
 Les cellules cancéreuses mangent beaucoup de protides 
 Prévalence de la dénutrition en cancérologie 
o Entre 30 et 40 % pour les patients hospitalisés 
o Entre 10 et 40 % des patients en ambulatoire 
 Chiffre variables selon le type de cancer et le stade de la maladie 
 Influence de la dénutrition sur le pronostic en cancérologie 
o ↗ du risque d’infection nosocomiale 
o ↗ du risque de complications postopératoires 
o ↗ du risque de complications de la chimio et de la radiothérapie 
o ↘ de la réponse à la chimio 
o ↘ de la résécabilité des cancers digestifs 
o ↗ de la mortalité après chimio 
o ↘ de la qualité de vie après la chirurgie, chimio ou radiothérapie 
o Risque propre de mortalité est de 24% 
 Prévention 
o Surveillance du poids une fois par semaine 
o Surveillance de l’alimentation  
 Stimulation de l’alimentation orale 
o Maintenir la structure des repas 
 3 à 6 repas /jrs si possible 
 Aux horaires habituels du patient si possible 
o Dans l’assiette  
 Texture adaptée aux patients 
 Attention aux plats trop acides, épicés ou trop chauds 
 Présentation appétissante 
 Aliments riches ou enrichissement 
 Adaptée aux goûts, aux aversions et aux modifications sensorielles chauds, 
trop acides ou trop épicés (souvent un dégout de la viande) 
 Proposer des compléments alimentaires sur prescription 
 
Rôle de l’AS dans la relation en cancérologie 
 Demande des patients plus importante 
o Car la maladie renvoie encore très souvent à la mort 
 Famille demandeuse 
o A cause de l’angoisse liée à la maladie ou à la perte d’un être cher 
 Accorder le temps nécessaire à l’accueil du patient et de sa famille 
 Se montrer disponible et à l’écoute 
 Mettre en place la relation d’aide et les techniques de communication