Dans le cas ci-contre , la fonction est continue sur un intervalle
[ 0 ; 5].
Le théorème s’applique :
Pour tout k entre f(0) = 0 et f(5) l’équation f(x) = k admet
au moins une solution dans [0 ;5]
Pour le K du dessin f(x) = K admet même une infinité de solutions du
fait que la fonction est constante sur un intervalle .
b. Corolaire du théorème des valeurs intermédiaires
c’est à dire que f prend donc une fois et une seule toutes les valeurs entre f(a) et f(b) .
c’est ce corolaire qui est le plus souvent utilisé .
Dans le cas ci-contre , la fonction est continue et strictement
croissante sur l’ intervalle [ a ; b].
Le corolaire du théorème des valeurs intermédiaires
s’applique .
Ici on a a < b et , pour tout k de [f(a) ;f(b)] , l’équation
f(x) = k admet une solution unique dans [a ;b] .
Attention à bien spécifier « dans [a ;b] » car on ne sait pas si il n’y pas d’autres solutions
ailleurs !
Dans le cas ci-contre , la fonction est continue et strictement
décroissante sur l’ intervalle [ a ; b].
Le corolaire du théorème des valeurs intermédiaires s’applique
. Ici on a a < b et , pour tout k de [f(b) ;f(a)] , l’équation
f(x) = k admet une solution unique dans [a ;b] .
Dans le cas ci-contre , la fonction est continue mais n’est pas
strictement monotone sur l’ intervalle [ a ; b].
Si f est continue et strictement monotone sur un intervalle I et si a I et b I
alors :
pour tout réel k compris entre f(a) et f(b) , il existe un unique réel c de I tel que f(c) = k