l’ULg et recon-
nue neurologue en 2016,
le Dr Julie Truong s’est spé-
cialisée pendant un an dans
le diagnostic et la prise en
charge de l’épilepsie, et
plus particulièrement de
l’épilepsie réfractaire, au Centre hospitalier régio-
nal universitaire de Nancy (Pr Louis Maillard) où
elle a acquis un DIU (diplôme interuniversitaire) en
épileptologie. Elle a rejoint le service de neurologie
du CHC afi n de développer l’unité d’épileptolo-
gie. Celle-ci est constituée de deux lits équipés de
matériel vidéo-EEG permettant d’enregistrer l’élec-
troencéphalogramme et de fi lmer simultanément
les patients, mais aussi de matériel d’enregistrement
d’EEG de 24h ambulatoire (Holter EEG 24h). Le Dr
Truong assure aussi les consultations spécialisées
d’épilepsie. Elle preste six demi-journées à Saint-Jo-
seph et deux demi-journées à Sainte-Elisabeth.
Service de neurologie :
quatre nouveaux prestataires de soins
Depuis le 1er octobre 2015, le service de neurologie du CHC a accueilli quatre
nouveaux prestataires de soins. Présentation de ces nouveaux visages.
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