l@T
kmn∞
i∞
@T
omn∞
j
o
?
DC@T
omn∞
pj
o
?
[<[5445
4Z5
'()*gpar composée" u
l@T
kmn∞
j
k
?
DC@T
kmn∞
ij
k
?v'()*gKGKG('BCKGgM
l@T
kmn∞
j
k
?
@T
kmn∞
.ij
k
?vKBFgKGF(TTDgu
4Z
wmn∞
fw
→
→→
→
Etude de la limite de x en ∞ : [0,5 pt]
l@T
kmy∞
i∞
@T
omy∞
j
o
∞v'()*gpar composée" u
l@T
kmy∞
j
k
∞
@T
kmy∞
i
z
~kn
∞
•€
=76
•'()*gKGKG('BCg
DCgKGF(TTDLD*gu 4Z
wmy∞
fw∞
b)
→
→→
→
Calcul de la dérivée de fM [0,75 pt]
Posons ‚iij
k
. On a alors : fwƒw .
→
‚i s’écrit : ‚i„i.…i avec :
„ii …ij
k
(de la forme †
‡wyˆ
avec )
„
′
i …
′
i‰
Š
j
k
.
‚ est donc dérivable sur ‹, comme produit de fonctions dérivables sur ‹, avec :
‚
′
i.j
k
i.j
k
j
k
&ij
k
j
k
w†
w
→
h est alors dérivable sur ‹ (cf ) avec :
f
′
wƒ
′
w>.w†
w
Œw†
w
N•Ž;
→
→→
→
Etude du signe de fM [0,5 pt]
Pour tout réel i, • et j
k
sont strictement positifs.
L’expression f
′
w a donc le même signe que w sur ‹.
→
→→
→
D’où le tableau de variation de f : [0,5 pt]
Calcul :
h?.j
€
•
‘J
Les limites de h en ’∞ ont été calculées dans la
question 1.
2)a) Etude sur V∞“>V : [0,75 pt]
→
h est continue (car dérivable) et strictement décroissante sur ”%∞“?”.
→
@T
kmn∞
hi et h?.
Comme >•U“U alors, d’après le théorème de la bijection, l’équation fw> admet une unique solution – sur
”%∞“>”. Remarque : α—? car h?—?.
Etude sur U>“∞U : [0,5 pt]
→
h est continue (car dérivable) et strictement croissante sur U?“∞U.
′
∞