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On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
a!"!dv/dt!"!d2x/dt2!"!7,1 m · s<2.
On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
conde fois pour avoir la distance parcourue :
v(t)!"!at et ainsi x(t)!"!1/2at2!"!54 m. La voiture
électrique passe de 0 à 100 km · h<1 en 54 m.
4. Pour déterminer la voiture qui a la meilleure
accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
a!"!6v/6t!"!(27,8 < 0)/(4,2 < 0)!"!6,6 m · s<2.
La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
6
1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
!
E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
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3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
P!"!mg!"!l # 4/3πr3g!
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1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
!
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F
exercée par le téléski.
b.
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D
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c. En projection sur les axes :
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P=mg sin`!
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,
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2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
vectorielle des forces qui s’appliquent sur
lui est nulle donc en projection sur
!
ux :
Fcos_<mgsin`0 et en projection sur !
uy :
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La force exercée par la remontée mécanique
sur lui est donc Fmgsin`
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b.
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cos(30$)"157 N.
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1. Les forces exercées sur le carton sont :
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52 LIVRE DU PROFESSEUR
On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
a!"!dv/dt!"!d2x/dt2!"!7,1 m · s<2.
On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
conde fois pour avoir la distance parcourue :
v(t)!"!at et ainsi x(t)!"!1/2at2!"!54 m. La voiture
électrique passe de 0 à 100 km · h<1 en 54 m.
4. Pour déterminer la voiture qui a la meilleure
accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
a!"!6v/6t!"!(27,8 < 0)/(4,2 < 0)!"!6,6 m · s<2.
La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
6
1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
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E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
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3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
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1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
!
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b.
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c. En projection sur les axes :
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2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
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lui est nulle donc en projection sur
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b.
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cos(30$)"157 N.
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1. Les forces exercées sur le carton sont :
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On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
a!"!dv/dt!"!d2x/dt2!"!7,1 m · s<2.
On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
conde fois pour avoir la distance parcourue :
v(t)!"!at et ainsi x(t)!"!1/2at2!"!54 m. La voiture
électrique passe de 0 à 100 km · h<1 en 54 m.
4. Pour déterminer la voiture qui a la meilleure
accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
a!"!6v/6t!"!(27,8 < 0)/(4,2 < 0)!"!6,6 m · s<2.
La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
6
1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
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E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
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3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
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1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
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R et la force
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F
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b.
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c. En projection sur les axes :
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2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
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lui est nulle donc en projection sur
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1. Les forces exercées sur le carton sont :
le poids m!
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52 LIVRE DU PROFESSEUR
On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
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On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
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électrique passe de 0 à 100 km · h<1 en 54 m.
4. Pour déterminer la voiture qui a la meilleure
accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
a!"!6v/6t!"!(27,8 < 0)/(4,2 < 0)!"!6,6 m · s<2.
La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
6
1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
!
E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
!
F+
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3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
P!"!mg!"!l # 4/3πr3g!
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4. |q|!"!|<P/E|!"!3,29 · 10<14/2,05 · 105!
!"!1,60 · 10<19 C.
12
1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
!
R et la force
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F
exercée par le téléski.
b.
uxuy
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c. En projection sur les axes :
!
R=R!
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2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
vectorielle des forces qui s’appliquent sur
lui est nulle donc en projection sur
!
ux :
Fcos_<mgsin`0 et en projection sur !
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Fsin_<mgcos`R0.
La force exercée par la remontée mécanique
sur lui est donc Fmgsin`
cos_.
b.
F"80#9,81#sin10$
cos(30$)"157 N.
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1. Les forces exercées sur le carton sont :
le poids m!
g=mg !
uy, la tension exercée par
les deux ls : !
F1=F1cos _
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2. Le carton est au repos donc la somme
des forces qui lui sont appliquées est nulle :
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a. Projeté suivant !
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On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
a!"!dv/dt!"!d2x/dt2!"!7,1 m · s<2.
On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
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accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
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La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
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1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
!
E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
!
F+
!
P=
!
0.
3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
P!"!mg!"!l # 4/3πr3g!
! "!800 # 4/3π(10<6)3 # 9,81!
! "!3,29 · 10<14 N.
4. |q|!"!|<P/E|!"!3,29 · 10<14/2,05 · 105!
!"!1,60 · 10<19 C.
12
1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
!
R et la force
!
F
exercée par le téléski.
b.
uxuy
R
P
F
D
E
c. En projection sur les axes :
!
R=R!
uy, !
P=mg sin`!
ux+cos`!
uy
()
,
!
FFcos_!
uxsin_!
uy

.
2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
vectorielle des forces qui s’appliquent sur
lui est nulle donc en projection sur
!
ux :
Fcos_<mgsin`0 et en projection sur !
uy :
Fsin_<mgcos`R0.
La force exercée par la remontée mécanique
sur lui est donc Fmgsin`
cos_.
b.
F"80#9,81#sin10$
cos(30$)"157 N.
13
1. Les forces exercées sur le carton sont :
le poids m!
g=mg !
uy, la tension exercée par
les deux ls : !
F1=F1cos _
()
!
ux+sin _
()
!
uy
()
et
!
F2=F2
cos _
()
!
ux+sin _
()
!
uy
()
.
2. Le carton est au repos donc la somme
des forces qui lui sont appliquées est nulle :
m!
g+
!
F1+
!
F2=
!
0.
a. Projeté suivant !
ux, cela donne :
F1cos _
()
F2cos _
()
=0, donc F1"F2"F.
b. Projeté suivant !
uy, cela donne :
2Fsin _

mg, donc
F"mg
2sin _
%&
.
© Éditions Belin, 2012
52 LIVRE DU PROFESSEUR
On en déduit alors :
6t!"!6v/a!"!(27,8!<!0)/7,1!"!3,9 s.
La voiture électrique passe donc de 0 à
100 km · h<1 en 3,9 s.
3. Le mouvement se fait à accélération
constante donc :
a!"!dv/dt!"!d2x/dt2!"!7,1 m · s<2.
On intègre alors une fois l’accélération pour
avoir accès à la vitesse puis on intègre une se-
conde fois pour avoir la distance parcourue :
v(t)!"!at et ainsi x(t)!"!1/2at2!"!54 m. La voiture
électrique passe de 0 à 100 km · h<1 en 54 m.
4. Pour déterminer la voiture qui a la meilleure
accélération entre la voiture électrique et la
voiture à essence, il suffi t alors de calculer
l’accélération supposée constante de la voi-
ture à essence :
a!"!6v/6t!"!(27,8 < 0)/(4,2 < 0)!"!6,6 m · s<2.
La voiture électrique a donc une meilleure ac-
célération que la voiture à essence.
6
1. a. L’accélération du système entre 0 et
5 s correspond au coeffi cient directeur de la
courbe représentant la vitesse en fonction du
temps. Ainsi a!"!(50 < 0)/(5 < 0)!"!10 m · s<2.
b. Le mouvement de 0 à 5 s est un mouvement
rectiligne uniformément accéléré.
2. L’accélération est nulle de 20 à 30 s car la
vitesse est constante dans cette période de
temps. Le parachutiste a alors un mouvement
rectiligne uniforme.
7
1. Le référentiel dans lequel ces mesures
de vitesse ont été effectuées est le référentiel
terrestre.
2. a. La vitesse de Goss dans le référentiel lié
à Cavendish est v!"!2 km · h<1.
b. Dans le référentiel lié à Cavendish, Goss est
en train de reculer à la vitesse de 2 km · h<1.
11
1. Les forces qui agissent sur la goutte-
lette sont : le poids
!
P=m!
g et la force
!
F=q
!
E
due au champ électrique.
2. « pour maintenir en équilibre une goutte-
lette d’huile… » signifi e que la gouttelette est
un système pseudo-isolé et que :
!
F+
!
P=
!
0.
3. Le poids qui s’exerce sur la gouttelette est :
P!"!mg!"!l # 4/3πr3g!
! "!800 # 4/3π(10<6)3 # 9,81!
! "!3,29 · 10<14 N.
4. |q|!"!|<P/E|!"!3,29 · 10<14/2,05 · 105!
!"!1,60 · 10<19 C.
12
1. a. Dans le référentiel terrestre gali-
léen, le skieur est soumis à 3 forces : le poids
!
P, la réaction de la piste
!
R et la force
!
F
exercée par le téléski.
b.
uxuy
R
P
F
D
E
c. En projection sur les axes :
!
R=R!
uy, !
P=mg sin`!
ux+cos`!
uy
()
,
!
FFcos_!
uxsin_!
uy

.
2. a. Selon la 2e loi de Newton, comme le
skieur remonte à vitesse constante la somme
vectorielle des forces qui s’appliquent sur
lui est nulle donc en projection sur
!
ux :
Fcos_<mgsin`0 et en projection sur !
uy :
Fsin_<mgcos`R0.
La force exercée par la remontée mécanique
sur lui est donc Fmgsin`
cos_.
b.
F"80#9,81#sin10$
cos(30$)"157 N.
13
1. Les forces exercées sur le carton sont :
le poids m!
g=mg !
uy, la tension exercée par
les deux ls : !
F1=F1cos _
()
!
ux+sin _
()
!
uy
()
et
!
F2=F2
cos _
()
!
ux+sin _
()
!
uy
()
.
2. Le carton est au repos donc la somme
des forces qui lui sont appliquées est nulle :
m!
g+
!
F1+
!
F2=
!
0.
a. Projeté suivant !
ux, cela donne :
F1cos _
()
F2cos _
()
=0, donc F1"F2"F.
b. Projeté suivant !
uy, cela donne :
2Fsin _

mg, donc
F"mg
2sin _
%&
.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 53
3. La boîte exerce sur la celle une force
!
F1
(3e loi de Newton). Or si _A0 ou si mA' ,
FA' : la celle va casser. Pour que la fi celle
ne casse pas, il faut un angle suffi sant et donc
une grande fi celle.
14
1. Bilan des forces :
le poids m!
g=mg ±sin_!
uxcos_!
uy
()
, la réac-
tion du sol !
R=N!
uy, la force de frottement
!
ff=h!
v=hv!
ux, et la force exercée par le
cycliste sur le vélo !
F=F!
ux. La 2e loi de New-
ton donne suivant !
ux :
±mgsin_hv+F=0.
a. F=hv.
b. F!mgsin_"hv.
c. F <mg sin_  hv.
18
1. La quantité de mouvement éjectée
par unité de temps par les réacteurs est équi-
valente à une force. À l’instant t, le gaz n’est
pas encore propulsé, le système peut être
considéré comme ouvert ou fermé, on a :
!
Pot
()
=
!
Pft
()
. À l’instant t " 6t, l’éjection des
gaz est entamée, le système fermé corres-
pond au système ouvert plus le gaz éjecté,
donc
!
Pft+t
()
=
!
Pot+t
()
+
!
Pe.
Avec la 2e loi de Newton, on trouve que :
!
Pot+t
()
!
Pot
()
t=
!
F
!
Pe
t
, le dernier
terme étant la force de poussée.
2.
Fp!dm
dtve donc :
dm!Fp
ve
dt!100u103
115u103#60 !52 kg.
19
1. a. Lors du tir, la Grosse Bertha reculait.
b. On considère comme système fermé l’en-
semble {Grosse Bertha + Boulet}. Ce système
est immobile dans le référentiel terrestre
supposé galiléen, il est donc pseudo-isolé.
La quantité de mouvement du système se
conserve donc.
On a : pf(t!0)!pf(t!ttir ).
Soit :
0
!
=!
pBertha (t=ttir )+!
pBoulet (t=ttir )
soit enfi n :
pBertha (t!ttir )!Mv !pBoulet (t!ttir )!mv'.
D’où :
v!mv '
M.
AN :
v!700#400
70u103!4 mus<1!14 kmuh<1.
2. a. Si la masse du canon était de 10 tonnes
alors v ! 28 m · s<1 ! 101 km · h<1, et donc le
recul aurait été très important.
b. La grosse Bertha a une masse importante
pour limiter le recul du canon.
20
1. Le système fermé que nous allons
choisir pour effectuer le bilan de quantité
de mouvement de l’éternuement est l’être
humain avec l’air dans les poumons. Avant
l’éternuement, l’air est dans les poumons.
Après 6t, le système fermé est l’être humain
et 1,3 L d’air éjecté.
2. La quantité de mouvement a une direction
horizontale et vers l’avant du corps humain et
si l’on pose v ! 100 km · h<1 alors :
p ! mv ! 0,0013 # (100/3,6)
! 0,036 kg · m · s<1.
3. La force de poussée appliquée est alors ho-
rizontale et de direction opposée à la quan-
tité de mouvement du gaz éjecté. La force de
poussée est alors
!
F=
!
pe
t de norme com-
prise entre 0,0013 #$(100/3,6)/0,5 ! 0,072 N
et 0,0013 #$(800/3,6)/0,5 ! 0,58 N. La force
de poussée d’un éternuement est très faible
et ne peut pas être utilisée pour faire reculer
un être humain, même si la direction et le sens
sont corrects. En réalité la contraction abdo-
minale est tellement intense qu’elle oblige le
buste à se courber vers l’avant et donc à ne
pas reculer.
21
1. Le référentiel terrestre est galiléen.
2. Si le système est pseudo-isolé, la quantité
de mouvement se conserve.
3. Avant le choc :
!
pf=!
pboule1, et après le
choc :
!
pf=!
pboule2 , donc
!
pboule2 =!
pboule1.
Après le choc, la boule 2 se déplace donc dans
la même direction, le même sens et avec la
même vitesse que la boule 1 avant le choc. Le
mouvement est donc rectiligne uniforme.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 53
3. La boîte exerce sur la celle une force
!
F1
(3e loi de Newton). Or si _A0 ou si mA' ,
FA' : la celle va casser. Pour que la fi celle
ne casse pas, il faut un angle suffi sant et donc
une grande fi celle.
14
1. Bilan des forces :
le poids m!
g=mg ±sin_!
uxcos_!
uy
()
, la réac-
tion du sol !
R=N!
uy, la force de frottement
!
ff=h!
v=hv!
ux, et la force exercée par le
cycliste sur le vélo !
F=F!
ux. La 2e loi de New-
ton donne suivant !
ux :
±mgsin_hv+F=0.
a. F=hv.
b. F!mgsin_"hv.
c. F <mg sin_  hv.
18
1. La quantité de mouvement éjectée
par unité de temps par les réacteurs est équi-
valente à une force. À l’instant t, le gaz n’est
pas encore propulsé, le système peut être
considéré comme ouvert ou fermé, on a :
!
Pot
()
=
!
Pft
()
. À l’instant t " 6t, l’éjection des
gaz est entamée, le système fermé corres-
pond au système ouvert plus le gaz éjecté,
donc
!
Pft+t
()
=
!
Pot+t
()
+
!
Pe.
Avec la 2e loi de Newton, on trouve que :
!
Pot+t
()
!
Pot
()
t=
!
F
!
Pe
t
, le dernier
terme étant la force de poussée.
2.
Fp!dm
dtve donc :
dm!Fp
ve
dt!100u103
115u103#60 !52 kg.
19
1. a. Lors du tir, la Grosse Bertha reculait.
b. On considère comme système fermé l’en-
semble {Grosse Bertha + Boulet}. Ce système
est immobile dans le référentiel terrestre
supposé galiléen, il est donc pseudo-isolé.
La quantité de mouvement du système se
conserve donc.
On a : pf(t!0)!pf(t!ttir ).
Soit :
0
!
=!
pBertha (t=ttir )+!
pBoulet (t=ttir )
soit enfi n :
pBertha (t!ttir )!Mv !pBoulet (t!ttir )!mv'.
D’où :
v!mv '
M.
AN :
v!700#400
70u103!4 mus<1!14 kmuh<1.
2. a. Si la masse du canon était de 10 tonnes
alors v ! 28 m · s<1 ! 101 km · h<1, et donc le
recul aurait été très important.
b. La grosse Bertha a une masse importante
pour limiter le recul du canon.
20
1. Le système fermé que nous allons
choisir pour effectuer le bilan de quantité
de mouvement de l’éternuement est l’être
humain avec l’air dans les poumons. Avant
l’éternuement, l’air est dans les poumons.
Après 6t, le système fermé est l’être humain
et 1,3 L d’air éjecté.
2. La quantité de mouvement a une direction
horizontale et vers l’avant du corps humain et
si l’on pose v ! 100 km · h<1 alors :
p ! mv ! 0,0013 # (100/3,6)
! 0,036 kg · m · s<1.
3. La force de poussée appliquée est alors ho-
rizontale et de direction opposée à la quan-
tité de mouvement du gaz éjecté. La force de
poussée est alors
!
F=
!
pe
t de norme com-
prise entre 0,0013 #$(100/3,6)/0,5 ! 0,072 N
et 0,0013 #$(800/3,6)/0,5 ! 0,58 N. La force
de poussée d’un éternuement est très faible
et ne peut pas être utilisée pour faire reculer
un être humain, même si la direction et le sens
sont corrects. En réalité la contraction abdo-
minale est tellement intense qu’elle oblige le
buste à se courber vers l’avant et donc à ne
pas reculer.
21
1. Le référentiel terrestre est galiléen.
2. Si le système est pseudo-isolé, la quantité
de mouvement se conserve.
3. Avant le choc :
!
pf=!
pboule1, et après le
choc :
!
pf=!
pboule2 , donc
!
pboule2 =!
pboule1.
Après le choc, la boule 2 se déplace donc dans
la même direction, le même sens et avec la
même vitesse que la boule 1 avant le choc. Le
mouvement est donc rectiligne uniforme.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 53
3. La boîte exerce sur la celle une force
!
F1
(3e loi de Newton). Or si _A0 ou si mA' ,
FA' : la celle va casser. Pour que la fi celle
ne casse pas, il faut un angle suffi sant et donc
une grande fi celle.
14
1. Bilan des forces :
le poids m!
g=mg ±sin_!
uxcos_!
uy
()
, la réac-
tion du sol !
R=N!
uy, la force de frottement
!
ff=h!
v=hv!
ux, et la force exercée par le
cycliste sur le vélo !
F=F!
ux. La 2e loi de New-
ton donne suivant !
ux :
±mgsin_hv+F=0.
a. F=hv.
b. F!mgsin_"hv.
c. F <mg sin_  hv.
18
1. La quantité de mouvement éjectée
par unité de temps par les réacteurs est équi-
valente à une force. À l’instant t, le gaz n’est
pas encore propulsé, le système peut être
considéré comme ouvert ou fermé, on a :
!
Pot
()
=
!
Pft
()
. À l’instant t " 6t, l’éjection des
gaz est entamée, le système fermé corres-
pond au système ouvert plus le gaz éjecté,
donc
!
Pft+t
()
=
!
Pot+t
()
+
!
Pe.
Avec la 2e loi de Newton, on trouve que :
!
Pot+t
()
!
Pot
()
t=
!
F
!
Pe
t
, le dernier
terme étant la force de poussée.
2.
Fp!dm
dtve donc :
dm!Fp
ve
dt!100u103
115u103#60 !52 kg.
19
1. a. Lors du tir, la Grosse Bertha reculait.
b. On considère comme système fermé l’en-
semble {Grosse Bertha + Boulet}. Ce système
est immobile dans le référentiel terrestre
supposé galiléen, il est donc pseudo-isolé.
La quantité de mouvement du système se
conserve donc.
On a : pf(t!0)!pf(t!ttir ).
Soit :
0
!
=!
pBertha (t=ttir )+!
pBoulet (t=ttir )
soit enfi n :
pBertha (t!ttir )!Mv !pBoulet (t!ttir )!mv'.
D’où :
v!mv '
M.
AN :
v!700#400
70u103!4 mus<1!14 kmuh<1.
2. a. Si la masse du canon était de 10 tonnes
alors v ! 28 m · s<1 ! 101 km · h<1, et donc le
recul aurait été très important.
b. La grosse Bertha a une masse importante
pour limiter le recul du canon.
20
1. Le système fermé que nous allons
choisir pour effectuer le bilan de quantité
de mouvement de l’éternuement est l’être
humain avec l’air dans les poumons. Avant
l’éternuement, l’air est dans les poumons.
Après 6t, le système fermé est l’être humain
et 1,3 L d’air éjecté.
2. La quantité de mouvement a une direction
horizontale et vers l’avant du corps humain et
si l’on pose v ! 100 km · h<1 alors :
p ! mv ! 0,0013 # (100/3,6)
! 0,036 kg · m · s<1.
3. La force de poussée appliquée est alors ho-
rizontale et de direction opposée à la quan-
tité de mouvement du gaz éjecté. La force de
poussée est alors
!
F=
!
pe
t de norme com-
prise entre 0,0013 #$(100/3,6)/0,5 ! 0,072 N
et 0,0013 #$(800/3,6)/0,5 ! 0,58 N. La force
de poussée d’un éternuement est très faible
et ne peut pas être utilisée pour faire reculer
un être humain, même si la direction et le sens
sont corrects. En réalité la contraction abdo-
minale est tellement intense qu’elle oblige le
buste à se courber vers l’avant et donc à ne
pas reculer.
21
1. Le référentiel terrestre est galiléen.
2. Si le système est pseudo-isolé, la quantité
de mouvement se conserve.
3. Avant le choc :
!
pf=!
pboule1, et après le
choc :
!
pf=!
pboule2 , donc
!
pboule2 =!
pboule1.
Après le choc, la boule 2 se déplace donc dans
la même direction, le même sens et avec la
même vitesse que la boule 1 avant le choc. Le
mouvement est donc rectiligne uniforme.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 53
3. La boîte exerce sur la celle une force
!
F1
(3e loi de Newton). Or si _A0 ou si mA' ,
FA' : la celle va casser. Pour que la fi celle
ne casse pas, il faut un angle suffi sant et donc
une grande fi celle.
14
1. Bilan des forces :
le poids m!
g=mg ±sin_!
uxcos_!
uy
()
, la réac-
tion du sol !
R=N!
uy, la force de frottement
!
ff=h!
v=hv!
ux, et la force exercée par le
cycliste sur le vélo !
F=F!
ux. La 2e loi de New-
ton donne suivant !
ux :
±mgsin_hv+F=0.
a. F=hv.
b. F!mgsin_"hv.
c. F <mg sin_  hv.
18
1. La quantité de mouvement éjectée
par unité de temps par les réacteurs est équi-
valente à une force. À l’instant t, le gaz n’est
pas encore propulsé, le système peut être
considéré comme ouvert ou fermé, on a :
!
Pot
()
=
!
Pft
()
. À l’instant t " 6t, l’éjection des
gaz est entamée, le système fermé corres-
pond au système ouvert plus le gaz éjecté,
donc
!
Pft+t
()
=
!
Pot+t
()
+
!
Pe.
Avec la 2e loi de Newton, on trouve que :
!
Pot+t
()
!
Pot
()
t=
!
F
!
Pe
t
, le dernier
terme étant la force de poussée.
2.
Fp!dm
dtve donc :
dm!Fp
ve
dt!100u103
115u103#60 !52 kg.
19
1. a. Lors du tir, la Grosse Bertha reculait.
b. On considère comme système fermé l’en-
semble {Grosse Bertha + Boulet}. Ce système
est immobile dans le référentiel terrestre
supposé galiléen, il est donc pseudo-isolé.
La quantité de mouvement du système se
conserve donc.
On a : pf(t!0)!pf(t!ttir ).
Soit :
0
!
=!
pBertha (t=ttir )+!
pBoulet (t=ttir )
soit enfi n :
pBertha (t!ttir )!Mv !pBoulet (t!ttir )!mv'.
D’où :
v!mv '
M.
AN :
v!700#400
70u103!4 mus<1!14 kmuh<1.
2. a. Si la masse du canon était de 10 tonnes
alors v ! 28 m · s<1 ! 101 km · h<1, et donc le
recul aurait été très important.
b. La grosse Bertha a une masse importante
pour limiter le recul du canon.
20
1. Le système fermé que nous allons
choisir pour effectuer le bilan de quantité
de mouvement de l’éternuement est l’être
humain avec l’air dans les poumons. Avant
l’éternuement, l’air est dans les poumons.
Après 6t, le système fermé est l’être humain
et 1,3 L d’air éjecté.
2. La quantité de mouvement a une direction
horizontale et vers l’avant du corps humain et
si l’on pose v ! 100 km · h<1 alors :
p ! mv ! 0,0013 # (100/3,6)
! 0,036 kg · m · s<1.
3. La force de poussée appliquée est alors ho-
rizontale et de direction opposée à la quan-
tité de mouvement du gaz éjecté. La force de
poussée est alors
!
F=
!
pe
t de norme com-
prise entre 0,0013 #$(100/3,6)/0,5 ! 0,072 N
et 0,0013 #$(800/3,6)/0,5 ! 0,58 N. La force
de poussée d’un éternuement est très faible
et ne peut pas être utilisée pour faire reculer
un être humain, même si la direction et le sens
sont corrects. En réalité la contraction abdo-
minale est tellement intense qu’elle oblige le
buste à se courber vers l’avant et donc à ne
pas reculer.
21
1. Le référentiel terrestre est galiléen.
2. Si le système est pseudo-isolé, la quantité
de mouvement se conserve.
3. Avant le choc :
!
pf=!
pboule1, et après le
choc :
!
pf=!
pboule2 , donc
!
pboule2 =!
pboule1.
Après le choc, la boule 2 se déplace donc dans
la même direction, le même sens et avec la
même vitesse que la boule 1 avant le choc. Le
mouvement est donc rectiligne uniforme.
© Éditions Belin, 2012
!
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54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s.
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
54 LIVRE DU PROFESSEUR
23
1. a. Nous allons faire l’étude dans un re-
père de Frénet car la trajectoire est circulaire.
b. Dans la base de Frénet pour un mouvement
circulaire uniforme, l’accélération est centri-
pète et vaut (ne pas oublier de convertir la vi-
tesse en m · s<1) :
an ! v2/R ! (2782/1 000) ! 77 m · s<2.
2. a. On applique la 2e loi de Newton sur
le pilote, qui a la même accélération que
l’avion : a
!
P
!
Fm!. Or, l’avion étant en
mouvement circulaire uniforme, l’accélé-
ration est radiale. La force !
F a donc une
composante radiale de norme FN ! ma soit
FN ! 80 " 77 ! 6 160 N.
b. Le rapport F/mg ! 6 160/(80 "#10) ! 7,7.
c. Lors de ce virage, tout se passe comme si le
pilote subissait 7,7 fois son poids radialement.
24
1. a. Pour déterminer les valeurs v2, v3 et
v4 des vecteurs vitesse du centre d’inertie de
la bille aux dates t2, t3 et t4 :
v2 ! d31/(t3#<#t1) ! d31/(26t),
v3 ! d42/(t4#<#t2) ! d42/(26t)
et v4 ! d53/(t5#<#t3) ! d53/(26t).
G0
G1
G2
G3
G4G5
A
R
B
O
v2
v4
– v2
a3v
'3v
a3
On mesure sur le schéma : d31 ! 1,6 cm,
d42 ! 2 cm et d53 ! 2,3 cm.
On en déduit les vitesses :
v2 ! 1,6/(2 " 0,100) ! 8 cm · s<1,
v3 ! 2/(2 " 0,100) ! 10 cm · s<1
et v4 ! 2,3/(2 " 0,100) ! 11,5 cm · s<1.
b. Les vecteurs
!
v2 et
!
v4 sont tangents à la tra-
jectoire et de même sens que le mouvement.
2. a. À l’aide de l’échelle précédente, la valeur
6v3 de la norme du vecteur
!
v3 est 5 cm · s<1.
b. La valeur a3 du vecteur accélération du
centre d’inertie à l’instant t3 est :
a3 ! 6v3/(t4 < t2) ! 5/(2 " 0,100) ! 25 cm · s<2
et construire le vecteur
!
a3 avec l’origine au
point G3.
3. a. En utilisant la construction, on a la
valeur a3N ! 1,8 cm sur le schéma soit
a3N ! 18 cm . s<2 de la composante normale
du vecteur accélération
!
a3.
b. Dans la base de Frénet la composante nor-
male de l’accélération est v2/R soit ici au point
G3 :
a3N ! v32/R ! (1,8 " 5)2/5,2 ! 15,6 cm · s<2.
On retrouve donc le même ordre de grandeur
de valeur.
25
1. a. L’avion décrit un mouvement recti-
ligne uniforme donc l’accélération de l’avion
est nulle.
b. Les forces qui s’exercent sur l’avion sont
la portance, la traînée, le poids et la force de
poussée de l’avion. Comme le vecteur vitesse
est constant, la somme vectorielle des forces
est nulle.
2. a. « 9g » signifi e que tout se passe
comme si le pilote subissait 9 fois son poids,
donc l’accélération de l’avion est égale à
9g ! 9 " 9,81 ! 88,3 m · s<2.
b. L’accélération vaut a ! dv/dt ! 88,3 m · s<2,
donc (v <#v0) ! at,
t
(340<300
3,6 )
88,3 2,9 s .
L’avion atteint le mur du son en 2,9 s.
26
1. a. On réalise un bilan de forces
sur la bille dans le référentiel terrestre :
!
P+
!
R+
!
f=m!
a. Le mouvement est horizontal
donc
!
P+
!
R=0 donc
!
f=m!
a. La masse étant
positive, les frottements et l’accélération ont
même direction et même sens. Donc l’accélé-
ration est de même direction et de sens op-
posé à la vitesse.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt

.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt

<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1

.
3.
6
8
4
2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
vb=v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt

.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt

<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1

.
3.
6
8
4
2
00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
vb=v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt

.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt

<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
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²
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La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
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, k
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()
est xe dans le référen-
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
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b. La passe s’effectue en avant si
!
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
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r
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!
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mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
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uz,
la composante horizontale est :
!
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!
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!
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
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uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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b. Cherchons vzAe<t
oB :
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V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
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b. La passe s’effectue en avant si
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3. a.
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
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b. La composante verticale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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a=m!
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uz, soit
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dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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<A
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V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
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6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
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b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
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28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
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b. Dans le cas où la vitesse est constante,
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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b. Cherchons vzAe<t
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<A
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Les conditions initiales donnent :
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c. Si zA'e<t
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
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V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
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2. a. La valeur f de la force de frottement est
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b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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b. La composante verticale est :
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la composante horizontale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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a=m!
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27
1. b. O, i
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
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b. Les frottements sont donc négligeables
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6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
vb
!
i>0.
3. a.
!
vr=vr
!
i avec vr%0 ;
b. !
vb=v1
!
i+v2
!
j+vr
!
i=vr
v1
()
!
i+v2
!
j.
c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un
=Rz
!
uz+Rt
!
ut+Rn
!
un
mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
uz=mg !
uz,
la composante horizontale est :
!
T=Rt
!
ut+Rn
!
un=mdv
dt
!
ut+mv2
r
!
un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
uz.
b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
OM
"!""
=+gt2
2
!
uz.
© Éditions Belin, 2012
4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
!
f=mb !
v+mg!
uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
dvz
dt < A
oe<t
o.
Donc l’équation se réécrit :
<A
oe<t
obAe<t
oB
£
¤
²
²
¥
¦
´
´g,
soit
<A
o!bA "0 et bB " gvzAe<bt g
b.
Les conditions initiales donnent :
A!g
b"0,
donc pour fi nir vzg
b1<e<bt

.
c. Si zA'e<t
o'B'tC' alors :
vzg
b1<e<bt

<A'
o'e<t
o'B',
donc <b"<1
o',
g
b"A'
o' et
g
b"B'.
Ainsi, zg
b
e<bt
bt
£
¤
²
²
¥
¦
´
´C'.
La condition initiale impose
0"g
b2!C', donc :
zg
b2e<bt bt <1

.
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6
8
4
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
!
, j
!
, k
!
()
est xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
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3. a.
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i avec vr%0 ;
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!
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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!
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r
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!
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mg!
uz,
soit mdv
dt"Rt,
mv2
r"Rn et 0 " Rz < mg.
b. La composante verticale est :
!
N=Rz
!
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uz,
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!
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!
ut+Rn
!
un=mdv
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!
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un.
2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
mv2
R0
&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
vf R0g.
29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
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uz, on détermine la vitesse :
!
v=+ gt !
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
position :
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© Éditions Belin, 2012
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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b. Cherchons vzAe<t
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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est xe dans le référen-
tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
référentiel R.
b. La passe s’effectue en avant si
!
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3. a.
!
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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mv2
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b. La composante verticale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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g=+mg!
uz, on détermine la vitesse :
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b. On intègre une autre fois pour trouver la
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
a=m!
g+
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f=mb !
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uz, soit
dvz
dtbvzg.
b. Cherchons vzAe<t
oB :
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Donc l’équation se réécrit :
<A
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b"0,
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b1<e<bt
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c. Si zA'e<t
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La condition initiale impose
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b2!C', donc :
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t (s)
V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
f " ma " 0,025 $ 3 " 0,075 N.
b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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, j
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tiel R.
2. a. La « passe en avant » est défi nie dans le
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b. La passe s’effectue en avant si
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3. a.
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
de son corps et faire tout de même une passe
« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
m!
a=mdv
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b. La composante verticale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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g=+mg!
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2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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Ainsi, zg
b
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La condition initiale impose
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b2!C', donc :
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
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3.
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00,2 0,4 0,6 0,8 1
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V0 (m · s–1)
V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
constante au cours du mouvement, l’accélé-
ration sur le parcours BC vaut : a " |v11#<#v5|/
6 6t " (2,4#<#0,60)/(6 $ 0,1) " 3 m · s<2.
2. a. La valeur f de la force de frottement est
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b. Comme le bilan des forces donne f " ma et
que les frottements sont supposés constants,
on en déduit que l’accélération a est bien
constante sur le parcours BC.
27
1. b. O, i
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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« en avant » si (vr < v1) % 0.
28
1. a. La 2e loi de Newton donne :
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a=mdv
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b. La composante verticale est :
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2. a. Le coeffi cient de frottement f est sans di-
mension.
b. Dans le cas où la vitesse est constante,
la condition de non glissement devient
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&fmg . Il existe donc une vitesse limite :
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29
1. a. En appliquant la 2e loi de Newton
m!
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4. PRINCIPES DE LA MÉCANIQUE 55
2. a. En appliquant la 2e loi de Newton
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V1 (m · s–1)
4. a. Au démarrage (t et vz petit), les deux
courbes sont identiques.
b. Les frottements sont donc négligeables
tant que la vitesse est faible.
b. En supposant que l’accélération est restée
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2. a. La valeur f de la force de frottement est
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référentiel R.
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c. Un joueur peut lancer le ballon en arrière
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b. Dans le cas où la vitesse est constante,
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