- 2 - XV.
I. G~n@ralit@s sur les morphismes fflobalement et looalement acycli~ues
Proposition 1.1. Boi~ g : X > Y un morphisme de sch@mas.
Les assertions (i) ~ (iii) suivantes sont @~uivalentes :
(i) Pour chaque Y' -) Y @tale (qu'on peut ~rendre affine
au-dessus d'un ouvert affine de Y) et cha~ue faisceau d'ensembles
F sur Y' , le morphisme canoni~ue F ) g' g,~F est in~ectif
(rest. bijectif).
(ii) Pour cha~ue Y' ) Y @bale (qu'on peut prendre affine
au-dessus d'un ouvert affine de Y) et chaque faisceau d'ensembles
F sur Y' , le morphisme canonique H°(Y',F) ~ H°(X',g'~F)
est injectif (resp. bi~ectif).
(iii) Pour chague Y' ) Y localement ~uasi-fini et cha~ue
faisceau d'ensembles F sur Y' , le morphisme canoni~ue
H°(Y',F) • HO(x',g'*F) est injectif (resp. bijectif).
(ii his) (Si f est quasi-compact et quasi-s@par@). Comme (ii),
mais en prenant F faisceau constant de la forme I¥, , o_~ I est
un ensemble donn@ au pr@alable, avec card I ~ 2
D@!aonstration. L'@quivalence de (i) et (ii) est imm@diate ~ par-
tir des d@finitions, et (iii) ) (±i)---~ (i± bis) sont triviales.
On a (ii bis) - > (ii) , car on peut supposer Y affine, donc X
et Y quasi-compacts et quasi-s@par@s, et on peut alors appliquer
xll 6.5 (i) . Pour f implicatio~ (i)--~ (iii) , notons d'abord
le lemme suivant :
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