Niveau intermédiaire /B1
Auteur : Magali Foulon,
CAVILAM – Alliance française
Activité 1 :
Distribuer la fiche apprenant et inviter les apprenants à lire les mots proposés dans l’activité. Faire expliquer ou
expliquer le vocabulaire inconnu.
Montrer le reportage jusqu’à la fin de l’intervention de Romina Dlamini (la patiente) avec le son, mais en
cachant les sous-titres.
Individuellement
. Faites l’activité 1 : écoutez le début du reportage et cochez les mots entendus.
Pour la mise en commun, inviter les apprenants à comparer leurs réponses avec leur voisin (e) puis noter les
mots retenus par les apprenants au tableau.
En binôme.
D’après vous, qu’est-ce qu’un sangoma ? Aidez-vous des images vues et mots écrits au tableau
pour définir cette personne.
Mise en commun à l’oral en grand groupe : noter les hypothèses des apprenants au tableau.
Pistes de corrections / Corrigés :
- Nous pensons qu’un
sangoma
est un médecin traditionnel, un guérisseur qui utilise des produits naturels pour
soigner les gens.
Activité 2 :
Demander aux apprenants de lire les phrases proposées et vérifier que le vocabulaire est connu de tous. Puis
leur indiquer qu’ils devront également corriger les phrases fausses. Montrer le reportage en entier avec le son,
mais en cachant les sous-titres.
Faites l’activité 2 : écoutez le reportage et dites si les informations suivantes sont vraies ou fausses.
Mise en commun : inviter les apprenants à comparer leurs réponses et à apporter les éléments de correction
pour les réponses fausses. Ensuite, demander aux apprenants qui le souhaitent de venir écrire les phrases
corrigées au tableau.
Pistes de corrections / Corrigés :
1. Les
sangomas
sont très populaires à Soweto.
2. Ils sont aujourd’hui des dizaines de milliers à exercer leur activité.
3. Pour soigner ses patients, Phepsile Maseko utilise des tambours et des os des osselets,
des coquillages et des dés.
4. Les patients se détournent de la médecine occidentale, car elle est trop chère.
5. Les
sangomas
aimeraient que le gouvernement reconnaisse réglemente la profession.
6. La patiente accorde toute sa confiance à la
sangoma
.
7. La médecine traditionnelle n’est pas un marché rentable est un marché lucratif
(200 000 euros) en Afrique du Sud.
8. Cette médecine traditionnelle a évolué, mais elle n’est toujours pas reconnue par l’État.
9. Selon David Walwyn, certains
sangomas
sont des charlatans.
10. La médecine traditionnelle africaine va être reconnue par l’État d’ici 2019. Mais rien sur
la médecine traditionnelle africaine.
Activité 3 :
Laisser le temps aux apprenants de lire les définitions proposées et leur préciser que les traits correspondent au
nombre de lettres. Montrer le reportage avec le son et sans les sous-titres.
En binômes.
Faites l’activité 3 : écoutez le reportage. Retrouvez les mots issus du reportage.
Proposer aux apprenants de comparer leurs réponses avec les binômes voisins puis montrer à nouveau le
reportage avec le son et avec les sous-titres afin de vérifier ou compléter leurs réponses.
Inviter les apprenants à venir noter la solution au tableau.
Afin de mémoriser ces mots, utilisez-les dans des phrases de votre choix.