MALADIE CHRONIQUE ET PSYCHISME Ici ASTHME ET BPCO JP CHABANNES GRENOBLE LA CULTURE EVOLUE , LES PATIENTS 1985 1970 CHANGENT CUTURE DE L’ ASSISTANCE 1838 INTERNEMENT ASSISTANCE AU MALADE MENTAL 1968 PROTECTION DES HANDICAPES L ‘ E U R O P E NORD SUD CULTURE DE L’ INDIVIDU R E S P O N 1990 2002 2005 2011 S A B INFORMATION I L HOSPITALISATION Charte du Droits des SOUS CONTRAINTE I Patient PRIVATION DE personnes LIBERTES S hospitalisé en soins psy A T I O EDUCATION THERAPEUTIQUE N CULTURE D’ ASSISTANCE CULTURE DE L’ INDIVIDU 1 PRIME AU GROUPE Vaccination; syphilis; tuberculose PRIME A LA LIBERTE INDIVIDUELLE Sida; avis du patient 2 MALADE Attente modeste Mort=fatalité Confort peu envisagé USAGER Attente totale Mort à éviter 3 RELATION PATERNALISTE : devoir du SOIGNANT=>son savoir ; son éthique 4 CONTRAT IMPLICITE:consentement automatique même si peu éclairé 5 SECRET MEDICAL:protège malade et médecin PATIENT Attente supérieure Mort à repousser Confort à considérer CONSOMMATEUR; CLIENT Attente absolue Mort inenvisageable Confort=droit RELATION PARTENARIALE: droit du PATIENT = devoir du SOIGNANT CONTRAT EXPLICITE Consentement informé SECRET PROFESSIONNEL:inclut l’information 6 MEDECIN . SOIGNANT ROI: pouvoir médical? CLIENT ROI: abolition du pouvoir médical 7 LA FAUTE: l’aléa est aléatoire RISQUES: à prévenir; aléa indemnisé 8 PREUVE A FAIRE PAR LE PATIENT PREUVE A FAIRE PAR LE SOIGNANT (25 02 97) 9 MEDECINE = SCIENCE HUMAINE MEDECINE=SCIENCE DE PLUS EN PLUS EXACTE 10 LE TIERS: L’ETHIQUE (ordres professionnels) LE TIERS : LA LOI (la justice) QUELQUES CONSÉQUENCES INÉLUCTABLES Les lois vont accompagner le processus De nouvelles exigences des patients vont naitre ex: plus d’ aléas De nouveaux risques professionnels vont apparaitre De nouvelles obligations vont être faites aux professionnels parmi lesquelles rendre plus responsable le patient en le rendant plus sachant et en lui donnant les outils nécessaires d ’ ou l’arrivée de l’ éducation thérapeutique L’ILLUSION DE GUERIR Devenir MEDECIN c’est GUERIR Toute puissance innocente et bien intentionnée au début coupable si durable Nous guérissons peu de choses: -qq infections -qq traumas -beaucoup de BOBOS TO -qq passages aigus -de rares maladies chroniques -et puis c’est à-peu-près tout Nous soignons beaucoup et nous sommes les ténors de -la répétition -la continuité LA CHRONICITE CURE TO CARE HUM!!! ? ? ? LA ENTRER ET SORTIR DE CHEZ LE MEDECIN LE PATIENT APPRENANT SA CHRONICITE 4 GRANDES DIFFICULTES - Deuil de sa bonne santé « PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT » - Deuil de son indépendance d’ adulte « L’ INDEPENDANCE: UNE ILLUSION NECESSAIRE POUR SUPPORTER LES ALIENATIONS » - Difficultés à l’ observance thérapeutique - Répétition de situations gênantes ou difficiles LES ATTITUDES REACTIONNELLES A CES DEUILS 1 LE DENI Malgré notre insistance, nos explications, le sujet ne semble pas entendre Il redemande chaque fois combien de temps « ça va durer » Il abandonne lui-même le ttt LE REJET Malgré notre insistance le sujet n’ admet pas Il n’y a pas de raison de prendre un ttt « je ne ressent rien » Les médecins ils veulent toujours « qu’ on prenne des médicaments » LA COLERE Le patient s’ en prend au médecin ou à la médecine « si vous m’ aviez averti plus tôt je n’ en serais pas là » « c’ est pas possible qu’ à notre époque vous n’ ayez rien trouvé d’ efficace » LE MARCHANDAGE Basé sur un faux espoir « si je suis bien le ttt dans qq temps je serais guéri » LE MENSONGE Relation faussée « oh bien sûr que je suis scrupuleux » et en fait ? LE DESESPOIR Réaction proche de la réaction dépressive L’ ACCEPTATION Hélas moins fréquente qu’ espérée Rester en alerte car pas forcément fiable: mensonge incapacité à tenir usure du temps URGENCE devant ces réactions En tenir compte et ne pas rejeter LES 4 FONDEMENTS DE L’ATTITUDE MEDICALE: Ecoute active Questions exploratoires Empathie Affirmation de notre point de vue L’ ECOUTE ACTIVE: Le sujet réagit à l’annonce d’une nécessité de ttt au long cours Le médecin: « est-ce que l’idée de prendre un ttt chaque jour vous contrarie? » QUESTIONS EXPLORATOIRES Le sujet émet des doutes sur le fait de devoir se soigner Le médecin: « j’ai le sentiment que vous n’ êtes pas vraiment d’accord avec le point de vue médical; ai-je raison? » EMPATHIE Le sujet ne veut pas prendre un ttt pour des troubles qu’ il ne ressent pas Le médecin: « je saisi bien votre réaction; elle n’ est pas isolée » AFFIRMATION DU POINT DE VUE MEDICAL (suite de l’empathie) Le médecin: « Néanmoins, même si vous ne présentez pas trop de gène actuellement, il est bien connu que le processus peu s’ aggraver, puis vous ennuyer dans le futur et le ttt que je vous propose est pour l’ instant notre meilleure solution » IL FAUT QUE : (Y A QU’A) Le patient soit convaincu que vous avez entendu son point de vue Que vous n’ayez pas pris son point de vue pour une position ridicule ou irresponsable Que vous ayez fait savoir que vous avez compris ses difficultés sans en rajouter Que vous ayez ENSUITE affirmé un point de vue charismatique mais non péremptoire ou « universitaire » LES DIFFICULTES D’ OBSERVANCE Véritable deuxième boulet (1er maladie chronique) Boulet d’ autant plus important que les satisfactions immédiates ne sont pas évidentes C’ est le contraire de l’ addiction (à son début): addiction = satisfaction observance = obligation Le principe de SATISFACTION (plaisir) est une véritable aliénation L’ homme a une notion trop approximative de la LIBERTE car celle-ci n’ est pas inscrite naturellement dans notre histoire, nous avons fabriqué un concept (en réaction= révolution) rassurant, dont nous maitrisons mal les limites. L’ observance ne va pas de soi. C’ est une démarche, elle va donc dépendre des individus. QUELQUES CHIFFRES: un vrai problème Après 1 mois 15% des patients ont abandonné leur 1er ttt anti hypertenseur 36% des patients ne prennent pas correctement leur ttt antibiotique La durée moyenne d’ un ttt antidépresseur est de 26 jours (recommandations 6 mois) En milieu hospitalier jusqu’ à 25% d’ inobservance Les médecins et personnels de santé sont très inobservants C’ EST DIRE SI NOUS SOMMES DEVANT UN VRAI PROBLEME DE SANTE PUBLIQUE REPETITION DE SITUATIONS DIFFICILES -Nécessité de penser à prendre (à emporter; au travail; devant les autres…) -Difficultés quand la prévision n’ a pas été maitrisée (ttt non emporté; ordonnance pas renouvelée à temps…) -Nécessaires visites de contrôle; de renouvellement(ne pas en faire un calvaire) -Résultats d’examens décevants(toujours malgré les efforts) LA CHRONICITE D’UN TTT N’ EST PAS UN FACTEUR D’ HABITUATION DU PATIENT A SES OBLIGATIONS. PARFOIS MÊME IL Y A UNE HYPER-REACTIVITE (KINDLING) COMME DANS LES ALLERGIES CAS CLINIQUE Mr PELTIER UN ASTHME CHEZ UN HOMME DE 32 ANS QUI PREND SON TTT DE MANIÈRE FANTAISISTE -42 ans , comptable en entreprise, marié ,père d’une jeune fille de 12 ans -Personnalité assez docile, il dit aisément OUI quand une question lui est posée ou une proposition formulée. -En fait le médecin se rend compte que Mr Peltier dont le ttt comporte 2 aérosols, consomme beaucoup plus du dilatateur bronchique que de l’ anti-inflammatoire. -De plus il semble surconsommer le dilatateur par rapport à la prescription et se dit toujours à cours de ttt . -Asthmatique depuis l’enfance, il est suivi et soigné au long cours et dans son entourage tout le monde est convaincu que connaissant bien sa maladie il se traite correctement. -Pour le médecin le doute est permis d’autant que dans une rencontre de formation avec son pharmacien, celui-ci a émis les mêmes réserves. POINTS CLÉS Mr PELTIER -Un patient qui dit toujours oui n’est pas forcément un patient qui adhère. -Tout reproche direct serait improductif. Se souvenir que les ttt au long cours: -sont souvent générateurs de répétition de situations désagréables (prendre au travail; penser à emporter le ttt, observance régulière) -peuvent entrainer une hyper réactivité(kindling et ras le bol) -sont parfois décevant à cause de médiocres résultats -sont parfois l’objet de tris par le patient car il a le sentiment d’en prendre avec trop empathie que le choix du ttt le plus « confort » est -Comprendre LA CHRONICITÉ N’EST PAS UN FACTEUR D’HABITUATION parfois plus aisé -Faire preuve d’un grand charisme pour expliciter la technique de prise en posant le ttt comme un et indivisible -Faire preuve de précision dans les questions posées permet de contourner l’acquiescement systématique. EXEMPLE D’ ENTRETIEN Mr PELTIER Méd:- Quand est-ce qu’ on vous a renouvelé votre ttt pour la dernière fois? PRIVILÉGIER LA FORMULE QUESTIONNEMENT M P:- Euh il y a trois mois je pense. Méd:- Ça doit être ça. Et tout se passe bien, pas de difficultés? M P:- Tout va bien ,tout va bien! ACQUIESCEMENT AISÉ Méd:- Je vous demande ça parce que je sais que vous avez 2 aérosols et que SUR LA REMISE EN CAUSE vous à courtAISÉ de l’ un des RESTER 2; je MODÉRÉ me trompe? M P:-êtes Euh,plus oui!souvent ACQUIESCEMENT Méd:- Oui je me trompe ou oui vous êtes parfois à court de l’un des 2? M P:- oui il m’arrive d’être à court. Méd:- C’est celui qui dilate les bronches que vous utilisez un peu plus? M P :- oui c’est ça, il fait tellement du bien! AFFIRMATION DU POINT DE VUE Méd:- Je vous comprends aisément, d’ailleurs vous n’êtes pas le seul à agir de DÉMONSTRATION la sorte CEPENDANT……… Démonstration charismatique, claire et pas trop longue sinon la couper en 2 pa RÉSUMÉ un résumé fait avec le patient. À la fin faire résumer le patient et conclure par formule d’encouragement dans laquelle on s’ implique: « on va y arriver; d’ailleurs si vous voulez bien on en reparlera aussi la fois prochaine » ENCOURAGEMENT;IMPLICATION JULIEN UN ADOLESCENT ET SON DIABÈTE DÉBUTANT Julien 17 ans a été hospitalisé suite à un malaise. Depuis un an il a présenté divers malaises, une asthénie permanente, et un décrochage scolaire. Aucune visite médicale n’ a eu lieu, l’ adolescent un peu rebelle cachant son mal être mais les parents étaient inquiets. L’ orientation a été faite vers le service d’ endocrinologie ou le diagnostic de DIABÈTE TYPE1 a été posé Dans un premier temps la famille a été soulagée: un diagnostic et surtout pas un cancer, mais les désillusions sont vite apparue en découvrant les difficultés possibles. Situation d’ avenir peu définie, motivation pour les études un peu faible, beaucoup de copains mais avec qq conduites à risques: alcool, H… Antécédents familiaux: gd père maternel diabète type1; un oncle également. JULIEN suite Il accepte bien les choses en milieu hospitalier alors que les parents pensaient le contraire Il a suivi une session d’ ETP à l’ hôpital de jour A la sortie l’ inquiétude parentale ressurgit, le jeune homme affirme le contraire de ce qu’ il annonçait à l’ hôpital. Vous le recevez pour le début d’une prise en charge amb0ulatoire . POINTS CLÉS Ado de fait en opposition avec les adultes >> surtout ne pas être moralisateur Il peut tenter de débattre ne pas rentrer dans ce jeu Ne pas dramatiser mais mettre la juste mesure Créer un couple locuteur et affirmer que cela se passe entre lui et vous Garder la cohésion et la cohérence dans le discours et avec les autres intervenants. Encourager dans le sens : GARANTIE DE LIBERTÉ. Ne pas trop insister sur l’ avenir les Ados y sont peu sensibles. Ne pas courir plusieurs lièvres à la fois (tabac H…) EXEMPLE D’ ENTRETIEN JULIEN SUITE 2 options L’ ADOLESCENT N’ EST PAS PRÊT; FERMÉ AU DIALOGUE - Ne pas insister. -Rappeler simplement que vous êtes là pour lui et uniquement pour lui et qu’ il peut vous interpeler s’ il le désire. -faites savoir que vous comprenez que ce ttt est peut être un casse tête pour lui. Parfois cela peut l’ ouvrir au dialogue . Sinon whait and see. L’ ADOLESCENT ACCEPTE LE DIALOGUE Méd: - bonjour Julien alors qu’est ce qui t’amène? Jul:- ils ont trouvé pour mes malaises , j’ ai un diabète comme mon grand père. Méd:-pas comme ton grand père , à son époque les soins n’ étaient pas les mêmes RÉASSURANCE Jul:-quoi? Méd:-oui la maladie reste la même mais on la connait bien mieux et les moyens de la prendre en charge ttt y compris ont énormément progressé CHARISME …/… JULIEN FIN Jul:- oui mais le ttt c’ est contraignant. Méd:- disons que c’ est une contrainte de plus, on en a tellement chaque DÉCENTRER DE L’ ÉGO DU jour Jul:- justement une de plus. VALORISER LE BUT ET NE PATIENT PAS Méd:- oui mais celle là elle est faite pour aider à vivre. INSISTER SUR L’ Jul:- mais à l’ hôpital ils m’ ont parlé du H , du tabac, de l’ alcool. OBLIGATION Méd:- ils ont bien eu raison de t’ en parler, car il faut que tu sois informé sur tout. Néanmoins toi il faut que tu mettes en place ce qui te permet de te soigner. Si tu ne peux pas tout mettre enNOTRE placeOUVERTURE immédiatement mets la priorité sur le MONTRER TOUT EN INSISTANT SANS EN ttt et AVOIR L’ AIR SUR L’ESSENTIEL essaies de te faire aider pour le reste. Jul:- le ttt j’ai bien compris mais des détails m’échappent. Méd:-c’est pour ça que nous pouvons voir les choses ensemble. FACON INVITATION ET NON OBLIGATION CONCLUSION Le relationnel est fondamental mais pas suffisant s’il n’est que spontané M P M P Pas bon Parano;Dépendant;.. OBJECTIF Avant le patient s’ adaptait à son médecin . Dorénavant le médecin DOIT s’ adapter à son patient. MERCI DE VOTRE ATTENTION ET BONNE SOIRÉE Mr JURIER UNE BPCO CHEZ UN PATIENT QUI NE SE SENT PAS PLUS MALADE QU’AVANT SA CONSULTATION -Monsieur Jurier a 52 ans il est enseignant technique au lycée pro de la ville -Gros fumeur depuis l’adolescence il a joué au rugby dans l’ équipe locale mais à 28 ans il avait déjà ressenti des difficultés à suivre le rythme à cause du souffle -Marié père de 3 enfants il est maintenant conseiller municipal. court. -En tant qu’ enseignant il est connu pour sa rigueur et il porte le surnom de « l’ours » -Il a commencé à présenter de sérieuses difficultés respiratoires à 40 ans mais les a-Souvent toujoursdans minimisées au grand désespoir de son épouse. les discussions il se fait traiter de « Monsieur je sais tout ». Il faut dire qu’il fréquente assidument le Web et s’ en sert dans ses rencontres. -Diagnostiqué BPCO depuis peu doit se traiter au long cours et restreindre sa consommation tabagique ce qui est pour lui quasi « inentendable ». POINTS CLÉS Mr JURIER Se préparer à l’entretien car le patient est parfois mal supporté (rester Zen) Lui laisser déverser un peu son « venin » sur qq répliques (pas plus de 3) Si cette agressivité naturelle revient opérer un glissement vers un sujet parallèle ou recentrer le propos Éviter de débattre en reformulant et requestionnant le patient Quand il affirme qq chose de faux ne pas s’enflammer et pratiquer la technique du « NON AMORTI » Toujours penser que sa pseudo assurance masque peut être des doutes Med: bonjour monsieur Jurier comment voyez vous le problème? (vous lui avez annoncé sa maladie il y a 15j) CHALEUR M J: m’ en parlez pas je viens voir le toubib pour une bronchite et je ressort avec une maladie qui ne guérira pas et un ttt je vous dis pas! M J:on est plus malade quand on sort que qu’ en on rentre Méd: Est-ce à dire que vous ne ressentez pas la présence des symptomes? QUESTIONS EXPLORATOIRES M J:c’est ça . Je tousse le matin mais depuis longtemps est c’ est pas plus grave aujourd’hui mais vous me dite que mes bronches sont touchées par une BP quelque chose. Méd: une BPCO; Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive; je peux vous expliquer. M J: oui mais je ne me porte pas plus mal qu’ avant. Méd: certes je saisi bien votre position, c’ est dur de se traiter quand on n’ en sent ou peu le besoin voire les effets immédiats. EMPATHIE M J: c’est ça. Méd: bien alors dites moi un peu ce que vous avez retenu de cette maladie? M J: il semble que mes bronches se soient rétrécies ce qui serait à l’ origine de ma toux et du fait que je crache. ET QUESTION Méd: c’ est tout à fait ça mais quelles sont vos craintes?RENFORCEMENT EXPLORATOIRE M J:comme c’ est dit sur internet, aggravation si j’ arrête pas de fumer et ça c’est Méd: jutement c’ est là qu’ on va agir avec le ttt. Résumons: vous toussez surtout l matin, vous crachez, vous devez avoir qq difficultés respiratoires à l’ effort. Vous fumez et vous ne sentez pas que vous pourrez aisément arrêter. Sommes nous d’ accords? RÉSUMÉ ET REFORMULATION M J: jusque là oui Phar: bon alors allons un peu plus loin. Cette maladie qui s’ appelle BPCO est bien au tabagisme, je comprends que celui-ci soit dur à éradiquer et que prendre un ttt peu compliqué cela vous ennuie. Ai-je bien compris? M J: tout à fait. Méd: CEPENDANT, même si vous ne ressentez pas les bénéfices immédiats et si vou avez qq contraintes il est connu que la maladie peu s’ aggraver et entrainer une gène croissante. Le ttt proposé et les efforts à faire pour moins fumer et arrêter si vous pouvez sont les meilleures solutions que nous ayons. CHARISME ET AFFIRMATION DU POINT DE VUE