De nombreux travaux fondamentaux ont
permis de comprendre les lésions
tissulaires dues à l’ischémie et à la
reperfusion et ainsi, de développer les
bases biochimiques théoriques de la
protection du myocarde.
Cependant, aujourd’hui, personne ne peut
répondre à cette question : “quelle est la
meilleure protection myocardique ? ”.
Jusqu’à présent, une longue durée de
clampage aortique était considérée
comme un facteur de risque prédictif de
la mortalité et de la morbidité opératoires