secrétaire des systèmes d`information et de communication

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MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
SECRÉTAIRE
DES SYSTÈMES D’INFORMATION
ET DE COMMUNICATION
Édition 2007
RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Pour entrer en relation avec le ministère des affaires étrangères :
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES
DIRECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
Sous-direction RH4
Bureau des concours et examens professionnels
23, rue La Pérouse
75775 PARIS CEDEX 16
ATTENTION !
Seules les demandes de documentation, d'annales, de calendrier et de
DOSSIERS D'INSCRIPTION qui auront fait l'objet d'un COURRIER
pourront être honorées. Il appartient aux candidats de tenir compte des
délais d'acheminement postal pour tous les courriers qu'ils sont amenés à
adresser au ministère des affaires étrangères : demandes de dossiers, envois
de dossiers, etc. Chaque demande devra être accompagnée d’une
enveloppe timbrée, libellée à l’adresse du demandeur.
Téléphone :
- ligne directe : 01 43 17 63 76
- télécopieur : 01 43 17 70 97
- http://www.diplomatie.gouv.fr
Le service d'accueil et d'information des candidats est ouvert du lundi
au vendredi de 9 H 30 à 12 H et de 14 H 00 à 16 H 30 (fermeture le
mercredi).
Accès : 23 rue La Pérouse, 75116 PARIS. Métro : ligne 6, station Kléber
ou Charles de Gaulle-Etoile (ligne A du RER).
SOMMAIRE
Le ministère des affaires étrangères
3
Le corps des secrétaires des systèmes d’information et de
communication
•
•
•
les fonctions
la carrière
la rémunération
5
5
6
Le concours
•
•
•
•
•
•
les conditions
la nature des épreuves
la correction des épreuves
le programme
les annales
les statistiques
9
13
17
19
69
90
Informations complémentaires
•
•
•
•
le calendrier
les formalités d'inscription
les centres d'épreuves
les frais de transport
Statut et réglementation
Ce document n’a aucun caractère réglementaire
Il a été mis à jour le 1er janvier 2007
91
91
92
92
93
LE MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Le ministère des affaires étrangères est l’une des plus anciennes
administrations françaises : le premier ministre des affaires étrangères a été
nommé par Henri III le 15 septembre 1588. A travers toute son histoire, ce
ministère a développé sa mission particulière : la diplomatie, c’est-à-dire
les relations extérieures de la France.
Aujourd’hui, sous l’autorité du Premier ministre, le ministre des affaires
étrangères est chargé de la mise en œuvre de la politique étrangère de la
France décidée par le Président de la République.
Les missions du ministère des affaires étrangères sont essentiellement :
- l’information du Président de la République et du Gouvernement sur
l’évolution de la conjoncture internationale et de la situation des Etats
étrangers,
- la conception de la politique extérieure de la France,
- la coordination et la conduite de l’action extérieure de l’État,
- la protection des intérêts et ressortissants français dans les pays étrangers,
- le rayonnement culturel et scientifique de la France à l’étranger,
- la solidarité à l’égard des pays en développement.
Pour remplir ces missions, il utilise un réseau diplomatique et consulaire
parmi les plus développés au monde, formé de 156 ambassades, 17
représentations auprès d’organisations internationales (telles l’ONU ou
l’Union européenne) chargées de relations entre ces États ou organisations
et la France, de 4 délégations auprès d’organismes internationaux et de 98
consulats généraux et consulats, 4 chancelleries détachées, 4 antennes
consulaires qui représentent l’État pour les 3 millions de Français qui
résident à l’étranger auxquels s’ajoutent les Français qui voyagent et les
étrangers qui souhaitent se rendre sur le territoire national.
Le ministère des affaires étrangères emploie - tous grades et statuts
confondus - près de 16000 agents dont 9000 agents titulaires et assimilés et
près de 6000 agents de droit local à l’étranger.
3
LE CORPS DES SECRÉTAIRES DES SYSTÈMES
D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION
I - LES FONCTIONS
Les secrétaires des systèmes d’information et de communication forment
un corps de fonctionnaires classés dans la catégorie B. Ils sont
principalement chargés des travaux relatifs à la réalisation, à la mise en
place, à l’exploitation, à la maintenance et à la sécurité des systèmes
d’information et de communication. Ils sont affectés indifféremment à
l’administration centrale et dans les missions diplomatiques et les postes
consulaires. Toutefois, les lauréats de concours, sont dans un premier
temps, nommés à l’administration centrale à Paris. Les secrétaires des
systèmes d’information et de communication sont astreints, dès leur prise
de fonctions, à prêter le serment de garder le secret de toutes les
communications de quelque nature qu’elles soient dont ils pourraient avoir
connaissance dans l’exercice ou à l’occasion de leurs fonctions.
II - LA CARRIÈRE
Les candidats définitivement admis aux concours externe ou interne sont
nommés secrétaires des systèmes d’information et de communication
stagiaires pendant un an. A l’issue du stage, ceux dont les services ont
donné satisfaction sont titularisés en qualité de secrétaires des systèmes
d’information et de communication. Les autres peuvent être autorisés à
effectuer un stage complémentaire d’une durée maximale d’un an. Les
stagiaires, qui ne sont pas titularisés, le cas échéant à l’issue du stage
complémentaire, sont soit licenciés, soit remis à la disposition de leur
administration d’origine. La durée du stage est prise en compte pour
l’avancement dans la limite d’un an.
5
Le corps des secrétaires des systèmes d’information et de communication
comprend 3 grades :
•
•
•
secrétaire des systèmes d’information et de communication de
2ème classe.
secrétaire des systèmes d’information de communication de
1ère classe, accessible par voie de promotion au choix pour les
fonctionnaires ayant atteint le 7ème échelon de la 2ème classe
depuis au moins 2 ans et justifiant de 5 années de services publics
dans un corps de catégorie B.
secrétaire des systèmes d’information et de communication
hors classe, accessible soit par voie d’examen professionnel ouvert
aux secrétaires des systèmes d’information et de communication de
1ère classe ainsi qu’aux secrétaires des systèmes d’information et
de communication de 2ème classe ayant atteint le 7ème échelon,
soit aux choix pour les secrétaires des systèmes d’information et de
communication de 1ère classe ayant atteint le 4ème échelon de leur
grade.
III - LA RÉMUNÉRATION
La rémunération mensuelle brute, calculée sur la base du 1er échelon
(indice majoré 326), est d’environ 1466 € au 1er décembre 2006.
Au traitement indiciaire s'ajoutent :
•
•
•
à l'administration centrale, des primes et indemnités
supplémentaires ;
à l'étranger, une indemnité de résidence variable suivant le pays
d'affectation, et qui peut conduire à doubler - voire tripler - le
traitement de grade ;
à l'administration centrale et à l'étranger, le cas échéant, des
majorations familiales.
6
Echelonnement indiciaire du premier grade (secrétaire des systèmes
d’information et de communication de 2ème classe) :
Echelons
13ème
échelon
12ème
échelon
11ème
échelon
10ème
échelon
9ème
échelon
8ème
échelon
7ème
échelon
6ème
échelon
5ème
échelon
4ème
échelon
3ème
échelon
2ème
échelon
1er échelon
Durée moyenne
dans l’échelon
Durée minimale
dans l’échelon
Indices
bruts
582
4 ans
3 ans
551
3 ans
2 ans 3 mois
521
3 ans
2 ans 3 mois
491
3 ans
2 ans 3 mois
474
3 ans
2 ans 3 mois
456
3 ans
2 ans 3 mois
445
2 ans 6 mois
2 ans
431
2 ans
2 ans
409
2 ans
2 ans
386
2 ans
2 ans
378
1 an 6 mois
1 an 6 mois
356
1 an
1 an
348
7
CONDITIONS GÉNÉRALES D’ADMISSION À CONCOURIR
Le candidat aux concours donnant accès au corps des secrétaires des
systèmes d’information et de communication doit remplir les conditions
exigées par le statut général des fonctionnaires, c’est-à-dire :
1° posséder la nationalité française ou celle d’un état membre de l’Union
Européenne ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace Economique
Européen ; (*)
2° jouir de ses droits civiques ;
3° ne pas avoir de mentions incompatibles avec l’exercice des fonctions au
bulletin n° 2 de son casier judiciaire ;
4° se trouver en position régulière au regard du code du service national :
“ la réforme du code du service national introduite par la loi n° 97-1019 du
28 octobre 1997 (J.O. du 8 novembre 1997) dispose que :
“ ART. L. 113-4 Avant l’âge de vingt-cinq ans, pour être autorisée à
s’inscrire aux examens et concours soumis au contrôle de l’autorité
publique, la personne assujettie à l’obligation de recensement doit être en
règle avec cette obligation. Elle peut procéder à la régularisation de sa
situation en se faisant recenser ”.
A cet égard, il convient de noter que, conformément à l’article L. 112-1 du
code du service national, l’obligation de recensement est étendue, à
compter du 1er janvier 1999, aux jeunes femmes nées après le 31 décembre
1982.
5° remplir les conditions d’aptitude physique exigées pour exercer dans la
fonction publique.
(*) Cependant, les ressortissants des états membres de l’Union Européenne
ou d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace Economique Européen,
s’ils sont nommés dans le corps des secrétaires des systèmes d’information
et de communication, ne pourront pas occuper un emploi dont les
attributions ne sont pas séparables de l’exercice de la souveraineté ou
comporte une participation directe ou indirecte à l’exercice des
prérogatives de puissance publique. Leur avancement de grade ou leur
promotion de corps interviendra avec les mêmes restrictions.
9
En application de l’ordonnance 2005-901 du 2 août 2005, il n’y a plus de
conditions d’âge pour présenter le concours de secrétaire des systèmes
d’information et de communication.
En outre, les candidats doivent observer les conditions particulières
relatives au concours auquel ils se proposent de participer :
•
CONCOURS EXTERNE
Le concours externe est ouvert aux candidats titulaires de l’un des
diplômes suivants :
a) d'un baccalauréat ou d'un diplôme homologué au niveau IV en application
des dispositions du décret n° 92-23 du 8 janvier 1992 relatif à l'homologation
des titres et diplômes de l'enseignement technologique.
Les candidats ne possédant pas un des diplômes requis mais pouvant justifier
d'une formation équivalente peuvent déposer une demande spéciale de
dérogation auprès d'une commission qui statue au vu de leur dossier sur leur
capacité à concourir.
Cette commission est composée :
• du directeur général de l'administration et de la fonction publique ou
de son représentant, président ;
• du directeur des enseignements supérieurs relevant du ministre chargé
de l'enseignement supérieur ou de son représentant ;
• d'un directeur d'administration centrale nommé par arrêté du Premier
ministre ou de son représentant.
b) d'un diplôme délivré dans un des états membres de l’Union Européenne qui
peuvent être autorisés à concourir au vu de l'avis d'une commission qui statue
sur l'assimilation de leurs diplômes aux diplômes nationaux (décret n° 94-741
du 30 août 1994).
Remarque : sont dispensés de produire un de ces titres ou diplômes : les
pères et mères de famille élevant ou ayant élevé effectivement 3 enfants,
candidats au concours externe (décret n° 81-317 du 7 avril 1981 - J.O. du 8
avril 1981).
10
•
CONCOURS INTERNE
Le concours interne est ouvert aux fonctionnaires et agents publics de l'État,
des collectivités territoriales et des établissements publics qui en dépendent,
aux militaires ainsi qu'aux agents des organisations internationales
intergouvernementales en activité, en détachement, en congé parental,
en congé de formation ou accomplissant leur service national à la date
de clôture des inscriptions (ce qui exclut les agents en disponibilité) et
comptant au moins quatre ans de services publics au 1er janvier de
l'année au titre de laquelle le concours est organisé.
CANDIDATS HANDICAPÉS
Les candidats qui souhaitent bénéficier de conditions particulières pour
concourir devront faire parvenir la décision de la commission compétente
ou de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) leur
reconnaissant la qualité de travailleur handicapé (attestation en cours de
validité).
11
NATURE DES ÉPREUVES
TOUTES LES ÉPREUVES SONT COMMUNES AUX CONCOURS
EXTERNE ET INTERNE
I - Épreuves écrites d'admissibilité :
1 - Rédaction d’une note de synthèse à partir d’un dossier à caractère
technique pouvant comporter des éléments chiffrés (données statistiques,
comptables, financières, commerciales et administratives simplifiées) et
permettant de vérifier les qualités d’analyse et de synthèse du candidat.
(durée : 3 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est
éliminatoire).
2 - Épreuve technique à option – le choix du candidat devant être formulé
au moment de l’inscription – portant sur les disciplines suivantes :
• Informatique, concepteur logiciel
• Informatique, infrastructures et assistance
• Informatique, gestion électronique de l’information
(durée 5 heures ; coefficient : 5 ; toute note inférieure à 8 sur 20 est
éliminatoire).
L’épreuve technique, option «informatique, concepteur logiciel» pourra,
sur la demande du candidat formulée au moment de son inscription,
contribuer à la reconnaissance de la qualification de programmeur mais la
note entrant en ligne de compte pour l’acquisition des droits à cette
qualification devra être au moins égale à 10 sur 20
Les épreuves techniques, option «informatique, infrastructures et
assistance» et option «informatique, gestion électronique de l’information»
pourront, sur la demande du candidat formulée au moment de son
inscription, contribuer à la reconnaissance de la qualification de pupitreur
mais la note entrant en ligne de compte pour l’acquisition des droits à cette
qualification devra être au moins égale à 10 sur 20.
13
3 - Épreuve à option – le choix du candidat devant être formulé au moment
de l’inscription.
Composition pouvant comporter des exercices, des questions sur le
programme et des problèmes à résoudre parmi les options suivantes :
• mathématiques
• physique
• électronique
(durée : 2 heures ; coefficient : 2 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est
éliminatoire).
II - Épreuves orales d'admission :
1 - Conversation avec le jury à partir d’un texte ou d’une citation de portée
générale permettant d’apprécier les qualités de réflexion, la personnalité,
les motivations et les connaissances du candidat.
(préparation : 20 minutes ; conversation : 20 minutes ; coefficient : 3 ;
toute note inférieure à 8 sur 20 est éliminatoire).
2 - Conversation avec le jury sur un sujet ou un texte d’ordre technique tiré
au sort, permettant de vérifier l’aptitude et les connaissances du candidat
dans la matière choisie en option à l’épreuve technique informatique
d’admissibilité. Cette conversation a comme point de départ un exposé
d’une durée de dix minutes au maximum.
(préparation : 20 minutes ; durée : 30 minutes ; coefficient : 4 ; toute note
inférieure à 8 sur 20 est éliminatoire).
Pour obtenir la reconnaissance de la qualification soit de programmeur, soit
de pupitreur, les candidats devront obtenir une note au moins égale à 10 sur
20.
3 - Épreuve de travaux pratiques permettant de s’assurer des aptitudes du
candidat aux travaux manuels d’installation ou de maintenance de
matériels informatiques ou de communication.
(durée : 2 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6 sur 20 est
éliminatoire).
14
4 - Épreuve de langue consistant en la lecture, la traduction et le
commentaire d’un texte (qui sera à caractère général sur un sujet lié aux
techniques d’information) rédigé dans une langue choisie par le candidat
lors de son inscription sur la liste suivante : allemand, anglais, arabe littéral,
chinois, espagnol, italien, japonais, portugais, russe ou turc.
(préparation : 20 minutes ; durée : 20 minutes ; coefficient : 2 ; toute note
inférieure à 6 sur 20 est éliminatoire).
III - Épreuve facultative :
Lors de leur inscription, les candidats externes et internes peuvent
demander à subir l’épreuve orale facultative suivante :
- Questions juridiques se rapportant aux technologies de l’information
et de la communication.
(préparation 20 minutes ; durée : 20 minutes ; coefficient : 1 ; seuls les
points obtenus au dessus de 10 sur 20 sont pris en compte).
15
CORRECTION DES ÉPREUVES
Il est attribué à chaque épreuve une note de 0 à 20. Elle est multipliée par le
coefficient fixé pour chaque épreuve.
Peuvent seuls être admis à se présenter aux épreuves d’admission les candidats
ayant obtenu, pour l’ensemble des épreuves écrites, un total de points, fixé par le
jury, qui ne pourra être inférieur, après application des coefficients, à 100.
A l’issue des épreuves écrites, le jury établit, par ordre alphabétique, la liste des
candidats déclarés admissibles.
La note obtenue à l'épreuve facultative de langue n'entre en ligne de compte que
pour l'admission et seuls les points obtenus au-dessus de 10 sur 20 sont pris en
compte.
Nul ne peut être définitivement admis s’il n’obtient, à l’issue des épreuves
d’admission et éventuellement des épreuves orales facultatives, un total de points,
fixé par le jury, qui ne pourra être inférieur, après application des coefficients, à
220.
A l'issue des épreuves d’admission, le jury établit, par ordre de mérite, la liste de
classement des candidats définitivement admis ainsi que, le cas échéant, une liste
complémentaire d'admission.
Si plusieurs candidats réunissent le même nombre de points, la priorité est donnée
à celui qui a obtenu la meilleure note à l'épreuve d’admissibilité n° 2 et, en cas
d'égalité, à l'épreuve n° 3 d'admissibilité et ensuite, en cas de nouvelle égalité, au
candidat ayant obtenu la note la plus élevée à l'épreuve n° 1 d'admissibilité.
Les notes sont automatiquement communiquées, par courrier, aux candidats après
la clôture définitive du concours, c'est-à-dire dans le mois qui suit la
proclamation des résultats définitifs.
Il n’est pas délivré de photocopie des copies de composition des candidats. Ces
derniers peuvent consulter leurs copies, sur rendez-vous préalable, au Bureau
des concours et examens professionnels (23, rue La Pérouse - Paris 16ème). Cette
consultation ne peut être sollicitée qu’après proclamation des résultats définitifs
du concours.
Les candidats qui sont absents à une épreuve perdent le droit de concourir
aux épreuves suivantes du concours.
17
PROGRAMMES
Les programmes des épreuves de mathématiques, physique, électronique et
informatique correspondent à ceux du baccalauréat technologique. Ces
programmes figurent ci-après pour chaque discipline, étant entendu que
certaines rubriques figurant au programme des classes de terminale
technologique sont parfois communes à plusieurs spécialités (par exemple,
l’électronique se retrouve en informatique, etc).
De même, les notions requises pour le baccalauréat technologique reposent
non seulement sur les programmes de terminale figurant ci-après mais sur
les acquis des classes antérieures de première voire de seconde, des lycées
techniques et technologiques.
19
INFORMATIQUE
1) Connaissance de base :
•
•
•
•
Représentation élémentaire de l'information
Quantité d'information
Saisie et contrôle de l'information
Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation)
Architecture et matériels
•
•
•
•
•
•
•
Eléments constitutifs d’une configuration informatique
Processeurs et mémoires : types, fonctionnement
Principaux périphériques
Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs
Unités de stockage
Réseaux de stockage : NAS, SAN
Architecture multi-niveaux
Environnement programmation système
•
•
Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux
Programmes utilitaires
Organisation du système d'information et des travaux de
programmation
•
•
•
•
Conduite de projet
Maintenance des programmes
Méthodes de sauvegardes et de reprises
Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation,
dossier d'exploitation, journaux de bord
20
Centre de traitement de l'information
•
•
•
Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information
Organisation du travail, tâches et qualification
Contrôle
Réseau de transmission de données
•
•
•
•
Principes généraux des technologies de réseaux et
télécommunications
Topologie LAN, MAN, WAN
Eléments constitutifs d’un réseau
Notion d’adressage
Sécurité des données et du matériel
•
•
•
Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité,
chiffrement, signature électronique, antivirus
Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle,
réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude
(énergie de secours, climatisation)
Niveaux de protection des informations
21
2) Connaissances spécifiques pour l’option «gestion électronique de
l’information» :
Acquisition, circulation et diffusion de l’information
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Numérisation
Annuaires
Messagerie
Outils de travail collaboratif
Workflow
Tutoriels, didacticiels
Plateforme de formation en ligne
Site Web, portail
Téléprocédures
Référencement
Moteur d’indexation, de recherche
Mode de diffusion, mobilité, nomadisme
Visioconférence
Traçabilité
Droits, partage, contrôle des accès
Structuration des informations
•
•
•
•
•
Fichiers : organisation et utilisation
Bases de données et SGBD
Bases documentaires, GED
Evaluation des volumes
Temps de réponse
Internet - intranet - extranet
•
•
•
Principes de fonctionnement et d’utilisation
Approche des techniques : HTTP, HTML, XML, URL, DNS
Outils de gestion de contenus
22
Description et catégorisation de l’information
•
•
•
•
•
Normalisation
Thésaurus et plan de classement
Indexation
Métadonnées
Modes opératoires
Archivage électronique
•
•
•
•
•
Support de conservation
Migration des données
Sauvegarde, fiabilité
Pérennité de l’information
Intégrité
3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles
technologies de l’information :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Autorité de régulation des télécommunications (ART)
Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information
(DCSSI)
Loi informatique et libertés du 6 août 2004
Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004
Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de
la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003)
Interception des communications électroniques
Secret des correspondances
Protection des oeuvres de l’esprit
Chartes et codes de bon usage
23
Programme spécifique à l’option «informatique, infrastructure et
assistance», qualification «pupitreur»
1) Connaissance de base :
•
•
•
•
Représentation élémentaire de l'information
Quantité d'information
Saisie et contrôle de l'information
Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation)
Architecture et matériels
•
•
•
•
•
•
•
Eléments constitutifs d’une configuration informatique
Processeurs et mémoires : types, fonctionnement
Principaux périphériques
Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs
Unités de stockage
Réseaux de stockage : NAS, SAN
Architecture multi-niveaux
Environnement programmation système
•
•
Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux
Programmes utilitaires
Organisation du système d'information et des travaux de
programmation
•
•
•
•
Conduite de projet
Maintenance des programmes
Méthodes de sauvegardes et de reprises
Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation,
dossier d'exploitation, journaux de bord
24
Centre de traitement de l'information
•
•
•
Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information
Organisation du travail, tâches et qualification
Contrôle
Réseau de transmission de données
•
•
•
•
Principes généraux des technologies de réseaux et
télécommunications
Topologie LAN, MAN, WAN
Eléments constitutifs d’un réseau
Notion d’adressage
Sécurité des données et du matériel
•
•
•
Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité,
chiffrement, signature électronique, antivirus
Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle,
réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude
(énergie de secours, climatisation)
Niveaux de protection des informations
2) Connaissance spécifiques pour l’option «infrastructure et
assistance» :
Organisation du système d’information
•
•
Urbanisation matérielle du système d’information
Systèmes centraux, départementaux et répartis : historique et
évolutions, répartition des données, des programmes entre stations
et serveurs, et entre serveurs
Centre de secours, backup
•
Organisation et structure d’un centre de secours
25
Infrastructures de gestion de clés
•
Organisation et structure d’une IGC
Réseau de transmission de données
•
•
Architecture en couches normalisées (OSI) et architecture TCP/IP
Ethernet
Réseau d’opérateur
•
•
•
Réseaux terrestres et satellitaires
Réseaux sans fil, réseaux de mobiles
Réseaux privés virtuels
Téléphonie
•
•
•
Principes fondamentaux de la téléphonie
Autocommutateurs
Terminaux classiques ou numériques
Internet - intranet - extranet
•
•
•
•
Principes de fonctionnement et d’utilisation
Approche des techniques : HTTP, HTML, XML, URL, DNS
Sécurité : pare-feu, DMZ
Gestion de la mobilité et du nomadisme, accès distants
Messagerie et annuaire
•
•
Principes de fonctionnement et d’utilisation, principaux protocoles
Offres du marché
26
Méthodes et gestion de l’assistance
•
•
•
•
Organisation et moyens de l’assistance : prise en charge initiale,
établissement et formalisation d’un diagnostic d’incident, niveau
d’intervention, intervention physique
Relation avec les utilisateurs
Contrôle qualité, indicateurs
Gestion de parc et outils nécessaires
3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles
technologies de l’information :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Autorité de régulation des télécommunications (ART)
Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information
(DCSSI)
Loi informatique et libertés du 6 août 2004
Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004
Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de
la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003)
Interception des communications électroniques
Secret des correspondances
Protection des oeuvres de l’esprit
Chartes et codes de bon usage
Programme spécifique à l’option «informatique, concepteur logiciel»,
qualification «programmeur»
1) Connaissance de base :
•
•
•
•
Représentation élémentaire de l'information
Quantité d'information
Saisie et contrôle de l'information
Supports de l’information (types, caractéristiques, utilisation)
27
Architecture et matériels
•
•
•
•
•
•
•
Eléments constitutifs d’une configuration informatique
Processeurs et mémoires : types, fonctionnement
Principaux périphériques
Types de machines : ordinateurs de grande puissance, miniordinateurs, stations de travail, micro-ordinateurs
Unités de stockage
Réseaux de stockage : NAS, SAN
Architecture multi-niveaux
Environnement programmation système
•
•
Langage de commande, enchaînement des phases et des travaux
Programmes utilitaires
Organisation du système d'information et des travaux de
programmation
•
•
•
•
Conduite de projet
Maintenance des programmes
Méthodes de sauvegardes et de reprises
Documentation : dossier d'analyse, dossier de programmation,
dossier d'exploitation, journaux de bord
Centre de traitement de l'information
•
•
•
Objectifs et structure d'un centre de traitement de l'information
Organisation du travail, tâches et qualification
Contrôle
28
Réseau de transmission de données
•
•
•
•
Principes généraux des technologies de réseaux et
télécommunications
Topologie LAN, MAN, WAN
Eléments constitutifs d’un réseau
Notion d’adressage
Sécurité des données et du matériel
•
•
•
Mesures logiques : contrôle d’accès, authentification, intégrité,
chiffrement, signature électronique, antivirus
Mesures physiques : sauvegardes, journaux, redondance matérielle,
réplication, clé physique, DMZ, pare-feux, matériels de servitude
(énergie de secours, climatisation)
Niveaux de protection des informations
2) Connaissance spécifiques pour l’option «concepteur de logiciel» :
Conception et réalisation du système d’information
•
•
Bases méthodologiques nécessaires à la conception et à la
réalisation des systèmes d’information
Indépendance structures de données et programmes
Méthodologie des systèmes d’information
•
•
•
•
Urbanisation applicative du système d'information
Schéma directeur
Phases du cycle de vie d’un projet : recensement des besoins, phase
de conception, prototypage, programmation, tests, intégration,
qualification, installation, exploitation et maintenance
Conduite de projet : prévision et suivi de réalisation, documents,
étapes, instances de validation
29
Spécification du système d'information
•
•
•
•
Objectifs et contraintes
Gestion documentaire (GED), Bases de données et SGBD :
organisation des données, fonctions et utilisation
Evaluation des volumes, périodicités, temps de réponse
Choix de la structure adaptée et offres du marché
Organisation des traitements
•
•
•
•
•
Méthodes d'organisation des traitements
Arbres programmatiques (les structures séquentielles, alternatives,
répétitives)
Récursivité et réentrance
Systèmes centraux, départementaux et répartis : historique et
évolutions, répartition des données, des programmes entre stations
et serveurs, et entre serveurs
Architectures multi niveaux
Réalisation
•
•
•
Connaissance approfondie d’un langage de programmation, au
choix du candidat (C/C++, Basic/Visual Basic, Cobol, Java,
Powerbuilder)
Outils d’aide à la conception, la réalisation et la validation des
applications informatiques (atelier de génie logiciel, outils de test,
etc)
Concepts des langages orientés objet et applets
30
3) Notions générales sur l’environnement juridique des nouvelles
technologies de l’information :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Autorité de régulation des télécommunications (ART)
Direction centrale de la sécurité des systèmes d'Information
(DCSSI)
Loi informatique et libertés du 6 août 2004
Loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004
Instruction générale interministérielle sur la protection du secret de
la défense nationale (IG 1300 du 25/08/2003)
Interception des communications électroniques
Secret des correspondances
Protection des oeuvres de l’esprit
Chartes et codes de bon usage
31
MATHÉMATIQUES
Programme de terminale STI
Arrêté du 10 juin 1994
(BO spécial n° 8 du 7 juillet 1994)
et rectificatif au B.O. n° 18 du 15 décembre 1994
ALGÈBRE, GÉOMÉTRIE, PROBABILITÉS
1. Nombres complexes
Les premiers éléments de l’étude des nombres complexes ont été mis en
place en Première. L’objectif est de compléter cet acquis pour fournir des
outils utilisés en algèbre, en trigonométrie et en sciences physiques. Les
élèves doivent connaître les notations a + bi et a + bj, cette dernière étant
utilisée en électricité. Le temps consacré à cette partie du programme doit
être plus important dans les spécialités génie électronique et génie
électrotechnique où une interprétation géométrique de quelques
transformations complexes élémentaires est introduite en vue des
applications en électronique.
Module, module d’un produit,
inégalité triangulaire. Argument
d’un nombre complexe non nul,
notation reiq.
Relation e iθe iθ’ = ei(θ+θ’), lien avec
les formules d’addition ; formule de
Moivre.
Formules d’Euler :
cosq = ½ (e iθ+e -iθ), sinθ = ½i(eiθ-eiθ
).
Interprétation géométrique de z → z
+ a et de z a eiaz.
Les élèves doivent savoir
interpréter géométriquement le
module de b - a. Toute autre
formulation de propriétés
géométriques à l’aide de nombres
complexes doit faire l’objet
d’indications.
Ceci n’est au programme que des
spécialités génie électronique et
génie électrotechnique.
32
Travaux pratiques
Résolution des équations du second
degré à coefficients réels.
Exemples de mise en œuvre des
formules de Moivre et d’Euler
(linéarisation de polynômes
trigonométriques, etc).
La résolution d’équations à
coefficients complexes et l’étude
des racines nièmes de l’unité sont
hors programme.
On se bornera à des exposants peu
élevés ; les formules
trigonométriques ainsi obtenues
n’ont pas à être mémorisées de
même que les formules de
conversion de sommes en produits
et de produits en sommes.
2. Géométrie
Cette partie est au programme des seules spécialités génie mécanique,
génie civil, génie énergétique et génie des matériaux.
Les activités géométriques répondent à deux objectifs principaux :
•
•
entretenir la pratique des objets géométriques usuels du plan et
de l’espace ;
exploiter des situations géométriques comme sources de
problèmes, notamment en analyse, et, inversement, entretenir une
vision géométrique grâce à la mise en œuvre systématique
d’activités graphiques (tracé de courbes, schémas, etc) permettant
de représenter les objets mathématiques étudiés dans les différentes
parties du programme. Le programme de géométrie ne comporte
que des travaux pratiques mettant en œuvre les connaissances de
géométrie du plan et de l’espace figurant aux programmes des
classes antérieures.
33
Travaux pratiques
Exemples d’étude de problèmes
portant sur les objets usuels du plan
et de l’espace (calculs de distances,
d’angles, d’aires, de volumes, etc).
On étudiera quelques exemples
simples d’analyse de la forme d’un
objet usuel (par projection
cylindrique ou famille de sections
planes) et de modes de génération de
tels objets (surfaces de révolution,
etc) ; aucune connaissance
spécifique sur ces questions n’est
exigible et toutes les indications
utiles devront être fournies.
3. Probabilités
Quelques notions de calcul des probabilités ont été introduites en Première ;
en Terminale, on poursuit l’étude de phénomènes aléatoires. Le
programme comporte une consolidation des acquis de Première et
l’introduction, sur des exemples simples, du concept de variable aléatoire.
On se limite à des ensembles finis ; toute théorie formalisée est exclue et
les notions de probabilité conditionnelle, d’indépendance et de probabilité
produit ne sont pas au programme.
Pour les variables aléatoires, le programme ne porte que sur l’étude
d’exemples.
34
Variable aléatoire (réelle) prenant
un nombre fini de valeurs et loi de
probabilité associée ; fonction de
répartition, espérance
mathématique, variance, écart-type.
On prendra un point de vue très
simple : certaines situations de
probabilité s’expriment
commodément par l’affectation de
probabilités p1, p2, ..., pp aux
valeurs x1, x2, ..., xπ d’une grandeur
numérique X associée à une
expérience aléatoire ; on dit alors
que X est une variable aléatoire.
Les événements (X=x1), (X=x2), ...,
(X=xπ) sont les événements
élémentaires de la loi de probabilité
de X.
Pour la fonction de répartition, on
emploiera la convention
F(x)=p(X≤x).
Travaux pratiques
Exemples d’emploi de partitions et
de représentations (arbres, tableaux, L’étude du dénombrement des
etc) pour organiser et dénombrer
permutations, arrangements et
des données relatives à des
combinaisons est hors programme.
situations aléatoires.
On conserve le même point de vue
qu’en Première ; en particulier, on
Exemples d’étude de situations de
s’attachera à étudier des situations
probabilités issues d’expériences
permettant de bien saisir la
aléatoires (modèles d’urnes, jeux,
démarche du calcul des
etc).
probabilités, et non des exemples
comportant des difficultés
techniques de dénombrement.
Exemples simples d’étude de
Des indications doivent être
situations menant à l’étude d’une
données sur la méthode à suivre.
variable aléatoire.
35
ANALYSE
Le programme d’analyse porte essentiellement sur les fonctions, ce qui
permet d’étudier des situations continues. Il comporte aussi quelques
notions sur les suites, en vue d’étudier quelques situations discrètes
simples.
•
•
Pour les fonctions, l’objectif principal est d’exploiter la pratique
de la dérivation pour l’étude globale et locale de fonctions usuelles
et de fonctions qui s’en déduisent de manière simple ainsi q’une
pratique élémentaire du calcul intégral. Quelques problèmes
majeurs fournissent un terrain pour cette étude : variations,
recherche d’extremums, équations et inéquations, comportements
asymptotiques, approximation d’une fonction au moyen d’une
fonction plus simple, calcul de grandeurs géométriques, physiques
ou mécaniques.
Pour les suites, l’objectif est de consolider les acquis de Première
sur les suites arithmétiques et géométriques ; le programme ne
comporte que des travaux pratiques, sauf dans les spécialités génie
électronique et génie électrotechnique où figure aussi une brève
étude de suites Un = f(n), mais il ne s’agit que d’un premier contact
et les exemples choisis doivent être simples.
Les activités sur les suites et les fonctions ne sauraient se borner à des
exercices portant sur des exemples donnés a priori ; il convient aussi
d’étudier des situations issues de la géométrie, des sciences et techniques
et de la vie économique et sociale. De même, on exploitera
systématiquement les interprétations graphiques des notions et des
résultats étudiés et les problèmes numériques qui sont liés à cette étude.
1. Fonctions numériques : étude locale et globale
Pour l’étude des fonctions, on s’appuiera conjointement sur les
interprétations graphiques y=f(x), cinématiques x=f(t) et électriques
(signaux relatifs à l’évolution d’une intensité, d’une différence de potentiel,
etc).
36
Le programme se place dans le cadre des fonctions définies sur un
intervalle et porte, pour l’essentiel, sur le cas des fonctions possédant dans
cet intervalle des dérivées jusqu’à un ordre suffisant. Certaines situations
(signaux, etc) mettent en jeu des fonctions définies par morceaux ; la mise
en place d’un cadre théorique est exclue : l’étude sera menée intervalle par
intervalle. L’intervalle de définition sera indiqué. Toute recherche a
priori d’ensembles de définition est exclue.
Quelques énoncés sur les limites figurent au programme. Ils ne constituent
pas un objectif en soi, mais visent seulement à faciliter, le cas échéant,
l’étude du comportement aux bornes de l’intervalle et notamment du
comportement asymptotique au voisinage de +¥ ; on évitera de multiplier
les exemples posés a priori et toutes les indications nécessaires doivent être
données. Pour la notion de limite le point de vue adopté reste le même
qu’en Première ; les définitions par (e, a) (e, A), etc sont hors programme.
La continuité en un point et la continuité sur un intervalle sont hors
programme.
A) Langage des limites
Les fonctions étudiées dans ce
paragraphe sont définies sur un
intervalle I de R.
α) Introduction de la notation lim
f(x).
x→a
Notion d’asymptote verticale.
Dire que lim f(x) = L signifie aussi
que x → a
lim f(a+ h) = L.
h→0
Les notions et les énoncés de ce
paragraphe sont introduits à l’aide
d’une approche numérique et
graphique ; ils ne feront l’objet
d’aucun développement théorique.
Lorsque a appartient à I, on
s’appuiera sur le cas lim g(h),
abordé en Première.
h→0
On convient que lim f(x) = f(a).
x→a
On soulignera le fait que, par
translation, l’étude d’une fonction x
a f(x) au point a se ramène à l’étude
de la fonction h → f(a + h) au point
0.
37
β) Limite en + ∞ des fonctions
x → x, x → x2, x → x3, x → √ x ;
limite en + ∞ des fonctions
Pour cette introduction, on
s’appuiera sur des expérimentations
numériques et graphiques portant
x → 1, x → 1 - x → 1- x → 1 2
3
notamment sur les fonctions de
x
x
x
√x
référence ci-contre. Pour donner une
Introduction des notations lim f(x) et idée du cas général, on peut dire, par
exemple, que f(x) est supérieur à 10,
102, ..., 109, 10p, ..., dès que x est
x→+∞
assez grand.
lim f(x)
x→+∞
Notion d’asymptote horizontale.
γ) Dans le cas d’une limite finie L,
dire que
lim f(x) = L signifie aussi que
x→a
On dispose d’un énoncé analogue
pour les limites en + ∞ et en - ∞.
lim 1 f(x) - L1 = 0 ou encore que
x→a
f(x) = L + ϕ(x), où lim ϕ(x) = 0.
x→a
38
B) Enoncés usuels sur les limites
(admis)
Ces énoncés doivent couvrir d’une
part le cas des limites finies, d’autre
Opérations algébriques
part celui des limites infinies. Il n’y
a pas lieu de s’attarder à leur étude
Limite de la somme de deux
et d’en donner une liste complète.
fonctions, du produit d’une fonction
Toute règle relative à des cas
par une constante, du produit de
d’indétermination est hors
deux fonctions, de l’inverse d’une
programme.
fonction, du quotient de deux
fonctions.
Comparaison
- Si pour x assez grand, f(x) ≤ u(x) et
si
lim u(x) = + ∞, alors lim f(x) = + ∞ ;
x→+∞x→+∞
énoncé analogue lorsque f(x) ≤ v(x)
et
lim v(x) = - ∞.
x→+∞
- Si, pour x assez grand, l f(x) - Ll ≤
u(x)
et si lim u(x)=0.
x→+∞
alors lim f(x)=L.
x→+∞
- Si, pour x assez grand, u(x) ≤ f(x)
≤ v(x)
et si lim u(x) = lim v(x) = L, alors
x → + ∞ x →+ ∞
lim f(x) = L.
x→+∞
Les énoncés de ce paragraphe sont
introduits dans l’unique but de
faciliter l’étude des questions
figurant au programme (dérivées,
comportements asymptotiques) et
non pour faire l’objet d’un
entraînement systématique à la
recherche de limites. En particulier,
en dehors du contexte de la
dérivation, la recherche de limites en
un point a de I n’est pas un objet du
programme, et, pour les
comportements asymptotiques, les
travaux ne doivent porter que sur
quelques exemples très simples.
39
Comptabilité avec l’ordre
- Si pour x assez grand, f(x) ≤ g(x) et
si
lim f(x) = L et lim g(x) = L’, alors,
x→+∞x→+∞
L ≤ L’.
De manière générale, dans la plupart
des situations de majorations et
d’encadrement intervenant dans le
programme d’analyse, les inégalités
strictes doivent être réservées au cas
où elles sont indispensables.
Bien entendu, cet énoncé, condensé
Limite d’une fonction composée :
pour faciliter la mémorisation,
Si lim f(x) = b et si lim g(y) = λ (où
recouvre plusieurs cas qu’il convient
a,
de distinguer clairement et d’illustrer
x→ay→b
à l’aide d’exemples. En dehors des
b, λ sont finis ou non),
cas du type t → g(a + b), exp u, In u
alors lim (gof)(x) = λ.
et ua, où aER, les fonctions f et g
x→a
doivent être indiquées.
La démonstration de cette règle n’est
pas au programme.
C) Calcul différentiel
En dehors des cas ci-contre, les
Dérivation d’une fonction
fonctions que l’on compose, doivent
composée.
être mentionnées explicitement.
En liaison avec les sciences
Application à la dérivation de
physiques, on donnera aussi les
fonctions de la forme un, nEZ, exp u, notations
df, d²f, … La notion de différentielle
In u et ua, aER.
est
Dérivées successives ; notation f’,
dx,dx² hors programme, ainsi que
f’’, …
toute notion concernant la concavité
ou les points d’inflexion.
Primitives d’une fonction dérivable
sur un intervalle :
Pour les primitives et le calcul
Définition. Deux primitives d’une
intégral, le programme se limite au
même fonction diffèrent d’une
cas des fonctions dérivables.
constante. Primitives des fonctions L’existence des primitives est
usuelles par lecture inverse du
admise.
tableau des dérivées.
40
D) Fonctions usuelles
- Fonction logarithme népérien et
fonction exponentielle ; notation In et
exp. Relation fonctionnelle,
dérivation, comportement
asymptotique. Approximation par une
fonction affine, au voisinage de 0, des
fonctions h → exp h et h → in (1 + h).
Nombre e, notation ex.
Définition de ab (a strictement positif,
b réel).
Fonctions puissances x → xn (x réel et
n entier) et x → xa (x strictement
positif et a réel). Dérivation,
comportement asymptotique. Cas où
= 1 (n entier strictement positif) ;
notation n√x (x positif).
Le mode d’introduction des fonctions
In et exp n’est pas imposé ;
l’existence et la dérivabilité de ces
fonctions peuvent être admises.
Hormis les deux exemples de
l’exponentielle et de la racine nième,
l’étude des fonctions réciproques n’est
pas au programme.
Selon les besoins des autres
disciplines, on pourra mentionner la
fonction logarithme décimal x → log
x, mais aucune connaissance sur ce
point n’est exigible des élèves en
mathématiques. Les élèves doivent
avoir une bonne pratique des
représentations graphiques des
fonctions étudiées dans ce paragraphe
et savoir en déduire celles des
fonctions directement apparentées,
telles que t → cos (ω+ϕ), t → eal.
Hormis les cas indiqués ici, l’étude de
Fonctions circulaires sinus, cosinus et
fonctions de la forme x → f (cos x, sin
tangente.
x) est hors programme.
- Croissance comparée des fonctions
de référence x a exp x, x a xa, x a In x
Ces résultats sont admis et interprétés
au voisinage de + ∞ ;
graphiquement. Certaines études aux
exp x
= + ∞,
lim
bornes mettent en jeu des formes
indéterminées en + ∞ ou en - ∞,
a
x→+∞X
aucune autre connaissance que celles
a
lim x .exp (- x) = 0 ;
mentionnées ci-contre n’est exigible
x→+∞
des élèves. L’étude des formes
indéterminées en un point a est hors
Si a > 0, lim In x = 0.
programme.
Xa
x→+∞
41
Travaux pratiques
Programmation des valeurs d’une
fonction d’une variable.
Etude du sens de variation d’une
fonction, recherche de son signe,
recherche des extremums.
Recherche de la limite d’une
fonction polynôme ou d’une
fonction rationnelle en + ∞ ou en ∞.
Exemples de recherche
d’asymptotes ; exemples d’étude du
comportement local ou
asymptotique d’une fonction.
Tracé de la courbe représentative
d’une fonction.
Lecture de propriétés d’une fonction
à partir de sa représentation
graphique.
Etude d’équations f(x) = λ ou
d’inéquations f(x) ≤ λ.
Exemples d’étude de situations
décrites au moyen de fonctions
(issues de la géométrie des sciences
physiques, de la vie économique et
sociale, etc).
Dans l’ensemble des travaux
pratiques, on exploitera largement
des situations issues de la géométrie,
des sciences physiques et de la
technologie.
La résolution de certaines questions
nécessite l’étude d’une fonction
auxiliaire ; cette fonction doit alors
être indiquée.
Pour l’étude des comportements
asymptotiques en + ∞ (ou en - ∞),
on exploitera la comparaison de la
fonction donnée f à une fonction
plus simple g telle que lim + ∞
(f-g) = 0 ; en dehors du cas des
asymptotes horizontales ou
verticales, des indications doivent
être fournies sur la forme de la
fonction g à utiliser.
Etant donné une fonction f
strictement monotone sur I et un
élément α de l tel que f(α) = 0, les
élèves doivent savoir comparer a à
un élément donné b de I en utilisant
le signe de f(β).
On s’attachera à interpréter les
résultats (variations, signe,
extremums, comportement
asymptotique, etc). On étudiera
quelques problèmes d’optimisation.
42
Exemples d’emploi de majorations
et d’encadrements d’une fonction
par des fonctions plus simples
(recherche de valeurs approchées en
un point, etc).
Exemples de recherche de solutions
approchées d’une équation
numérique.
Certains problèmes physiques
(mouvement d’un point, signaux
électriques, etc) conduisent à l’étude
de courbes planes paramétrées telles
que, par exemple, l’ellipse sous la
forme x = a cos t, y = b sin t : en
liaison avec l’enseignement des
autres disciplines on pourra étudier
quelques exemples de ce type, mais
aucune connaissance à ce sujet n’est
au programme.
Pour tous les problèmes de
majoration, d’encadrement et
d’approximation des fonctions, des
indications doivent être données sur
la méthode à suivre.
On pourra, sur des exemples,
explorer et itérer quelques méthodes
(dichotomie, tangente, interpolation
linéaire, etc) mais aucune
connaissance sur ces méthodes n’est
exigible des élèves.
2. Suites
Pour toutes les spécialités de la série STI, le programme comporte une
consolidation des acquis de Première sur les suites arithmétiques et
géométriques sous forme de travaux pratiques.
Pour les seules spécialités génie électronique et génie électrotechnique, il
s’agit aussi d’aborder l’étude du comportement global et asymptotique de
la suite des valeurs f(n) d’une fonction ; on se place dans le cadre de suites
définies pour tout entier naturel et on remarquera brièvement que les
notions et résultats s’étendent sans changement au cas des suites définies à
partir d’un certain rang.
43
A l’exception des suites arithmétiques et géométriques, les suites définies
par Un+1 = f(Un) et Uo sont hors programme.
a) Comportement global
Exemples de description d’uns
situation à l’aide d’une suite des
valeurs f(n) d’une fonction.
Suites croissantes, suites
décroissantes.
b) Langage des limites
L’étude des suites définies par
additions ou multiplications
répétées, telles que
Un=1 + 1 = +… + 1 ou Un= n I,
2
n
est exclu.
L’étude des opérations sur les suites
est hors programme.
La définition de la convergence par
(ε, N) est hors programme.
L’étude des suites de référence ciα) Limite des suites de terme général
contre et, plus largement, des suites
n, n2, n3, √n.
Un = f(n) est à mener en relation
étroite avec celle des fonctions
Limite des suites de terme général
correspondantes. On signalera que
1, 1, 1, 1
les énoncés de comparaison pour les
n n2 n3 √n’
suites et les fonctions sont
entièrement analogues.
Introduction du symbole lim Un.
na + ∞
La démonstration de ce résultat n’est
Si une fonction f admet une limite L pas exigible. En dehors de ce cas,
l’étude de la convergence d’une
en + ∞, alors la suite Un = f(n)
converge vers L.
suite récurrente n’est pas un objectif
du programme.
β) Limite d’une suite géométrique
n
(k ), où k est strictement positif.
44
Travaux pratiques
Exemples d’étude de problèmes
conduisant à des suites
arithmétiques ou géométriques
(Programme de l’ensemble des
spécialités).
On pourra prendre des problèmes
issus des sciences physiques, des
techniques industrielles ou de la vie
économique et sociale (radioactivité,
Exemples d’étude du comportement
intérêts simples, intérêts composés,
asymptotique d’une suite Un = f(n)
etc).
(Programme des spécialités génie
électronique et génie
électrotechnique).
3. Notions de calcul intégral
L’objectif est double :
•
•
Familiariser les élèves avec quelques problèmes relevant du calcul
intégral et qui, en retour, donnent du sens à la notion d’intégrale :
calcul de grandeurs géométriques (aires, volumes, etc), de
grandeurs physiques (calcul de la distance parcourue connaissant la
vitesse, valeur moyenne, valeur efficace, etc).
Fournir aux élèves le symbolisme très efficace du calcul intégral.
On combinera les activités de calcul exact d’intégrales (qui mettent en
œuvre le calcul de primitives) et les activités d’encadrement et de calcul
approché (qui, de façon complémentaire, exploitent des idées géométriques
à partir d’interprétation graphiques).
45
a) Intégrale d’une fonction sur un
segment
Etant donné une fonction f dérivable
sur un intervalle I et un couple (a, b)
de points de I, le nombre F(b) - F(a),
où F est une primitive de f, est
indépendant du choix de F ; on
l’appelle intégrale de a à b de f et on
le note ∫ba(t) dt.
Dans le cas d’une fonction positive,
interprétation graphique de
l’intégrale à l’aide d’une aire.
b) Propriétés de l’intégrale
Relation de Chasles.
Aucune théorie de la notion d’aire
n’est au programme : on admettra
son existence et ses propriétés
élémentaires. Les élèves doivent
connaître l’aire des domaines
usuels : rectangle, triangle, trapèze,
secteur d’un disque.
Il convient d’interpréter en termes
d’aires certaines de ces propriétés
(relation de Chasles, intégration
d’inégalités, valeur moyenne d’une
fonction, etc) afin d’éclairer leur
signification.
46
La notion de valeur moyenne est à
Linéarité :
relier à l’enseignement de la
∫ba(αf+βg)(t)dt = α∫baf(t)dt+β∫bag(t)dt.
physique.
Positivité : si a ≤ b et f ≤ 0, alors
Les élèves doivent savoir
reconnaître si un exemple donné de
fonction est de l’une de ces formes.
Ils doivent aussi savoir exploiter une
périodicité ou une symétrie pour le
calcul d’intégrales, mais toute
formule de changement de variable
est hors programme, de même que
l’intégration par parties.
ba
∫ f(t)dt ≤ 0 ; intégration d’une
inégalité.
Inégalité de la moyenne
Si m ≤ f ≤ M et a ≤ b, alors
m(b-a) ≤ ∫baf(t)dt ≤ M(b-a).
Valeur moyenne d’une fonction.
c) Techniques de calcul
Lecture inverse de formules de
dérivation : primitives des fonctions
de la forme
t → f’(at+b), (exp u)u’, uau’, où aER.
α≠-1, et u’
u
(u étant à valeurs strictement
Positives).
d) Equations différentielles
Résolution de l’équation
différentielle y’ = ay, où a est un
nombre réel : existence
47
Pourcentages
•
•
•
•
•
Coefficient multiplicatif associé à un pourcentage.
Itération de pourcentages.
Analyse des variations d’un pourcentage.
Comparaison de pourcentages.
Approximation linéaire dans le cas de faibles pourcentages.
Feuilles automatisées de calcul
•
•
Exploration dynamique d’une feuille automatisée de calcul et
explicitation des relations entre diverses cellules de cette feuille.
Réalisation d’une feuille automatisée à partir d’un texte, écrit en
langue naturelle, comportant quelques règles et contraintes assez
simples.
Représentations graphiques
•
•
•
•
•
•
Interprétation de l’information lisible sur un graphique : valeur
exacte ou approchée, influence sur l’allure de la courbe d’un
changement de fenêtre graphique.
Interpolation linéaire.
Résolution graphique d’équations, d’inéquations et recherche
d’extremum en exploitant les changements de fenêtre graphique.
Lecture de courbes de niveaux et repérage d’un point par trois
coordonnées.
Outils graphiques de dénombrement.
Diagrammes ; arbres.
48
Statistiques
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Diagrammes en boîtes.
Intervalle inter-quartile.
Définition de l’intervalle interquartile.
Construction de diagrammes en boîtes (aussi appelés boîtes à
moustaches ou boîtes à pattes).
Variance, écart-type.
Introduction de l’écart-type pour des données gaussiennes.
Définition de la plage de normalité pour un niveau de confiance
donné.
Tableaux croisés.
Analyse d’un tableau de grands effectifs.
Construction et interprétation :
o des marges ;
o du tableau des pourcentages en divisant chaque cellule par
la somme de toutes les cellules ;
o du tableau des pourcentages par ligne en divisant chaque
cellule par la somme des cellules de la même ligne ;
o du tableau des pourcentages par colonnes en divisant
chaque cellule par la somme des cellules de la même
colonne.
49
Exemple de types de croissance
•
•
•
•
•
•
•
•
Suites arithmétiques : croissance linéaire.
Exemples de suites ayant un accroissement constant ; calcul du nième terme.
Calcul sur tableur des n premiers termes d’une telle suite et
représentation graphique correspondante.
Pour une suite finie de nombres, reconnaissance à partir de sa
représentation graphique de sa nature arithmétique.
Suites géométriques ; croissance exponentielle.
Exemples de suites ayant un accroissement relatif constant ; calcul
du n-ième terme.
Calcul sur tableur des n premiers termes d’une telle suite ;
représentation graphique correspondante ; comparaison avec le cas
d’une croissance linéaire.
Autres exemples de croissance.
Activités d’ouverture
•
•
Figure géométrique obtenue par itération.
Analyse et production de pavages du plan.
50
PHYSIQUE
Electricité I (courant continu)
•
•
Tension et intensité ;
Caractéristique courant-tension d’un dipôle passif et d’un dipôle
actif.
Electricité II (courant alternatif sinusoïdal)
•
Période, fréquence, valeurs efficace et maximale d’une tension
sinusoïdale.
Mécanique
•
Conditions générales d’équilibre d’un solide.
Acoustique
•
•
Hauteur et fréquence.
Niveau d’intensité acoustique.
Optique
•
•
Réflexion.
Réfraction, angle limite.
Régime sinusoïdal monophasée
•
•
•
•
•
Valeurs instantanées d’une tension, de l’intensité d’un courant,
pulsation.
Représentation de Fresnel.
Addition des tensions et additions des intensités.
Déphasage entre deux tensions, deux intensités, une tension et une
intensité.
Impédance, déphasage entre tension et intensité pour un conducteur
ohmique, une bobine et un condensateur.
51
Régime sinusoïdal monophasé
•
•
•
Tension simple, tension composée.
Système équilibrés étoile et triangle.
Dans le cas d’un montage équilibré étoile ou triangle, intensité du
courant de ligne et intensité du courant dans une branche.
Transport et distribution
•
•
•
Rôle du transformateur.
Transport de l’énergie électrique.
Distribution (réseau monophasé, réseau triphasé).
Protection et sécurité
•
•
•
•
•
•
Danger de l’électricité.
Contact direct, contact indirect.
Règles générales de sécurité.
Régime neutre TT.
Protection des personnes.
Protection des installations.
Puissance électrique en courant continu
•
•
Puissance électrique reçue ou fournie par un dipôle.
Bilan des puissances, rendement.
•
1 - Puissance électrique en monophasé
o Puissances active, réactive, apparente.
o Facteur de puissance d’un appareil.
o Bilan des puissances, rendement.
52
2 - Puissance électrique en triphasé
Puissance active, réactive, apparente.
Facteur de puissance d’un appareil.
Bilan des puissances, rendement.
Etude des montages étoile et triangle.
Magnétisme et électromagnétisme
Propriétés des aimants.
Champ magnétique et vecteur champ magnétique.
Champ magnétique crée par une bobine.
Flux magnétique.
Existence du phénomène d’hystérésis.
Induction électromagnétique
Courants induits, loi de Faraday, loi de Lenz.
Courants de Foucault.
Principe du transformateur.
Force électromagnétique
Loi de Laplace (cas d’un conducteur droit).
Applications
Principes de fonctionnement du moteur à courant continu et du moteur
asynchrone.
Moteurs à courant continu
Description et principe de fonctionnement d’un moteur à excitation
indépendante.
Bilan des puissances, rendement.
Démarrage sous tension d’induit réglable.
53
Moteur asynchrone monophasé et triphasé
Description et principe de fonctionnement.
Fréquence de synchronisme.
Fréquence de rotation.
Glissement.
Facteur de puissance.
Bilan des puissances, rendement.
Couplage d’un moteur triphasé.
Charge et décharge d’un condensateur
•
Circuit R-C.
Redressement - Filtrage
•
•
•
Redressement double alternance d’une tension sinusoïdale.
Filtrage par condensateur.
Lissage par une bobine d’un courant redressé.
Amplificateur opérationnel
•
•
Fonction amplification (régime linéaire).
Fonction comparaison (régime de commutation).
54
ÉLECTRONIQUE
A) TRAITEMENT DES SIGNAUX ANALOGIQUES
fonction
éléments de structure mis en œuvre
amplification
amplificateur de tension
amplificateur de courant
amplificateur de puissance :
aspects technologiques
- problèmes thermiques
- rendement
opérations algébriques
comparateur
additionneur/soustracteur
diviseur/multiplieur
opérations mathématiques
intégrateur/dérivateur
filtrage
filtre passe-bas
filtre passe-haut
(filtres actifs du premier ordre utilisant
un amplificateur intégré).
conversion
générateur de
un courant.
générateur de
une tension.
générateur de
une tension.
générateur de
un courant.
modulation d’amplitude
démodulation d’amplitude
tension commandé par
courant commandé par
tension commandé par
courant commandé par
modulateur par multiplication avec
“multiplieur” intégré.
modulateur par résistance commandée
ou démodulateur par détection
d’enveloppe.
55
B) PRODUCTION DE SIGNAUX ANALOGIQUES
fonction
production de signaux sinusoïdaux
éléments de structure mis en œuvre
oscillateur RC
oscillateur utilisant des circuits
intégrés spécialisés
conformateur
production de signaux non sinusoïdaux générateur de signaux triangulaires
générateur de signaux rectangulaires
- astables
- monostables
utilisant des opérateurs logiques
ou des circuits spécialisés.
C) TRAITEMENT DES SIGNAUX LOGIQUES ET/OU
NUMÉRIQUES
fonction
éléments de structure mis en œuvre
commutation
opérateurs logiques de base
Et/Ou/Non
Et-Non/Ou-Non
Ou exclusif
multiplexeur/démultiplexeur
codage
codeur
décodeur
transformation de code
transcodeur
opérations arithmétiques binaires
additionneur
soustracteur
comparateur
unité arithmétique et logique
comptage
compteur synchrone
(compteur binaire naturel ou codé
décimal prépositionnable ou non)
mémorisation
mémoire élémentaire :
bascules RS
bascules D
bascules JK
mémoire multiple à accès direct
mémoire à accès séquentiel
mémoire à lecture/écriture
mémoire à lecture seule
registre à décalage
56
fonction
traitement programmé de l’information
éléments de structure mis en œuvre
structure de bus
interfaces
- organisation matérielle :
- architecture fonctionnelle d’un
disposition utilisant la logique
programmée
- séquencement
- mémorisation
- échanges des informations
entre les entités fonctionnelles
- organisation logicielle :
- structure lagorithmiques de base :
- linéaire
- alternative
- itérative
- sous-programmes
- éléments de programmation
permettant la réalisation de fonctions
relatives à l’objet technique étudié.
D) CONVERSION DE GRANDEURS PHYSIQUES EN
GRANDEURS ÉLECTRIQUES
fonction
captage
captage
captage
captage
: - position
:- vitesse
:- contrainte
:- température
captage :- rayonnement
conditionnement
éléments de structure mis en œuvre
capteur magnétoélectrique
capteur électrodynamique
capteur optique
capteur thermoélectrique
capteur de contrainte : piezoélectirque
capteur de contrainte :jauge
- oscillateur à :
-fréquence
- rapport cyclique
- amplitude
- commandé
- générateur de tension ou courant
- commandé
57
E) CONVERSION DE GRANDEURS ÉLECTRIQUES EN GRANDEURS
PHYSIQUES
fonction
éléments de structure mis en œuvre
transduction électrique/acoustique
haut parleur électrodynamique
(réversibilité)
transduction électrique/optique
diode électroluminescente
afficheur
- simple
- multipléxé
F) TRANSMISSION DE L’INFORMATION
fonction
conversion de données
éléments de structure mis en œuvre
convertisseur numérique/analogique
convertisseur analogique/numérique
convertisseur fréquence/tension
convertisseur tension/fdréquence
codage des informations
modulateur à déplacement de fréquence
transmission non galvanique
coupleur optique
transformateur
relais
transmission de données numériques
liaison série
liaison parallèle
G) CONVERSION ET CONTRÔLE DE L’ÉNERGIE
fonction
éléments de structure mis en œuvre
conversion électrique/mécanique
moteur à courant continu à aimants
permanents
moteur pas à pas
contrôle de l’énergie
redresseur
gradateur
hacheur série à transistors
régulateur
58
ÉLECTROMAGNÉTISME
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Magnétisme et électromagnétisme.
Propriétés des aimants.
Champ magnétique et vecteur champ magnétique.
Champ magnétique créé par une bobine.
Flux magnétique.
Existence du phénomène d’hystérésis.
Induction électromagnétique.
Courants induits, loi de Faraday, loi de lenz.
Courants de Foucault.
Principe du transformateur.
Force électromagnétique.
Loi de Laplace (cas d’un conducteur droit).
Applications :
o Principes de fonctionnement du moteur à courant continu et
du moteur asynchrone.
MOTEURS ÉLECTRIQUES
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Moteurs à courant continu.
Description et principe de fonctionnement d’un moteur à excitation
indépendante.
Bilan des puissances, rendement.
Démarrage sous tension d’induit réglable.
Moteur asynchrone monophasé et triphasé.
Description et principe de fonctionnement.
Fréquence de synchronisme.
Fréquence de rotation.
Glissement.
Facteur de puissance.
Bilan des puissances, rendement.
Couplage d’un moteur triphasé.
59
ÉLECTRONIQUE
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Charge et décharge d’un condensateur.
Circuit R-C.
Redressement-filtrage.
Redressement double alternance d’une tension sinusoïdale.
Filtrage par condensateur.
Lissage par une bobine d’un courant redressé.
Amplificateur opérationnel.
Fonction amplification (régime linéaire).
Fonction comparaison (régime de commutation).
60
EPREUVE FACULTATIVE
QUESTIONS JURIDIQUES
I. Régulation de l’internet
•
•
•
•
Applicabilité du droit national ;
Lois spécifiquement adoptées en France (ex. Loi du 1er août 2000) ;
Projets de loi en cours (ex. Loi pour la confiance dans l’économie
numérique, projet de modification de la loi du 6 janvier 1978,
projet de loi habilitant le gouvernement à simplifier le droit,
chapitre I généralités dont développement de l’administration
électronique) ;
Activités de régulation au niveau communautaire et international.
II. Informatique et droit d’auteur
•
•
Protection des programmes d’ordinateur par le droit d’auteur et ses
conséquences ;
Application du droit d’auteur aux oeuvres dématérialisées.
III. Informatique et droit pénal
•
•
•
•
Fraude informatique, Code pénal, art. 323-1 à 323-7 ;
Publications interdites en ligne ;
Convention européenne sur la cybercriminalité du 23 novembre
2001 ;
Interception des télécommunications et réglementation du
chiffrement.
61
IV. Informatique et libertés
•
•
•
•
Loi du 6 janvier 1978 « informatique et libertés » ;
Directive du 24 octobre 1995 relative à la protection des données
personnelles ;
Existence d’une autorité administrative indépendante : la CNIL ;
Champ d’application de la protection (fichiers de données
nominatives, internet).
V. Informatique et droit du travail
•
•
•
Accès de l’employeur au poste informatique des salariés ;
Droits du salarié relatifs à l’usage de son poste informatique sur son
lieu de travail ;
Arrêt Nikon, Cour de cassation, chambre sociale, 2 octobre 2001.
62
LISTE DE TEXTES JURIDIQUES
(À ALLER VOIR SUR LÉGIFRANCE)
Réglementation des télécommunications
•
•
•
Loi n° 2000-719 du 1er août 2000, modifiant la loi n° 86-1067 du
30 septembre 1986 relative à la communication audiovisuelle ;
Loi n° 90-1170 du 29 décembre 1990 sur la réglementation des
télécommunications ;
Loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 relative au secret des
correspondances émises par la voie des télécommunications.
Cryptologie
•
Décret n° 2002-97 du 16 juillet 2002 relatif à l’obligation mise à la
charge des fournisseurs de prestations de cryptologie en application
de l’article 11-1 de la loi n° 91-646 du 10 juillet 1991 relative au
secret des correspondances émises par la voie des
télécommunications.
Réglementation des échanges dans la société de l’information
•
•
Directive CE n° 98/34 du 22 juin 1998 prévoyant une procédure
d’information dans le domaine des normes et réglementations
techniques et des règles relatives aux services de la société de
l’information, modifiée par la directive CE n° 98/48 du 20 juillet
1998 ;
Directive CE n° 2000/31 du 8 juin 2000 relative à certains aspects
juridiques des services de la société de l’information, et notamment
du commerce électronique, dans le marché intérieur (“directive sur
le commerce électronique”).
63
Signature électronique
•
•
•
Loi n° 2000-230 du 13 mars 2000 portant adaptation du droit de la
preuve aux technologies de l’information et relative à la signature
électronique ;
Recommandation CE n° 94-820 du 19 octobre 1994 concernant les
aspects juridiques de l’échange de données informatisées ;
Directive n° 1999/93 du 13 décembre 1999 sur un cadre
communautaire sur les signatures électroniques.
Communication gouvernementale
•
•
Décret n° 99-68 relatif à la mise en ligne des formulaires
administratifs ;
Circulaire du 7 octobre 1999 relative aux sites internet des services
et des établissements publics de l’Etat.
Droit pénal
•
Code pénal :
o Articles 226-13 et 226-14 (atteinte au secret professionnel) ;
o Articles 226-15 et 432-9 (atteinte au secret des
correspondances) ;
o Articles 226-16 à 226-26 (atteintes aux droits de la personne
résultant des fichiers ou des traitement informatique) ;
o Articles 227-23 et 227-24 (de la mise en péril de mineurs du fait
de la diffusion d’images à caractère pornographique) ;
o Articles 323-1 à 323-7 (atteintes aux systèmes de traitement
automatisé de données) ;
o Articles 411-1 à 411-11 (trahison et espionnage) ;
o Articles 413-9 à 413-12 (atteintes à la défense nationale) ;
o Articles 431-1 et 431-2 (entraves à l’exercice des libertés
d’expression, du travail, d’association, de réunion ou de
manifestation).
64
•
•
•
•
•
•
Décret-loi du 21 avril 1939 tendant à réprimer les propagandes
étrangères ;
Décret-loi du 24 juin 1939 concernant la répression de la distribution et
de circulation des tracts de provenance étrangère ;
Loi n° 68-678 du 16 juillet 1968 modifiée par la loi n° 80-538 du 16
juillet 1980 relative à la communication de documents et
renseignements d’ordre économique, commercial, industriel, financier
ou technique à des personnes physiques ou morales étrangères ;
Décret n° 98-608 du 17 juillet 1998 relatif à la protection des secrets de
la défense nationale ;
Décret n° 2000-405 portant création d’un office central de lutte contre
la criminalité liée aux technologies de l’information et de la
communication ;
Convention du Conseil de l’Europe du 23 novembre 2001 sur la
cybercriminalité.
Données publiques
•
•
Directive CE n° 2003-98 du 17 novembre 2003 concernant la
réutilisation des informations du secteur public ;
Décret n° 2002-1064 relatif à la diffusion du droit par l’internet.
Protection des données personnelles
•
•
Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux
fichiers et aux libertés ;
Directive CE n° 95/46 du 24 octobre 1995 relative à la protection
des personnes physiques à l’égard des traitements de données à
caractère personnel et à la libre circulation de ces données.
Langue française
•
Loi n° 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de la langue
française.
65
Droits d’auteur
•
•
•
•
•
Code de la propriété intellectuelle :
o Article L. 111-1 à L. 111-3, L. 112-1 et L. 112-2, L. 122-5,
L. 131-4, L. 211-1 et L. 211-3 (généralités sur le droit
d’auteur) ;
o Articles L. 113-9, L. 121-7, L. 122-6 à L. 122-6-2 (logiciel) ;
o Articles L. 311-1 à L. 311-8 (copie privée).
Directive CE n° 91-250 du 14 mai 1991 Concernant la protection
juridique des programmes d’ordinateur ;
Directive CE n° 96/9 du 11 mars 1996 concernant la protection
juridique des bases de données ;
Directive n° 2001-29 du 22 mai 2001 sur l’harmonisation de
certains aspects du droit d’auteur et des droits voisins dans la
société de l’information ;
Traité de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle sur
le droit d’auteur.
66
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Code de la Communication, éd. Dalloz.
Lamy droit de l’informatique.
Lamy droit de la communication.
AFTEL, le droit du multimédia, de la télématique à Internet, éd. du
téléphone, 1996.
Bensoussan, le multimédia et le droit, éd. Hermès.
Bertrand et T. Piette-Coudol, Internet et la loi, éd. Dalloz, 1996.
G. Braibant, Données personnelles et société de l’information, La
documentation française, 1998.
Conseil d’Etat, Internet et les réseaux numériques, La
documentation française, 1998.
M-P. Fenoll-Trousseau, Internet et la protection des données
personnelles, éd. Litec, 2000.
J. Frayssinet, Informatique, fichiers et libertés, éd. Litec, 1992.
G. Lyon-Caen, Les libertés publiques et l’emploi, La
documentation française, 1992.
Itéanu, Internet et le droit, éd. Eyrolles, 1997.
X. Linant de Bellefonds, L’informatique et le droit, PUF, collection
“Que sais-je ?”, 1998.
Lucas, Le droit de l’informatique, PUF, Collection “Thémis”, 1997
Lucas, Le droit d’auteur et numérique, éd. Litec, 1992.
Nguyen Duc Long, La numérisation des oeuvres, aspects de droit
d’auteur et droits voisin, éd. Litec, 2001.
F. Olivier et E. Barbry, Droit du multimédia, PUF, collection “Que
sais-je ?” 1996.
V. Sédallian, Droit de l’Internet, éd. AUI, 1997.
P. Truche, JP Faugere et P. Flichy, Données personnelles et
administration électronique, La documentation française, 2002.
67
Revues
•
Communication, commerce électronique, éd. Du Juris-Classeur,
mensuel.
Sites Internet
•
•
•
•
•
•
•
Législation et jurisprudence françaises et européennes : Légifrance :
www.legifrance.gouv.fr
Site de l’Assemblée Nationale : www.assembleenationale.fr
Site du Sénat : www.senat.fr
La documentation française : www.ladocfrancaise.gouv.fr
CNIL : www.cnil.fr
Forum des droits de l’internet : www.foruminternet.org
CEJEM : www.cejem.com
68
ANNALES
2005
CONCOURS EXTERNE ET INTERNE
•
Note de synthèse :
Rédaction d’une note de synthèse à partir d’un dossier à caractère
technique pouvant comporter des éléments chiffrés (données statistiques,
comptables, financières, commerciales et administratives simplifiées) et
permettant de vérifier les qualités d’analyse et de synthèse du candidat)
(durée : 3 heures ; coefficient : 3 ; toute note inférieure à 6/20 est
éliminatoire)
Sujet : Rédigez une note de synthèse sur les satellites de navigation, en
présentant les principales caractéristiques techniques des systèmes en
service ou en projet et leurs différentes applications, et en mettant en relief
les enjeux et les contraintes de la coopération internationale dans ce
domaines
69
Epreuve technique à option :
L’épreuve technique pourra, sur la demande du candidat formulée au
moment de son inscription, contribuer à la reconnaissance de la
qualification de pupitreur mais la note entrant en ligne de compte pour
l’acquisition des droits à cette qualification devra au moins être égale à
10/20.
(durée : 5 heures ; coefficient : 5 ; toute note inférieure à 8/20 est
éliminatoire).
Informatique : gestion électronique de l’information
Sujet :
70
Informatique : infrastructures et assistance
Sujet :
71
Travail à faire :
72
Informatique : concepteur de logiciel
Sujet :
73
74
75
76
77
Travail à faire :
•
Epreuve à option :
Composition pouvant comporter des exercices, des questions sur le
programme et des problèmes à résoudre.
(durée : 2 heures ; coefficient : 2 ; toute note inférieure à 6/20 est
éliminatoire).
PHYSIQUE
1) Exercice d’optique (5 points)
2) Exercice sur la protection et la sécurité (5 points)
3) Problème sur un moteur à courant continu (5 points)
4) Exercice sur l’amplificateur opérationnel en régime linéaire (5 points)
78
79
80
81
MATHÉMATIQUES
82
83
ÉLECTRONIQUE
84
85
86
87
88
89
STATISTIQUES DES CONCOURS
ANNÉES
2004
2005
ANNÉES
2004
2005
CONCOURS EXTERNE
nombre de postes
inscrits présents admissibles admis
offerts
1089
228
13
4
4
692
137
13
4
4
CONCOURS INTERNE
nombre de postes
inscrits présents admissibles admis
offerts
76
29
9
3
3
59
24
10
4
4
90
INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES
•
Le calendrier :
En principe, il est disponible à compter du 15 décembre de l'année en cours
pour l'année suivante et peut être obtenu sur demande écrite assortie d'une
enveloppe de format A4 affranchie à 1,30 € et libellée au nom et adresse du
demandeur. Il peut être également consulté sur le site internet du ministère
des affaires étrangères (www.diplomatie.gouv.fr).
Il comporte trois dates qui peuvent varier d'une année à l'autre :
- la date d'ouverture du concours,
- la date limite de retrait des dossiers,
- la date limite de dépôt des dossiers.
Les concours externe et interne d'accès au corps des secrétaires des
systèmes d’information et de communication sont organisés, en principe,
tous les 2 ans. Toutefois, diverses raisons, et notamment l'absence d'emploi
à pourvoir, peuvent conduire à annuler ces concours ou à ne pas prévoir de
les organiser.
•
Les formalités d’inscription :
Il appartient aux candidats, avant d’entreprendre toute démarche en vue de
l’inscription, de prendre connaissance du calendrier prévisionnel des
concours du ministère des affaires étrangères.
Aucune demande de dossier ne pourra être honorée en dehors de la période
d’inscription figurant sur le calendrier prévisionnel.
Les dates limites de retrait et de dépôt des dossiers sont impératives. Il
s’agit des dates auxquelles ces plis - demandes de dossiers - et envois de
ces derniers sont expédiés, la date de la poste faisant foi pour les demandes
d'inscription expédiées par voie postale.
91
Les demandes des agents en service à l'administration centrale du ministère
des affaires étrangères adressées par courrier intérieur doivent
impérativement être annoncées par télécopie au 01 43 17 70 97.
Les agents en service dans les postes diplomatiques et consulaires doivent
tenir compte des délais de valise pour que leurs demandes parviennent dans
les délais prescrits. Les demandes de dossiers et l'envoi des dossiers
d'inscription doivent obligatoirement faire l'objet d'un télégramme du
chef de poste indiquant la date d'envoi et les références de la valise utilisée.
Les télécopies et les télégrammes devront bien évidemment être expédiés
au plus tard à la date de clôture des inscriptions.
Il est également possible de se pré-inscrire directement en ligne, entre les
dates d’ouverture et de clôture des inscriptions, sur le site internet du
ministère des affaires étrangères, le dossier complété devant être expédié
au bureau des concours et examens professionnels au plus tard à la date de
clôture des inscriptions.
•
Les centres d’épreuves :
Les épreuves écrites des concours externe et interne donnant accès au corps
des secrétaires de chancellerie se déroulent à Paris. Un centre peut être
ouvert à Nantes pour les seuls candidats internes.
•
Les frais de transport :
En application de l’article 6 du décret n° 200678l du 3 juillet 2006,
«l’agent dont la résidence administrative se situe en métropole, Outre-Mer
ou à l’étranger, appelé à se présenter aux épreuves d’admissibilité ou
d’admission d’un concours, d’une sélection ou d’un examen professionnel
organisé par l’administration, hors de ses résidences administrative et
familiale, peut prétendre à la prise en charge de ses frais de transport entre
l’une de ses résidences et le lieu ou se déroulent les épreuves. Ces frais ne
peuvent être pris en charge que pour un aller-retour par année civile».
La prise en charge par le ministère des affaires étrangères des frais de
transport ne concerne que les agents rémunérés sur le budget du
ministère.
92
STATUT ET RÉGLEMENTATION
I - TEXTES RÉGISSANT LE CORPS DES SECRÉTAIRES DES
SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION
Décret n° 69-222 du 6 mars 1969 modifié par le décret n° 96-366 du 24 avril
1996 relatif au statut particulier des agents diplomatiques et modifié par le
décret n° 2002-19 du 4 janvier 2002 fixant les dispositions applicables au
corps de secrétaire des systèmes d’information et de communication.
Décret n° 71-342 du 29 avril 1971 motifs relatif à la situation des
fonctionnaires affectés au traitement de l’information.
Décret n° 94-1016 du 18 novembre 1994 fixant les dispositions statutaires
communes applicables à divers corps de fonctionnaires de la catégorie B.
II - TEXTES RÉGISSANT LES CONCOURS EXTERNE ET
INTERNE POUR L'ACCÈS AU CORPS DES SECRÉTAIRES DES
SYSTÈMES D’INFORMATION ET DE COMMUNICATION
a) Organisation, nature et programme des épreuves :
Arrêté du 9 mai 2005 fixant les modalités d'organisation, la nature et le
programme des épreuves externe et interne pour l'accès au corps des
secrétaires des systèmes d’information et de communication.
b) Diplômes requis des candidats à titre externe :
Décret n° 94-741 du 30 août 1994 relatif à l'assimilation, pour l'accès aux
concours de la fonction publique de l'État, des diplômes délivrés dans d'autres
États membres de l’Union Européenne.
c) Listes complémentaires :
Décret n° 2005-789 du 13 juillet 2005 relatif à l’utilisation des listes
complémentaires d’admission pour le recrutement par voie de concours de
fonctionnaires du ministère des affaires étrangères.
93
REPROGRAPHIE DU MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES - PARIS
CERFA N°51076#02
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