´
ECOLE DES PONTS PARISTECH
SUPAERO (ISAE), ENSTA PARISTECH,
TELECOM PARISTECH, MINES PARISTECH,
MINES DE SAINT´
ETIENNE, MINES DE NANCY,
T´
EL´
ECOM BRETAGNE, ENSAE PARISTECH (FILI`
ERE MP)
´
ECOLE POLYTECHNIQUE (FILI`
ERE TSI)
CONCOURS D’ADMISSION 2010
SECONDE ´
EPREUVE DE PHYSIQUE
Fili`
ere MP
(Dur´
ee de l’´
epreuve: 3 heures)
L’usage de la calculatrice est autoris´
e
Sujet mis `
a disposition des concours : Cycle international, ENSTIM, TELECOM INT, TPE–EIVP
Les candidats sont pri´
es de mentionner de fac¸on apparente sur la premi`
ere page de la copie :
PHYSIQUE II — MP.
L´
enonc´
e de cette ´
epreuve comporte 6 pages.
Si, au cours de l’´
epreuve, un candidat rep`
ere ce qui lui semble ˆ
etre une erreur d’´
enonc´
e, il est invit´
e`
a le
signaler sur sa copie et `
a poursuivre sa composition en expliquant les raisons des initiatives qu’il aura ´
et´
e
amen´
e`
a prendre.
Il ne faudra pas h´
esiter `
a formuler les commentaires (incluant des consid´
erations num´
eriques) qui vous
sembleront pertinents, mˆ
eme lorsque l’´
enonc´
e ne le demande pas explicitement. La bar`
eme tiendra compte
de ces initiatives ainsi que des qualit´
es de r´
edaction de la copie.
574,8 KILOM`
ETRES PAR HEURE!
Le mardi 3 avril 2007, `
a 13 h 14, la SNCF, associ´
ee `
a R´
eseau Ferr´
e de France ainsi qu’`
a la com-
pagnie ALSTOM portait le record du monde de vitesse sur rail `
a la valeur de 574,8 km.h1au point
kilom´
etrique 194 de la ligne `
a grande vitesse est-europ´
eenne, grˆ
ace `
a la rame TGV Duplex V150 com-
pos´
ee de deux motrices POS encadrant trois remorques. La remorque centrale ´
etait ´
equip´
ee `
a chaque
extr´
emit´
e de deux essieux moteurs AGV. Pour r´
ealiser cet exploit de nombreux param`
etres physiques
et techniques ont ´
et´
e´
etudi´
es et optimis´
es; dans le probl`
eme qui suit nous allons en examiner quelques
uns.
Les caract´
eristiques techniques du TGV, dont toutes ne sont pas utilis´
ees dans le probl`
eme, sont les
suivantes : masse de la rame avec ses passagers MT=270 tonnes ; longueur de la rame, LT=106 m ;
largeur de la rame, T=2,9 m; hauteur de la rame, hT=4,1 m.
Dans tout le probl`
eme, la masse volumique de l’air sera constante et ´
egale `
a
ρ
a=1,3 kg.m3, et
par souci de simplicit´
e, dans les applications num´
eriques, on prendra g=10 m.s2pour la valeur de
l’acc´
el´
eration de la pesanteur terrestre et on n’utilisera que 3 chiffres significatifs.
574,8 kilom`
etres par heure !
I. — Trajet en ligne droite
Lors d’un essai r´
ealis´
e durant la campagne pr´
ealable `
a la tentative de record sur une voie approxima-
tivement rectiligne et plus ou moins horizontale, on a relev´
e les donn´
ees suivantes
t[s]0 70 95 124 155 231 263 332
Vkm.h10 150 200 250 300 350 400 450
1 — Calculer sur chaque intervalle de mesure les valeurs de l’acc´
el´
eration moyenne de la rame, on
exprimera ces valeurs en m.s2dans un tableau r´
ecapitulatif. Estimer la distance parcourue n´
ecessaire
pour atteindre la vitesse de 450 km.h1.
2 — Un journaliste convi´
e`
a cet essai avait apport´
e un petit pendule simple qu’il avait suspendu au
plafond de la voiture. Il comptait, selon ses mots, «
mettre en ´
evidence la grande vitesse du train
».
Quelle a ´
et´
e, en r´
egime permanent, l’inclinaison maximale du pendule par rapport `
a la verticale durant
l’essai?
La rame repose sur les rails par l’interm´
ediaire de seize essieux, dont douze moteurs, compos´
es cha-
cun de deux roues. La force moyenne appliqu´
ee par les rails sur chaque jante des roues motrices est
appel´
ee force de traction `
a la jante.
3 — On suppose que les efforts sont ´
egalement r´
epartis sur chaque roue. Calculer la force de
traction `
a la jante au d´
emarrage. La loi empirique de Curtius et Kniffer (1943) exprime la variation du
coefficient de frottement statique
µ
au contact rouerail (rail sec et propre) en fonction du module V
de la vitesse du train exprim´
ee en km.h1. Elle affirme que
µ
=0,161+7,5/(44+V). Montrer qu’il
n’y avait pas de patinage possible des roues au d´
emarrage de la rame.
Lors du mouvement, un certain nombre de causes de frottements produisent une force r´
esultante
d’intensit´
eR=A+BV +CV2qui s’oppose `
a la vitesse Vdu train. Cette intensit´
eRest appel´
ee
r´
esistance `
a l’avancement. Pour une rame TGV Duplex standard de 2 motrices et 8 remorques, la SNCF
adopte, grˆ
ace `
a des mesures effectu´
ees jusqu’`
a des vitesses de 360 km.h1, les valeurs A=2 700 N,
B=31,8 N.km1.h etC=0,535 N.km2.h2. On fait l’hypoth`
ese que l’on peut conserver ces valeurs
pour des vitesses sup´
erieures.
4 — La puissance totale des moteurs embarqu´
es lors du record ´
etait de 19,6 MW. Cette puissance
est-elle suffisante pour permettre `
a une rame TGV Duplex standard d’atteindre la vitesse du record
pr´
ec´
edent qui ´
etait de 540 km.h1? Pour le record vis´
e, la rame TGV avait ´
et´
e modifi´
ee par rapport
`
a une rame standard et notamment les diam`
etres des roues avaient ´
et´
e agrandis, passant de 920 mm `
a
1 092 mm. Quelle est la raison de cet agrandissement des roues?
5 — Pour la rame V150 du record qui ne comportait que 3 remorques et pour laquelle quelques
modifications d’a´
erodynamisme avaient ´
et´
e apport´
ees, les param`
etres de la r´
esistance `
a l’avancement
sont A=1700 N, B=20,1 N.km1.h et C=0,37 N.km2.h2. Calculer la force de traction `
a la jante
lors de l’essai du tableau de la question 1 `
a la vitesse de 450 km.h1. Existe-t-il un risque de patinage?
6 — Montrer que le record n’est possible que dans une zone de descente. Estimez la pente de
celle-ci.
Lors d’un essai dans la phase de pr´
eparation un incident a d´
eclench´
e le freinage d’urgence alors que
la rame roulait `
a la vitesse Vo=506 km.h1et la rame s’est immobilis´
ee au bout de 15 km.
7 — Quelle ´
etait l’´
energie cin´
etique de la rame au moment du d´
eclenchement du freinage. Calculer
la d´
ec´
el´
eration moyenne durant le freinage et la dur´
ee de ce freinage.
Page 2/6
Physique II, ann´
ee 2010 — fili`
ere MP
8 — Le protocole de freinage habituel comporte plusieurs phases. Dans la premi`
ere on ouvre
le disjoncteur, les moteurs sont alors en circuit ouvert, c’est la «marche sur l’erre ». Calculer la
d´
ec´
el´
eration aux alentours de 500 km.h1pour la rame V150. On note x(t)la distance parcourue
depuis l’ouverture du disjoncteur `
a l’instant t=0. En ne consid´
erant que le terme en V2dans la
r´
esistance `
a l’avancement et un parcours en terrain horizontal, exprimer x(t)en fonction de t, de la
vitesse initiale Vode la rame et de la dur´
ee
τ
=MT/(CVo)dont on pr´
ecisera la valeur num´
erique en
secondes. On marche sur l’erre pour abaisser la vitesse `
a 400 km.h1. Quelle est la distance parcourue
pendant cette marche?
9 — Dans une seconde phase, le fonctionnement de certains moteurs est invers´
e, chacun des quatre
moteurs POS devient une dynamo connect´
ee `
a une r´
esistance RM=0,97 refroidie par un d´
ebit d’air
important. Ce d´
ebit est adapt´
e`
a la puissance de 900 kW d´
egag´
ee par effet Joule dans la r´
esistance.
Quelle est la d´
ec´
el´
eration dans cette deuxi`
eme phase, autour de 400 km.h1?
La fin du freinage ´
etait assur´
ee par de classiques disques de frein sur les essieux non moteurs qui ont
´
et´
e port´
es `
a plus de 800C sans d´
eformation ni usure anormale!
FIN DE LA PARTIE I
II. — Comportement en virage
Sur le tronc¸on de la voie d’essai, il y avait quelques virages. Dans la suite nous prendrons comme
exemple le virage situ´
e entre les points kilom´
etriques 190 et 197 de la voie, de longueur d’arc
s=6 323 m et de rayon de courbure
χ
=16 667 m tournant `
a gauche. Ce virage est parcouru `
a
la vitesse constante de 540 km.h1. Les faces internes des rails sont distantes de r=1 435 mm. Les
centres de gravit´
e des remorques sont approximativement situ´
es `
a une hauteur h=2,5 m du rail.
On consid`
ere dans un premier temps le cas hypoth´
etique d’une voie sans d´
evers, c’est-`
a-dire que les
deux rails sont dans le mˆ
eme plan horizontal.
10 — La transition entre la voie rectiligne et la voie en virage se fait par l’interm´
ediaire d’un
tronc¸on de raccordement parabolique de longueur 130 m. Quelle est la dur´
ee de cette phase de tran-
sition? Qu’ont ressenti les passagers se tenant debout dans les voitures durant le franchissement du
tronc¸on de transition ? On traduira ces effets de fac¸on quantitative en exprimant les valeurs extrˆ
emes
de la force ressentie par un passager de masse mp=75 kg se tenant au centre du train.
11 — On d´
efinit la secousse (traduction du terme anglo-saxon «jerk ») comme la d´
eriv´
ee du
vecteur acc´
el´
eration par rapport au temps. Les normes habituelles des transports en commun limitent
l’intensit´
e des secousses acceptables `
a la valeur de 2 m.s3pour le confort des passagers. La secousse
engendr´
ee par ce virage respecte-t-elle la norme de confort?
12 — Un verre d’eau pos´
e sur la tablette devant un passager mettrait en ´
evidence la force d’inertie
pr´
esente dans le virage de deux mani`
eres diff´
erentes. Lesquelles?
13 — `
A quelle vitesse maximale th´
eorique le train peut-il parcourir le virage sans risque de
d´
ecollement des roues?
En fait le virage est relev´
e progressivement durant le tronc¸on parabolique de raccordement. En sortie
de ce dernier, le rail ext´
erieur est sur´
elev´
e d’une hauteur
δ
=130 mm par rapport au rail int´
erieur. Ce
d´
ecalage persiste durant toute la phase `
a courbure constante, enfin, un tronc¸on parabolique de sortie
de virage permet de redescendre le rail ext´
erieur `
a son niveau initial d`
es le virage termin´
e.
14 — Quelles sont les am´
eliorations apport´
ees par le d´
evers par rapport `
a la situation de la question
pr´
ec´
edente? D´
eterminer, dans le r´
ef´
erentiel de la rame, la norme aede l’acc´
el´
eration centrifuge subie
par le passager. Quelle est l’indication du pendule du journaliste dont il est question dans la premi`
ere
partie durant le passage du virage?
FIN DE LA PARTIE II
Page 3/6 Tournez la page S.V.P.
574,8 kilom`
etres par heure !
III. — Alimentation ´
electrique
La puissance ´
electrique est fournie au TGV `
a partir de sous stations ´
electriques SSi=1,...,nque l’on
assimilera `
a des g´
en´
erateurs id´
eaux de tension nominale E=25 kV et de fr´
equence
ν
=50 Hz. Ces
sous stations sont implant´
ees le long de la voie et espac´
ees d’une distance d=60 km. Elles sont reli´
ees
par un fil conducteur, la cat´
enaire, suspendu au dessus des rails. La motrice TGV rec¸oit l’alimentation
de la cat´
enaire par un contact glissant appel´
e pantographe situ´
e sur son toit. Tous les moteurs de la
motrice sont mont´
es en parall`
ele entre le pantographe et les rails qui servent de liaison masse `
a la
Terre. On peut sch´
ematiser le circuit d’alimentation sur la figure 1.
Lors du record, la puissance des moteurs
´
etait augment´
ee par rapport aux moteurs
de s´
erie et la tension d’alimentation en
sortie des sous stations avait ´
et´
e mont´
ee
exceptionnellement `
a 31,2 kV sur le sec-
teur du record `
a la place des 25 kV no-
minaux. Au moment du record la puis-
sance ´
electrique consomm´
ee «au panto-
graphe »´
etait de 24 MW et l’intensit´
e a
´
et´
e mesur´
ee `
a 800 A. FIG. 1 – Sch´
ema d’alimentation du TGV
Pour notre ´
etude nous nous plac¸ons dans les conditions suivantes : le fil de la cat´
enaire de section
s=1,47 cm2est en cuivre de r´
esistivit´
e
ρ
=1,72×108.m. La tension des sous-stations ´
etant
nominale, on suppose que l’intensit´
e du courant circulant dans les moteurs est de 600 A. Le rail
rectiligne est confondu avec l’axe Ox dont l’origine est plac´
ee `
a la derni`
ere sous-station ´
electrique
atteinte par le TGV. La variable xest donc d´
efinie modulo d.
15 — Calculer la r´
esistance Rtotale de la cat´
enaire entre deux sous stations, puis la r´
esistance
lin´
eique
λ
en .km1. Peut-on n´
egliger les diff´
erences de phases entre les divers points de la ligne
entre deux sous stations, quel nom donne-t-on `
a cette approximation?
16 — D´
eterminer l’amplitude des intensit´
es I1(x)et I2(x)d´
elivr´
ees par les sous stations encadrant
le TGV situ´
e en xainsi que l’amplitude U(x)de la tension effectivement disponible aux bornes de la
motrice situ´
ee en x. Exprimer alors la puissance Pdissip´
ee par effet Joule dans la cat´
enaire.
17 — Localiser la position xmde la motrice qui correspond `
a un minimum de la tension d’alimenta-
tion des moteurs. Exprimer alors cette tension minimale en fonction de E,Ret I=I1+I2. D´
eterminer
la valeur maximale Pmde la puissance dissip´
ee en fonction de Ret I. Commenter ces r´
esultats ainsi
que les diverses applications num´
eriques aff´
erentes.
Le dispositif r´
eel d’alimentation dispose
en fait d’un second fil (appel´
e«feeder »)
identique `
a la cat´
enaire d´
eploy´
e entre les
deux sous stations voisines; au milieu
du parcours un contact est ´
etabli avec
le fil de la cat´
enaire, aboutissant `
a la
sch´
ematisation de la figure 2. On montre
que la tensionUf(x)aux bornes de la mo-
trice s’´
ecrit maintenant FIG. 2 – Alimentation avec feeder
Uf(x) = E
λ
x(2d3x)
2dIpour 0 xd
2
Page 4/6
Physique II, ann´
ee 2010 — fili`
ere MP
18 — Calculer la tension Ufaux bornes de la motrice en x=d/2, ainsi que sa valeur minimale.
Repr´
esenter sur un mˆ
eme graphique les fonctionsUetUfpour x[0,d]. Commenter le rˆ
ole du feeder.
FIN DE LA PARTIE III
IV. — Instrumentation lors des essais
Pour veiller `
a la s´
ecurit´
e et tirer des enseignements sur le comportement du mat´
eriel dans ces condi-
tions extrˆ
emes de vitesse, de nombreux capteurs (plus de 350, enregistrant plus de 500 param`
etres!)
´
etaient dispos´
es en divers endroits de la rame d’essai. Les informations de ces capteurs, dirig´
ees vers
la voiture R8 transform´
ee en laboratoire scientifique, ´
etaient analys´
es par une ´
equipe compos´
ee d’une
quarantaine de techniciens et ing´
enieurs.
Pour d´
etecter par exemple d’´
eventuelles vibrations ou instabilit´
es significatives d’une entr´
ee en r´
eso-
nance, il est n´
ecessaire d’´
etudier le mouvement de diverses parties mobiles au cours de l’essai. On
prendra comme exemple le mouvement de l’une des roues de la rame, l’´
etude consistera `
a relever en
continu l’acc´
el´
eration d’un point `
a la p´
eriph´
erie du disque constituant cette roue.
On pr´
esente ici un mod`
ele d’acc´
el´
erom`
etre ca-
pacitif 1D de la famille des MEMS (Micro Elec-
tro Mechanical Systems) fix´
e sur une puce de
3 mm de cˆ
ot´
es. La dimension typique du cap-
teur lui mˆ
eme est de 400
µ
m. Le reste de la
puce est occup´
e par l’´
electronique associ´
ee. Le
mod`
ele m´
ecanique simplifi´
e de l’acc´
el´
erom`
etre
est repr´
esent´
e sur la figure 3. Une masse m=
3
µ
g, dite masse sismique, assimilable `
a un
point mat´
eriel Aest reli´
ee `
a l’enveloppe du
capteur par des micro poutres ´
elastiques de
coefficient de raideur k=0,17 N.m1. Elles
contraignent le mouvement de Adans une di-
rection fixe Oz par rapport au boˆ
ıtier. FIG. 3 – Sch´
ema de l’acc´
el´
erom`
etre
Un amortissement `
a frottement visqueux proportionnel `
a la vitesse de Apar rapport au boˆ
ıtier et de
coefficient f=6,8
µ
N.m1.s est assur´
e par un gaz comprim´
e dans le boˆ
ıtier ´
etanche. On note zA
la position de Aet zBla position d’un point de r´
ef´
erence du boˆ
ıtier du capteur rigidement fix´
e au
syst`
eme dont on veut mesurer l’acc´
el´
eration. On prendra zA=zBau repos et on notera z=zAzB.
Deux condensateurs plans C1et C2sont form´
es par deux armatures fixes
σ
1et
σ
2li´
ees au boˆ
ıtier et
par l’armature mobile
σ
0li´
ee `
aA. La distance entre les deux armatures fixes sera not´
ee 2e(on prendra
e=50
µ
m pour les applications num´
eriques) et la surface de chacune des armatures est S. Au repos
l’armature
σ
0est `
a´
egale distance de
σ
1et
σ
2. On rappelle que les roues du TGV record ont un rayon
rt=546 mm. La puce est quant `
a elle implant´
ee sur la face int´
erieure d’une roue (suppos´
ee plane
verticale) de l’une des remorques. Elle est fix´
ee `
a une distance rb=540 mm de l’axe de rotation de
la roue, de plus l’axe Oz du boˆ
ıtier du capteur est confondu avec un rayon de la roue.
IV.A. — Analyse m´
ecanique
19 — ´
Etablir l’´
equation diff´
erentielle v´
erifi´
ee par z. On notera aBla composante de l’acc´
el´
eration
du boˆ
ıtier sur Oz, on utilisera les param`
etres
ω
o=qk
m,
ξ
=f
2m
ω
odont on pr´
ecisera les valeurs
num´
eriques et l’on tiendra compte du poids de A.
20 — On consid`
ere un roulement sans glissement de la roue sur un rail horizontal `
a la vitesse
constante de V=540 km.h1. D´
eterminer la composante sur Oz de l’acc´
el´
eration communiqu´
ee au
boitier. On notera aB0cette composante.
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