Université de Berne
Institut de Français
Linguistique française
Plan d’études « Bologna » (RSL 05)
Consignes
et domaines d’études
pour les travaux écrits
et les mémoires
en linguistique française
(Bachelor, Master)
– Version de septembre 2014 –
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1. Longueur des travaux écrits
• Travaux dirigés (Propédeutique) : 6 à 8 p. A 4
• Séminaires BA et MA : 8 à 10 p. A 4
• Travail final BA (Major) : ! 12 p. A 4
Les annexes, illustrations et longs textes cités (plus d’une demie page) sont à
comptabiliser en plus de la pagination ci-dessus.
2. Modalités
• Ces travaux sont en principe rédigés individuellement.
Mais on peut aussi admettre qu’ils soient rédigés en collaboration à deux, aux
conditions suivantes :
Si les étudiant-e-s rédigent des travaux écrits distincts à partir d’un exposé
commun, ils/elles auront chacun-e une note séparée.
Si les étudiant-e-s rédigent le même travail écrit à deux, ils/elles auront
tous/toutes les deux la même note. Par ailleurs, le travail écrit devra être d’une
longueur double à celle indiquée en 1.
3. Présentation de la page de couverture
– Vous pouvez vous inspirer du modèle joint en annexe.
– La page de couverture peut éventuellement être ornée d’une illustration.
4. Table des matières
– Vous pouvez vous inspirer du modèle joint en annexe.
La table des matières peut figurer au début ou à la fin du travail écrit (après la
bibliographie).
Même un travail court doit comporter une table des matières minimale. Celle-ci est
composée des titres et des sous-titres qui structurent le travail. Mettez obligatoirement
les pages de renvoi à ces titres et à ces sous-titres.
5. Bibliographie
• Obligatoire, même sous une forme minimale.
• Globalement, vous pouvez vous inspirer du modèle joint en annexe.
• Classement alphabétique par auteurs cités.
Quand vous citez plusieurs ouvrages d’un même auteur, mettez-les par ordre
chronologique de parution. Par exemple :
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Adam Jean-Michel, Linguistique et discours littéraire, Paris, Le Seuil, 1976.
Adam Jean-Michel, Le Texte narratif, Paris, Nathan, 1985.
• Attention à l’ordre à suivre pour chaque référence citée :
Nom de l’auteur + Prénom (éventuellement abrégé) + Titre de l’ouvrage + Lieu
d’édition + Maison d’édition + Date d’édition. /cf. ci-dessus/.
[Si vous ignorez les références complètes d’un ouvrage que vous voulez citer, cherchez-les dans
un catalogue (manuel ou informatique) de bibliothèque, ou demandez-les à l’enseignant-e qui
dirige votre travail.]
• Attention encore :
Les ouvrages cités se mettent en italiques (avec majuscules au début du titre). Par
exemple :
Plantin Christian, L’Argumentation, Paris, Le Seuil, 1996.
– Les articles cités et tirés d’un ouvrage ou d’une revue se mettent entre guillemets et en
caractères normaux. Quand c’est possible, l’indication des pages de référence de
l’article est recommandée. Par exemple :
Barthes Roland, « Rhétorique de l’image », Communications 4, Paris, Le Seuil,
1964, pp. 40-51.
On peut subdiviser la bibliographie en rubriques (avec un classement alphabétique
d’auteurs dans chaque rubrique). Par exemple :
1. Texte de référence (ou corpus analysé)
2. Ouvrages théoriques (ou études linguistiques)
3. Dictionnaires consultés
Les sites Internet peuvent aussi figurer dans la bibliographie, selon les conventions
propres à ceux-ci. Les mettre de préférence dans une rubrique à part. Par exemple :
1. Ouvrages théoriques
2. Site(s) Internet
http://roland.barthes.free.fr/biographie.php.
6. Rédaction du texte
• En police 12 (Times, Times New Roman, Palatino…).
• Espace entre les lignes : 1,5.
• Marges de gauche et de droite : 3 cm.
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Le texte peut être rédigé soit à partir du point de vue du JE, soit à partir de celui du
NOUS (« nous » d’auteur), soit à partir de celui du ON. Par exemple :
Je pense que Barthes a raison.
Nous pensons que Barthes a raison.
On peut penser que Barthes a raison.
• On peut faire des schémas, des graphiques ou des tableaux.
• Citations
– Si elles sont courtes, les intégrer dans votre rédaction entre guillemets.
Si elles sont longues (plus de 3 ou 4 lignes), les mettre en paragraphe-bloc, avec un
retrait, un interligne 1 et sans guillemets. Utilisez aussi des caractères plus petits (police
10).
– Indiquez, en principe, la page de référence de vos citations.
– Les crochets signalent soit une coupure dans une citation :
« ----------- […] ------------- .»,
soit un commentaire ou une intervention personnelle que vous faites au sein de celle-ci :
« ---------- [Cette expression de Barthes est empruntée à Saussure.] ------. »
• Références des ouvrages théoriques et des articles cités
– Elles peuvent se mettre soit dans le corps du texte, soit en notes en bas de page.
– La première référence doit être complète. Par exemple :
Comme l’écrit Jean-Michel Adam dans Le Texte narratif (Paris, Nathan, 1985),
le récit comporte trois séquences typiques.
En cas de références ultérieures à un ouvrage ou à un article déjà cité, utilisez des
abréviations comme : op. cit. [= « ouvrage cité » en latin] ou id. [= « même chose » en
latin. Id. est à utiliser seulement si l’ouvrage cité est le même que dans la référence qui
précède immédiatement].
Par exemple :
Selon Jean-Michel Adam (op. cit., p. 142), « le récit se définit comme une
transformation ».
• Notes en bas de page
– Les présenter en numérotation continue et en caractères plus petits (police 9 ou 10).
– Dans le corps du texte, l’appel de note correspondant à la citation se met en exposant.
– Les notes en bas de page ont deux fonctions :
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a) Elles servent à indiquer les références bibliographiques (voir ci-avant).
b) Elles permettent de faire des remarques secondaires ou des commentaires que vous
ne souhaitez pas intégrer dans le corps de votre texte. N’hésitez pas à exploiter cette
possibilité.
• Pour la rédaction du texte, vous pouvez vous inspirer du modèle joint en annexe.
7. Remise des travaux
• De préférence, envoyez vos travaux écrits aux enseignant-e-s concerné-e-s par mail en
document attaché. A défaut, remettez-les en mains propres ou envoyez-les par la poste.
8. Cas du travail final BA (Bachelorarbeit) en linguistique
française [Major] Cf. art. 17 du plan d’études –
Ce travail s’effectue selon les consignes précédentes, en concertation et avec l’aide
des enseignant-e-s de linguistique française. Il porte sur un sujet libre. Ce sujet peut
être en rapport avec un cours, un séminaire ou un thème non abordé durant les
enseignements.
• Le travail final BA peut, entre autres, concerner les domaines suivants :
Etude linguistique ou stylistique d’un texte littéraire (sélection d’un aspect ou analyse
plus systématique d’un passage).
Etude d’un texte /ou d’un corpus/ non littéraire (discours politique, histoire, bande
dessinée…) ou médiatique (presse, publicité, Internet…), soit sous tel aspect, soit sous
une forme plus globale.
Etude d’un mode de discours (dialogue, récit, figures, intertextualité, description,
argumentation…) à partir d’un ou de plusieurs texte(s).
Etude d’une question touchant le français contemporain (lexique, emprunt,
féminisation de la langue, franglais, francophonie et français dans le monde,
bilinguisme, oralité, argot, situation du français en Suisse, etc.) ou l’histoire de la langue
française.
Etude d’une question concernant le langage (sociolinguistique, psycholinguistique,
langage enfantin, langage des sourds-muets, langues artificielles et imaginaires,
maladies du langage, etc.).
Pédagogie de la langue française, à partir d’une enquête dans un Gymnase, d’une
analyse de copies d’élèves ou de manuels scolaires (images du français, problèmes
lexicologiques/ grammaticaux/orthographiques…, interférences du français avec le
suisse allemand, évaluation d’un manuel, etc.).
Analyse ou présentation d’un ouvrage concernant la langue, la linguistique , la
stylistique, la communication, etc.
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