N
311
SÉNAT
SECONDE
SESSION
ORDINAIRE
DE
1988
-
1989
Annexe
au
procès-verbal
de
la
séance
du
17
mai
1989
AVIS
PRÉSENTÉ
au
nom
de
la
commission
des
Finances
,
du
contrôle
budgétaire
et
des
comptes
économiques
de
la
Nation
(
1
)
sur
le
projet
de
loi
approuvant
le
Xème
Plan
(
1989-1992
)
,
CONSIDÉRÉ
COMME
ADOPTÉ
PAR
L'
ASSEMBLÉE
NATIONALE
AUX
TERMES
DE
L'
ARTICLE
49
,
ALINÉA
3
DE
LA
CONSTITUTION
,
APRÈS
DÉCLARATION
D'
URGENCE
,
Par
M.
Jacques
OUDIN
,
Sénateur
.
(
1
)
Cette
commission
est
composée
de
:
MM
.
Christian
Poncelet
,
président
-,
Geoffroy
de
Montalembert
,
vice
i
président
d'
honneur
;
Jean
Cluzel
,
Jacques
Descours
Desacres
,
Tony
Larue
,
Joseph
Raybaud
,
vice-présidents
;
MM
.
Emmanuel
Hamel
,
Jean-François
Pintat
,
Louis
Perrein
,
Robert
Vizet
,
secrétaires
;
M.
Maurice
Blin
,
rapporteur
général
-
MM
.
René
Ballayer
,
Stephane
Bonduel
,
Raymond
Bourgine
,
Ernest
Cartigny
,
Roger
Chinaud
,
Jean
Clouet
,
Maurice
Couve
de
Murville
,
Pierre
Croze
,
Gérard
Delfau
,
Jacques
Delong
,
Marcel
Portier
,
André
Fosset
,
Mme
Paulette
Fost
,
MM
.
Jean
Francou
,
Henri
Goetschy
,
Georges
Lombard
,
Paul
Loridant
,
Roland
du
Luart
,
Michel
Manet
,
Jean-Pierre
Masseret
,
Josy
Moinet
,
René
Monory
,
Lucien
Neuwirth
,
Jacques
Oudin
,
Bernard
Pellarin
,
Mlle
Irma
Rapuzzi
,
MM
.
René
Regnault
Henri
Torre
,
André-Georges
Voisin
.
Voir
les
numéros
:
Assemblée
nationale
(9
U
législ
.)
:
545
,
621
,
625
,
626
,
640
et
T.A.
87
.
Sénat
:
279
(
rectifie
),
290
,
294
et
309
(
1988
-
1989
).
Plan
.
-
1
-
Sénat
311
.
1
.
SOMMAIRE
Pages
AVANT-PROPOS
7
PREMIÈRE
PARTIE
:
LA
STRATÉGIE
DU
PLAN
9
Chapitre
Premier
:
un
plan
mouvant
11
I
-
Une
nouvelle
conception
du
Plan
11
A
-
Un
plan
stratégique
:
mais
quel
type
de
stratégie
?
11
B
-
Un
plan
permanent
12
C
-
Du
plan
de
la
Nation
au
plan
du
gouvernement
13
II
-
L'
absence
de
quantification
14
A
-
Une
planification
stratégique
sans
repères
suffisamment
chiffrés
14
B
-
Des
outils
macro-économiques
dont
la
modernisation
est
indispensable
16
Chapitre
11
:
L'
emploi
:
un
objectif
national
mais
des
incertitudes
manifestes
19
I
-
La
contrainte
et
l'
atout
démographique
de
la
France
19
II
-
Une
situation
de
l'
emploi
préoccupante
mais
en
voie
d'
amélioration
«
. . .
21
m
-
Quelle
stratégie
de
reconquête
de
l'
emploi
?
25
A
-
La
répartition
des
revenus
25
1
.
des
gains
de
pouvoir
d'
achat
réels
mais
nécessairement
modérés
26
2
.
de
nombreuses
incertitudes
sociales
dans
le
domaine
de
l'
emploi
rendent
difficilement
crédible
l'
objectif
ainsi
fixé
par
le
Plan
27
3
.
vers
une
politique
plus
active
de
participation
et
d'
intéressement
des
salariés
29
B
-
Le
rythme
et
le
contenu
en
emplois
de
la
croissance
doivent
augmenter
30
1
.
les
projections
macro-économiques
associées
à
la
préparation
du
plan
sont
peu
optimistes
30
2
.
les
scénarios
pour
l'
économie
française
à
l'
horizon
1994
réalisés
par
la
cellule
économique
du
Sénat
confirment
cette
tendance
31
-2
-
Chapitre
111
:
Un
plan
qui
fait
une
place
insuffisante
à
l'
entreprise
35
I
-
Une
place
insuffisante
à
l'
investissement
35'
A
-
La
situation
des
entreprises
s'
est
améliorée
35
B
-
Mais
la
croissance
des
investissements
productifs
demande
à
être
poursuivie
37
1
.
une
réelle
croissance
des
investissements
productifs
37
2
.
un
retard
cumulé
considérable
de
nos
investissements
productifs
en
France
38
3
.
...
et
à
l'
étranger
39
IL
-
Le
Plan
ne
contient
pas
un
véritable
projet
industriel
43
Chapitre
IV
:
Un
plan
infléchi
par
l'
idéologie
:
une
focalisation
inopportune
sur
l'
économie
mixte
46
I
-
Une
définition
économique
vague
47
II
-
L'
économie
mixte
définie
par
son
contenu
47
III
-
Trois
justifications
pseudo-économiques
de
l'
économie
mixte
48
1
.
"
La
fragilité
de
l'
actionnariat
privé
"
48
2
.
"
Le
risque
de
déstabilisation
de
l'
actionnariat
par
l'
étranger
"
51
3
.
"
La
défaillance
de
l'
initiative
privée
"
52
IV
-
Le
vrai
problème
du
financement
des
entreprises
publiques
53
V
-
L'
économie
mixte
:
un
vrai
problème
économique
,
un
vrai
problème
politique
55
1
.
Une
situation
paradoxale
:
le
fonctionnement
en
économie
concurrentielle
55
2
.
Un
vrai
débat
politique
55
VI
-
La
nécessité
d'
un
code
de
bonne
conduite
pour
l'
Etat
dans
les
rapports
entre
le
secteur
concurrentiel
public
et
le
secteur
privé
57
DEUXIEME
PARTIE
:
PLAN
ET
FINANCES
PUBLIQUES
59
Chapitre
Premier
:
Plan
et
budget
61
I
-
La
faiblesse
des
engagements
budgétaires
61
A
-
Le
choix
critiquable
de
l'
absence
de
données
budgétaires
chiffrées
63
1
.
l'
argument
de
la
fragilité
des
objectifs
chiffrés
n'
est
pas
convaincant
63
-3
-
2
.
les
exemples
étrangers
attestent
de
l'
intérêt
des
perspectives
budgétaires
à
moyen
terme
64
3
.
des
prises
de
position
très
"
évolutives
"
65
B
-
Les
engagements
chiffrés
66
1
.
les
engagements
en
valeur
66
2
.
les
engagements
en
taux
69
C
-
Les
objectifs
non
chiffrés
74
1
.
la
réduction
du
déficit
budgétaire
74
2
.
la
maîtrise
globale
de
la
dépense
publique
77
II
-
L'
incertaine
cohérence
des
objectifs
budgétaires
80
A
-
Le
respect
incertain
des
engagements
antérieurs
80
1
.
l'
abandon
de
la
programmation
budgétaire
est
désormais
acquis
80
2
.
le
respect
des
lois
de
programmation
est
particulièrement
douteux
81
B
-
La
maîtrise
globale
de
la
dépense
publique
:
une
volonté
louable
qui
semble
dépasser
les
possibilités
effectives
de
l'
Etat
84
1
.
le
dérapage
de
1989
84
2
.
même
peu
nombreux
,
les
objectifs
touchant
aux
finances
publiques
paraissent
difficilement
compatibles
85
3
.
l'
objectif
de
la
"
maîtrise
globale
de
la
dépense
publique
"
engage
d'
autres
acteurs
que
l'
Etat
86
Chapitre
II
:
Plan
et
fiscalité
88
I
-
L'
abandon
explicite
de
la
baisse
des
prélèvements
obligatoires
88
A
-
Un
engagement
politique
constant
88
B
-
Manifestement
impossible
à
respecter
90
C
-
Mais
dont
la
poursuite
est
nécessaire
92
II
-
La
nécessaire
réforme
de
la
fiscalité
française
93
ni
-
La
fiscalité
de
l'
épargne
96
A
-
La
directive
communautaire
97
B
-
Les
propositions
de
la
Commission
pour
harmoniser
les
fiscalités
de
l'
épargne
97
C
-
Libération
des
mouvements
de
capitaux
et
harmonisation
fiscale
98
D
-
Des
disparités
considérables
98
E
-
Les
risques
de
délocalisation
100
-4
-
F
-
Harmonisation
fiscale
et
front
du
refus
101
G
-
La
position
française
loi
ni
-
La
fiscalité
de
l'
entreprise
:
un
oubli
regrettable
du
Plan
.
.
103
A
-
La
suppression
idéologique
de
la
référence
à
la
baisse
de
l'
impôt
sur
les
sociétés
1
03
B
-
La
nécessité
de
rapprocher
les
prélèvements
obligatoires
français
sur
ceux
de
nos
partenaires
105
C
-
Favoriser
les
rapprochements
d'
entreprises
1
07
IV
-
La
problématique
de
l'
harmonisation
de
la
TVA
1
08
A
-
Les
propositions
de
la
Commission
de
Bruxelles
ont
été
vivement
critiquées
109
B
-
La
position
française
111
C
-
Le
coût
des
mesures
envisagées
,
bien
que
dépendant
de
la
politique
adoptée
,
est
considérable
1
1
1
D
-
Les
mesures
immédiates
du
budget
1990
1
1
3
V
-
Les
contradictions
du
Plan
en
matière
de
prélèvements
sur
les
revenus
1
13
A
-
Le
problème
du
bouclage
des
finances
publiques
1
1
3
B
-
Un
impôt
atypique
qu'
il
convient
de
moderniser
1
15
C
-
Une
pression
accrue
mais
indolore
y
116
Chapitre
III
:
Plan
,
collectivités
locales
et
aménagement
du
territoire
117
I
-
Quelle
réforme
pour
les
finances
locales
?
117
A
-
Le
contexte
d'
une
éventuelle
réforme
:
de
l'
augmentation
forte
à
la
stabilisation
des
impôts
locaux
117
B
-
Les
voies
d'
une
éventuelle
réforme
120
II
-
La
clarification
des
compétences
1
25
A
-
L'
ajustement
de
la
répartition
des
compétences
entre
les
différents
niveaux
des
collectivités
locales
1
25
B
-
Les
transferts
de
charges
implicites
de
l'
Etat
aux
collectivités
locales
:
une
partie
critiquable
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