Correction Bac Blanc 2016 Exercice 1 : . . . a a a′ 2 AD² z′ \. a. 1 i√3 i√3 3 2 2 1 i√3 2 i√3 i√3 1 1 i√3 2 i√3 1 i√3 2i√3 i√3 1 z" ′ DB ′ z z z 9 12 3 i√3 2 z0 4 3 2 1 √3 4 3 z 1 4 2 √3 √3 31 3 i 2 1 i donc +z#######$ ′+ 0" 3 3 3 3 √3 16 AB ′ donc 45 6 7 845 9: ′ ; 5< 65= 7 845 5 ;. . 3 z 3 z z 2 z 3 2 1 z² 2z z² 2z z 3 donc l′ équation a deux solutions non réelles conjuguées 3 √3 3 √3 zJ i et z zJ i 2 2 2 2 √ √ donc les points invariants sont M N O′ 7PP Q5 et R O′ 7PP Q5 ∆ . 1 i √3² i√3 3 √ 1 3 b 3 √3 √3 √3 √3 b′ 1 i 1 i b 3 1 i b 2 b 3 b 2 b i 3 b 2 3 3 3 3 2√3i √3 √3 √3 √3 b i 3 2 2 i b i 1 2 i b√3i 3 2√3i b 3 3 3 3 i√3 3 2√3i i√3 3√3i 6 b . √ 3 3 4√3 4√3 16 . 3 √3 ′ z#######$ z z 1 – i 1 i – i donc donc AB +z + ′ √3 #######$ ! ′ ′ " !" !" 3 3 3 9 z!0 z z 2 1 i 1 i donc 3 2 donc AD² 4 1z 1 √3 √3 √1 √4 ######$ 0 ! ######$ !0 z#######$ 0"′ . 3 2 Le milieu de UADVa pour afXixe M z0 z! i √3 3 2 3 2 √3 i 3 16 3 2√3 donc DB ′ 3 >. 0 z² 3z 4 3 3 0 √3 i 2 2 2 zY donc N 5< 45 Z 4 5[ O5 U9;V >. |z 3| z 3 |z 3| |z 2| |z′| 1 1 EM MD où E est le point d′ afXixe 3 donc ^ ^ 1 |z 2| z 2 l’ensemble (P) est la médiatrice du segment [ED] z 3 z 3 z 3 z 3 z 3 z 3 z′est un imaginaire pur z′ z′ b c z 2 z 2 z 2 z 2 z 2 z 2 z 3 z 2 z 3 z 2 zz 2z 3z 6 zz 2z 3z 6 2zz 5z 5z 12 0 2zz 5 z z 12 0 Si z a pour forme algébrique x + iy alors 2zz 5 z z 12 0 2 x y 5 . 2x 12 0 5 25 5 1 5 1 x y 5x 6 0 bx c y² 6 0 bx c y² bx c y² b c 2 4 2 4 2 2 Donc (∆) est le cercle de centre Ω(2.5 ; 0) et de rayon R = privé du point D. < Ou avec la forme algébrique de z = x + iy : z′ z 3 x iy 3 x 3 iy x 2 iy z 2 x iy 2 x 2 iy x 2 iy x² 5x 6 y² yi x² 5x 6 y² x 2 ² y² x 2 ² y² x z’ est un imaginaire pur 0 x 5x x 2 6 y y 0 x y 2 ² 2x x y² i xyi 5x 3x 6 x 2 y 6 3yi y 0 xyi bx 5 c 2 2yi y 25 4 y 6 5 1 5 1 c y bx c y b c 2 4 2 2 Donc (∆) est le cercle de centre Ω(2.5 ; 0) et de rayon R = privé du point D. bx 1 point Exercice 2 : 1°) 2 pts si d) 2°) c) 0 ou 2 pts 3°) 2 pts si b) et c) 0,5 si 1 bonne 2 mauvaises 4°) 2 points si a), c) d) 1 pt si 1 bonne réponse seule 1pt si c) et d) 0 pt sinon 1,5 pt si b) et c) et 1 mauvaise 1 pt si 1 bonne 1 mauvaise 0 sinon 2 pts si 2 bonnes 1.5 pt si 2 bonnes 1 mauvaise 0.5 si 1 bonne, 1 mauvaise 0 sinon Partie A [5,5 points] 1)a) → Etude de la limite de f en ∞ : [0,75 pt] (on a une FI "∞ . 0") ; Transformons l’écriture de h i . Il suffit ici de développer : h i 2 . 2ij k 2j k 1 l lim 2i kmn∞ et lim pj o omn∞ lim j o omn∞ 0 ∞t 0r 4Z 5 [<[5445 s rl q donc "par composée" : lim j k 0 et kmn∞ lim 2ij kmn∞ → Etude de la limite de x en ∞ : [0,5 pt] l lim 2i ∞ v donc "par composée" : ∞ kmy∞ lim j o omy∞ l lim j kmy∞ 2 2i 1 lim z{ {|{{} kmy∞ ~kn b) → Calcul de la dérivée de f M [0,75 pt] Posons ‚ i 2i → ‚ i s’écrit : ‚ i „ i „′ i 2i 2 1 j k . On a alors : f w „ i .… i 1 avec : … i …′ i k ∞ 0 k ∞ =76 •€ ƒ w v donc "par produit par 2" M lim 2j k 0 puis "par somme": kmn∞ l v 4Zf w . lim 2 . 2ij k 0 wmn∞ kmn∞ • donc "par produit " et "par somme avec 1": 4 Z f w wmy∞ ∞. . j k (de la forme †‡wyˆ avec 2‰ j k . ) Š ‚ est donc dérivable sur ‹, comme produit de fonctions dérivables sur ‹, avec : ‚′ i 2.j k 2i 1 . 2j k 2j k 4ij k 2j k w† w . → h est alors dérivable sur ‹ (cf ) avec : f′ w Œw† w . N•Ž;. ƒ′ w > . w† w → Etude du signe de f M [0,5 pt] Pour tout réel i, 8 et j k sont strictement positifs. L’expression f′ w a donc le même signe que w sur ‹. → D’où le tableau de variation de f : [0,5 pt] i h i ′ h i ∞ 1 0 0 1 ∞ ∞ Calcul : h 0 2. 1 j•€ ‘J 1 2 1 1 . Les limites de h en ’∞ ont été calculées dans la question 1. 2)a) Etude sur V ∞ ; >V : [0,75 pt] → h est continue (car dérivable) et strictement décroissante sur ”– ∞ ; 0”. → lim h i 1 et h 0 1. kmn∞ Comme > • U ; U alors, d’après le théorème de la bijection, l’équation f w ”– ∞ ; >”. Remarque : α — 0 car h 0 — 0. Etude sur U> ; ∞U : [0,5 pt] → h est continue (car dérivable) et strictement croissante sur U0 ; ∞U. > admet une unique solution – sur →h 0 1 et lim h i ∞. kmy∞ Comme > • U ; ∞U alors, d’après le théorème de la bijection, l’équation f w solution ˜ sur U> ; ∞U. Remarque : β — 0 car h 0 — 0. Synthèse : L’équation f w [0,25 pt] > admet également une unique > possède donc exactement deux solutions – et ˜ sur ‹, avec – ™ 0 ™ š. N•Ž;. b) [0,5 pt] On peut procéder par balayage. D’après le tableau de valeurs de la calculatrice : h 0,84 0,001 … • 0 et h 0,83 0,011 … ™ 0 0 est donc compris entre h 0,83 et h 0,84 . D’où : 0,84 ™ α ™ 0,83 . Ainsi : – ž >, Œ (valeur approchée de – par excès à >, > près). c) [0,5 pt] Par définition α est la solution de l’équation h On a donc : h α 0, c’est-à-dire : 2 2α 1 j α 1 On a donc, en développant : 4αj α –† – soit : i 0 appartenant à l’intervalle ‹n . 0. 2j α 1 0, † – . N•Ž;. Partie B [1 point] Graphique : [0,5 pt] -x -® Conjecture : ‡ ž >, Œ et ‡′ ž >, . [0,5 pt] Partie C [3 points] 1)a) [0,75 pt] On a : Ÿ i j k . Ÿ est dérivable sur ‹ avec : Ÿ ′ i 2j k . Ÿ étant, en particulier, dérivable en , la tangente ¡ à ¢£ en ¤ a pour équation : ¥ Ÿ′ . i Ÿ Š Š ¦ ¥ 2j i j b) [0,5 pt] On a : © i 1 ¦ § † ‡w ‡† ‡ † ‡ : équation réduite de ¨. j n k . © est dérivable sur ‹ (comme somme) avec : ©′ i 0 2 j n k 2j n k . Par définition, le coefficient directeur de la tangente à ¢ª au point « d’abscisse ¬ est donné par : ®′ ˆ ¯ †n ˆ . c) [0,5 pt] La tangente à ¢ª en « est la droite ¡. D’après la question 1b, ¡ a donc pour coefficient directeur ° 2j n ± . D’après l’équation de ¡ trouvée en 1a, le coefficient directeur de ¡ est aussi donné par : 2j Š . Par unicité du coefficient directeur d’une droite, il vient donc : 2j n ± 2j Š ¦ jn ± j Š =76 5Q 5< < 6 = 5Z5 ¦ 2¬ 2 Z 5 <[6 ‹ ¦ ˆ ‡ . N•Ž;. 2)a) [1 pt] On sait qu’un point appartient à une droite si, et seulement si, ses coordonnées vérifient l’équation de la droite. Or, ¡ a pour équation ¥ 2j Š i 2 j Š j Š . Il reste donc à remplacer i et ¥ par les coordonnées de «. « étant le point de la courbe ¢ª d’abscisse ¬ , les coordonnées de « sont ;© ;1 j Š . D’où : « • ¡ ¦ ¥² 2j Š i² 2 j Š j Š ¦ 1 j ¦ 1 j ¦ ‡ ¦ 4 j Š 2j . {{} z{{Š{|{ Š Š 2j † n Š³ ´µ Š 4 j Š ‡ j 1 0 2 j Š j Š Š > . N•Ž;. b) [0,25 pt] La droite ¡ étant la tangente à ¢ª en «, elle passe par le point «. Donc d’après la question précédente, on sait que est solution de l’équation 2 2i 1 j k 1 0, c’est-à-dire de l’équation h i 0. D’après la partie A, ‡ est donc soit égal à –, soit égal à ˜. Partie D [2,5 points] La droite ¶· passe par les points ¶ et ·. Pour montrer qu’elle est tangente à ¢£ en ¶, il suffit donc de montrer que son coefficient directeur est égal à Ÿ ′ α . Et, pour montrer qu’elle est tangente à ¢ª en ·, il suffit de montrer que son coefficient directeur est aussi égal à ©′ α . [1 pt] Déterminons donc le coefficient directeur de ¸¹ . ¶ est le point de ¢£ d’abscisse α donc : ¶ α ; Ÿ α · est le point de ¢ª d’abscisse α donc : · → ¶· a donc pour coefficient directeur : α ;© avec Ÿ α α j α. avec © ¥º ¥» 1 j α j α 1 2j α iº i» α α 2α Or, d’après la question 2c de la partie A, 2j α 1 4αj α . Il vient donc : –† – ¯ † – α 1 ° – . 1 2j 2α j α. α Par ailleurs, on a vu dans la partie C que, pour tout réel i, Ÿ ′ i 2j k et ©′ i On a donc bien : ¯ x′ – ®′ – . [1,5 pts] Conclusion : ¸¹ est bien tangente à -x en ¸ et à -® en ¹. N•Ž;. 2j α 2α 1 . 2j n k . Exercice 4 : 1. L’algorithme n° 1 calcule et affiche tous les termes de u1 à un , mais n’affiche pas u0. L’algorithme n° 2 calcule tous les termes de u0 à un et les affiche tous : c’est lui le bon ! 1 point L’algorithme n° 3 calcule n fois de suite u1 à partir de u0 : il ne calcule pas les termes de u0 à un. 2. 0.5 point Il semblerait que la suite soit croissante et converge vers un nombre proche de 4. 3. 0.5 point a. Montrons par récurrence la propriété Pn : « 0 < un < 4 » pour tout entier naturel n. 1.5 point Initialisation : pour n = 0, on a bien 0 < u0 < 4 vraie, puisque u0 = 2 ; ainsi P0 est vraie. 0.5 si absence ou Hérédité : Supposons Pn vraie pour un entier n donné (c’est à dire 0 < un < 4 ). Montrons alors que Pn+1 est vraie (c’est à dire 0 < un+1 < 4 ). On suppose donc que : 0 < un < 4. ⇔ 8 > 8 – un > 4 car la fonction affine x → 8 – x est décroissante sur IR 1 1 1 ⇔ < < , car la fonction inverse est décroissante sur ]0 ; +∞[. 8 8 − un 4 16 16 16 ⇔ < < = 4 , car 16 > 0 8 8 − un 4 Donc 0 < un+1 < 4 . L’hérédité est établie, puisque Pn+1 est vraie. erreur d’hérédité Conclusion : Par le principe de récurrence, Pn : « 0 < un < 4 » est vraie pour tout entier naturel n. ( ) ( ) 16 − u n 8 − u n 16 − 8u + u 2 4 − un 16 n n b. u n +1 − u n = − un = = = 8 − un 8 − un 8 − un 8 − un 2 1 point Or, d’après la question précédente, 0 < un < 4 pour tout n entier naturel, ainsi 8 − un > 0 et (4 - un)2 > 0 ,donc un+1−un > 0, donc la suite (u) est croissante. 0.5 point c. Comme la suite est majorée par 4 et croissante, alors elle converge vers une limite L inférieure ou égale à 4. 0.5 pt d. En utilisant la calculatrice, on obtient : n = 399. Partie B 0.5 point 1 1 1 1 8 − un 4 4 − un 1 − = − = − = =− . v n +1 − 4 16 u n − 4 16 − 32 + 4u n u n − 4 4u n −16 4 u n − 4 4 u n − 4 4 −4 8 − un 8 − un 1 1.5 point Ainsi la suite (v) est arithmétique de raison r = − . 4 1 1 1 1 2+n 2. v 0 = 1 point =− v n = v 0 + nr = − − n = − u0 − 4 2 2 4 4 1 1 1 4 Comme vn= ⇔ un − 4 = ⇔ un = 4 + 1 point = 4− vn vn n+2 un − 4 4 lim n + 2 = +∞, donc lim = 0 , donc lim un = 4. 0.5 point n+2 1. vn+1 – vn= 1 − 1 = vn − 4 ( ) ( )