Final
a) Il est possible d’approximer la d´eriv´ee d’une fonction f(x, y) dans la direction
~u = ( 1
√5,2
√5) au point (2,3) par:
f0
~u(2,3) ≈f(1.99,2.98) −f(2,3)
√0.012+ 0.022.
b) |f~u(a, b)|=||∇f(a, b)|| pour toute direction normalis´ee ~u.
c) Lorsque f(x, y) tend vers Lquand (x, y) tend vers (0,0) le long de toutes les
droites passant par (0,0), alors lim
(x,y)→(0,0) f(x, y) = L.
d) L’erreur d’approximation d’une fonction f(x, y) par son d´eveloppement de Tay-
lor d’ordre 2 peut ˆetre sup´erieure `a celle du d´eveloppement d’ordre 1.
e) Il existe une fonction f(x, y) avec des d´eriv´ees continues qui v´erifie f0
x(x, y) = x2y
et f0
y(x, y) = y2x
f) La m´ethode du gradient permet toujours d’atteindre un extremum local.
g) Soit fune fonction de trois variables dont la matrice des d´eriv´ees secondes en
un point critique est
∇2f=
−210
1 1 −1
0−1 1
.
Ce point critique est un maximum local.
h) La d´eriv´ee de fen (x0, y0) dans la direction de ~u est un vecteur.
i) Si k ∇f(x0, y0)k= 99.9, il existe une direction pour laquelle la d´eriv´e direction-
nelle de fen (x0, y0) ´egale 100.
j) Soit Q(x, y) le polynˆome de Taylor de degr´e 2 de f(x, y) autour de (1,1), et
E(x, y) = |f(x, y)−Q(x, y)|son erreur d’approximation. Alors E(1,1) = 0.
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