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!
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
∆!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
∆!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s.
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
∆!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
∆!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=−mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt
<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1
.
3.
6
8
4
2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
vb=−v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
−v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
−mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=−mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt
<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1
.
3.
6
8
4
2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
vb=−v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
−v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
−mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=−mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt
<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1
.
3.
6
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
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3. a.
!
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!
i avec vr%0 ;
b. !
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!
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!
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!
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j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
−mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
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2
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
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uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
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oB
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soit
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c. Si zA'e<t
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Ainsi, zg
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t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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, k
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()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
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3. a.
!
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b. !
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
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r
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r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
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la composante horizontale est :
!
T=Rt
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
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=+gt2
2
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
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f=−mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
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Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
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c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
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Ainsi, zg
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b2!C', donc :
zg
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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, k
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()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
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3. a.
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b. !
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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b. La composante verticale est :
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la composante horizontale est :
!
T=Rt
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
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v=+ gt !
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
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2
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
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uz, soit
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dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
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Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
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b1<e<bt
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Ainsi, zg
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La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
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.
3.
6
8
4
2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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, k
!
()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
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i+v2
!
j+vr
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i=vr
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!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
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un
−mg!
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soit mdv
dt"Rt,
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r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
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N=Rz
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uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
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ut+Rn
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un=mdv
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
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OM
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2
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uz.
© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
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f=−mb !
v+mg!
uz, soit
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dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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Donc l’équation se réécrit :
<A
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b"0,
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c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
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Ainsi, zg
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La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1
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3.
6
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t (s)
V0 (m · s–1)
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4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
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b. Les frottements sont donc négligeables
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b. En supposant que l’accélération est restée
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27
1. b. O, i
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, j
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
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3. a.
!
vr=vr
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j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
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!
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!
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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2
!
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4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
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0"g
b2!C', donc :
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
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6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
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i>0.
3. a.
!
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i avec vr%0 ;
b. !
vb=−v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
−v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
−mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=−mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt
.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt
<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
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²
²
¥
¦
´
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La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
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.
3.
6
8
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2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
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!
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j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
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r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
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uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
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uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
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!
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dt
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ut+mv2
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
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=+gt2
2
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uz.
© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
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uz, soit
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dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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o.
Donc l’équation se réécrit :
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c. Si zA'e<t
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o' et
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Ainsi, zg
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b2!C', donc :
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t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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, k
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est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
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r
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=Rz
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−mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
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uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
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v=+ gt !
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
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2
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
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v+mg!
uz, soit
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dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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Donc l’équation se réécrit :
<A
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Les conditions initiales donnent :
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b"0,
donc pour fi nir vzg
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c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
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o' et
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Ainsi, zg
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3.
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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est fi xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
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j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
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&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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b. Cherchons vzAe<t
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
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2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
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3. a.
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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!
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=Rz
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dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
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N=Rz
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uz=mg !
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la composante horizontale est :
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
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© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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a=m!
g+
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v+mg!
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Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
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c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
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Ainsi, zg
b
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La condition initiale impose
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b2!C', donc :
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b2e<bt bt <1
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t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
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la condition de non glissement devient
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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a=m!
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2
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© Éditions Belin, 2012