EVELOPPEMENT LES BESOINS ES ENFANTS E A 6 ANS

EVELOPPEMENT
ES BESOINS
ES ENFANTS
E
A 6 ANS
développement de l’enfant : apports
veloppement cognitif et métacognitif de l’enfant :
GET : l’action de l’enfant sur le monde et l’environnement contribue à sa construction,
aille de cette conception est que l’environnement est oublié.
Le conflit cognitif
tades :
de sensori-moteur : 0 à 2 ans
L’éducabilité
tégorisation du monde à partir de ses capacités sensori-motrices – pas de langage
de pré opératoire avec, entre 18 mois et 2 ans, l’arrivée de la fonction symbolique.
• Période 1 : pensée symbolique.
• Période 2 : pensée intuitive.
entre 2 et 6 ans :
u symbolique
essin
angage qui explose à cette période (de 200 à 2000 mots).
mitation différée
2 et 4 ans le concept (la généralisation) n’existe pas encore. Ce niveau de généralisation n’est pas acquis.
ant ne peut conceptualiser que ce qu’il connaît, qu’il a touché, perçu.
xemple, quand on lui parle de chat, il ne pense qu'au sien, les autres n'existent pas.
stades de pensées : PIAGET
6 à 11/12 ans
0- 2 ans
nsori-moteur
2 – 6 ans
Préopératoire
Opérations
concrètes
À partir de
11/12 ans
Opérations
formelles
rtir de 4 ans : émergence de la pensée intuitive .
ensée se complexifie car l’enfant commence à manipuler des concepts mais elle est intuitive car elle se passe de
nnement.
thèse de la pensée pré opératoire :
enfant peut construire une représentation mais seulement à partir de son point du vue.
n point de vue développemental il ne peut distinguer la fiction de la réalité
ême si on le lui explique).
rête une intentionnalité aux choses.
s 7 ans l’enfant bascule dans la pensée logique avec possibilité
ffectuer des opérations mentales.
pproche de Piaget n’est pas réfutée mais est complétée
r celle de Vygotsky et Bruner.
interactionnistes : Vygotsky et Bruner
st l’environnement différencié de son propre organisme qui va organiser les réels pour l’enfant.
édiateur (parent/adulte/ le Maitre) est un filtre entre l’enfant et l’extérieur.
r Bruner, un bon médiateur c’est celui qui propose un cadre, un format d’interaction pour réaliser une tâche.
ue donc le rôle de filtre entre l’enfant et la tâche.
est-ce qu’un médiateur ?
entifie 6 fonctions pour cet étayage :
6 fonctions et gestes professionnels à la maternelle
1. - L’enrôlement (réussir à activer l’intérêt, l’adhésion par rapport à la tâche)
2. - La réduction des degrés de liberté : c’est un élément de la différenciation
3. - Le maintien de l’orientation sur la tâche
4. - La signalisation des caractéristiques déterminantes
5. - Le contrôle de la frustration
6. - La démonstration
veloppement cognitif et méta cognition aujourd’hui
ont les interactions sociales qui vont permettre à l’enfant de s’approprier le raisonnement du médiateur.
flexion, la distanciation et la mise en langage font l’essence de la méta cognition
prendre comment on a FAIT pour comprendre ce que l’on a découvert de nouveau.
ie Cèbe : c’est ce qui permet à l’enfant de comprendre les raisons de sa réussite donc compréhension de la logique
os procédures.
théorie de l'esprit
l'aptitude à comprendre que le point de vue de l'autre peut différer du sien
périence des fausses croyances: L’enfant commence à faire un lien entre ce qu’il sait lui parce qu’il a vu et l’état men
celui qui n’a pas vu (capacité de se décentrer). Conscience de la différence des représentations inter individuelles.
tte compétence est très défaillante dans des cas d’autisme par exemple.
fonctionnalistes :
aget est structuraliste et Vygotsky interactionniste, les courants actuels se tournent vers des réflexions qui
errogent (fonctionnalistes) sur la méta cognition et les effets (savoir se servir des connaissances que l’on a).
roche fonctionnaliste :
s’appuie sur 4 progrès :
développement cognitif se fait par domaines de connaissances qui peuvent se développer indépendamment:
ise de conscience que les connaissances sont socialement situées (pédagogie interculturelle)
connaissance est répartie entre les agents dans une société.
ur Olivier Houdé (2009) : le développement est conçu comme une évolution voire une compétition de stratégies.
eloppement affectif
iste deux théories différentes mais complémentaires :
théorie de l’attachement (J. Bowlby/M. Ainsworth)
a théorie psychanalytique (S. Freud)
éorie de l’attachement ( Bowlby)
s types :
ttachement sécurisant
ttachement insécurisant évitant
ttachement insécurisant ambivalent
e incidence pour l’enseignant ?
un médiateur donc il joue un rôle considérable dans la modalité de construction interne de l’enfant.
implique dans sa pratique de :
velopper une permanence et une cohérence (ex des rituels qui sont des outils pour l’enfant mais aussi l’enseignant
travail sur le cadre : les règles explicitées, identifiées. Si on n’est pas permanent tout le temps il faut expliciter pour
ettre aux enfants de comprendre.
taurer un moment de parole et d'explication pour mettre du sens sur les états mentaux en lien avec ses actes ( je su
é aujourd'hui, donc je suis moins patient).
s être dans une relation affective fusionnelle marqueur de dépendance (ma chérie, mon coco, ma puce…).
rée à l’école maternelle peut être traumatique pour certains enfants. Le travail de l’enseignant est à faire avec
nt mais aussi les parents. Si on veut que l’enfant soit bien à l’école il faut que le parent soit bien.
orie psychanalytique :
ermet de comprendre comment l’enfant construit son identité et la conscience de lui-même dans sa relation aux
s.
lat : quand l’enfant vient au monde il est le centre du monde. Il vit des successions d’états. La satisfaction fait partie
. Il est dans la toute puissance. Il va vivre des frustrations régulières qui vont faire qu’il va perdre régulièrement des
s, par stades.
ycle 1, il est important de mettre en place des situations d’apprentissage qui permettent à l’enfant d’en être l'auteu
Site PEM 41
Document de Nathalie Botte-Bonneton.
Maître de conférence IUFM St Brieuc
« Le développement de l’enfant »
Pistes à la maternelle : voir fiche ressource