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Éditions H&K Publié dans les Annales des Concours 4/17
car Best orthonormale. Par ailleurs, (tA A)i,j =
n
P
k=1
ak,iak,j donc
G(x1, x2,...,xn) = tA A
De plus, d’après le résultat de la question 1.b, rg (A) = rg ( tA A). Par conséquent,
rg G(x1, x2,...,xp)= rg (x1, x2,...,xp)
3.a Comme n=p, la matrice Adéfinie à la question 2 est telle que
Aest inversible ⇐⇒ rg (A) = p=n
⇐⇒ la famille (x1, x2,...,xn)est libre
D’après le résultat de la question 2,
rg (A) = rg G(x1, x2,...,xn)
On en déduit que
Aest inversible ⇐⇒ G(x1, x2,...,xn)est inversible
⇐⇒ Γ(x1, x2,...,xn)6= 0
Et au final,
La famille (x1, x2,...,xn)est liée si et seulement si Γ(x1, x2,...,xn) = 0.
3.b On a démontré à la question 2 que G(x1, x2,...,xn) = tA A. Par conséquent,
Γ(x1, x2,...,xn) = det( tA A)
= det( tA) det(A)
= det(A)2
Et donc Γ(x1, x2,...,xn)>0
Or on vient de montrer que la famille (x1, x2,...,xn)est liée si et seulement si
Γ(x1, x2,...,xn) = 0. On en déduit donc que
La famille (x1, x2,...,xn)est libre si et seulement si Γ(x1, x2,...,xn)>0.
4Les points A,Bet Cétant sur la sphère unité, on a
k−→
OAk=k−→
OBk=k−→
OCk= 1
Les produits scalaires (−→
OA |−→
OB),(−→
OB |−→
OC) et (−→
OC |−→
OA) sont donc respectivement
égaux aux cosinus des angles α,βet γ. Par conséquent,
G(−→
OA,−→
OB,−→
OC) =
1 cos αcos γ
cos α1 cos β
cos γcos β1
En développant le déterminant Γ(−→
OA,−→
OB,−→
OC) selon la première colonne, on obtient
Γ(−→
OA,−→
OB,−→
OC) =
1 cos β
cos β1
−cos α
cos αcos γ
cos β1
+ cos γ
cos αcos γ
1 cos β
= 1 + 2 cos αcos βcos γ−cos2α−cos2β−cos2γ
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