MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES SECRÉTAIRE DES SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION Édition 2007 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES Pour entrer en relation avec le ministère des affaires étrangères : MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES DIRECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES Sous-direction RH4 Bureau des concours et examens professionnels 23, rue La Pérouse 75775 PARIS CEDEX 16 ATTENTION ! Seules les demandes de documentation, d'annales, de calendrier et de DOSSIERS D'INSCRIPTION qui auront fait l'objet d'un COURRIER pourront être honorées. Il appartient aux candidats de tenir compte des délais d'acheminement postal pour tous les courriers qu'ils sont amenés à adresser au ministère des affaires étrangères : demandes de dossiers, envois de dossiers, etc. Chaque demande devra être accompagnée d’une enveloppe timbrée, libellée à l’adresse du demandeur. Téléphone : - ligne directe : 01 43 17 63 76 - télécopieur : 01 43 17 70 97 - http://www.diplomatie.gouv.fr Le service d'accueil et d'information des candidats est ouvert du lundi au vendredi de 9 H 30 à 12 H et de 14 H 00 à 16 H 30 (fermeture le mercredi). Accès : 23 rue La Pérouse, 75116 PARIS. Métro : ligne 6, station Kléber ou Charles de Gaulle-Etoile (ligne A du RER). SOMMAIRE Le ministère des affaires étrangères 3 Le corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication • • • les fonctions la carrière la rémunération 5 5 6 Le concours • • • • • • les conditions la nature des épreuves la correction des épreuves le programme les annales les statistiques 9 13 17 19 69 90 Informations complémentaires • • • • le calendrier les formalités d'inscription les centres d'épreuves les frais de transport Statut et réglementation Ce document n’a aucun caractère réglementaire Il a été mis à jour le 1er janvier 2007 91 91 92 92 93 LE MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Le ministère des affaires étrangères est l’une des plus anciennes administrations françaises : le premier ministre des affaires étrangères a été nommé par Henri III le 15 septembre 1588. A travers toute son histoire, ce ministère a développé sa mission particulière : la diplomatie, c’est-à-dire les relations extérieures de la France. Aujourd’hui, sous l’autorité du Premier ministre, le ministre des affaires étrangères est chargé de la mise en œuvre de la politique étrangère de la France décidée par le Président de la République. Les missions du ministère des affaires étrangères sont essentiellement : - l’information du Président de la République et du Gouvernement sur l’évolution de la conjoncture internationale et de la situation des Etats étrangers, - la conception de la politique extérieure de la France, - la coordination et la conduite de l’action extérieure de l’État, - la protection des intérêts et ressortissants français dans les pays étrangers, - le rayonnement culturel et scientifique de la France à l’étranger, - la solidarité à l’égard des pays en développement. Pour remplir ces missions, il utilise un réseau diplomatique et consulaire parmi les plus développés au monde, formé de 156 ambassades, 17 représentations auprès d’organisations internationales (telles l’ONU ou l’Union européenne) chargées de relations entre ces États ou organisations et la France, de 4 délégations auprès d’organismes internationaux et de 98 consulats généraux et consulats, 4 chancelleries détachées, 4 antennes consulaires qui représentent l’État pour les 3 millions de Français qui résident à l’étranger auxquels s’ajoutent les Français qui voyagent et les étrangers qui souhaitent se rendre sur le territoire national. Le ministère des affaires étrangères emploie - tous grades et statuts confondus - près de 16000 agents dont 9000 agents titulaires et assimilés et près de 6000 agents de droit local à l’étranger. 3 LE CORPS DES SECRÉTAIRES DES SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION I - LES FONCTIONS Les secrétaires des systèmes d’information et de communication forment un corps de fonctionnaires classés dans la catégorie B. Ils sont principalement chargés des travaux relatifs à la réalisation, à la mise en place, à l’exploitation, à la maintenance et à la sécurité des systèmes d’information et de communication. Ils sont affectés indifféremment à l’administration centrale et dans les missions diplomatiques et les postes consulaires. Toutefois, les lauréats de concours, sont dans un premier temps, nommés à l’administration centrale à Paris. Les secrétaires des systèmes d’information et de communication sont astreints, dès leur prise de fonctions, à prêter le serment de garder le secret de toutes les communications de quelque nature qu’elles soient dont ils pourraient avoir connaissance dans l’exercice ou à l’occasion de leurs fonctions. II - LA CARRIÈRE Les candidats définitivement admis aux concours externe ou interne sont nommés secrétaires des systèmes d’information et de communication stagiaires pendant un an. A l’issue du stage, ceux dont les services ont donné satisfaction sont titularisés en qualité de secrétaires des systèmes d’information et de communication. Les autres peuvent être autorisés à effectuer un stage complémentaire d’une durée maximale d’un an. Les stagiaires, qui ne sont pas titularisés, le cas échéant à l’issue du stage complémentaire, sont soit licenciés, soit remis à la disposition de leur administration d’origine. La durée du stage est prise en compte pour l’avancement dans la limite d’un an. 5 Le corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication comprend 3 grades : • • • secrétaire des systèmes d’information et de communication de 2ème classe. secrétaire des systèmes d’information de communication de 1ère classe, accessible par voie de promotion au choix pour les fonctionnaires ayant atteint le 7ème échelon de la 2ème classe depuis au moins 2 ans et justifiant de 5 années de services publics dans un corps de catégorie B. secrétaire des systèmes d’information et de communication hors classe, accessible soit par voie d’examen professionnel ouvert aux secrétaires des systèmes d’information et de communication de 1ère classe ainsi qu’aux secrétaires des systèmes d’information et de communication de 2ème classe ayant atteint le 7ème échelon, soit aux choix pour les secrétaires des systèmes d’information et de communication de 1ère classe ayant atteint le 4ème échelon de leur grade. III - LA RÉMUNÉRATION La rémunération mensuelle brute, calculée sur la base du 1er échelon (indice majoré 326), est d’environ 1466 € au 1er décembre 2006. Au traitement indiciaire s'ajoutent : • • • à l'administration centrale, des primes et indemnités supplémentaires ; à l'étranger, une indemnité de résidence variable suivant le pays d'affectation, et qui peut conduire à doubler - voire tripler - le traitement de grade ; à l'administration centrale et à l'étranger, le cas échéant, des majorations familiales. 6 Echelonnement indiciaire du premier grade (secrétaire des systèmes d’information et de communication de 2ème classe) : Echelons 13ème échelon 12ème échelon 11ème échelon 10ème échelon 9ème échelon 8ème échelon 7ème échelon 6ème échelon 5ème échelon 4ème échelon 3ème échelon 2ème échelon 1er échelon Durée moyenne dans l’échelon Durée minimale dans l’échelon Indices bruts 582 4 ans 3 ans 551 3 ans 2 ans 3 mois 521 3 ans 2 ans 3 mois 491 3 ans 2 ans 3 mois 474 3 ans 2 ans 3 mois 456 3 ans 2 ans 3 mois 445 2 ans 6 mois 2 ans 431 2 ans 2 ans 409 2 ans 2 ans 386 2 ans 2 ans 378 1 an 6 mois 1 an 6 mois 356 1 an 1 an 348 7 CONDITIONS GÉNÉRALES D’ADMISSION À CONCOURIR Le candidat aux concours donnant accès au corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication doit remplir les conditions exigées par le statut général des fonctionnaires, c’est-à-dire : 1° posséder la nationalité française ou celle d’un état membre de l’Union Européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace Economique Européen ; (*) 2° jouir de ses droits civiques ; 3° ne pas avoir de mentions incompatibles avec l’exercice des fonctions au bulletin n° 2 de son casier judiciaire ; 4° se trouver en position régulière au regard du code du service national : “ la réforme du code du service national introduite par la loi n° 97-1019 du 28 octobre 1997 (J.O. du 8 novembre 1997) dispose que : “ ART. L. 113-4 Avant l’âge de vingt-cinq ans, pour être autorisée à s’inscrire aux examens et concours soumis au contrôle de l’autorité publique, la personne assujettie à l’obligation de recensement doit être en règle avec cette obligation. Elle peut procéder à la régularisation de sa situation en se faisant recenser ”. A cet égard, il convient de noter que, conformément à l’article L. 112-1 du code du service national, l’obligation de recensement est étendue, à compter du 1er janvier 1999, aux jeunes femmes nées après le 31 décembre 1982. 5° remplir les conditions d’aptitude physique exigées pour exercer dans la fonction publique. (*) Cependant, les ressortissants des états membres de l’Union Européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace Economique Européen, s’ils sont nommés dans le corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication, ne pourront pas occuper un emploi dont les attributions ne sont pas séparables de l’exercice de la souveraineté ou comporte une participation directe ou indirecte à l’exercice des prérogatives de puissance publique. Leur avancement de grade ou leur promotion de corps interviendra avec les mêmes restrictions. 9 En application de l’ordonnance 2005-901 du 2 août 2005, il n’y a plus de conditions d’âge pour présenter le concours de secrétaire des systèmes d’information et de communication. En outre, les candidats doivent observer les conditions particulières relatives au concours auquel ils se proposent de participer : • CONCOURS EXTERNE Le concours externe est ouvert aux candidats titulaires de l’un des diplômes suivants : a) d'un baccalauréat ou d'un diplôme homologué au niveau IV en application des dispositions du décret n° 92-23 du 8 janvier 1992 relatif à l'homologation des titres et diplômes de l'enseignement technologique. Les candidats ne possédant pas un des diplômes requis mais pouvant justifier d'une formation équivalente peuvent déposer une demande spéciale de dérogation auprès d'une commission qui statue au vu de leur dossier sur leur capacité à concourir. Cette commission est composée : • du directeur général de l'administration et de la fonction publique ou de son représentant, président ; • du directeur des enseignements supérieurs relevant du ministre chargé de l'enseignement supérieur ou de son représentant ; • d'un directeur d'administration centrale nommé par arrêté du Premier ministre ou de son représentant. b) d'un diplôme délivré dans un des états membres de l’Union Européenne qui peuvent être autorisés à concourir au vu de l'avis d'une commission qui statue sur l'assimilation de leurs diplômes aux diplômes nationaux (décret n° 94-741 du 30 août 1994). Remarque : sont dispensés de produire un de ces titres ou diplômes : les pères et mères de famille élevant ou ayant élevé effectivement 3 enfants, candidats au concours externe (décret n° 81-317 du 7 avril 1981 - J.O. du 8 avril 1981). 10 • CONCOURS INTERNE Le concours interne est ouvert aux fonctionnaires et agents publics de l'État, des collectivités territoriales et des établissements publics qui en dépendent, aux militaires ainsi qu'aux agents des organisations internationales intergouvernementales en activité, en détachement, en congé parental, en congé de formation ou accomplissant leur service national à la date de clôture des inscriptions (ce qui exclut les agents en disponibilité) et comptant au moins quatre ans de services publics au 1er janvier de l'année au titre de laquelle le concours est organisé. CANDIDATS HANDICAPÉS Les candidats qui souhaitent bénéficier de conditions particulières pour concourir devront faire parvenir la décision de la commission compétente ou de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) leur reconnaissant la qualité de travailleur handicapé (attestation en cours de validité). 11 NATURE DES ÉPREUVES TOUTES LES ÉPREUVES SONT COMMUNES AUX CONCOURS EXTERNE ET INTERNE I - Épreuves écrites d'admissibilité : 1 - Rédaction d’une note de synthèse à partir d’un dossier à caractère technique pouvant comporter des éléments chiffrés (données statistiques, comptables, financières, commerciales et administratives simplifiées) et permettant de vérifier les qualités d’analyse et de synthèse du candidat. (durée : 3 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire). 2 - Épreuve technique à option – le choix du candidat devant être formulé au moment de l’inscription – portant sur les disciplines suivantes : • Informatique, concepteur logiciel • Informatique, infrastructures et assistance • Informatique, gestion électronique de l’information (durée 5 heures ; coefficient : 5 ; toute note inférieure à 8 sur 20 est éliminatoire). L’épreuve technique, option «informatique, concepteur logiciel» pourra, sur la demande du candidat formulée au moment de son inscription, contribuer à la reconnaissance de la qualification de programmeur mais la note entrant en ligne de compte pour l’acquisition des droits à cette qualification devra être au moins égale à 10 sur 20 Les épreuves techniques, option «informatique, infrastructures et assistance» et option «informatique, gestion électronique de l’information» pourront, sur la demande du candidat formulée au moment de son inscription, contribuer à la reconnaissance de la qualification de pupitreur mais la note entrant en ligne de compte pour l’acquisition des droits à cette qualification devra être au moins égale à 10 sur 20. 13 3 - Épreuve à option – le choix du candidat devant être formulé au moment de l’inscription. Composition pouvant comporter des exercices, des questions sur le programme et des problèmes à résoudre parmi les options suivantes : • mathématiques • physique • électronique (durée : 2 heures ; coefficient : 2 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire). II - Épreuves orales d'admission : 1 - Conversation avec le jury à partir d’un texte ou d’une citation de portée générale permettant d’apprécier les qualités de réflexion, la personnalité, les motivations et les connaissances du candidat. (préparation : 20 minutes ; conversation : 20 minutes ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 8 sur 20 est éliminatoire). 2 - Conversation avec le jury sur un sujet ou un texte d’ordre technique tiré au sort, permettant de vérifier l’aptitude et les connaissances du candidat dans la matière choisie en option à l’épreuve technique informatique d’admissibilité. Cette conversation a comme point de départ un exposé d’une durée de dix minutes au maximum. (préparation : 20 minutes ; durée : 30 minutes ; coefficient : 4 ; toute note inférieure à 8 sur 20 est éliminatoire). Pour obtenir la reconnaissance de la qualification soit de programmeur, soit de pupitreur, les candidats devront obtenir une note au moins égale à 10 sur 20. 3 - Épreuve de travaux pratiques permettant de s’assurer des aptitudes du candidat aux travaux manuels d’installation ou de maintenance de matériels informatiques ou de communication. (durée : 2 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire). 14 4 - Épreuve de langue consistant en la lecture, la traduction et le commentaire d’un texte (qui sera à caractère général sur un sujet lié aux techniques d’information) rédigé dans une langue choisie par le candidat lors de son inscription sur la liste suivante : allemand, anglais, arabe littéral, chinois, espagnol, italien, japonais, portugais, russe ou turc. (préparation : 20 minutes ; durée : 20 minutes ; coefficient : 2 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire). III - Épreuve facultative : Lors de leur inscription, les candidats externes et internes peuvent demander à subir l’épreuve orale facultative suivante : - Questions juridiques se rapportant aux technologies de l’information et de la communication. (préparation 20 minutes ; durée : 20 minutes ; coefficient : 1 ; seuls les points obtenus au dessus de 10 sur 20 sont pris en compte). 15 CORRECTION DES ÉPREUVES Il est attribué à chaque épreuve une note de 0 à 20. Elle est multipliée par le coefficient fixé pour chaque épreuve. Peuvent seuls être admis à se présenter aux épreuves d’admission les candidats ayant obtenu, pour l’ensemble des épreuves écrites, un total de points, fixé par le jury, qui ne pourra être inférieur, après application des coefficients, à 100. A l’issue des épreuves écrites, le jury établit, par ordre alphabétique, la liste des candidats déclarés admissibles. La note obtenue à l'épreuve facultative de langue n'entre en ligne de compte que pour l'admission et seuls les points obtenus au-dessus de 10 sur 20 sont pris en compte. Nul ne peut être définitivement admis s’il n’obtient, à l’issue des épreuves d’admission et éventuellement des épreuves orales facultatives, un total de points, fixé par le jury, qui ne pourra être inférieur, après application des coefficients, à 220. A l'issue des épreuves d’admission, le jury établit, par ordre de mérite, la liste de classement des candidats définitivement admis ainsi que, le cas échéant, une liste complémentaire d'admission. Si plusieurs candidats réunissent le même nombre de points, la priorité est donnée à celui qui a obtenu la meilleure note à l'épreuve d’admissibilité n° 2 et, en cas d'égalité, à l'épreuve n° 3 d'admissibilité et ensuite, en cas de nouvelle égalité, au candidat ayant obtenu la note la plus élevée à l'épreuve n° 1 d'admissibilité. Les notes sont automatiquement communiquées, par courrier, aux candidats après la clôture définitive du concours, c'est-à-dire dans le mois qui suit la proclamation des résultats définitifs. Il n’est pas délivré de photocopie des copies de composition des candidats. Ces derniers peuvent consulter leurs copies, sur rendez-vous préalable, au Bureau des concours et examens professionnels (23, rue La Pérouse - Paris 16ème). Cette consultation ne peut être sollicitée qu’après proclamation des résultats définitifs du concours. Les candidats qui sont absents à une épreuve perdent le droit de concourir aux épreuves suivantes du concours. 17 PROGRAMMES Les programmes des épreuves de mathématiques, physique, électronique et informatique correspondent à ceux du baccalauréat technologique. Ces programmes figurent ci-après pour chaque discipline, étant entendu que certaines rubriques figurant au programme des classes de terminale technologique sont parfois communes à plusieurs spécialités (par exemple, l’électronique se retrouve en informatique, etc). De même, les notions requises pour le baccalauréat technologique reposent non seulement sur les programmes de terminale figurant ci-après mais sur les acquis des classes antérieures de première voire de seconde, des lycées techniques et technologiques. 19 INFORMATIQUE 1) Connaissance de base : • • • • Représentation élémentaire de l'information Quantité d'information Saisie et contrôle de l'information Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation) Architecture et matériels • • • • • • • Eléments constitutifs d’une configuration informatique Processeurs et mémoires : types, fonctionnement Principaux périphériques Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs Unités de stockage Réseaux de stockage : NAS, SAN Architecture multi-niveaux Environnement programmation système • • Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux Programmes utilitaires Organisation du système d'information et des travaux de programmation • • • • Conduite de projet Maintenance des programmes Méthodes de sauvegardes et de reprises Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation, dossier d'exploitation, journaux de bord 20 Centre de traitement de l'information • • • Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information Organisation du travail, tâches et qualification Contrôle Réseau de transmission de données • • • • Principes généraux des technologies de réseaux et télécommunications Topologie LAN, MAN, WAN Eléments constitutifs d’un réseau Notion d’adressage Sécurité des données et du matériel • • • Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité, chiffrement, signature électronique, antivirus Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle, réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude (énergie de secours, climatisation) Niveaux de protection des informations 21 2) Connaissances spécifiques pour l’option «gestion électronique de l’information» : Acquisition, circulation et diffusion de l’information • • • • • • • • • • • • • • • Numérisation Annuaires Messagerie Outils de travail collaboratif Workflow Tutoriels, didacticiels Plateforme de formation en ligne Site Web, portail Téléprocédures Référencement Moteur d’indexation, de recherche Mode de diffusion, mobilité, nomadisme Visioconférence Traçabilité Droits, partage, contrôle des accès Structuration des informations • • • • • Fichiers : organisation et utilisation Bases de données et SGBD Bases documentaires, GED Evaluation des volumes Temps de réponse Internet - intranet - extranet • • • Principes de fonctionnement et d’utilisation Approche des techniques : HTTP, HTML, XML, URL, DNS Outils de gestion de contenus 22 Description et catégorisation de l’information • • • • • Normalisation Thésaurus et plan de classement Indexation Métadonnées Modes opératoires Archivage électronique • • • • • Support de conservation Migration des données Sauvegarde, fiabilité Pérennité de l’information Intégrité 3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles technologies de l’information : • • • • • • • • • • Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) Autorité de régulation des télécommunications (ART) Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information (DCSSI) Loi informatique et libertés du 6 août 2004 Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004 Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003) Interception des communications électroniques Secret des correspondances Protection des oeuvres de l’esprit Chartes et codes de bon usage 23 Programme spécifique à l’option «informatique, infrastructure et assistance», qualification «pupitreur» 1) Connaissance de base : • • • • Représentation élémentaire de l'information Quantité d'information Saisie et contrôle de l'information Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation) Architecture et matériels • • • • • • • Eléments constitutifs d’une configuration informatique Processeurs et mémoires : types, fonctionnement Principaux périphériques Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs Unités de stockage Réseaux de stockage : NAS, SAN Architecture multi-niveaux Environnement programmation système • • Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux Programmes utilitaires Organisation du système d'information et des travaux de programmation • • • • Conduite de projet Maintenance des programmes Méthodes de sauvegardes et de reprises Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation, dossier d'exploitation, journaux de bord 24 Centre de traitement de l'information • • • Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information Organisation du travail, tâches et qualification Contrôle Réseau de transmission de données • • • • Principes généraux des technologies de réseaux et télécommunications Topologie LAN, MAN, WAN Eléments constitutifs d’un réseau Notion d’adressage Sécurité des données et du matériel • • • Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité, chiffrement, signature électronique, antivirus Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle, réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude (énergie de secours, climatisation) Niveaux de protection des informations 2) Connaissance spécifiques pour l’option «infrastructure et assistance» : Organisation du système d’information • • Urbanisation matérielle du système d’information Systèmes centraux, départementaux et répartis : historique et évolutions, répartition des données, des programmes entre stations et serveurs, et entre serveurs Centre de secours, backup • Organisation et structure d’un centre de secours 25 Infrastructures de gestion de clés • Organisation et structure d’une IGC Réseau de transmission de données • • Architecture en couches normalisées (OSI) et architecture TCP/IP Ethernet Réseau d’opérateur • • • Réseaux terrestres et satellitaires Réseaux sans fil, réseaux de mobiles Réseaux privés virtuels Téléphonie • • • Principes fondamentaux de la téléphonie Autocommutateurs Terminaux classiques ou numériques Internet - intranet - extranet • • • • Principes de fonctionnement et d’utilisation Approche des techniques : HTTP, HTML, XML, URL, DNS Sécurité : pare-feu, DMZ Gestion de la mobilité et du nomadisme, accès distants Messagerie et annuaire • • Principes de fonctionnement et d’utilisation, principaux protocoles Offres du marché 26 Méthodes et gestion de l’assistance • • • • Organisation et moyens de l’assistance : prise en charge initiale, établissement et formalisation d’un diagnostic d’incident, niveau d’intervention, intervention physique Relation avec les utilisateurs Contrôle qualité, indicateurs Gestion de parc et outils nécessaires 3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles technologies de l’information : • • • • • • • • • • Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) Autorité de régulation des télécommunications (ART) Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information (DCSSI) Loi informatique et libertés du 6 août 2004 Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004 Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003) Interception des communications électroniques Secret des correspondances Protection des oeuvres de l’esprit Chartes et codes de bon usage Programme spécifique à l’option «informatique, concepteur logiciel», qualification «programmeur» 1) Connaissance de base : • • • • Représentation élémentaire de l'information Quantité d'information Saisie et contrôle de l'information Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation) 27 Architecture et matériels • • • • • • • Eléments constitutifs d’une configuration informatique Processeurs et mémoires : types, fonctionnement Principaux périphériques Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs Unités de stockage Réseaux de stockage : NAS, SAN Architecture multi-niveaux Environnement programmation système • • Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux Programmes utilitaires Organisation du système d'information et des travaux de programmation • • • • Conduite de projet Maintenance des programmes Méthodes de sauvegardes et de reprises Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation, dossier d'exploitation, journaux de bord Centre de traitement de l'information • • • Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information Organisation du travail, tâches et qualification Contrôle 28 Réseau de transmission de données • • • • Principes généraux des technologies de réseaux et télécommunications Topologie LAN, MAN, WAN Eléments constitutifs d’un réseau Notion d’adressage Sécurité des données et du matériel • • • Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité, chiffrement, signature électronique, antivirus Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle, réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude (énergie de secours, climatisation) Niveaux de protection des informations 2) Connaissance spécifiques pour l’option «concepteur de logiciel» : Conception et réalisation du système d’information • • Bases méthodologiques nécessaires à la conception et à la réalisation des systèmes d’information Indépendance structures de données et programmes Méthodologie des systèmes d’information • • • • Urbanisation applicative du système d'information Schéma directeur Phases du cycle de vie d’un projet : recensement des besoins, phase de conception, prototypage, programmation, tests, intégration, qualification, installation, exploitation et maintenance Conduite de projet : prévision et suivi de réalisation, documents, étapes, instances de validation 29 Spécification du système d'information • • • • Objectifs et contraintes Gestion documentaire (GED), Bases de données et SGBD : organisation des données, fonctions et utilisation Evaluation des volumes, périodicités, temps de réponse Choix de la structure adaptée et offres du marché Organisation des traitements • • • • • Méthodes d'organisation des traitements Arbres programmatiques (les structures séquentielles, alternatives, répétitives) Récursivité et réentrance Systèmes centraux, départementaux et répartis : historique et évolutions, répartition des données, des programmes entre stations et serveurs, et entre serveurs Architectures multi niveaux Réalisation • • • Connaissance approfondie d’un langage de programmation, au choix du candidat (C/C++, Basic/Visual Basic, Cobol, Java, Powerbuilder) Outils d’aide à la conception, la réalisation et la validation des applications informatiques (atelier de génie logiciel, outils de test, etc) Concepts des langages orientés objet et applets 30 3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles technologies de l’information : • • • • • • • • • • Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) Autorité de régulation des télécommunications (ART) Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information (DCSSI) Loi informatique et libertés du 6 août 2004 Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004 Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003) Interception des communications électroniques Secret des correspondances Protection des oeuvres de l’esprit Chartes et codes de bon usage 31 MATHÉMATIQUES Programme de terminale STI Arrêté du 10 juin 1994 (BO spécial n° 8 du 7 juillet 1994) et rectificatif au B.O. n° 18 du 15 décembre 1994 ALGÈBRE, GÉOMÉTRIE, PROBABILITÉS 1. Nombres complexes Les premiers éléments de l’étude des nombres complexes ont été mis en place en Première. L’objectif est de compléter cet acquis pour fournir des outils utilisés en algèbre, en trigonométrie et en sciences physiques. Les élèves doivent connaître les notations a + bi et a + bj, cette dernière étant utilisée en électricité. Le temps consacré à cette partie du programme doit être plus important dans les spécialités génie électronique et génie électrotechnique où une interprétation géométrique de quelques transformations complexes élémentaires est introduite en vue des applications en électronique. Module, module d’un produit, inégalité triangulaire. Argument d’un nombre complexe non nul, notation reiq. Relation e iθe iθ’ = ei(θ+θ’), lien avec les formules d’addition ; formule de Moivre. Formules d’Euler : cosq = ½ (e iθ+e -iθ), sinθ = ½i(eiθ-eiθ ). Interprétation géométrique de z → z + a et de z a eiaz. Les élèves doivent savoir interpréter géométriquement le module de b - a. Toute autre formulation de propriétés géométriques à l’aide de nombres complexes doit faire l’objet d’indications. Ceci n’est au programme que des spécialités génie électronique et génie électrotechnique. 32 Travaux pratiques Résolution des équations du second degré à coefficients réels. Exemples de mise en œuvre des formules de Moivre et d’Euler (linéarisation de polynômes trigonométriques, etc). La résolution d’équations à coefficients complexes et l’étude des racines nièmes de l’unité sont hors programme. On se bornera à des exposants peu élevés ; les formules trigonométriques ainsi obtenues n’ont pas à être mémorisées de même que les formules de conversion de sommes en produits et de produits en sommes. 2. Géométrie Cette partie est au programme des seules spécialités génie mécanique, génie civil, génie énergétique et génie des matériaux. Les activités géométriques répondent à deux objectifs principaux : • • entretenir la pratique des objets géométriques usuels du plan et de l’espace ; exploiter des situations géométriques comme sources de problèmes, notamment en analyse, et, inversement, entretenir une vision géométrique grâce à la mise en œuvre systématique d’activités graphiques (tracé de courbes, schémas, etc) permettant de représenter les objets mathématiques étudiés dans les différentes parties du programme. Le programme de géométrie ne comporte que des travaux pratiques mettant en œuvre les connaissances de géométrie du plan et de l’espace figurant aux programmes des classes antérieures. 33 Travaux pratiques Exemples d’étude de problèmes portant sur les objets usuels du plan et de l’espace (calculs de distances, d’angles, d’aires, de volumes, etc). On étudiera quelques exemples simples d’analyse de la forme d’un objet usuel (par projection cylindrique ou famille de sections planes) et de modes de génération de tels objets (surfaces de révolution, etc) ; aucune connaissance spécifique sur ces questions n’est exigible et toutes les indications utiles devront être fournies. 3. Probabilités Quelques notions de calcul des probabilités ont été introduites en Première ; en Terminale, on poursuit l’étude de phénomènes aléatoires. Le programme comporte une consolidation des acquis de Première et l’introduction, sur des exemples simples, du concept de variable aléatoire. On se limite à des ensembles finis ; toute théorie formalisée est exclue et les notions de probabilité conditionnelle, d’indépendance et de probabilité produit ne sont pas au programme. Pour les variables aléatoires, le programme ne porte que sur l’étude d’exemples. 34 Variable aléatoire (réelle) prenant un nombre fini de valeurs et loi de probabilité associée ; fonction de répartition, espérance mathématique, variance, écart-type. On prendra un point de vue très simple : certaines situations de probabilité s’expriment commodément par l’affectation de probabilités p1, p2, ..., pp aux valeurs x1, x2, ..., xπ d’une grandeur numérique X associée à une expérience aléatoire ; on dit alors que X est une variable aléatoire. Les événements (X=x1), (X=x2), ..., (X=xπ) sont les événements élémentaires de la loi de probabilité de X. Pour la fonction de répartition, on emploiera la convention F(x)=p(X≤x). Travaux pratiques Exemples d’emploi de partitions et de représentations (arbres, tableaux, L’étude du dénombrement des etc) pour organiser et dénombrer permutations, arrangements et des données relatives à des combinaisons est hors programme. situations aléatoires. On conserve le même point de vue qu’en Première ; en particulier, on Exemples d’étude de situations de s’attachera à étudier des situations probabilités issues d’expériences permettant de bien saisir la aléatoires (modèles d’urnes, jeux, démarche du calcul des etc). probabilités, et non des exemples comportant des difficultés techniques de dénombrement. Exemples simples d’étude de Des indications doivent être situations menant à l’étude d’une données sur la méthode à suivre. variable aléatoire. 35 ANALYSE Le programme d’analyse porte essentiellement sur les fonctions, ce qui permet d’étudier des situations continues. Il comporte aussi quelques notions sur les suites, en vue d’étudier quelques situations discrètes simples. • • Pour les fonctions, l’objectif principal est d’exploiter la pratique de la dérivation pour l’étude globale et locale de fonctions usuelles et de fonctions qui s’en déduisent de manière simple ainsi q’une pratique élémentaire du calcul intégral. Quelques problèmes majeurs fournissent un terrain pour cette étude : variations, recherche d’extremums, équations et inéquations, comportements asymptotiques, approximation d’une fonction au moyen d’une fonction plus simple, calcul de grandeurs géométriques, physiques ou mécaniques. Pour les suites, l’objectif est de consolider les acquis de Première sur les suites arithmétiques et géométriques ; le programme ne comporte que des travaux pratiques, sauf dans les spécialités génie électronique et génie électrotechnique où figure aussi une brève étude de suites Un = f(n), mais il ne s’agit que d’un premier contact et les exemples choisis doivent être simples. Les activités sur les suites et les fonctions ne sauraient se borner à des exercices portant sur des exemples donnés a priori ; il convient aussi d’étudier des situations issues de la géométrie, des sciences et techniques et de la vie économique et sociale. De même, on exploitera systématiquement les interprétations graphiques des notions et des résultats étudiés et les problèmes numériques qui sont liés à cette étude. 1. Fonctions numériques : étude locale et globale Pour l’étude des fonctions, on s’appuiera conjointement sur les interprétations graphiques y=f(x), cinématiques x=f(t) et électriques (signaux relatifs à l’évolution d’une intensité, d’une différence de potentiel, etc). 36 Le programme se place dans le cadre des fonctions définies sur un intervalle et porte, pour l’essentiel, sur le cas des fonctions possédant dans cet intervalle des dérivées jusqu’à un ordre suffisant. Certaines situations (signaux, etc) mettent en jeu des fonctions définies par morceaux ; la mise en place d’un cadre théorique est exclue : l’étude sera menée intervalle par intervalle. L’intervalle de définition sera indiqué. Toute recherche a priori d’ensembles de définition est exclue. Quelques énoncés sur les limites figurent au programme. Ils ne constituent pas un objectif en soi, mais visent seulement à faciliter, le cas échéant, l’étude du comportement aux bornes de l’intervalle et notamment du comportement asymptotique au voisinage de +¥ ; on évitera de multiplier les exemples posés a priori et toutes les indications nécessaires doivent être données. Pour la notion de limite le point de vue adopté reste le même qu’en Première ; les définitions par (e, a) (e, A), etc sont hors programme. La continuité en un point et la continuité sur un intervalle sont hors programme. A) Langage des limites Les fonctions étudiées dans ce paragraphe sont définies sur un intervalle I de R. α) Introduction de la notation lim f(x). x→a Notion d’asymptote verticale. Dire que lim f(x) = L signifie aussi que x → a lim f(a+ h) = L. h→0 Les notions et les énoncés de ce paragraphe sont introduits à l’aide d’une approche numérique et graphique ; ils ne feront l’objet d’aucun développement théorique. Lorsque a appartient à I, on s’appuiera sur le cas lim g(h), abordé en Première. h→0 On convient que lim f(x) = f(a). x→a On soulignera le fait que, par translation, l’étude d’une fonction x a f(x) au point a se ramène à l’étude de la fonction h → f(a + h) au point 0. 37 β) Limite en + ∞ des fonctions x → x, x → x2, x → x3, x → √ x ; limite en + ∞ des fonctions Pour cette introduction, on s’appuiera sur des expérimentations numériques et graphiques portant x → 1, x → 1 - x → 1- x → 1 2 3 notamment sur les fonctions de x x x √x référence ci-contre. Pour donner une Introduction des notations lim f(x) et idée du cas général, on peut dire, par exemple, que f(x) est supérieur à 10, 102, ..., 109, 10p, ..., dès que x est x→+∞ assez grand. lim f(x) x→+∞ Notion d’asymptote horizontale. γ) Dans le cas d’une limite finie L, dire que lim f(x) = L signifie aussi que x→a On dispose d’un énoncé analogue pour les limites en + ∞ et en - ∞. lim 1 f(x) - L1 = 0 ou encore que x→a f(x) = L + ϕ(x), où lim ϕ(x) = 0. x→a 38 B) Enoncés usuels sur les limites (admis) Ces énoncés doivent couvrir d’une part le cas des limites finies, d’autre Opérations algébriques part celui des limites infinies. Il n’y a pas lieu de s’attarder à leur étude Limite de la somme de deux et d’en donner une liste complète. fonctions, du produit d’une fonction Toute règle relative à des cas par une constante, du produit de d’indétermination est hors deux fonctions, de l’inverse d’une programme. fonction, du quotient de deux fonctions. Comparaison - Si pour x assez grand, f(x) ≤ u(x) et si lim u(x) = + ∞, alors lim f(x) = + ∞ ; x→+∞x→+∞ énoncé analogue lorsque f(x) ≤ v(x) et lim v(x) = - ∞. x→+∞ - Si, pour x assez grand, l f(x) - Ll ≤ u(x) et si lim u(x)=0. x→+∞ alors lim f(x)=L. x→+∞ - Si, pour x assez grand, u(x) ≤ f(x) ≤ v(x) et si lim u(x) = lim v(x) = L, alors x → + ∞ x →+ ∞ lim f(x) = L. x→+∞ Les énoncés de ce paragraphe sont introduits dans l’unique but de faciliter l’étude des questions figurant au programme (dérivées, comportements asymptotiques) et non pour faire l’objet d’un entraînement systématique à la recherche de limites. En particulier, en dehors du contexte de la dérivation, la recherche de limites en un point a de I n’est pas un objet du programme, et, pour les comportements asymptotiques, les travaux ne doivent porter que sur quelques exemples très simples. 39 Comptabilité avec l’ordre - Si pour x assez grand, f(x) ≤ g(x) et si lim f(x) = L et lim g(x) = L’, alors, x→+∞x→+∞ L ≤ L’. De manière générale, dans la plupart des situations de majorations et d’encadrement intervenant dans le programme d’analyse, les inégalités strictes doivent être réservées au cas où elles sont indispensables. Bien entendu, cet énoncé, condensé Limite d’une fonction composée : pour faciliter la mémorisation, Si lim f(x) = b et si lim g(y) = λ (où recouvre plusieurs cas qu’il convient a, de distinguer clairement et d’illustrer x→ay→b à l’aide d’exemples. En dehors des b, λ sont finis ou non), cas du type t → g(a + b), exp u, In u alors lim (gof)(x) = λ. et ua, où aER, les fonctions f et g x→a doivent être indiquées. La démonstration de cette règle n’est pas au programme. C) Calcul différentiel En dehors des cas ci-contre, les Dérivation d’une fonction fonctions que l’on compose, doivent composée. être mentionnées explicitement. En liaison avec les sciences Application à la dérivation de physiques, on donnera aussi les fonctions de la forme un, nEZ, exp u, notations df, d²f, … La notion de différentielle In u et ua, aER. est Dérivées successives ; notation f’, dx,dx² hors programme, ainsi que f’’, … toute notion concernant la concavité ou les points d’inflexion. Primitives d’une fonction dérivable sur un intervalle : Pour les primitives et le calcul Définition. Deux primitives d’une intégral, le programme se limite au même fonction diffèrent d’une cas des fonctions dérivables. constante. Primitives des fonctions L’existence des primitives est usuelles par lecture inverse du admise. tableau des dérivées. 40 D) Fonctions usuelles - Fonction logarithme népérien et fonction exponentielle ; notation In et exp. Relation fonctionnelle, dérivation, comportement asymptotique. Approximation par une fonction affine, au voisinage de 0, des fonctions h → exp h et h → in (1 + h). Nombre e, notation ex. Définition de ab (a strictement positif, b réel). Fonctions puissances x → xn (x réel et n entier) et x → xa (x strictement positif et a réel). Dérivation, comportement asymptotique. Cas où = 1 (n entier strictement positif) ; notation n√x (x positif). Le mode d’introduction des fonctions In et exp n’est pas imposé ; l’existence et la dérivabilité de ces fonctions peuvent être admises. Hormis les deux exemples de l’exponentielle et de la racine nième, l’étude des fonctions réciproques n’est pas au programme. Selon les besoins des autres disciplines, on pourra mentionner la fonction logarithme décimal x → log x, mais aucune connaissance sur ce point n’est exigible des élèves en mathématiques. Les élèves doivent avoir une bonne pratique des représentations graphiques des fonctions étudiées dans ce paragraphe et savoir en déduire celles des fonctions directement apparentées, telles que t → cos (ω+ϕ), t → eal. Hormis les cas indiqués ici, l’étude de Fonctions circulaires sinus, cosinus et fonctions de la forme x → f (cos x, sin tangente. x) est hors programme. - Croissance comparée des fonctions de référence x a exp x, x a xa, x a In x Ces résultats sont admis et interprétés au voisinage de + ∞ ; graphiquement. Certaines études aux exp x = + ∞, lim bornes mettent en jeu des formes indéterminées en + ∞ ou en - ∞, a x→+∞X aucune autre connaissance que celles a lim x .exp (- x) = 0 ; mentionnées ci-contre n’est exigible x→+∞ des élèves. L’étude des formes indéterminées en un point a est hors Si a > 0, lim In x = 0. programme. Xa x→+∞ 41 Travaux pratiques Programmation des valeurs d’une fonction d’une variable. Etude du sens de variation d’une fonction, recherche de son signe, recherche des extremums. Recherche de la limite d’une fonction polynôme ou d’une fonction rationnelle en + ∞ ou en ∞. Exemples de recherche d’asymptotes ; exemples d’étude du comportement local ou asymptotique d’une fonction. Tracé de la courbe représentative d’une fonction. Lecture de propriétés d’une fonction à partir de sa représentation graphique. Etude d’équations f(x) = λ ou d’inéquations f(x) ≤ λ. Exemples d’étude de situations décrites au moyen de fonctions (issues de la géométrie des sciences physiques, de la vie économique et sociale, etc). Dans l’ensemble des travaux pratiques, on exploitera largement des situations issues de la géométrie, des sciences physiques et de la technologie. La résolution de certaines questions nécessite l’étude d’une fonction auxiliaire ; cette fonction doit alors être indiquée. Pour l’étude des comportements asymptotiques en + ∞ (ou en - ∞), on exploitera la comparaison de la fonction donnée f à une fonction plus simple g telle que lim + ∞ (f-g) = 0 ; en dehors du cas des asymptotes horizontales ou verticales, des indications doivent être fournies sur la forme de la fonction g à utiliser. Etant donné une fonction f strictement monotone sur I et un élément α de l tel que f(α) = 0, les élèves doivent savoir comparer a à un élément donné b de I en utilisant le signe de f(β). On s’attachera à interpréter les résultats (variations, signe, extremums, comportement asymptotique, etc). On étudiera quelques problèmes d’optimisation. 42 Exemples d’emploi de majorations et d’encadrements d’une fonction par des fonctions plus simples (recherche de valeurs approchées en un point, etc). Exemples de recherche de solutions approchées d’une équation numérique. Certains problèmes physiques (mouvement d’un point, signaux électriques, etc) conduisent à l’étude de courbes planes paramétrées telles que, par exemple, l’ellipse sous la forme x = a cos t, y = b sin t : en liaison avec l’enseignement des autres disciplines on pourra étudier quelques exemples de ce type, mais aucune connaissance à ce sujet n’est au programme. Pour tous les problèmes de majoration, d’encadrement et d’approximation des fonctions, des indications doivent être données sur la méthode à suivre. On pourra, sur des exemples, explorer et itérer quelques méthodes (dichotomie, tangente, interpolation linéaire, etc) mais aucune connaissance sur ces méthodes n’est exigible des élèves. 2. Suites Pour toutes les spécialités de la série STI, le programme comporte une consolidation des acquis de Première sur les suites arithmétiques et géométriques sous forme de travaux pratiques. Pour les seules spécialités génie électronique et génie électrotechnique, il s’agit aussi d’aborder l’étude du comportement global et asymptotique de la suite des valeurs f(n) d’une fonction ; on se place dans le cadre de suites définies pour tout entier naturel et on remarquera brièvement que les notions et résultats s’étendent sans changement au cas des suites définies à partir d’un certain rang. 43 A l’exception des suites arithmétiques et géométriques, les suites définies par Un+1 = f(Un) et Uo sont hors programme. a) Comportement global Exemples de description d’uns situation à l’aide d’une suite des valeurs f(n) d’une fonction. Suites croissantes, suites décroissantes. b) Langage des limites L’étude des suites définies par additions ou multiplications répétées, telles que Un=1 + 1 = +… + 1 ou Un= n I, 2 n est exclu. L’étude des opérations sur les suites est hors programme. La définition de la convergence par (ε, N) est hors programme. L’étude des suites de référence ciα) Limite des suites de terme général contre et, plus largement, des suites n, n2, n3, √n. Un = f(n) est à mener en relation étroite avec celle des fonctions Limite des suites de terme général correspondantes. On signalera que 1, 1, 1, 1 les énoncés de comparaison pour les n n2 n3 √n’ suites et les fonctions sont entièrement analogues. Introduction du symbole lim Un. na + ∞ La démonstration de ce résultat n’est Si une fonction f admet une limite L pas exigible. En dehors de ce cas, l’étude de la convergence d’une en + ∞, alors la suite Un = f(n) converge vers L. suite récurrente n’est pas un objectif du programme. β) Limite d’une suite géométrique n (k ), où k est strictement positif. 44 Travaux pratiques Exemples d’étude de problèmes conduisant à des suites arithmétiques ou géométriques (Programme de l’ensemble des spécialités). On pourra prendre des problèmes issus des sciences physiques, des techniques industrielles ou de la vie économique et sociale (radioactivité, Exemples d’étude du comportement intérêts simples, intérêts composés, asymptotique d’une suite Un = f(n) etc). (Programme des spécialités génie électronique et génie électrotechnique). 3. Notions de calcul intégral L’objectif est double : • • Familiariser les élèves avec quelques problèmes relevant du calcul intégral et qui, en retour, donnent du sens à la notion d’intégrale : calcul de grandeurs géométriques (aires, volumes, etc), de grandeurs physiques (calcul de la distance parcourue connaissant la vitesse, valeur moyenne, valeur efficace, etc). Fournir aux élèves le symbolisme très efficace du calcul intégral. On combinera les activités de calcul exact d’intégrales (qui mettent en œuvre le calcul de primitives) et les activités d’encadrement et de calcul approché (qui, de façon complémentaire, exploitent des idées géométriques à partir d’interprétation graphiques). 45 a) Intégrale d’une fonction sur un segment Etant donné une fonction f dérivable sur un intervalle I et un couple (a, b) de points de I, le nombre F(b) - F(a), où F est une primitive de f, est indépendant du choix de F ; on l’appelle intégrale de a à b de f et on le note ∫ba(t) dt. Dans le cas d’une fonction positive, interprétation graphique de l’intégrale à l’aide d’une aire. b) Propriétés de l’intégrale Relation de Chasles. Aucune théorie de la notion d’aire n’est au programme : on admettra son existence et ses propriétés élémentaires. Les élèves doivent connaître l’aire des domaines usuels : rectangle, triangle, trapèze, secteur d’un disque. Il convient d’interpréter en termes d’aires certaines de ces propriétés (relation de Chasles, intégration d’inégalités, valeur moyenne d’une fonction, etc) afin d’éclairer leur signification. 46 La notion de valeur moyenne est à Linéarité : relier à l’enseignement de la ∫ba(αf+βg)(t)dt = α∫baf(t)dt+β∫bag(t)dt. physique. Positivité : si a ≤ b et f ≤ 0, alors Les élèves doivent savoir reconnaître si un exemple donné de fonction est de l’une de ces formes. Ils doivent aussi savoir exploiter une périodicité ou une symétrie pour le calcul d’intégrales, mais toute formule de changement de variable est hors programme, de même que l’intégration par parties. ba ∫ f(t)dt ≤ 0 ; intégration d’une inégalité. Inégalité de la moyenne Si m ≤ f ≤ M et a ≤ b, alors m(b-a) ≤ ∫baf(t)dt ≤ M(b-a). Valeur moyenne d’une fonction. c) Techniques de calcul Lecture inverse de formules de dérivation : primitives des fonctions de la forme t → f’(at+b), (exp u)u’, uau’, où aER. α≠-1, et u’ u (u étant à valeurs strictement Positives). d) Equations différentielles Résolution de l’équation différentielle y’ = ay, où a est un nombre réel : existence 47 Pourcentages • • • • • Coefficient multiplicatif associé à un pourcentage. Itération de pourcentages. Analyse des variations d’un pourcentage. Comparaison de pourcentages. Approximation linéaire dans le cas de faibles pourcentages. Feuilles automatisées de calcul • • Exploration dynamique d’une feuille automatisée de calcul et explicitation des relations entre diverses cellules de cette feuille. Réalisation d’une feuille automatisée à partir d’un texte, écrit en langue naturelle, comportant quelques règles et contraintes assez simples. Représentations graphiques • • • • • • Interprétation de l’information lisible sur un graphique : valeur exacte ou approchée, influence sur l’allure de la courbe d’un changement de fenêtre graphique. Interpolation linéaire. Résolution graphique d’équations, d’inéquations et recherche d’extremum en exploitant les changements de fenêtre graphique. Lecture de courbes de niveaux et repérage d’un point par trois coordonnées. Outils graphiques de dénombrement. Diagrammes ; arbres. 48 Statistiques • • • • • • • • • • Diagrammes en boîtes. Intervalle inter-quartile. Définition de l’intervalle interquartile. Construction de diagrammes en boîtes (aussi appelés boîtes à moustaches ou boîtes à pattes). Variance, écart-type. Introduction de l’écart-type pour des données gaussiennes. Définition de la plage de normalité pour un niveau de confiance donné. Tableaux croisés. Analyse d’un tableau de grands effectifs. Construction et interprétation : o des marges ; o du tableau des pourcentages en divisant chaque cellule par la somme de toutes les cellules ; o du tableau des pourcentages par ligne en divisant chaque cellule par la somme des cellules de la même ligne ; o du tableau des pourcentages par colonnes en divisant chaque cellule par la somme des cellules de la même colonne. 49 Exemple de types de croissance • • • • • • • • Suites arithmétiques : croissance linéaire. Exemples de suites ayant un accroissement constant ; calcul du nième terme. Calcul sur tableur des n premiers termes d’une telle suite et représentation graphique correspondante. Pour une suite finie de nombres, reconnaissance à partir de sa représentation graphique de sa nature arithmétique. Suites géométriques ; croissance exponentielle. Exemples de suites ayant un accroissement relatif constant ; calcul du n-ième terme. Calcul sur tableur des n premiers termes d’une telle suite ; représentation graphique correspondante ; comparaison avec le cas d’une croissance linéaire. Autres exemples de croissance. Activités d’ouverture • • Figure géométrique obtenue par itération. Analyse et production de pavages du plan. 50 PHYSIQUE Electricité I (courant continu) • • Tension et intensité ; Caractéristique courant-tension d’un dipôle passif et d’un dipôle actif. Electricité II (courant alternatif sinusoïdal) • Période, fréquence, valeurs efficace et maximale d’une tension sinusoïdale. Mécanique • Conditions générales d’équilibre d’un solide. Acoustique • • Hauteur et fréquence. Niveau d’intensité acoustique. Optique • • Réflexion. Réfraction, angle limite. Régime sinusoïdal monophasée • • • • • Valeurs instantanées d’une tension, de l’intensité d’un courant, pulsation. Représentation de Fresnel. Addition des tensions et additions des intensités. Déphasage entre deux tensions, deux intensités, une tension et une intensité. Impédance, déphasage entre tension et intensité pour un conducteur ohmique, une bobine et un condensateur. 51 Régime sinusoïdal monophasé • • • Tension simple, tension composée. Système équilibrés étoile et triangle. Dans le cas d’un montage équilibré étoile ou triangle, intensité du courant de ligne et intensité du courant dans une branche. Transport et distribution • • • Rôle du transformateur. Transport de l’énergie électrique. Distribution (réseau monophasé, réseau triphasé). Protection et sécurité • • • • • • Danger de l’électricité. Contact direct, contact indirect. Règles générales de sécurité. Régime neutre TT. Protection des personnes. Protection des installations. Puissance électrique en courant continu • • Puissance électrique reçue ou fournie par un dipôle. Bilan des puissances, rendement. • 1 - Puissance électrique en monophasé o Puissances active, réactive, apparente. o Facteur de puissance d’un appareil. o Bilan des puissances, rendement. 52 2 - Puissance électrique en triphasé Puissance active, réactive, apparente. Facteur de puissance d’un appareil. Bilan des puissances, rendement. Etude des montages étoile et triangle. Magnétisme et électromagnétisme Propriétés des aimants. Champ magnétique et vecteur champ magnétique. Champ magnétique crée par une bobine. Flux magnétique. Existence du phénomène d’hystérésis. Induction électromagnétique Courants induits, loi de Faraday, loi de Lenz. Courants de Foucault. Principe du transformateur. Force électromagnétique Loi de Laplace (cas d’un conducteur droit). Applications Principes de fonctionnement du moteur à courant continu et du moteur asynchrone. Moteurs à courant continu Description et principe de fonctionnement d’un moteur à excitation indépendante. Bilan des puissances, rendement. Démarrage sous tension d’induit réglable. 53 Moteur asynchrone monophasé et triphasé Description et principe de fonctionnement. Fréquence de synchronisme. Fréquence de rotation. Glissement. Facteur de puissance. Bilan des puissances, rendement. Couplage d’un moteur triphasé. Charge et décharge d’un condensateur • Circuit R-C. Redressement - Filtrage • • • Redressement double alternance d’une tension sinusoïdale. Filtrage par condensateur. Lissage par une bobine d’un courant redressé. Amplificateur opérationnel • • Fonction amplification (régime linéaire). Fonction comparaison (régime de commutation). 54 ÉLECTRONIQUE A) TRAITEMENT DES SIGNAUX ANALOGIQUES fonction éléments de structure mis en œuvre amplification amplificateur de tension amplificateur de courant amplificateur de puissance : aspects technologiques - problèmes thermiques - rendement opérations algébriques comparateur additionneur/soustracteur diviseur/multiplieur opérations mathématiques intégrateur/dérivateur filtrage filtre passe-bas filtre passe-haut (filtres actifs du premier ordre utilisant un amplificateur intégré). conversion générateur de un courant. générateur de une tension. générateur de une tension. générateur de un courant. modulation d’amplitude démodulation d’amplitude tension commandé par courant commandé par tension commandé par courant commandé par modulateur par multiplication avec “multiplieur” intégré. modulateur par résistance commandée ou démodulateur par détection d’enveloppe. 55 B) PRODUCTION DE SIGNAUX ANALOGIQUES fonction production de signaux sinusoïdaux éléments de structure mis en œuvre oscillateur RC oscillateur utilisant des circuits intégrés spécialisés conformateur production de signaux non sinusoïdaux générateur de signaux triangulaires générateur de signaux rectangulaires - astables - monostables utilisant des opérateurs logiques ou des circuits spécialisés. C) TRAITEMENT DES SIGNAUX LOGIQUES ET/OU NUMÉRIQUES fonction éléments de structure mis en œuvre commutation opérateurs logiques de base Et/Ou/Non Et-Non/Ou-Non Ou exclusif multiplexeur/démultiplexeur codage codeur décodeur transformation de code transcodeur opérations arithmétiques binaires additionneur soustracteur comparateur unité arithmétique et logique comptage compteur synchrone (compteur binaire naturel ou codé décimal prépositionnable ou non) mémorisation mémoire élémentaire : bascules RS bascules D bascules JK mémoire multiple à accès direct mémoire à accès séquentiel mémoire à lecture/écriture mémoire à lecture seule registre à décalage 56 fonction traitement programmé de l’information éléments de structure mis en œuvre structure de bus interfaces - organisation matérielle : - architecture fonctionnelle d’un disposition utilisant la logique programmée - séquencement - mémorisation - échanges des informations entre les entités fonctionnelles - organisation logicielle : - structure lagorithmiques de base : - linéaire - alternative - itérative - sous-programmes - éléments de programmation permettant la réalisation de fonctions relatives à l’objet technique étudié. D) CONVERSION DE GRANDEURS PHYSIQUES EN GRANDEURS ÉLECTRIQUES fonction captage captage captage captage : - position :- vitesse :- contrainte :- température captage :- rayonnement conditionnement éléments de structure mis en œuvre capteur magnétoélectrique capteur électrodynamique capteur optique capteur thermoélectrique capteur de contrainte : piezoélectirque capteur de contrainte :jauge - oscillateur à : -fréquence - rapport cyclique - amplitude - commandé - générateur de tension ou courant - commandé 57 E) CONVERSION DE GRANDEURS ÉLECTRIQUES EN GRANDEURS PHYSIQUES fonction éléments de structure mis en œuvre transduction électrique/acoustique haut parleur électrodynamique (réversibilité) transduction électrique/optique diode électroluminescente afficheur - simple - multipléxé F) TRANSMISSION DE L’INFORMATION fonction conversion de données éléments de structure mis en œuvre convertisseur numérique/analogique convertisseur analogique/numérique convertisseur fréquence/tension convertisseur tension/fdréquence codage des informations modulateur à déplacement de fréquence transmission non galvanique coupleur optique transformateur relais transmission de données numériques liaison série liaison parallèle G) CONVERSION ET CONTRÔLE DE L’ÉNERGIE fonction éléments de structure mis en œuvre conversion électrique/mécanique moteur à courant continu à aimants permanents moteur pas à pas contrôle de l’énergie redresseur gradateur hacheur série à transistors régulateur 58 ÉLECTROMAGNÉTISME • • • • • • • • • • • • • Magnétisme et électromagnétisme. Propriétés des aimants. Champ magnétique et vecteur champ magnétique. Champ magnétique créé par une bobine. Flux magnétique. Existence du phénomène d’hystérésis. Induction électromagnétique. Courants induits, loi de Faraday, loi de lenz. Courants de Foucault. Principe du transformateur. Force électromagnétique. Loi de Laplace (cas d’un conducteur droit). Applications : o Principes de fonctionnement du moteur à courant continu et du moteur asynchrone. MOTEURS ÉLECTRIQUES • • • • • • • • • • • • Moteurs à courant continu. Description et principe de fonctionnement d’un moteur à excitation indépendante. Bilan des puissances, rendement. Démarrage sous tension d’induit réglable. Moteur asynchrone monophasé et triphasé. Description et principe de fonctionnement. Fréquence de synchronisme. Fréquence de rotation. Glissement. Facteur de puissance. Bilan des puissances, rendement. Couplage d’un moteur triphasé. 59 ÉLECTRONIQUE • • • • • • • • • Charge et décharge d’un condensateur. Circuit R-C. Redressement-filtrage. Redressement double alternance d’une tension sinusoïdale. Filtrage par condensateur. Lissage par une bobine d’un courant redressé. Amplificateur opérationnel. Fonction amplification (régime linéaire). Fonction comparaison (régime de commutation). 60 EPREUVE FACULTATIVE QUESTIONS JURIDIQUES I. Régulation de l’internet • • • • Applicabilité du droit national ; Lois spécifiquement adoptées en France (ex. Loi du 1er août 2000) ; Projets de loi en cours (ex. Loi pour la confiance dans l’économie numérique, projet de modification de la loi du 6 janvier 1978, projet de loi habilitant le gouvernement à simplifier le droit, chapitre I généralités dont développement de l’administration électronique) ; Activités de régulation au niveau communautaire et international. II. Informatique et droit d’auteur • • Protection des programmes d’ordinateur par le droit d’auteur et ses conséquences ; Application du droit d’auteur aux oeuvres dématérialisées. III. Informatique et droit pénal • • • • Fraude informatique, Code pénal, art. 323-1 à 323-7 ; Publications interdites en ligne ; Convention européenne sur la cybercriminalité du 23 novembre 2001 ; Interception des télécommunications et réglementation du chiffrement. 61 IV. Informatique et libertés • • • • Loi du 6 janvier 1978 « informatique et libertés » ; Directive du 24 octobre 1995 relative à la protection des données personnelles ; Existence d’une autorité administrative indépendante : la CNIL ; Champ d’application de la protection (fichiers de données nominatives, internet). V. Informatique et droit du travail • • • Accès de l’employeur au poste informatique des salariés ; Droits du salarié relatifs à l’usage de son poste informatique sur son lieu de travail ; Arrêt Nikon, Cour de cassation, chambre sociale, 2 octobre 2001. 62 LISTE DE TEXTES JURIDIQUES (À ALLER VOIR SUR LÉGIFRANCE) Réglementation des télécommunications • • • Loi n° 2000-719 du 1er août 2000, modifiant la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la communication audiovisuelle ; Loi n° 90-1170 du 29 décembre 1990 sur la réglementation des télécommunications ; Loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 relative au secret des correspondances émises par la voie des télécommunications. Cryptologie • Décret n° 2002-97 du 16 juillet 2002 relatif à l’obligation mise à la charge des fournisseurs de prestations de cryptologie en application de l’article 11-1 de la loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 relative au secret des correspondances émises par la voie des télécommunications. Réglementation des échanges dans la société de l’information • • Directive CE n° 98/34 du 22 juin 1998 prévoyant une procédure d’information dans le domaine des normes et réglementations techniques et des règles relatives aux services de la société de l’information, modifiée par la directive CE n° 98/48 du 20 juillet 1998 ; Directive CE n° 2000/31 du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques des services de la société de l’information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur (“directive sur le commerce électronique”). 63 Signature électronique • • • Loi n° 2000-230 du 13 mars 2000 portant adaptation du droit de la preuve aux technologies de l’information et relative à la signature électronique ; Recommandation CE n° 94-820 du 19 octobre 1994 concernant les aspects juridiques de l’échange de données informatisées ; Directive n° 1999/93 du 13 décembre 1999 sur un cadre communautaire sur les signatures électroniques. Communication gouvernementale • • Décret n° 99-68 relatif à la mise en ligne des formulaires administratifs ; Circulaire du 7 octobre 1999 relative aux sites internet des services et des établissements publics de l’Etat. Droit pénal • Code pénal : o Articles 226-13 et 226-14 (atteinte au secret professionnel) ; o Articles 226-15 et 432-9 (atteinte au secret des correspondances) ; o Articles 226-16 à 226-26 (atteintes aux droits de la personne résultant des fichiers ou des traitement informatique) ; o Articles 227-23 et 227-24 (de la mise en péril de mineurs du fait de la diffusion d’images à caractère pornographique) ; o Articles 323-1 à 323-7 (atteintes aux systèmes de traitement automatisé de données) ; o Articles 411-1 à 411-11 (trahison et espionnage) ; o Articles 413-9 à 413-12 (atteintes à la défense nationale) ; o Articles 431-1 et 431-2 (entraves à l’exercice des libertés d’expression, du travail, d’association, de réunion ou de manifestation). 64 • • • • • • Décret-loi du 21 avril 1939 tendant à réprimer les propagandes étrangères ; Décret-loi du 24 juin 1939 concernant la répression de la distribution et de circulation des tracts de provenance étrangère ; Loi n° 68-678 du 16 juillet 1968 modifiée par la loi n° 80-538 du 16 juillet 1980 relative à la communication de documents et renseignements d’ordre économique, commercial, industriel, financier ou technique à des personnes physiques ou morales étrangères ; Décret n° 98-608 du 17 juillet 1998 relatif à la protection des secrets de la défense nationale ; Décret n° 2000-405 portant création d’un office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication ; Convention du Conseil de l’Europe du 23 novembre 2001 sur la cybercriminalité. Données publiques • • Directive CE n° 2003-98 du 17 novembre 2003 concernant la réutilisation des informations du secteur public ; Décret n° 2002-1064 relatif à la diffusion du droit par l’internet. Protection des données personnelles • • Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ; Directive CE n° 95/46 du 24 octobre 1995 relative à la protection des personnes physiques à l’égard des traitements de données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données. Langue française • Loi n° 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue française. 65 Droits d’auteur • • • • • Code de la propriété intellectuelle : o Article L. 111-1 à L. 111-3, L. 112-1 et L. 112-2, L. 122-5, L. 131-4, L. 211-1 et L. 211-3 (généralités sur le droit d’auteur) ; o Articles L. 113-9, L. 121-7, L. 122-6 à L. 122-6-2 (logiciel) ; o Articles L. 311-1 à L. 311-8 (copie privée). Directive CE n° 91-250 du 14 mai 1991 Concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur ; Directive CE n° 96/9 du 11 mars 1996 concernant la protection juridique des bases de données ; Directive n° 2001-29 du 22 mai 2001 sur l’harmonisation de certains aspects du droit d’auteur et des droits voisins dans la société de l’information ; Traité de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle sur le droit d’auteur. 66 BIBLIOGRAPHIE Ouvrages • • • • • • • • • • • • • • • • • • • Code de la Communication, éd. Dalloz. Lamy droit de l’informatique. Lamy droit de la communication. AFTEL, le droit du multimédia, de la télématique à Internet, éd. du téléphone, 1996. Bensoussan, le multimédia et le droit, éd. Hermès. Bertrand et T. Piette-Coudol, Internet et la loi, éd. Dalloz, 1996. G. Braibant, Données personnelles et société de l’information, La documentation française, 1998. Conseil d’Etat, Internet et les réseaux numériques, La documentation française, 1998. M-P. Fenoll-Trousseau, Internet et la protection des données personnelles, éd. Litec, 2000. J. Frayssinet, Informatique, fichiers et libertés, éd. Litec, 1992. G. Lyon-Caen, Les libertés publiques et l’emploi, La documentation française, 1992. Itéanu, Internet et le droit, éd. Eyrolles, 1997. X. Linant de Bellefonds, L’informatique et le droit, PUF, collection “Que sais-je ?”, 1998. Lucas, Le droit de l’informatique, PUF, Collection “Thémis”, 1997 Lucas, Le droit d’auteur et numérique, éd. Litec, 1992. Nguyen Duc Long, La numérisation des oeuvres, aspects de droit d’auteur et droits voisin, éd. Litec, 2001. F. Olivier et E. Barbry, Droit du multimédia, PUF, collection “Que sais-je ?” 1996. V. Sédallian, Droit de l’Internet, éd. AUI, 1997. P. Truche, JP Faugere et P. Flichy, Données personnelles et administration électronique, La documentation française, 2002. 67 Revues • Communication, commerce électronique, éd. Du Juris-Classeur, mensuel. Sites Internet • • • • • • • Législation et jurisprudence françaises et européennes : Légifrance : www.legifrance.gouv.fr Site de l’Assemblée Nationale : www.assembleenationale.fr Site du Sénat : www.senat.fr La documentation française : www.ladocfrancaise.gouv.fr CNIL : www.cnil.fr Forum des droits de l’internet : www.foruminternet.org CEJEM : www.cejem.com 68 ANNALES 2005 CONCOURS EXTERNE ET INTERNE • Note de synthèse : Rédaction d’une note de synthèse à partir d’un dossier à caractère technique pouvant comporter des éléments chiffrés (données statistiques, comptables, financières, commerciales et administratives simplifiées) et permettant de vérifier les qualités d’analyse et de synthèse du candidat) (durée : 3 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6/20 est éliminatoire) Sujet : Rédigez une note de synthèse sur les satellites de navigation, en présentant les principales caractéristiques techniques des systèmes en service ou en projet et leurs différentes applications, et en mettant en relief les enjeux et les contraintes de la coopération internationale dans ce domaines 69 Epreuve technique à option : L’épreuve technique pourra, sur la demande du candidat formulée au moment de son inscription, contribuer à la reconnaissance de la qualification de pupitreur mais la note entrant en ligne de compte pour l’acquisition des droits à cette qualification devra au moins être égale à 10/20. (durée : 5 heures ; coefficient : 5 ; toute note inférieure à 8/20 est éliminatoire). Informatique : gestion électronique de l’information Sujet : 70 Informatique : infrastructures et assistance Sujet : 71 Travail à faire : 72 Informatique : concepteur de logiciel Sujet : 73 74 75 76 77 Travail à faire : • Epreuve à option : Composition pouvant comporter des exercices, des questions sur le programme et des problèmes à résoudre. (durée : 2 heures ; coefficient : 2 ; toute note inférieure à 6/20 est éliminatoire). PHYSIQUE 1) Exercice d’optique (5 points) 2) Exercice sur la protection et la sécurité (5 points) 3) Problème sur un moteur à courant continu (5 points) 4) Exercice sur l’amplificateur opérationnel en régime linéaire (5 points) 78 79 80 81 MATHÉMATIQUES 82 83 ÉLECTRONIQUE 84 85 86 87 88 89 STATISTIQUES DES CONCOURS ANNÉES 2004 2005 ANNÉES 2004 2005 CONCOURS EXTERNE nombre de postes inscrits présents admissibles admis offerts 1089 228 13 4 4 692 137 13 4 4 CONCOURS INTERNE nombre de postes inscrits présents admissibles admis offerts 76 29 9 3 3 59 24 10 4 4 90 INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES • Le calendrier : En principe, il est disponible à compter du 15 décembre de l'année en cours pour l'année suivante et peut être obtenu sur demande écrite assortie d'une enveloppe de format A4 affranchie à 1,30 € et libellée au nom et adresse du demandeur. Il peut être également consulté sur le site internet du ministère des affaires étrangères (www.diplomatie.gouv.fr). Il comporte trois dates qui peuvent varier d'une année à l'autre : - la date d'ouverture du concours, - la date limite de retrait des dossiers, - la date limite de dépôt des dossiers. Les concours externe et interne d'accès au corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication sont organisés, en principe, tous les 2 ans. Toutefois, diverses raisons, et notamment l'absence d'emploi à pourvoir, peuvent conduire à annuler ces concours ou à ne pas prévoir de les organiser. • Les formalités d’inscription : Il appartient aux candidats, avant d’entreprendre toute démarche en vue de l’inscription, de prendre connaissance du calendrier prévisionnel des concours du ministère des affaires étrangères. Aucune demande de dossier ne pourra être honorée en dehors de la période d’inscription figurant sur le calendrier prévisionnel. Les dates limites de retrait et de dépôt des dossiers sont impératives. Il s’agit des dates auxquelles ces plis - demandes de dossiers - et envois de ces derniers sont expédiés, la date de la poste faisant foi pour les demandes d'inscription expédiées par voie postale. 91 Les demandes des agents en service à l'administration centrale du ministère des affaires étrangères adressées par courrier intérieur doivent impérativement être annoncées par télécopie au 01 43 17 70 97. Les agents en service dans les postes diplomatiques et consulaires doivent tenir compte des délais de valise pour que leurs demandes parviennent dans les délais prescrits. Les demandes de dossiers et l'envoi des dossiers d'inscription doivent obligatoirement faire l'objet d'un télégramme du chef de poste indiquant la date d'envoi et les références de la valise utilisée. Les télécopies et les télégrammes devront bien évidemment être expédiés au plus tard à la date de clôture des inscriptions. Il est également possible de se pré-inscrire directement en ligne, entre les dates d’ouverture et de clôture des inscriptions, sur le site internet du ministère des affaires étrangères, le dossier complété devant être expédié au bureau des concours et examens professionnels au plus tard à la date de clôture des inscriptions. • Les centres d’épreuves : Les épreuves écrites des concours externe et interne donnant accès au corps des secrétaires de chancellerie se déroulent à Paris. Un centre peut être ouvert à Nantes pour les seuls candidats internes. • Les frais de transport : En application de l’article 6 du décret n° 200678l du 3 juillet 2006, «l’agent dont la résidence administrative se situe en métropole, Outre-Mer ou à l’étranger, appelé à se présenter aux épreuves d’admissibilité ou d’admission d’un concours, d’une sélection ou d’un examen professionnel organisé par l’administration, hors de ses résidences administrative et familiale, peut prétendre à la prise en charge de ses frais de transport entre l’une de ses résidences et le lieu ou se déroulent les épreuves. Ces frais ne peuvent être pris en charge que pour un aller-retour par année civile». La prise en charge par le ministère des affaires étrangères des frais de transport ne concerne que les agents rémunérés sur le budget du ministère. 92 STATUT ET RÉGLEMENTATION I - TEXTES RÉGISSANT LE CORPS DES SECRÉTAIRES DES SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION Décret n° 69-222 du 6 mars 1969 modifié par le décret n° 96-366 du 24 avril 1996 relatif au statut particulier des agents diplomatiques et modifié par le décret n° 2002-19 du 4 janvier 2002 fixant les dispositions applicables au corps de secrétaire des systèmes d’information et de communication. Décret n° 71-342 du 29 avril 1971 motifs relatif à la situation des fonctionnaires affectés au traitement de l’information. Décret n° 94-1016 du 18 novembre 1994 fixant les dispositions statutaires communes applicables à divers corps de fonctionnaires de la catégorie B. II - TEXTES RÉGISSANT LES CONCOURS EXTERNE ET INTERNE POUR L'ACCÈS AU CORPS DES SECRÉTAIRES DES SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION a) Organisation, nature et programme des épreuves : Arrêté du 9 mai 2005 fixant les modalités d'organisation, la nature et le programme des épreuves externe et interne pour l'accès au corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication. b) Diplômes requis des candidats à titre externe : Décret n° 94-741 du 30 août 1994 relatif à l'assimilation, pour l'accès aux concours de la fonction publique de l'État, des diplômes délivrés dans d'autres États membres de l’Union Européenne. c) Listes complémentaires : Décret n° 2005-789 du 13 juillet 2005 relatif à l’utilisation des listes complémentaires d’admission pour le recrutement par voie de concours de fonctionnaires du ministère des affaires étrangères. 93 REPROGRAPHIE DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES - PARIS CERFA N°51076#02