UNIFICA T I ON DE S É Q U A T I O N S DE FORCE C L A S S I Q U E S
Page 4 André Michaud
N8E98.23872180
11-E35.29177208 53)(2187691.2
31E9.10938188
r
v
mam
rε4π
e
F22
2
0
2
(9)
et effectivement, nous observons que la force calculée est exactement la même avec les
deux équations.
3- Ratio douteux des forces électrostatique et gravitationnelle
Cependant, et paradoxalement, en dépit d'avoir prouvé l'équation (8) et l'équation (2) sont
séparément égales à l'équation (1), soit F=ma, les ouvrages d'introduction à la physique ([3], p
465), donnent de manière routinière l'exemple suivant pour "prouver" que la force électrostatique
(de l'équation de Coulomb) est immensément plus intense que la force gravitationnelle!
En effet, lorsque l'équation gravitationnelle (2) est résolue avec la constante gravitation-
nelle "G", la masse "M" du proton, la masse "m" de l'électron et le rayon "r" de l'orbite de Bohr,
nous obtenons l'intensité de force suivante, ce qui est en totale contradiction avec le fait vérifié
que d'une part, l'équation (1) a été démontrée être égale par définition à l'équation (2), et d'autre
part, que la même équation (1) a été démontrée comme étant égale à l'équation (8):
473.643E
115.291E
319.110E271.677E
116.673E
r
Mm
GF 22
(10)
L'établissant subséquent d'un ratio en divisant l'équation de la force électrostatique (8) par
l'équation de la force gravitationnelle (2), résolue avec les véritables données de l'atome de Bohr
avec l'équation (10), semble révéler que la force gravitationnelle serait 39 ordres de magnitude
moins intense que la force électrostatique:
(11)
Mais comment ces auteurs peuvent-ils logiquement considérer une telle proposition après
avoir démontré par ailleurs en totale contradiction que F=ma donne exactement la même force
dans les deux cas, un fait que nous venons d'ailleurs de vérifier nous-mêmes avec les deux équa-
tions, gravitationnelle (3) et électrostatique (9)!
Il semble incompréhensible que personne dans la communauté n'aie remarqué, et à tous le
moins tenté de résoudre cette inconsistence par le passé, car il est logiquement impossible que
deux équations égales à une troisième ne soient pas égales entre elles. Une cause possible est pos-
siblement l'impression générale que la mécanique classique a depuis longtemps livré tous ses se-
crets. Alors, quelle est la solution de cette énigme apparente?
4- La masse du Soleil inclue dans la constante gravitationnelle (G)
Un réexamen de l'équation (7) nous donne la clé de ce paradoxe apparent.
Nous observons que la définition traditionnelle de la constante "G" révélée à l'équation (7)
et qui permet de dériver la troisième loi de Kepler, utilise 3 variables qui sont utilisée comme
constantes, et dont les valeurs sont tout à fait appropriées pour les ordres de grandeur astronomi-
ques, mais sont loin hors de proportion pour traiter les valeurs du niveau atomique, ce qui est pré-