ABC de la connaissance de soi

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ABC de la
connaissance de soi
COLLECTION ABC
ABC de l'Astrologie, D. de Caumon-Paoli
ABC de la Cartomancie, G. Sciuto
ABC de la Graphologie, M. Moracchini
ABC de l'Hypnose, E. Barone et J. Mandorla
ABC de l'Astrologie chinoise, D. de Caumon
ABC des Rêves, C. Genest
ABC du Yoga, M.-F. Lemoine
ABC des Tarots, C.H. Silvestre
ABC des Couleurs, D. Béresniak
ABC du Yi-King, B. Ducourant
ABC de la Géomancie, A.-M. Cacciaguerra
ABC de la Morphopsychologie, C. Binet
ABC du Magnétisme, J. Mandorla
ABC des Sciences Occultes, L. Maar et C.H. Silvestre
ABC de la Numérologie, J.-D. Fermier
ABC des Prévisions Astrologiques, D. de Caumon
ABC de la Morphochirologie, M. Bouillon et P. Rouillier
ABC de la Radiesthésie, J.-L. Crozier et J. Mandorla
ABC de la Géobiologie, D. Semelle
ABC des Expressions du Visage, Dr L. Corman
ABC de la Chance, G. Schwinn
ABC de la Symbolique du tarot, C. Silvestre-Haéberlé
ABC des Runes, J.-P. Ronecker
ABC de la Numérologie chinoise, J.-D. Fermier
ABC de l'Astrographologie, S. Chermet-Carroy
ABC de la Médecine chinoise, N. Raphaël
ABC de la Relaxation, J. Choque
ABC de Généalogie, V. Gautier
ABC de Psychologie, C. Morel
ABC des Chakras, D. Lecroq
ABC du Qi Gong, L. Dong
ABC de ïEncromancie, U. Mukanda
ABC de la Magie blanche, P. Guérin
ABC des Coïncidences mystérieuses, J. Moisset
ABC de l'Energie pyramidale, J. Warin
COLLECTION AUTREMENT
La Numérologie Autrement, M.-L. Roth
L'Astrologie Autrement, M. Duquesne
La Couleur Autrement, Brigitte Gautier
La Dynamique Mentale Autrement, M.-L. Roth
La Voyance Autrement, Corinne Morel
Le Magnétisme Autrement, A. Van Eiszner
La Sophrologie Autrement, A. Payen de la Garenderie
La Graphologie Autrement, S. Chermet-Carroy
La Chirologie Autrement, C. Peyron
© 1996, by J. Grancher, Éditeur
ISBN : 2733905309 - ISSN : 0761-019X
Clément Blin
ABC de la
connaissance de soi
Édition augmentée
Éditeur : Michel Grancher
J
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GRANCHER
98, rue de Vaugirard
75006 Paris
VERS UNE CONVERGENCE DES DISCIPLINES
AVANT-PROPOS
« Connais-toi toi-même, et tu
connaîtras l'univers et les dieux. »
Socrate
Découvrir ce qui est « spécial à chacun » disait déjà Aristote... mais rien n'est simple dans la connaissance de cet
être complexe qu'est l'homme. Tout le monde est convaincu de son unité mais aussi de sa multiplicité, si bien qu'une
seule méthode d'approche ne suffit pas à cerner « l'individualité » avec la précision désirée. Test unique, test
inique... Mais aujourd'hui, les disciplines qui permettent
de déceler les traits du caractère sont très nombreuses :
- certaines nous ont montré ce que renferment nos données constitutionnelles, par exemple : la morphopsychologie
du corps, l'étude du visage, particulièrement de l'oreille, les
hémifaces, la main et les empreintes digitales, les groupes
sanguins ;
- certaines nous ont dévoilé le sens de nos manifestations extérieures à savoir : l' étude des gestes et des attitudes, de la mimique, de l'écriture (graphologie) et le test
de l'arbre...
- d'autres nous apprennent à découvrir nos rythmes vitaux, tels l'astrologie et le calcul des biorythmes ;
- les dernières, enfin, nous enseignent à bien préserver
nos équilibres et nous donnent même des conseils de santé
précieux, ce sont : l'iridologie, l'étude du « terrain individuel » et la typologie diététique.
Si quelques-unes de ces disciplines sont couramment
pratiquées, de nombreuses autres sont moins connues et
parfois toutes récentes.
Ce guide pratique vous permettra, au fil des pages, de
vous découvrir vous-même et de découvrir les autres, enrichissant vos connaissances, facilitant vos contacts. L'intérêt que l'on porte à autrui est en effet à la base de la
communication et des sentiments qui, à des degrés divers,
consolident les rapports humains. N'est-ce pas aussi à travers les autres que nous continuons à nous découvrir
nous-mêmes ?
Voici la liste des 18 techniques, dans l'ordre où vous les rencontrerez au fil des pages
1. La morphologie (p. 13)
10. L'écriture (p. 117)
2. L'étude du visage (p. 23)
11. Le test de l'arbre (p. 133)
3. L'étude de l'oreille (p. 43)
12. La caractérologie (p. 145)
4. Les hémifaces (p. 51)
13. L'astrologie (p. 161)
5. L'étude de la main (p. 61)
14. Les biorythmes (p. 211)
6. Les empreintes digitales (p. 75)
15. Le terrain individuel (p. 221)
7. Le groupe sanguin (p. 87)
16. L'étude des ongles (p. 229)
8. Les gestes et attitudes (p. 95)
17. L'iridologie (p. 239)
9. La mimique (p. 107)
18. La typologie diététique (p. 249)
I
« Expliquer /' inconnu p a r le connu,
l'être intérieur p a r son extériorité. »
Léonard de Vinci
Le corps porte l'empreinte des forces intérieures qui
l'animent, aussi depuis toujours les hommes ont-ils cherché
à connaître leurs semblables par la simple observation de
leur physionomie, d'identifier l'être intérieur par son extériorité.
Déjà dans l'Antiquité, Hippocrate de Cos et Galien
avaient défini des types à partir des quatre « humeurs fondamentales » :
- la bile, qui est chaude et sèche ;
- le sang, qui est chaud et humide ;
- la pituite ou lymphe, qui est froid et humide ;
- la bile noire ou atrabile, qui est froide et sèche.
Ces humeurs étaient en analogie étroite avec les quatre
éléments qui régissent la vie : le feu, l'air, l'eau et la terre.
La prédominance de l'une de ces humeurs déterminait un
type morphologique de prédisposition morbide et de comportement ; nous avons ainsi :
- le « bilieux » de complexion musclée, à la peau chaude
et sèche, combatif, lutteur, mais irritable et violent, prédisposé aux fièvres, aux pleurésies, aux maladies hépatiques ;
– le « sanguin » bien étoffé, dilaté, débordant de vitalité, au
visage épanoui, mais sujet aux ennuis d'ordre circulatoire ;
- le « pituitaire », obèse et mou à la peau froide et
humide, au caractère passif présentant des réactions morbides localisées au niveau des appareils digestif et lymphatique ;
- l' « atrabiliaire » long et maigre au teint plombé, à la
peau froide et sèche, au caractère triste et pessimiste, aux
réactions organiques peu toniques et sujet aux atteintes nerveuses.
C'est d'après ce canevas, peu ou prou modifié, que se
pratiqua la médecine jusqu'au XVIII siècle, mais la vérité
de ces types est celle que, loin d'être abandonnés, ces derniers ont fait l'objet d'observations nouvelles et plus précises, tant sur le plan psychologique que sur celui de
l'observation clinique. Depuis le début de ce siècle, le Dr
Carton a montré que ces quatre « tendances vitales » peuvent être révélées non seulement par les formes du corps,
mais par les proportions et le modelé du visage, par un examen approfondi des mains et qu'elles se manifestent également dans le tracé de l'écriture.
Nous avons choisi, en définitive, les types relativement
récents écrits par le Dr Vannier, qui restent dans la tradition
de l'Antiquité.
Le type « Réalisateur » caractérisé par un corps et un
visage aux traits anguleux, a la musculature ferme placée
sur une charpente solide aux épaules larges, ce qui le rend
souvent trapu, voire massif. Le regard est expressif, soutenu, direct, les yeux sont souvent bruns comme l'épiderme
lui-même qui est sec et chaud. La bouche est large et mince,
les lèvres sont serrées. La voix est impérative. La démarche
active est décidée.
Le réalisateur est prédisposé aux crispations et aux affections hépatiques. Le caractère est énergique, souvent abrupt,
coléreux, tenace et courageux. Infatigable, il trouve son
équilibre et s'accomplit dans l'action, au physique comme
au mental.
Le réalisateur entreprend, décide, commande, explore ;
c'est pourquoi on le trouve souvent parmi les chefs, les
entraîneurs d'hommes qui aiment les émotions fortes et se
dépensent avec ardeur. Il est essentiellement volontaire et
« moteur ».
Le type « Mobile » aux formes pleines, arrondies qui restent souples malgré une corpulence qui peut être précoce.
Son visage est ouvert et épanoui ; le sang, richement oxygéné par une respiration simple lui donne un teint coloré,
(les veinules sont apparentes). La peau est chaude et
humide, les yeux sont souvent bleus. La démarche est
rapide, agile.
La vitalité généreuse du mobile lui confère un caractère
jovial, optimiste, spontané, excessif dans ses manifestations. L'intelligence est vive, la parole aisée et fleurie. Il
s'adapte facilement mais est faible de volonté. Très bon
dans l'attaque, il n'aime pas et ne sait pas attendre ; vite
lassé, il recommence facilement. Son activité est toute en
« surface » et il n'a pas la solidité, l'ardeur combative du
« Réalisateur »
Le type Mobile, au caractère juvénile, se dépense,
s'émeut, s'emporte, découvre. Essentiellement affectif, bonvivant. Il est fait pour toutes les activités exigeant de bons
contacts humains, de l'extraversion.
Le type « Penseur » d'une taille qui dépasse souvent la
moyenne est élancé, et de musculature grêle ; il est mince,
voire maigre aux épaules étroites. Son visage, au front large
ou haut, porte un menton rétréci ou pointu, un nez long et
fin, la pomme d'Adam est souvent saillante, et les lèvres
sont minces. Les yeux sont abrités, vifs, petits, très mobiles.
Chez le penseur, les gestes sont rapides, irréguliers, agrémentés parfois de tics nerveux. L'épiderme est sec et frais.
Le caractère impressionnable est peu porté à l'optimisme,
souvent inquiet, indécis, il se replie sur lui-même (introversion) et subit des alternances d'excitation et de dépression
(cyclothymie).
L'activité mentale prédomine, il est intéressé par tout ce
qui touche le domaine des idées et de l'esprit ; vif, délié,
rapide, il fait preuve de compréhension, d'imagination, parfois de créativité. Volontiers analytique, il aime se pencher
sur les détails, se concentrer et acquiert ainsi le goût du travail scrupuleux. Les sentiments sont facilement transposés
dans la sphère mentale et cérébralisés.
Le type « Penseur » est très dépendant de ses facultés
psychiques et, suivant leur degré d'intensité, il sera tendu
vers des buts ou simplement perpétuellement agité.
Lorsqu'il possède une forte énergie psychique, il aime à
méditer, supputer, échafauder des idées, aussi préfère-t-il les
professions où ses qualités de réflexion et d'analyse sont
appréciées (laboratoires, bureaux d'études, etc.).
Le type « Sédentaire » est doté d'un organisme où prédomine le système lymphatique, ce qui provoque assez tôt une
corpulence plus ou moins adipeuse, et de l'enbompoint. Les
chairs molles et blanches sont souvent fines et laissent apparaître le réseau veineux. La lourdeur des membres inférieurs
est caractéristique, la démarche est indolente. Le visage à
contours très arrondis (rond ou ovale) a tendance à s'empâter au niveau du cou. Le regard est clair, évasif, rêveur, la
voix calme est douce.
Les gestes sont lents, gracieux, voire harmonieux. Le
caractère est empreint de douceur placide, assez contemplatif, il n'aime ni le bruit, ni l'agitation, les changements
brusques le perturbent. Très affectif, il est peu démonstratif
et passe pour être flegmatique. La timidité, l'intelligence est
essentiellement sensorielle et la lenteur de l'esprit n'exclut
pas l'adresse manuelle.
Le type « Sédentaire » qui est d'un naturel aimable et
d'une activité tempérée mais patiente s'adapte à toutes les
professions n'exigeant pas un rythme trop rapide, des
dépenses d'énergie ou une tension d'esprit trop fortes.
Les tableaux (figures 1 et 2) énumèrent sous forme de
mots-clé la plupart des traits de caractère de ces quatre
constitutions, qui sont, en fait, psychosomatiques
C'est pourquoi, dans les tableaux qui vont suivre, nous
mentionnerons pour chacun des types principaux, non seulement les caractéristiques générales mais les traits essentiels que l'on retrouve au niveau du visage, de la main ou
de l'écriture qui, elle, est dictée, par le psychisme supérieur.
Etant donné la complexité de l'être humain, il ne peut
s'agir de types « purs » mais de types « prédominants » et
il reste évident qu'entre ceux-ci se profilent des formes de
transition, qui représentent la gamme des types intermédiaires.
1. Au chapitre des empreintes digitales, et en particulier dans l'étude du pouce,
ces quatre types feront l'objet d'un développement plus détaillé en ce qui concerne
les activités d'ordre intellectuel.
Fig. 1
Fig. 2
« La forme est la trace du mouvement. »
Dr Marcel Viard
La diversité des visages est à l'image de la diversité des
êtres ; cette infinie variété dépend à son tour de l'assemblage complexe de différents facteurs constitutifs ou évolutifs :
– le bâti osseux qui représente la constitution profonde,
les caractères innés, c'est-à-dire l'aspect stable, permanent
de la personne physique ;
- le revêtement tissulaire (muscles, tissu conjonctif et
adipeux, peau) qui est en rapport avec les états modifiables,
les caractères acquis et les réactions plus ou moins persistantes de l'individu à l'égard du milieu.
Par ailleurs, la qualité du teint révèle l'état physiologique
et tempéramental, l'émotivité. Les yeux, le regard et la
mimique traduisent l'état neuro-psychique et nos réactions
immédiates vis-à-vis du milieu ainsi que nous le découvrirons. En termes un peu savants, l'étude du visage s'appelle
la physiognomonie.
Comme l'a énoncé Louis Corman, la forme physique de
l'être humain est déterminée non seulement par sa constitution et son tempérament, mais encore par la réaction de ce
dernier vis-à-vis du milieu dans lequel et sur lequel il
s'exerce. Outre la structure et les proportions du bâti
osseux, ce sont donc les tissus et leur « modelé » qui seront
riches de signification sur le plan physiologique et sur le
plan psychologique.
Physiologiquement, la consistance et la coloration des
chairs caractérisent les tempéraments dont il a déjà été question. Chez le « lymphatique » les tissus adipeux et pâles
sont en général dominants. Chez le « sanguin », bien en
chair, les tissus sont souples, convenablement irrigués, donc
de coloration rosée ; chez le « bilieux » ils sont fermes,
musclés et chez le « nerveux » moins étoffés.
Aux forces intérieures s'opposent à tout instant des
forces extérieures. La lutte contre le milieu ambiant avec
ses conséquences les plus diverses est intimement liée au
principe de dilatation-rétraction. En milieu favorable,
propre à une adaptation facile, la forme humaine s'épanouit, se dilate, tandis qu'en milieu difficile voire nocif,
où l'adaptation se fait mal, elle se rétracte et se recroqueville.
Mais comme le fait remarquer R. Denis, cette dilatationrétraction ne se manifeste pas de la même façon à tous les
niveaux. Elle est pratiquement inexistante dans la partie
cérébrale, puisqu'on ne trouve sur le front qu'une couche
tissulaire très mince, faite de peau et de muscles peauciers
très fins. En revanche, ce phénomène sera le plus visible au
niveau des joues.
Si les joues sont arrondies et pleines, il y a symbiose avec
le milieu extérieur, avec lequel les échanges sont aisés. Les
joues plates, mais plus ou moins musclées, indiquent une
résistance plus ou moins active au milieu. Les joues creuses,
une résistance passive et même une opposition au milieu.
Les joues molles appartiennent souvent aux êtres influençables, et les joues adipeuses (formant des bajoues) témoignent d'une certaine acceptation, d'une soumission au
milieu.
La forme et ses composants à la fois structurels, plastiques et mobiles, nous éclairent sur nos états statiques et
dynamiques et traduisent finalement « l'inné » mais aussi
« l'acquis » du caractère. En effet, celui-ci s'est progressivement modelé au contact du monde extérieur, à travers les
réactions de notre sphère émotive qui ont affirmé puis transformé nos expressions.
On peut dire que le visage « emmagasine » le vécu, ce
processus cumulatif se traduisant par les multiples traits qui
s'accusent en fonction de la répétition et de l'intensité des
émotions, des efforts, de la souffrance, en un mot des tensions intérieures qui se créent lorsqu'il nous faut lutter
contre les difficultés, les contrariétés et qu'il nous faut les
surmonter. Il a été démontré que les émotions ont, pour la
plupart et suivant leur nature, leur propre zone d'action sur
le visage. Ces localisations modifient la forme de la zone,
la font évoluer et se déformer si bien que le visage se
modèle et se burine de plus en plus avec l'âge. Il accompagne l'être « trait pour trait » dans son évolution et l'on
pourrait ajouter que « les rides sont des cicatrices, la
marque des souvenirs que l'homme ne peut oublier... ».
Pour l'interprétation des formes, il faut savoir que les
contours anguleux correspondent au principe de virilité,
d'affirmation de soi, d'énergie active, alors que les lignes
courbes indiquent la réceptivité, la féminité.
Les volumes importants témoignent d'une certaine inertie qui entraîne la lenteur des réactions, la pondération et les
volumes réduits traduisent la vivacité, la rapidité des réactions. Des volumes bien proportionnés et bien répartis
expriment l'équilibre et l'harmonie.
D'autre part, l'allongement des formes est lié à « l'affinement » d'une prédisposition du caractère, leur largeur à
son amplitude, leur épaisseur à sa densité et leur consistance
à son intensité. Tout excès ou insuffisance peut engendrer
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