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Plans de communication
Fichier : C-1004_processus décisionnel d'achat .docx
Page : 4/5 Date :03.12.14
Type d’achat
La formalisation de l’achat est avant tout psychologique, ce processus est occulté par bon
nombre d’entreprises, qui abordent le prospect trop souvent en termes rationnels (argu-
ments de vente).
Si le prospect se trouve dans une autre
phase que celle d’acheter, avancer des
arguments de vente risque de le mettre
sur la défensive et faire capoter l’affaire.
On réparti l’achat en trois catégories :
L’achat spontané
L’achat compulsif
L’achat réfléchi
Achat spontané :
Vous êtes en train de faire vos course dans une grande
surface, vous allez vous permettre déroger à votre liste
et vous laisser tenter par le chocolat en promotion.
Achat compulsif
Vous avez tellement soif que vous allez choisir la pre-
mière boisson qui vous tombe sous la main.
Achat réfléchi
Vous allez évaluer plusieurs offres et choisir à tête
reposée laquelle est la meilleure.
Les achats compulsifs ou spontanés sont
souvent couverts par la grande distribu-
tion ou sont le fruit de la vente d’articles
saisonniers, même si la décision est ins-
tinctive, le processus décrit plus haut
reste bien présent.
Combien d’entre nous n’ont pas déjà
acheté un produit qui a déçu nos at-
tentes, un objet qui est resté dans son
carton, une boisson qui ne correspon-
dait pas à nos goûts… on se dit la pro-
chaine fois on ne s’y laissera plus pren-
dre.
Il vous importe de déterminer à quel
type d’achat votre assortiment doit ré-
pondre, et adapter votre communication
dans ce sens.
Le consommateur d’aujourd’hui est bien
mieux informé que celui des années
1970, les médias en général, qu’elles
soient publicitaires, promotionnelles ou
informatives l’aide à se forger son opi-
nion.
Devenir un spécialiste
Certains produits ont été accaparés par
les grandes surfaces, le petit détaillant
n’est plus concurrentiel, il lui appartient
donc d’adapter son assortiment à un
marché qui lui permet de lui assurer des
marges suffisantes.
Bref concentrer son activité commerciale
selon les attentes de ses prospects.
Un spécialiste n’est plus une enseigne
qui a des vendeurs avec des connais-
sances approfondies, mais une enseigne
qui travaille un segment de marché spé-
cifique, et est reconnue comme telle.
Le temps est passé ou un point de vente,
une vitrine, était suffisant. Aujourd’hui
une enseigne se doit d’aller chercher
son futur client. il en va de sa survie.
Faire entrer le client potentiel dans son
point de vente, implique une communi-
cation commerciale structurée autour sur
trois axes.