7. Probabilités • 105
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4 Le nombre de décès dans la première classe d’âge.
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5 La formule à mettre en D115 est « =SOMME(D3:D113)/1000 ». On trouve ainsi 80,2399072.
L’espérance de vie est environ 80,2 ans.
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6 Pour obtenir l’espérance de vie des femmes et des hommes, des « copier/coller/dupliquer » des
formules précédentes conduisent rapidement aux résultats. Attention toutefois, dans la cellule G3
la formule que l’on doit obtenir est « A3*(F2-F3) » et non « D3*(F2-F3) ». De même dans J3 on doit
trouver « A3*(I2-I3) ».
L’espérance de vie trouvée est :
• pour l’ensemble de la population : 80,2
• pour l’ensemble des individus de sexe masculin : 77,1
• pour l’ensemble des individus de sexe féminin : 83,3.
Ce calcul étant réalisé avec des « âges par défaut », on peut ajouter 0,5 aux valeurs trouvées
ci-dessus.
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7 Il suffit de mettre 1000 dans la cellule C62 et d’effacer les contenus des cellules D2 à D62. L’espérance
de vie est 83,7 – 60 = 23,7 ans.
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8 Espérance de vie en 1975 : 72,4 ; en 1985 : 74,9 ; en 1995 : 77,4 ; en 2008 : 80,2.
(72,9 ; 75,4 ; 77,9 ; 80,7 avec la correction de 0,5 ans.)
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9 On met par exemple 510 dans la cellule F2 et 490 dans la cellule I2. C’est à partir de 54 ans que le
nombre d’hommes (469) est inférieur au nombre de femmes (470).
Algorithmique 1 Un jeu équitable ?
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1 a. Le lancer d’une pièce de monnaie symétrique est modélisé par le tirage d’un nombre au hasard
dans l’ensemble {0 ; 1} : entAléat(0,1). On conviendra que 0 représente le côté « pile », et 1 le côté
« face ».
b. N est le nombre de lancers et I est le rang du tirage.
c. L1(I) est le gain de la partie de rang I.
d. Programmation de l’algorithme sur la calculatrice.
e. Le jeu est équilibré.
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2 a.
PROGRAM : PILEFACE
: Prompt N
: EffListe L1
: For(I,1,N)
: entAléat (0, 1) + entAléat (0, 1) + entAléat (0, 1) -> L1 (I)
: If (L1 (I) = 0)
: Then
: -12 -> L1 (I)
: End
: End
: Disp “MOYENNE”, moyenne (L1)
b. Programmation de l’algorithme sur la calculatrice.
c. Le jeu est équilibré.
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3 a. Le premier modèle conduit à la loi de probabilité suivante :
x– 4 1 2
p(X = x)
E(x) = −
×
×1
. L’espérance mathématique est nulle.