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25 février 1997), modifié par les arrêtés royaux du 8 novembre 1998, du 25 mars 1999 (M.B. du
9 avril 1999 et errata au M.B. du 29 avril 1999 et du 25 août 1999), du 20 juillet 2000 (M.B. du
30 août 2000), du 22 avril 2002 (M.B. du 30 avril 2002) et du 12 janvier 2006 (M.B. du 27
janvier 2006) ainsi que par les arrêtés ministériels du 8 février 2000 (M.B. du 15 février
2000), du 4 décembre 2001 (M.B. du 19 décembre 2001) et du 17 décembre 2007 (M.B. du 20
décembre 2007) ;
L'arrêté royal du 26 septembre 1996 établissant les règles générales d'exécution des
marchés publics et des concessions de travaux publics et son annexe, le cahier général des
charges des marchés publics (M.B. du 18 octobre 1996), modifié par les arrêtés royaux du 14
octobre 1998 (M.B. du 27 octobre 1998), du 15 février 1999 (M.B. du 24 février 1999), du 29
avril 1999 (M.B. du 19 mai 1999), du 20 juillet 2000 (M.B. du 30 août 2000) et du
4 juillet 2001 (M.B. du 10 juillet 2001);
Les clauses et conditions particulières du présent cahier spécial des charges qui excluent,
dans la mesure où elles y dérogent, l'application des dispositions légales non impératives.
4. CONTEXTE :
En 2003, le Ministre-Président du Gouvernement wallon, en charge des relations
internationales de la Région, rappelait ainsi le rôle du migrant dans la coopération
internationale de la Wallonie :
«L a Déclaration de politique régionale actualisée du Gouvernement wallon d’octobre 2001 précise
les objectifs majeurs d’une politique wallonne de coopération au développement. Parmi ceux-ci, il
s’agit d’instaurer le principe de la gestion participative, en incluant les acteurs (ONG, universités,
partenaires sociaux,…) dans le processus décisionnel.
En fonction de cet objectif, le Conseil Wallonie-Bruxelles de la Coopération internationale
comptera
26 membres représentant les différents acteurs de la coopération, dont deux particulièrement
concernés par la thématique « migration et développement ». Ce Conseil peut notamment formuler
des propositions pour l’implication des personnes étrangères ou d’origine étrangère.
Notons aussi que le programme d’actions prioritaires 2002-2004 du Contrat d’Avenir pour la
Wallonie actualisée (CAWA) prévoit explicitement de « promouvoir l’implication citoyenne et le
partenariat associatif en matière de coopération au développement » et « qu’ à cette fin, il étendra et
diversifiera le panel d’acteurs wallons qui participe aux programmes et aux projets de coopération
internationale mis en œuvre par la région wallonne. Il sera dans ce cadre particulièrement attentif à
favoriser l’implication de la population immigrée en Wallonie dans ces projets et programmes.»
Dès 2003, des projets initiés par des migrants ont été appuyés par la Région wallonne.
Ce 21 novembre 2003, j’ai présenté officiellement les membres d’une cellule d’appui aux initiatives
citoyennes de solidarité internationale, installée à Namur. Dès 2004, elle pourra, entre autres,
apporter un appui aux associations de migrants qui souhaitent s’inscrire dans notre politique de
coopération au développement.
Je souhaite également que le « Carrefour Interculturel Wallon » récemment créé lui aussi joue son
rôle de « soutien des initiatives visant à promouvoir la valorisation des ressources internationales,
et les échanges intra et interrégionaux et internationaux » comme le prévoit ses statuts.