La publicité automobile

publicité
LE MAGAZINE
AMVOQ
ASSOCIATION DES MARCHANDS
DE VÉHICULES D’OCCASION
DU QUÉBEC
ÉTÉ 2007
VOLUME 17, NUMÉRO 2
DOSSIER
Envoi de Poste-Publications / Numéro de convention 41167017
La publicité automobile
CONSEIL D’ADMINISTRATION
DE L’AMVOQ
M. Michel Noël, président
Garage Michel Noël enr., 180, de l’Anse
Beaumont, Bellechasse QC G0R 1C0
Tél. : (418) 837-2244 / Cell. : (418) 563-9697
M. Gilles Deschenaux, vice-président
SOMMAIRE
ÉTÉ 2007
VOLUME 17, NUMÉRO 2
GilJean Deschenaux inc., 6170, Vézina
Saint-Émile QC G3E 1P3
Tél. : (418) 843-6013 / Cell. : (418) 564-1821
M. Claude Malo, secrétaire
Automobiles Claude Malo inc., 914, route 343
Saint-Ambroise de Kildare QC J0K 1C0
Tél. : (450) 759-4619 / Cell. : (450) 758-0617
M. Roger Hébert, trésorier
Hébert et Vachon Automobiles inc., 9205, boul. Lacroix
Saint-Georges QC G5Y 2B6
Tél. : (418) 227-0533 / Cell. : (418) 226-6077 / Fax : (418) 227-0538
4
Commentaire du président
DOSSIERS PRIORITAIRES
6
Commentaire
LA PUBLICITÉ AUTOMOBILE
M. André Hébert, directeur
Saulnier Automobiles inc., 410, Dubois
Saint-Eustache QC J7P 4W9
Tél. : (450) 623-7446 / Cell. : (514) 953-8670 / Fax : (450) 623-0580
M. Denis Forest, directeur
Libre Entretien Denis inc., 3623, Mont-Royal
Saint-Hubert (région de Montréal) QC J4T 2G9
Tél. : (450) 678-4820 / Cell. : (514) 953-2499
M. Daniel Gervais, directeur
10
Gervais auto inc., 300, 108e avenue
Saint-Georges-de-Champlain QC G9T 3M7
Tél. : (819) 538-3375 / Cell. : (819) 538-5355
LA PUBLICITÉ
Publié avec l'autorisation de « Protégez-vous »
M. Christian Simard, directeur
Gestion Christian Simard, 1129, boul. Saint-Paul
Saguenay QC G7J 3Y2
Tél. : (418) 591-3298 / Cell. : (418) 591-3298
13
NOUVEAU PARTENAIRE DE L’AMVOQ
Auto Lavalloise ltée, 5045, boul. des Laurentides
Laval QC H7K 2J7
Tél. : (450) 625-4775 / Cell. : (514) 916-4775
14
DES ÉLÉMENTS DE DISTINCTION ET DE SATISFACTION
La revue AMVOQ est publiée par l’Association des
marchands de véhicules d’occasion du Québec (AMVOQ).
17
EN VITESSE
20
CONGRÈS 2007
22
ACHAT DE VÉHICULES À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC
27
IL Y A UNE « BALANCE DE FINANCEMENT » ET VOUS REFINANCEZ
M. Rhéal Sicard, directeur
Elle est distribuée aux membres de l’AMVOQ ainsi qu’à
certains organismes du domaine de l’automobile
et aux encans.
Direction de la publication
Me Richard Cliche
Directeur général et conseiller juridique
Publicité et développement
Yves Lapierre
Assistant à la rédaction
Me Jean-François Cavanagh
Conception graphique
Steve Harrison
UN VÉHICULE ! MAIS DE QUELLE FAÇON ?
Photo de la page couverture
©iStockphoto.com/Torsten Lorenz
Impression
Offset Beauce
29
PRUDENCE
30
GARANTIES SUPPLÉMENTAIRES
33
AUTO PRÉVENTION
35
POUR MIEUX VOUS SERVIR
Dépôt légal
Bibliothèque nationale du Québec
Envoi de publication canadienne
Convention no 40051661
Pour vos placements publicitaires, contactez l'AMVOQ afin de connaître les
formats et spécifications de publication.
5600, boulevard des Galeries, bureau 220
Québec (Québec) G2K 2H6
Téléphone : (418) 627-2164 / Sans frais : 1 800 569-7007
Télécopieur : (418) 627-0349
www.amvoq.ca / [email protected]
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
3
Commentaire
du président
Michel
Noël
DOSSIERS
PRIORITAIRES
F&I
La vente des produits d’assurance vie et
invalidité et de garantie est devenue
une composante importante du commerce de la vente automobile et il est
essentiel que vous soyez bien protégés.
La seule façon est que vous vendiez des
produits assurés distribués par des
compagnies qui ont de bonnes assises
financières, en somme que vous fassiez
affaire avec les meilleurs. Votre association vient de conclure des ententes
avec deux des compagnies majeures au
Québec : ACCÈS, division de VAG,
et Groupe PPP. Ces deux entreprises
vous offrent des services et des outils
de très grande qualité. Ces deux
partenaires s’ajoutent à Garantie
Nationale, qui est avec l’AMVOQ
depuis les tous débuts, et ERM,
partenaire depuis deux ans. Pour votre
association, ça boucle la boucle dans ce
secteur d’activité ; il n’y aura aucun
autre partenariat.
4 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
©iStockphoto.com/Steve Ridges
Publicité Véhicules neufs
Publicité Véhicule d’occasion
Ce dossier aura pris passablement
de temps à se concrétiser. Bien qu’un
consensus se soit fait en décembre
2005, ce n’est que le 11 janvier 2007
que les nouvelles règles sur la publicité
et les pratiques de commerce sont
entrées en vigueur. On peut dire que
la mise en place a été un succès.
Actuellement, selon une vérification
faite par l’APA en avril, 97 % des
publicités consultées étaient conformes
pour la région de Montréal et 91 %
pour celle de Québec, ce qui est assez
exceptionnel si on considère qu’à la
mi-février à Québec 90 % des publicités étaient non conformes alors qu’à
Montréal plus de 20 % ne l’étaient
pas. Il ya encore quelques récalcitrants,
mais j’espère qu’ils vont comprendre
avant que nous ne prenions des
sanctions.
C’est un dossier très sensible qui nous
préoccupe beaucoup, compte tenu des
prix dérisoires affichés pour la vente
ou la location de véhicules neufs.
La publicité des manufacturiers d’automobiles est axée essentiellement sur la
promotion du prix le plus bas et non
pas sur la vente d’automobiles alors
qu’on devrait inciter les consommateurs
à faire un choix entre des marques de
véhicules et non pas entre des paiements.
Comment un véhicule neuf peut-il être
moins cher qu’un véhicule d’occasion
identique ?
Il fallait procéder par étapes pour faire
la preuve que des règles voulues par
l’industrie et les associations de
consommateurs pouvaient être applicables
et donner satisfaction à tous. Il était
plus simple de commencer par le
domaine du véhicule d’occasion. Cette
première étape étant franchie, la
deuxième est maintenant enclenchée
et nous fournirons tous les efforts et
toute la collaboration requise pour que
ce dossier progresse rapidement en
espérant que, d’ici l’automne, les
grands axes de l’encadrement éventuel
de la publicité des automobiles neuves
seront définies.
Dans les pages qui suivent, Me Richard
Cliche, directeur général de l’association,
vous expose plus en détail la position
que nous entendons tenir au comité de
travail qui sera formé et auquel nous
avons l’intention de participer.
Licence de
commerçant et taxes
à la consommation
Tous ceux qui vivent totalement ou
partiellement du commerce de l’automobile devraient être régis par les mêmes
règles et tenus aux mêmes obligations :
tous devraient détenir une licence de
commerçant qui implique un cautionnement et aussi percevoir les taxes à la
consommation. Il serait grand temps
que cette compétition déloyale basée
sur la non perception de la TPS cesse.
Nous avons fait des démarches auprès
des ministères du revenu et des
finances et, bien que tous soient
conscients de la situation et des pertes
importantes pour l’État, il n’y a aucune
volonté politique ou administrative de
s’attaquer à cette problématique connue
sous le nom des « faux particuliers ».
Il nous apparaît que la première étape
dans la recherche de la solution serait
que l’émission des licences de commerçant d’automobiles soit rapidement
transférée à l’Office de la protection
du consommateur, qui ne serait pas
liée par une définition archaïque de
commerçant du code de la sécurité
routière.
La notion de commerçant de la loi de
protection du consommateur est une
notion qui colle aux réalités commerciales et nous sommes convaincus que
si l’Office de protection du consommateur reprenait la juridiction en cette
matière, tous ceux qui font le commerce
de l’automobile sous une forme ou
sous une autre devraient détenir une
licence.
Cette notion de commerçant de la loi
sur la protection du consommateur
pourrait peut-être permettre d’examiner
les lois relatives aux taxes sur la consommation sous un nouvel angle. Si on en
venait à considérer le bien commercé
par les marchands de véhicules d’occasion aux fins d’interprétation des textes
fiscaux relatifs, on pourrait peut-être
avoir une solution.
L’association, en plus de travailler à
mettre à votre disposition et à promouvoir des produits et des outils de la
meilleure qualité, continue parallèlement
à travailler sur les dossiers qui sont
considérés comme prioritaires par les
membres.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
5
LA PUBLICITÉ
AUTOMOBILE
Commentaire
Me Richard
Cliche
LA DEUXIÈME ÉTAPE
QUI VISE À ÉTABLIR DES
RÈGLES RELATIVES À
LA PUBLICITÉ ET AUX
PRATIQUES DE COMMERCE
DANS LE DOMAINE DES
VÉHICULES NEUFS EST
MAINTENANT ENGAGÉE.
LA PREMIÈRE RÉUNION
A EU LIEU LE 20 AVRIL
DERNIER, AU BUREAU
DE L’OFFICE DE LA
PROTECTION DU
CONSOMMATEUR.
Étaient présents : les associations de
consommateurs, la Corporation des
concessionnaires, des représentants
des manufacturiers, de corporations
financières et d’agences de publicité.
C’est parti et c’est bien engagé. Ceux
qui avaient déjà manifesté leur désir
que la publicité relative aux véhicules
neufs soit réformée, ont été conséquents avec les opinions déjà
exprimées et les représentants de
manufacturiers, publicistes, compagnies
6 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
de financement ont tous été d’accord
qu’une réforme s’impose et que,
actuellement, nous sommes dans un
système qui prête à certaines dérives
du fait que ce qu’on essaie d’amener le
consommateur à acheter un paiement
plutôt qu’à lui vendre une automobile.
Chacun a ses nuances, mais cette première réunion a démontré clairement
qu’il sera possible d’en arriver à un
consensus dans des délais raisonnables.
©iStockphoto.com/Tom Gufler
Encore une fois, Monsieur Yvan Turcotte,
président de l’Office de la protection du
consommateur, a fait preuve d’un leadership déterminant. Il a clairement
établi la position de l’Office et, de sa
fermeté, tous ont bien compris que le
processus serait mené à terme dans des
délais raisonnables.
La position qu’entend défendre votre
Association au comité d’étude, qui sera
mis sur pied, est la suivante :
Ce qu’il faut rechercher dans une réflexion sur les règles applicables
à toute publicité sur l’automobile, c’est que le consommateur
sache exactement ce que va lui coûter l’automobile qu’on lui offre,
son déboursé réel, c’est-à-dire L’OBLIGATION TOTALE qu’il devra
assumer pour acheter ou louer son automobile et qu’il soit en
mesure de le savoir à la première consultation d’une publicité.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
7
Le Prix
Il faut savoir que le prix d’une automobile varie beaucoup dépendamment du
type de transaction choisi par le consommateur. Il y a le PDSF (prix de détail
suggéré du fabricant) qui est la base de
référence ; si le consommateur paie
comptant, c’est un autre prix ; si le
consommateur achète en vertu d’une
promotion impliquant un taux d’intérêt
réduit, il a un abattement sur le PDSF,
mais le prix de base de son véhicule est
plus élevé que le prix de base considéré
pour celui qui paie comptant ; si le taux
de financement est un taux sans réduction, le prix peut aussi être différent.
En matière de location à long terme,
tout ce que la publicité mentionne c’est
le versement mensuel et le comptant
requis. On indique parfois l’obligation
totale, le PDSF du véhicule et sa valeur
résiduelle mais uniquement dans les
petits caractères de bas de page.
Dans l’environnement publicitaire
actuel, il est bien difficile pour le
consommateur de pouvoir chiffrer et
connaître d’un seul coup d’œil son
obligation en fonction de l’option
sélectionnée et même de sélectionner
son option ou l’option la moins coûteuse. L’emphase est mise sur la petite
mensualité, tout le reste est escamoté et
présenté en caractères quasi illisibles.
Je pense que si on ne recherche pas
une solution qui fait en sorte que l’offre
faite dans la publicité permette au
consommateur de savoir, au premier
abord, ce quelle lui coûte exactement
et sur quel bien elle porte, on passe à
côte de l’objectif. La seule façon d’y
arriver c’est de travailler avec la
notion d’obligation totale du
consommateur.
Il faudrait que l’annonceur indique sur
une grille, dans le cas d’une vente : le
prix du véhicule, s’il est payé comptant
Le concessionnaire ou le fabricant
aurait ainsi l’obligation de dévoiler
toutes les données de l’offre qu’il fait
pour le produit annoncé. D’un autre
côté, il faudrait qu’il soit clair que, ce
faisant, il a rencontré toutes les obligations qui lui sont imposées par l’article
222 de la loi, en regard de l’offre faite.
Il faudra aussi modifier l’article 2 de
l’annexe du règlement P.40.1, R2.1,
relatif aux véhicules d’occasion, pour que
tous soient régis par les mêmes règles.
Petits caractères
Évidemment, il ne faudrait plus qu’il y
en ait pour les éléments constitutifs de
l’obligation totale de l’offre annoncée.
Qu’il y en ait encore pour des éléments
administratifs soit, mais pour le reste, il
faudrait qu’il y ait une prohibition
claire. Les références aux autres détails
en magasin devraient avoir le même
traitement.
Photographies
©iStockphoto.com/Marius Hainal
Je suis bien conscient que le décret
concernant l’application de règles de
conduite des commerçants d’automobiles d’occasion fait obligation d’indiquer
une valeur au détail du véhicule, mais
en ce qui concerne les véhicules neufs,
quelle est cette valeur ? Le PDSF ou
un autre prix auquel on aura appliqué
un abattement ou un prix plus élevé pour
faire apparaître aux consommateurs
que le coût du financement de son bail
à long terme est minime et la valeur
résiduelle très intéressante ? La valeur
au détail est une notion infiniment
modulable. Il faudrait que toute offre
d’un véhicule indique le prix de vente
au comptant, peu importe le mode
d’acquisition.
8 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
et s’il y a financement le prix en fonction des divers taux d’intérêt annoncés,
des périodes d’amortissement et de
l’accompte qui peut être requis, le coût
du transport et de la préparation, les
autres coûts administratifs, le nombre
de mensualités et le montant de chacune
d’elles, enfin le total pour chaque
situation annoncée ; en matière de
location, le nombre de mensualités, le
montant de chacune d’elles, l’acompte
à verser, le coût du transport et la
préparation, les frais administratifs du
contrat, l’obligation totale qui en résulte,
la valeur résiduelle et la somme finale
que paiera le consommateur s’il achète
à la fin du bail.
À l’évidence, les photographies des
modèles de base des véhicules ne sont
pas les plus attirantes pour les consommateurs, c’est pourquoi généralement
des photos de modèles plus hauts de
gamme sont jumelées avec des offres
qui s’appliquent au modèle le plus bas
de gamme. Cette distorsion dans la
présentation pourrait être corrigée en
indiquant en caractères suffisamment
gros, au bas de la photo, le coût total
du modèle illustré.
Nous considérons que la clarté, la
transparence et la divulgation de tous
les éléments au consommateur, afin de
lui permettre de prendre une décision
avec laquelle lui et ses proches vivront
heureux, s’imposent. (1)
(1) Extrait du mémoire déposé à l’AMF le 3 octobre 2006
Réduire la vente ou la location de véhicules automobiles
à la seule livraison d’un véhicule est une simplification
qui ne reflète en rien la réalité de ce secteur d’activité.
La vente ou la location d’automobiles est non seulement
la livraison d’un véhicule, mais aussi son financement
et la mise en place d’un environnement qui assure au
client qu’il pourra rencontrer ses engagements financiers
peu importe les problèmes reliés à sa situation personnelle
et que son véhicule ne deviendra pas pour lui un fardeau
en cas de problématiques reliées au véhicule lui-même.
La protection de la stabilité du budget familial est une
composante essentielle de la décision et de la transaction
en matière automobile.
LA PUBLICITÉ
10 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
Publié avec l'autorisation de « PROTÉGEZ-VOUS »
Article paru dans le magazine PROTÉGEZ-VOUS de mai 2007. Site internet : www.pv.qc.ca
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
11
FILIALE DE PROTECTION
V.A.G. QUI ŒUVRE DANS
LE DOMAINE DE L’AUTOMOBILE DEPUIS PLUS DE
15 ANS, ACCÈS INC.
A COMME MISSION DE
S’IMPLANTER DANS LE
DOMAINE DES VÉHICULES
D’OCCASION EN OFFRANT
AUX MEMBRES DE
L’AMVOQ UNE GAMME DE
PRODUITS ET SERVICES
DES PLUS COMPLÈTES
POUR LE DÉPARTEMENT
DE COMMERCIALISATION
APRÈS-VENTE ET, AINSI,
CONTRIBUER À AMÉLIORER
LE NIVEAU DE RÉTENTION
ET DE SATISFACTION DE
LA CLIENTÈLE POUR
L’ENSEMBLE DES MEMBRES.
Montréal :
8840, boul. Taschereau
Brossard (Québec)
J4X 1C2
Téléphone : (450) 671-5091
Sans frais : 1 866 723-4402
Télécopieur : (450) 671-1092
Site internet : www.acces-recratifs.ca
Québec :
992, de la Concorde
Saint-Romuald (Québec)
G6W 5M6
Téléphone : (418) 839-1660
Sans frais : 1 877 671-9009
Télécopieur : (418) 839-1921
Abitibi :
546, avenue Dubois
Rouyn-Noranda (Québec)
J9X 3Z9
Rimouski :
522, de Courcelle
Rimouski (Québec)
G5N 1G7
Saguenay :
3686, du Régiment
Jonquière (Québec)
G7X 9V7
Filiale de :
NOUVEAU
PARTENAIRE
DE L’AMVOQ
©iStockphoto.com/Shaun Lowe
C’est par l’entremise de V.A.G. qu’Accès voit le jour en 2004. V.A.G. possédant une
équipe chevronnée de 24 consultants formateurs et étant fournisseur de produits tels
que l’assurance crédit et la garantie de remplacement sans dépréciation, elle s’est
taillée une place au sommet de tous les intervenants dans le segment automobile
au Québec.
V.A.G. se distingue de tous ses compétiteurs par sa compétence à gérer les départements
de commercialisation après-vente grâce, entre autres, à un suivi étroit et à la formation
en classe et en milieu de travail. En 2006 seulement, V.A.G. a formé, en plus de
son suivi mensuel en milieu de travail, 646 directeurs commerciaux et suppléants.
Dynamique, à la fine pointe des développements dans le marché de l’automobile,
V.A.G. cherche toujours à innover afin de répondre aux besoins des commerçants.
Pour ce faire, elle a, au cours de la dernière année, mise en place de nouveaux
services dont l’accès par le Web à des outils de vente personnalisés très efficaces pour
les directeurs commerciaux. Elle a également instauré un service de référencement
par l’entremise d’iNITIO, division de Dale Parizeau LM qui permet aux clients qui
acquièrent un nouveau véhicule d’entrer en communication avec un courtier
d’assurance directement du point de vente et ce, verbalement et visuellement
grâce à la magie de l’informatique. Dernièrement, elle a offert aux commerçants la
possibilité de financer l’achat de produits d’assurance directement par son entremise
quand un client dépassait les limites fixées par les compagnies de finance des
différents manufacturiers.
Accès, quant à elle, puise dans ces ressources et dans cette expertise pour avoir à
elle seule, une équipe dynamique adaptée au marché des voitures d’occasion offrant
même la possibilité d’avoir accès à un directeur commercial par téléphone pour les
commerçants n’ayant pas un volume suffisant justifiant un tel département.
Nos services :
• Programme d’objectifs annuels
• Logiciel de gestion des performances incluant un comparatif entre vous,
votre marché et les meilleurs de votre industrie
• Formations en classe
• Suivi en milieu de travail
• Gamme de produits des plus complètes
• Service à la clientèle
• Centre d’appels pour les concessionnaires sans directeur financier
• V.A.G. Finance
• Nouveau partenaire de l’AMVOQ
Ainsi donc, Accès ne cesse de travailler à faciliter les tâches du directeur commercial
afin d’optimiser les résultats de ce département à l’intérieur d’un point de vente.
Au fil des années, elle continuera à développer et améliorer sans cesse la gamme des
produits et services qu’elle offre et entend bien continuer à le faire encore longtemps !
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
13
©iStockphoto.com
EN TANT QUE MARCHAND DE L’AMVOQ,
UN DE VOS OBJECTIFS EST SANS AUCUN
DOUTE DE VOUS MONTRER À LA
HAUTEUR DES ATTENTES DE VOS
CLIENTS.
Kacya Cotton
Membre du comité
de conciliation/
médiation de
l’AMVOQ et de
CAA-Québec
14 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
DES ÉLÉMENTS
DE DISTINCTION
ET DE
SATISFACTION
Dans le passé, il a été question de
plusieurs éléments qui peuvent vous
aider à mener à bien votre entreprise
en effectuant des transactions réussies
à tous points de vue. En effet, nous
avons jusqu’à maintenant abordé la
transparence, l’importance de bien
informer les clients, la fidélisation de la
clientèle, la valeur à long terme d’un
client… Il va sans dire que d’autres
notions peuvent aussi vous permettre
de vous distinguer ou de satisfaire les
consommateurs qui font des affaires
avec vous.
Une base solide…
les clients internes
Votre employé est un client. C’est un
client interne et il est important de
comprendre que si les clients internes
ne sont pas satisfaits des conditions de
travail, du salaire et des relations
internes, cette insatisfaction risque de
se répercuter de façon négative dans
les relations qu’ils entretiendront avec
les clients externes (consommateurs).
Il est important pour tout employeur
de prendre le temps d’échanger et
d’écouter ses employés. Un moyen
concret d’y parvenir est de tenir une
réunion au moins une fois par mois
entre la direction et les employés
subalternes. La communication,
l’échange et l’écoute sont des éléments
clés, nécessaires à l’établissement d’une
base solide et à la rétention de vos
employés… Gardez donc à l’esprit que
ces derniers sont vos premiers clients.
Il convient également de s’assurer que
les relations à l’horizontal, c’est-à-dire
entre les collègues de travail, soient
saines. Par exemple, un client se
présente à votre établissement après y
avoir acheté un véhicule pour rapporter
qu’il a constaté une erreur sur le contrat
en ce qui a trait au numéro de série.
S’il est accueilli par un autre conseiller
qui défend l’entreprise en déclarant que
son collègue fait souvent des erreurs de
ce genre, un doute naît tout de suite
dans son esprit. Dans ce genre de cas,
malheureusement souvent véridiques,
c’est la crédibilité de toute votre entreprise qui est affectée de façon négative.
De la distinction…
Le fait d’être un marchand de l’AMVOQ –
de même que celui d’offrir le programme
de conciliation et médiation de l’AMVOQ
et de CAA-Québec – vous permet de
vous distinguer de la compétition. Par
ailleurs, lorsque l’on parle de cibler les
besoins des clients externes, en l’occurrence, les consommateurs, il faut bien
faire la différence entre les besoins réels
de ces derniers et ce que vous croyez
être leurs vraies attentes. Il ne faut pas
confondre les demandes réelles du client
avec la perception que vous avez de ces
demandes.
Par exemple, vous pourriez effectuer
un sondage sur différents paramètres,
entre autres le budget, les équipements
précis que le client souhaite, le mode
de financement qu’il préfère, la catégorie de véhicule qu’il vise et les
heures d’ouverture qui lui conviennent. Un tel exercice vous révèle les
attentes réelles des consommateurs,
alors le fait d’utiliser un outil (le
sondage) vous permettant de bien
cibler les besoins des clients vous
distingue aussi de vos compétiteurs.
En outre, il arrive trop souvent que des
commerçants optent pour la surqualité,
qu’ils en soient conscients ou non. Un
tel choix peut s’avérer être un irritant de
taille – et peut-être même nuire à votre
entreprise – pour les consommateurs
qui se présentent chez vous. À titre
d’exemple, si la salle d’exposition de
votre entreprise est ultra moderne mais
que vous n’avez pas le personnel requis
en fonction de votre volume de ventes,
vous risquez de créer des frustrations
auprès de votre clientèle potentielle.
Nous vivons dans une société où le
temps est précieux et où chaque seconde
est comptée ; le fait de faire attendre
un consommateur trop longtemps peut
nuire à vos ventes et à votre réputation.
On peut faire la comparaison avec un
restaurant. Si vous y entrez parce que
la façade est très attrayante et moderne
mais que le service est trop lent et qu’en
plus, la nourriture est inadéquate, vous
risquez fort de ne plus y retourner.
On parle ici d’un contenant attirant (la
devanture du restaurant) par opposition
à un contenu insatisfaisant (le service
lent et la nourriture inadéquate). Il est
donc très important de ne pas sombrer
dans la surqualité. Une belle salle d’exposition où l’on ne répond pas adéquatement à vos clients ne mènera nulle part.
…à la satisfaction
Cherchez à provoquer les WOW chez
vos clients. Tout en maintenant un bon
standard de qualité, n’hésitez pas à vous
montrer proactif dans vos démarches ou
dans votre offre de service. Par exemple,
si vous avez un atelier de mécanique et
que des travaux sont nécessaires sur un
véhicule que vous avez vendu, assurezvous que les véhicules de courtoisie que
vous offrez soient propres et, surtout,
sécuritaires. N’attendez pas qu’un consommateur vous fasse remarquer que vos
véhicules de courtoisie sont dangereux.
Il en va de votre image et de votre crédibilité. Dans le même ordre d’idée, l’installation de quatre pneus d’hiver en bon
état sur vos véhicules de courtoisie pendant
la saison hivernale a toutes les chances
d’épater vos clients et de leur prouver
votre sérieux. D’un autre côté, si vous ne
disposez pas de véhicules de courtoisie
et que vous dirigez vos clients vers une
compagnie de location à court terme,
assurez-vous que la qualité du service
de cette compagnie soit digne de vos
propres critères.
En résumé
La satisfaction de vos clients externes
(consommateurs) débute par des relations
saines au sein de votre entreprise, et ce,
tant entre employeur et employés
subalternes qu’entre collègues de travail
(relations à l’horizontal). Leur satisfaction
passe également par la transparence, par
une réponse à des besoins bien interprétés,
par l’écoute, par la qualité du service et
par la valeur ajoutée de votre établissement par rapport à un autre. Cependant,
même si la satisfaction du client dans
quelques-uns de ces éléments seulement
peut produire des améliorations pour
votre commerce, il est primordial de
comprendre que les clients cherchent à
être satisfaits du début à la fin. Il faut
donc considérer toutes les notions de
distinction et de satisfaction comme un
ensemble et non pas une à une.
Souvenez-vous : un consommateur sera
entièrement satisfait d’une transaction
seulement si elle s’est bien déroulée du
début à la fin. Le consommateur considère la transaction entière et non pas les
éléments de façon distincte.
À vous d’établir des mécanismes qui
vous permettent de bien contrôler et
évaluer tous ces éléments de distinction
et de satisfaction de votre clientèle !
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
15
Me Richard
Cliche
En vitesse
Directeur général
et conseiller
juridique
©iStockphoto.com/Ahmad Faizal Yahya
Publicité RDPRM / AMVOQ / TVA
Dans le cadre d’un concours associé à la dernière campagne publicitaire du RDPRM à TVA, Pour ne pas payer les dettes des
autres, RDPRM cinq lettres à ne pas oublier, l’AMVOQ (Association des marchands de véhicules d’occasion du Québec) offrait
un prix de 20 000 $ applicable à l‘achat d’un véhicule d’occasion chez l’un de ses membres. Cette campagne publicitaire
s’est déroulée du 26 février au 23 mars sur les ondes de TVA. Le succès à dépassé les attentes, ce que démontre une
augmentation spectaculaire des visites sur le site du RDPRM, le nombre de visiteurs a presque doublé.
Il y a eu 41 495 participations au concours.
La gagnante, Mme Hélène Baril, de
Princeville, a acheté son véhicule chez
Gestion JB 2000, 930 Notre-Dame Est,
Victoriaville. Dans l’ordre sur la photo,
Me Richard Cliche, directeur général
de l’AMVOQ, Me Charles Dorion, RDPRM,
Mme Hélène Baril, M. Michel Noël,
président de l’AMVOQ,
M. Jacques Beaudoin, Gestion JB 2000.
NAPA — 200 000 $ en ristournes
L’entente de partenariat signée avec NAPA s’avère un succès, plus de 200 000 $ ont été versés en ristournes pour l’année 2006.
Elles sont payées en argent et en proportion de vos achats de pièces et accessoires d’automobiles, ainsi que de produits de
carrosserie. Il suffit d’un minimum de 10 000 $ d’achats dans l’année pour en bénéficier. L’année 2007 s’annonce bien : les
achats des membres sont en hausse de 23 %. NAPA vous offre des pièces de qualité, un service rapide, des prix très
compétitifs, des garanties de 12 mois ou 20 000 km, des ristournes sur vos achats ; au total, le meilleur programme de
l’industrie pour vous et vos clients.
Suite page 28
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
17
Congrès
ON VOUS ATTEND
À TROIS-RIVIÈRES !
Trois-Rivières
28, 29 et 30 septembre
2007
TRAVERSONS
LE PONT
ENSEMBLE !
VENDREDI 28
Vous pourrez vous enregistrer dès 15 heures.
À compter de 17 h 30, nos partenaires et
exposants vous reçoivent, la soirée leur est
consacrée. C’est une soirée tout inclus,
rafraîchissements, breuvages, boissons, bouffe
accompagnent les rencontres que vous y ferez
et les informations que vous recevrez.
À compter de 21 h 15, « Marcel » vous invite à
son garage.
SAMEDI 29
Informations, formation, conférences et ateliers.
Présentation d’un nouveau système de gestion
informatisé totalement intégré (mono entrée)
et de nos orientations publicitaire pour 2007/08
sont au programme.
En après-midi, vous aurez l’occasion de rencontrer
et d’entendre M. Roger Pouliot, un spécialiste
des techniques de vente et du « closing »,
dans une présentation originale et dynamique.
DIMANCHE 30
Assemblée générale annuelle et élection des
administrateurs. Vous aurez l’occasion de
poser toutes vos questions et de faire des
suggestions.
Il n’y a aucun frais d’inscription, à l’exception
de votre chambre et de vos consommations
additionnelles, tout est gratuit pour vous et la
personne qui vous accompagne. Il n’y à rien
d’autre à débourser, tout est offert par votre
Association et ses partenaires. Pour une personne
additionnelle, le coût est de 75 $.
Dès que vous recevrez le formulaire
d’inscription, complétez-le et retournez-le
sans délai. Ne risquez pas qu’on vous dise :
désolé, c’est complet.
©Jean Chamberland
ACTIVITÉ POUR LES CONJOINTS ET ACCOMPAGNATEURS
RÉSERVATIONS
Réservez vos chambres dès maintenant.
120 $ par nuit en occupation double.
Communiquez directement avec le service
de réservations de l’Hôtel Delta ou de l’Hôtel
Gouverneur. Mentionnez le nom du groupe,
soit Association des marchands de véhicules
d’occasion (AMVOQ), afin de bénéficier du
tarif qui vous est offert et de vous assurer de
faire partie des chambres réservées au Congrès.
En matinée, visite de la vieille Ville de Trois-Rivières et ses sites d’intérêts. L’histoire de cette
ville remonte au 16e siècle. Vous aurez l’occasion de voir Trois-Rivières et les environs de façon
différente et de vivre des expériences uniques. Dîner et retour pour la conférence de Roger Pouliot.
Le programme final sera bientôt disponible.
Lors de votre inscription au Congrès, veuillez indiquer si votre conjoint(e), ou accompagnateur,
participera à cette activité (des frais de 20 $ sont payables à l’inscription).
ROGER POULIOT :
COMMENT FERMER
UNE VENTE !
La vente n’a plus de secrets pour lui. Depuis 1993, il a développé
une formation originale et dynamique qui donne des résultats
mesurables. Plus de 3 500 vendeurs en ont profité jusqu’à
maintenant. Comment fermer une vente, comment transformer un
acheteur éventuel en client, comment dominer la concurrence,
comment vous pouvez faire monter en flèche vos ventes
d’automobiles et ne jamais oublier ce que vous avez appris.
(www.formationvp.com)
Delta Trois-Rivières
Hôtel et Centre des Congrès
1620, Notre-Dame Centre
Trois-Rivières, Québec, G9A 6E5
Réservations : (819) 376-1991
www.deltahotels.com
Mes découvertes dans la FORMATION DE VENDEURS PROFESSIONNELS
produisent des résultats significatifs, mesurables ET À LONG TERME. Roger Pouliot
BABY BOOMER’S BAND
Le Delta Trois-Rivières, Hôtel et Centre
des Congrès, classé 4 étoiles, est situé en
plein coeur du centre-ville animé et du
Vieux Trois-Rivières. L’hôtel est un complexe
de 159 chambres, offrant un accès à internet
haute vitesse, centre de santé Tonix avec
service de massothérapie, piscine intérieure,
bain tourbillon, et stationnement intérieur
et extérieur.
Revivez la magie des années ‘50 et ‘60 et laissez vous entraîner
par les grandes succès des Beach Boys, The Four Seasons, The
Temptations, Richie Vallon, Neil Sedaka, Paul Anka, Elvis et bien
d’autres. Déjà plus de 175 000 personnes de partout au Québec
ont vibré au son du Baby Boomer’s Band. C’est un coup de cœur.
MARCEL AU GARAGE
Marcel Leclerc nous ouvre son « garage ». Notre garagiste n’est déjà plus cet
inexpérimenté apprenti-humoriste qui avait surpris le monde du spectacle, il y a deux
ans en faisant le pari de se produire lui-même, devant plus de 1 700 personnes, au
Grand Théâtre de Québec. Son spectacle, mis en scène par Stéphane « E » Roy (Mars
et Vénus, Me, Myself et Moi-même) est totalement imprégné de son monde de garagiste.
©PhotoMauricie.com
Tout le monde a un véhicule, en bon état ou non et, par conséquent, tout le monde a un garagiste.
Marcel s’avère la joyeuse synthèse de tous ces hommes (et quelques femmes) qui prennent soin
de leur auto, à un moment ou l’autre de sa « vie mécanique ». Et si les véhicules se ressemblent,
grosso modo, il y a fort à parier que les anecdotes de Marcel rejoindront passablement de monde
dans l’auditoire. En fait, beaucoup de gens se reconnaîtront, seuls les noms pourront avoir été
changés, et encore…
Hôtel Gouverneur Trois-Rivières
975, rue Hart
Trois-Rivières, Québec, G9A 4S3
Réservation : (819) 379-4550
www.gouverneur.com
©Jean Chamberland
L’Hôtel Gouverneur Trois-Rivières est un
hôtel 4 étoiles, tout récemment rénové,
qui est situé au cœur du centre-ville et du
quartier historique de Trois-Rivières.
Situé face au Palais de justice et de la
vieille prison et seulement à quelques pas
de la magnifique promenade du parc
portuaire, aux abords de la rivière SaintMaurice. L’hôtel offre 127 chambres dont
77 en classe régulière et 50 en classe
affaires. De plus, l’Hôtel offre de nombreux
services dont une salle d’exercices, une
piscine extérieure avec vue imprenable
sur la ville et un stationnement intérieur
et extérieur gratuit.
Me JeanFrançois
Cavanagh
Directeur général
adjoint et conseiller
juridique
©iStockphoto.com/James Pauls
LE MARCHÉ DE
L’AUTOMOBILE EST EN
PLEINE EXPANSION
DEPUIS PLUSIEURS
ANNÉES ET DÉPASSE
LARGEMENT LA FRONTIÈRE
QUÉBÉCOISE.
EN EFFET, PLUSIEURS
DE NOS MEMBRES
ACHÈTENT MAINTENANT
LEURS VÉHICULES DANS
LE RESTE DU CANADA,
AUX ÉTATS-UNIS ET
DANS D’AUTRES PAYS.
ACHAT DE
VÉHICULES
À L’EXTÉRIEUR
DU QUÉBEC
22 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
IMPORTANT
Il appartient à l’acheteur
de s’informer des normes
d’importation applicables.
Le RIV (Registraire des véhicules importés) est l’organisme
canadien qui contrôle l’importation de véhicule au Canada
et opère sous l’autorité de Transport Canada. Les véhicules
déclarés inadmissibles se verront refuser l’immatriculation
au Canada et seront détenus à vos frais. De plus, si votre
véhicule ne répond pas aux exigences de la Douane / l’Agence
des services frontaliers du Canada (ASFC) et de Transports
Canada, vous devrez exporter ou retourner ou faire détruire
votre véhicule sous le contrôle de l’ASFC, et ce, à vos frais.
De plus, les droits, les frais et les taxes ne seront pas remboursés.
Il est « Très Important » de vous assurer que vous pouvez
obtenir une Attestation d’absence de rappel et une Lettre de
conformité aux normes canadiennes. Le RIV publie une Liste
des véhicules admissibles qui est mise à jour continuellement,
mais celle-ci est « à titre informatif seulement ». En effet,
certains fabricants automobiles ont pris l’habitude de refuser
d’émettre ces documents aux marchands de véhicules usagés
et ont donné instructions à leurs concessionnaires de ne
pas émettre de lettre concernant des « véhicules Non
Canadiens », ce qui empêche l’importation du véhicule. Les
fabricants veulent ainsi protéger le marché des concessionnaires canadiens. Il est à noter que le RIV ne peut pas forcer
les fabricants à émettre ces documents.
La façon de contourner le problème est d’exiger du vendeur
étranger, avant d’acheter un véhicule, une copie de ces
documents. En cas de refus n’achetez pas. Sans ces documents,
le véhicule peut être importé au Canada uniquement pour
les pièces et il est impossible de l’immatriculer.
Acheter un véhicule aux États-Unis
AVANT D’ACHETER un véhicule aux États-Unis,
assurez-vous qu’il est admissible au Canada en consultant la
Liste des véhicules admissibles, disponible auprès du RIV. Si le
véhicule n’est pas mentionné dans la liste ou est classé
inadmissible, vous ne pouvez pas l’importer. Cependant, un
véhicule admissible peut nécessiter certaines modifications et
doit respecter les « Exigences en matières de modification et
d’inspection » et avoir une « Attestation d’absence de rappel »
concernant un défaut de sûreté et rappels exceptionnels sur
le véhicule. Si le véhicule à un rappel ou une modification
doit être apportée, tout ce qui est requis doit être fait par vous.
La douane des États-Unis exige d’être prévenue au moins
72 heures avant toute exportation permanente d’un véhicule
hors des États-Unis et il faut aussi présenter les documents
exigés par la douane américaine dans ce même délai. La douane
conseille de communiquer avec le poste frontière américain de
passage pour déterminer exactement les documents requis.
À LA FRONTIÈRE, vous devez présentez votre titre de
propriété, immatriculation, votre document d’enregistrement
et vos reçus ou contrat de vente. De plus, vous devez remplir
le Formulaire d’importation (Formulaire 1) fourni par la
Douane canadienne pour enregistrer votre véhicule. Les
douanes vérifieront si votre véhicule apparaît sur la Liste du
RIV et l’exactitude de l’étiquette de conformité et du
numéro NIV. La Douane percevra les frais du RIV non
remboursables de 195 $ plus taxes, payable par cartes de
crédit, mandats et les chèques. Cependant, la validation d’un
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
23
chèque peut prendre une dizaine de jours, ce qui réduirait
votre délai d’inspection de 45 jours. N’oubliez pas que le
paiement de ces frais et le Formulaire d’importation de
véhicule ne garantissent pas la conformité du véhicule au RIV.
APRÈS LA FRONTIÈRE, dans les 10 jours, vous recevrez
une lettre du RIV accompagnée d’un document d’inspection
(Formulaire 2) détaillant les mesures à prendre pour rendre
votre véhicule conforme aux Normes canadienne. Vous devrez
effectuer les modifications dans les 45 jours. Vous pouvez
confier l’exécution de ces modifications au garage de votre
choix. Cependant, nous vous conseillons de communiquer
avec le manufacturier pour obtenir les spécifications des
pièces appropriées et pour les questions de transfert de
garantie. Assurez-vous de conserver les reçus des pièces et
de la main-d’œuvre pour les présenter à l’inspection. Vous
devez également présenter les Formulaire 1 et 2 ainsi que
l’attestation d’absence de rappel. L’inspection doit être
effectuée chez Canadian Tire. En effet, le RIV a passé un
accord avec Canadian Tire pour l’exécution des inspections
fédérales. Veuillez noter que dans de nombreux cas, Canadian
Tire pourra effectuer les travaux de modification ainsi que
l’inspection provinciale de la SAAQ. Lorsque votre véhicule
aura passé l’inspection fédérale avec succès, vous devrez vous
présenter à la SAAQ, qui pourrait vous demander des tests
supplémentaires.
Une semaine environ après le passage de l’inspection fédérale,
le RIV enverra une étiquette de certification canadienne à
apposer sur le véhicule. Si votre véhicule ne passe pas
l’inspection initiale, vous devrez payer des frais supplémentaires
de modifications et vous présenter à une autre inspection.
Si le véhicule ne passe pas l’inspection dans le délai de 45 jours,
vous devrez l’exporter aux États-unis, sauf avec l’autorisation
du RIV. Dès que le véhicule est conforme, la conformité du
véhicule est communiquée à toutes les autorités d’immatriculation canadiennes, dont la SAAQ.
Acheter des véhicules au Canada, mais hors Québec
Tous les véhicules canadiens respectent les Normes de sécurité
de véhicules automobiles du Canada. Ainsi, vous pouvez acheter
un véhicule provenant d’une autre province canadienne.
Cependant, la SAAQ exige une inspection provinciale.
Lorsque vous vendez un véhicule dans une autre province,
les autorités de cette province exigent aussi une inspection.
Ainsi, un véhicule québécois vendu en Ontario devra nécessairement subir une inspection de sécurité, une inspection
environnementale, etc., et cela en conformité avec les exigences
du Ministère des transports ontarien.
Acheter des véhicules dans un pays autre que les USA
Dans la plupart des cas, vous pouvez importer un véhicule
provenant d’un pays étranger, si le véhicule a été conçu,
fabriqué, testé et certifié conforme aux Normes de sécurité de
véhicules automobiles du Canada ou aux Federal Motor Vehicle
Safety Standards des États-Unis, et que le véhicule porte
l’étiquette de déclaration de conformité apposée par le
24 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
fabricant original, s’il n’a pas été modifié et que la certification du fabricant original est maintenue.
Les véhicules fabriqués pour la vente dans des pays autres
que le Canada et les États-Unis ne sont généralement pas
conformes aux exigences de la Loi sur la sécurité automobile du
Canada et NE PEUVENT PAS être modifiés pour les rendre
conformes. Les seules exceptions à la règle concernent les
véhicules de quinze (15) ans ou plus (tel que déterminé par
le mois et l’année où l’assemblage principal du véhicule a
pris fin), et les autobus fabriqués avant le 1er janvier 1971.
Afin de vérifier l’admissibilité du véhicule, communiquez
avec Transports Canada à la Direction de la Sécurité
routière et réglementation automobile au 1-613-998-8616.
Les taxes et l’importation
Si votre véhicule est admissible en conformité avec les
exigences de Transports Canada, il sera assujetti aux taxes.
Vous devrez payer la taxe provinciale lorsque vous immatriculerez le véhicule. En général, vous n’êtes pas tenu de
payer des frais ou droits sur les véhicules importés de fabrication américaine, canadienne ou mexicaine, mais il y en
aura sur des véhicules provenant d’un autre pays étranger.
Les droits et les taxes sont établis sur la « valeur en douane »
de votre véhicule. Il s’agit d’une valeur déterminée conformément à la Loi sur les douanes et c’est en dollars canadiens.
Une valeur en douane doit être établie pour toutes les
marchandises qui sont importées au Canada. La valeur en
douane est établie normalement à l’aide de la méthode de la
valeur transactionnelle ou l’une des cinq autres méthodes
d’évaluation imposées par la loi. Cette méthode s’applique
lorsqu’il y a un prix payé (ou à payer) par un acheteur au
Canada. Le prix du véhicule comprendra les montants pour
toutes taxes de vente étrangères perçues par le vendeur, ainsi
que tout paiement de garantie effectué par l’acheteur au
vendeur ou à toute autre tierce partie identifiée par le
vendeur. Certaines restrictions, additions ou déductions au
prix peuvent aussi être nécessaires.
De plus, si le véhicule est muni d’un climatiseur, vous devez
payer la taxe d’accise au montant de 100 $. Vous devez
également payer une taxe d’accise additionnelle si le poids
de votre véhicule est supérieur à 2 007 kilogrammes ou
4 425 livres.
Pour toute information sur l’importation de véhicules au
Canada, veuillez consulter les organismes suivants :
• Agence des services frontaliers du Canada (ASFC)
1-800-959-2036
www.cbsa-asfc.gc.ca
• Registraire des véhicules importés (RIV)
1-888-848-8240
www.riv.ca
• Transports Canada (TC)
1-800-333-0371
www.tc.gc.ca
Il y a une « balance de financement »
et vous refinancez un véhicule !
MAIS DE QUELLE FAÇON ?
VOTRE CLIENT VEUT VOUS ACHETER UN VÉHICULE ET VOUS REPRENEZ LE SIEN
EN ÉCHANGE. CEPENDANT, LE VÉHICULE D’ÉCHANGE À ENCORE UN SOLDE DÛ À
UNE INSTITUTION FINANCIÈRE. DANS LE CONTRAT DE VENTE, VOUS DEVEZ
TENIR COMPTE DE CETTE INFORMATION ET LA DÉCLARER CORRECTEMENT.
Certains marchands utilisent mal leur contrat de vente et,
par voie de conséquence, leur contrat de financement.
En effet, dès qu’il y a une balance de financement, certains
marchands modifient le prix du véhicule afin de l’augmenter
d’autant. Ils modifient l’étiquette de vitre et le contrat en
gonflant le prix de vente pour obtenir le financement désiré.
Cette façon de faire est illégale et fausse les données, tant
envers votre client qu’envers l’institution financière prêteuse
et auprès des ministères du Revenu.
Me JeanFrançois
Cavanagh
Directeur général
adjoint et conseiller
juridique
En effet, vous ne pouvez pas modifier l’étiquette de vitre,
l’affiche de vente, le contrat de vente, etc. La Loi sur la
protection du consommateur interdit ce genre de pratique et les
contrats signés avec l’institution prêteuse interdisent
les déclarations trompeuses, ce que constitue un tel ajout au
prix du véhicule. Les institutions prêteuses veulent bien
avoir l’heure juste et savoir exactement l’origine de la dette
qu’elles financent. Les montants doivent être
correctement inscrits, tant sur le Contrat de vente
que sur la Demande de financement ou le Contrat
de financement. La majoration du prix de vente
augmente aussi les taxes à payer par l’acheteur.
Le contrat de l’AMVOQ permet l’ajout et la
divulgation de la manière appropriée du solde
de financement.
Prenons comme exemple : Michel vous achète un
véhicule de 20 000 $, vous reprenez en échange son
véhicule pour 12 000 $ sur lequel il y a un solde de
financement de 6 000 $.
Voici comment devra être complété votre contrat
(AMVOQ) :
• à la case A), prix de vente 20 000 $ ;
• à la case D), valeur de l’échange 12 000 $ ;
• à la case Q), solde de financement 6 000 $ ;
Toute fausse déclaration ou déclaration trompeuse
pourra entrainer l’annulation du contrat de financement,
ce qui vous obligera à rembourser l’institution prêteuse
et pourra donner ouverture à des recours de la part de
votre client.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
27
En vitesse
Suite de la page 17
Ventes aux Indiens
Les ventes aux détenteurs de statut d’Indien sont exemptées de taxes à la consommation (TPS, TVQ) si l’acheteur vous
fournit une carte valide attestant de son statut et que le véhicule est livré sur la réserve, peu importe que l’acquéreur y ait
une adresse ou pas. Il est important de vous rappeler que le véhicule doit être livré par vous ou par une personne que vous
mandatez et payez pour ce faire, et que vous devez conserver une preuve documentaire de votre livraison sur la réserve
(comme reçu d’un magasin ou d’une station service sur la réserve). Prenez toujours une copie de la carte de statut d’Indien
de votre acquéreur et indiquez son numéro sur le contrat de vente.
Sur l’attestation de transactions avec un commerçant (ATAC) que vous lui remettrez, indiquez les mentions suivantes :
1) Exempté – Indien, et le numéro de sa carte de statut 2) Livré sur la réserve (nom de la réserve).
ALERTE AUX MARCHANDS !!! — Un nouvel outil de communication
Vous avez commencé à recevoir par courriel des messages intitulés « Alerte ! » ou « Information ! ». Il s'agit d’un nouveau
mode de communication que nous avons décidé d'instaurer afin de vous acheminer rapidement l'information d'intérêt.
La diffusion sera en fonction des besoins et de l'information d'intérêt que nous recevons.
Pour vous inscrire ou modifier votre adresse courriel, contactez Michelle Lebel à l'AMVOQ ou par courriel à [email protected]
28 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
Me Richard
Cliche
Directeur général
et conseiller
juridique
©iStockphoto.com/Maciej Noskowski
ACTUELLEMENT,
IL Y A DANS LE MARCHÉ
DU FINANCEMENT PAR
LE CRÉDIT ALTERNATIF
(2e ET 3e CHANCE),
QUELQUES ENTREPRISES
QUI OFFRENT DE
FINANCER TOUTES VOS
TRANSACTIONS, PEU
IMPORTE LA SITUATION
FINANCIÈRE DE CELUI
QUI VEUT ACHETER.
La façon de procéder pour financer les
transactions est à peu près toujours la
même. On fait des contrats de location
dont la valeur de rachat est à toute fin
pratique insignifiante. Ces contrats sont
assortis de frais d’administration, de
coût d’émission de crédit ou encore on
oblige l’installation d’un appareil de
repérage avec arrêt moteur et le
locataire doit payer le coût d’installation,
la mensualité et, bien souvent, un frais
d’administration sur la mensualité.
La compagnie qui fait le financement se
fait en outre remettre une rétrocession
volontaire en blanc, déjà signée, qu’il
ne restera qu’à dater au moment
opportun si jamais le débiteur fait
défaut de payer.
C’est attrayant, mais quand on examine
la structure de transaction, on constate
que, par le biais de la mécanique mise
en place, le débiteur n’a littéralement
plus de droit en plus de payer une
somme considérable comme coût total
de crédit, ou découlant des autres
obligations qui lui sont imposées.
La signature d’un consentement à
remise volontaire en blanc à la signature
du contrat de location est illégale car
ça constitue une de renonciation
préalable de droits, ce que le consommateur ne peut pas faire.
Un contrat régi par la loi sur la
protection du consommateur ne peut
être assujetti à la renonciation préalable
à des droits prévus par elle et même si
le consommateur a signé, ça ne vaut
rien, cette loi est d’ordre public.
PRUDENCE
Les consommateurs qui ont souscrit ces
contrats pourront toujours demander
que le consentement à remise volontaire
soit déclaré inopérant mais il se pourrait
aussi qu’ils demandent que toute la
transaction soit annulée du fait que la
publicité qui les a attirés et amenés à
signer un tel contrat faisait état de
financement, de troisième chance au
crédit et qu’ils ont été induits en erreur
sur un la nature véritable du contrat.
Compte tenu de la valeur de rachat
insignifiante, un tribunal pourrait aussi
être amené à déclarer qu’il s’agit d’une
vente à tempérament déguisée, que ce
processus n’est pas à l’avantage des
consommateurs et n’avait pour but que
de permettre au prêteur de se défaire
des obligations qui sont imposées par
la loi dans le cas de la vente d’un bien
assorti d’un prêt d’argent. Comment
réagiront les tribunaux, nul ne peut le
prédire. Mais une chose est certaine, si
le contrat est annulé, le consommateur
devra être remboursé et, comme la
transaction aura été conclue par votre
entremise, il est fort probable que vous
ayez à rembourser le capital, les frais
de financement, le coût du système de
protection, les mensualités de ce
système, le coût des assurances supplémentaires, les frais administratifs, etc., ...
et probablement des dommages
punitifs et exemplaires pour avoir
participé à un tel système contractuel,
en plus des frais légaux et des intérêts
qui pourraient être fixés par un juge.
Un conseil, tenez-vous loin de ce genre
de financement. Ça vous fera peut-être
perdre quelques ventes, mais c’est bien
peu si on considère les embêtements
que ça peut vous amener. La vente à
tout prix a un prix. Un prix que nous
ne pouvons vous recommander de
risquer de payer.
Le crédit alternatif, deuxième chance,
troisième chance, c’est quelque chose
qui répond à un besoin réel. Il y a des
institutions qui se spécialisent dans ce
crédit. Vous en retrouvez plusieurs sur
le portail de DealerTrack.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
29
DEPUIS QUELQUES MOIS, NOUS
SOMMES CONFRONTÉS À DIVERSES
SITUATIONS VÉCUES PAR DES MEMBRES
QUI ONT VENDU, DE BONNE FOI,
DES GARANTIES DE REMPLACEMENT
OU DES GARANTIES D’ÉCART DE
VALEUR OU ENCORE DES GARANTIES
MÉCANIQUES ET QUI AUJOURD’HUI
SE RETROUVENT À FAIRE FACE À DES
RÉCLAMATIONS, ALORS QUE CEUX QUI
LEUR ONT FAIT VENDRE CES PRODUITS
SONT SOIT DISPARUS OU ENCORE
LEUR DISENT « QUE VOULEZ-VOUS ?
Y A PLUS D’ARGENT, LES PRODUITS
N’ÉTAIENT PAS ASSURÉS, IL Y A EU UN
PROBLÈME ET LA COMPAGNIE
NE COUVRE PAS, ON N’Y PEUT RIEN ».
Me Richard
Cliche
©iStockphoto.com
Directeur général
et conseiller
juridique
30 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
Évidemment, la responsabilité directe de nos membres est
manifestement engagée. Comme ils sont les vendeurs de la
garantie en vertu du contrat avec le consommateur, c’est eux
qui sont responsables du paiement des réclamations et pour
certains la situation risque d’être difficile financièrement.
Clauses typiques de ces contrats :
• La présente exonération est offerte par votre concessionnaire. (Programme de protection financière V.I.P.)
• G.P.I. : désigne Gestion professionnelle (Autosabec) inc.
une compagnie que Nous avons choisie pour gérer ce
Certificat de Garantie mais qui n’a pas à respecter les
obligations qui nous incombent en vertu du Certificat
de Garantie…
• Le concessionnaire s’engage envers celui-ci (l’acheteur)…
à fournir un véhicule de remplacement.
GARANTIES
SUPPLÉMENTAIRES
Sommes-nous en face de cas isolés qui ont tous surgis en
même temps ou encore, sommes-nous assis sur une bombe à
retardement ? Je n’en sais rien. Je ne connais pas l’ampleur
du phénomène des ventes de produits financiers dérivés ou
accessoires non assurés, au cours des dernières années.
Il y a une seule façon de ne pas être mal pris
éventuellement et d’être en sécurité, vous et vos
clients ; il y a une seule façon de conserver votre
crédibilité auprès des clients, c’est que vous ne
vendiez que des produits de compagnies crédibles,
dont les produits sont assurées ou qui ont derrière
elles des assises financières suffisamment fortes et
vérifiées pour vous garantir d’être présentes, si le
besoin se fait sentir.
Je constate que vous êtes d’excellents vendeurs, mais que vous
êtes aussi d’excellents acheteurs et que, dans le domaine des
garanties supplémentaires ou des produits financiers, vous
avez été et vous êtes encore des acheteurs crédules. Je suis
toujours étonné de voir des membres vendre des produits
distribués par de gens qui bâtissent leur commerce sur
les débris de compagnies qui se sont effondrées et ont
laissé marchands et consommateurs sans protection.
Quand les problèmes nous sont soumis, nous constatons
généralement que ces produits sont loin d’être plus
économiques que ceux des compagnies majeures et, surtout,
sont loin d’en avoir les qualités. Les grands arguments
qu’on vous sert pour vous vendre sont : tu me connais, nous,
on te donne plus de marge de manœuvre pour ta majoration.
La plupart de ces produits ont un dénominateur
commun : ils vous laissent complètement à découvert,
il n’y a rien d’autre pour les supporter que ce qui reste
des primes versées.
Votre association a fait ses devoirs et vous recommande des
produits de compagnies en qui vous pouvez avoir confiance.
Nous vous recommandons ceux de :
Garantie Nationale. Cette compagnie vous est recommandée
par l’AMVOQ depuis seize (16) ans pour ce qui concerne ses
garanties mécaniques. Ses produits rencontrent les normes
fixées par l’Office de Protection du Consommateur et, quant
à nous, le passé est garant de l’avenir.
Accès (VAG) est une organisation de grande qualité, crédible,
gérée par des gens d’expérience et qui a fait ses preuves. Ses
produits sont tous assurés par des compagnies majeures et
sécurisés, leurs outils de gestion sont à la fine pointe. Elle
offre une formation, un suivi et un encadrement hautement
professionnels par ses représentants, à travers tout le Québec.
Bientôt, elle vous offrira un outil de gestion informatisé
complet et totalement intégré.
ERM. Partenaire depuis deux ans, tous ses produits sont assurés.
Son offre couvre toute la gamme des produits dont vous avez besoin.
Groupe PPP, détentrice du premier permis émis par l’OPC
pour les garanties mécaniques, cette compagnie s’est associée
à La Capitale compagnie d’assurance. Sa stabilité financière ne
fait pas de doute. Ses compétences internes, ses outils de
gestion en font un fournisseur de choix. Elle vous offre
l’encadrement et la formation dont vous avez besoin.
Au cours des prochains mois, vous serez tous contactés par
ces entreprises. Elles vont vous proposer des produits de
qualité, avec lesquels vous pourrez faire d’excellents profits
et qui vous permettront de rencontrer les ratios habituels du
marché parce que leurs prix sont hautement compétitifs. Ce
n’est pas parce que leurs produits sont parmi les meilleurs
sur le marché, ce n’est pas parce que leurs outils de gestion
sont exceptionnellement bons et efficaces qu’ils coûtent plus
cher que les autres. Elles ont l’expertise, elles ont l’expérience,
elles ont le volume.
Associez-vous à des gagnants.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
31
AUTO PRÉVENTION
POUR VOUS
AIDER À
AMÉLIORER
LA SÉCURITÉ
DE VOS
EMPLOYÉS ET
RÉDUIRE VOS
COÛTS DE CSST
©iStockphoto.com/Jason Verschoor
AUTO PRÉVENTION
EST UN ORGANISME
PARITAIRE QUI A POUR
MISSION D’AIDER LES
EMPLOYEURS ET LES
TRAVAILLEURS DU
SECTEUR DES SERVICES
AUTOMOBILES À
PRENDRE EN CHARGE
LA SANTÉ ET LA
SÉCURITÉ DU TRAVAIL,
AFIN D’ÉLIMINER LES
RISQUES DE LÉSIONS
PROFESSIONNELLES.
Pour remplir cette mission, Auto
prévention un développé une gamme
de services et de documents qui
s’intègrent dans une démarche complète
de gestion de la prévention. En vous y
référant, vous pourrez tracer vous-même
votre cheminement. Ce sera à vous de
choisir ce qui vous convient le mieux,
selon la taille de votre entreprise, les
ressources dont vous disposez et l’état
d’avancement de votre dossier de
prévention.
En vous proposant des documents et des
méthodes simples, de la formation et un
soutien personnalisé, Auto prévention
vous offre des moyens qui ont déjà
démontré leur efficacité et qui vous
permettront d’améliorer vos façons de
faire et ainsi de vous comparer aux
meilleures pratiques de l’industrie.
Présents aux quatre coins du Québec,
ses conseillers sont là pour vous aider à
agir efficacement, au sein même de
votre entreprise en vous offrant des
services en santé et sécurité au travail :
• formation : plus de trente sujets de
formation disponible ;
• information : brochures, affiches,
fiches technique, etc. ;
• conseils et assistance technique
spécialisés en entreprise ;
- démarrage et animation d’un
comité de santé et de sécurité
- conformité aux exigences
réglementaires
(TMD’ SIMDUT) ;
- expertise technique pour
l’identification des risques ;
• recherche et développement de
solutions adaptées à vos besoins.
Ces services sont offerts sans frais aux
travailleurs et aux entreprises membres
de l’AMVOQ.
Auto prévention vous offre des services
chez vous, dans votre entreprise !
Contactez sans délais
QUÉBEC, BEAUCE, CHARLEVOIX,
BAS-SAINT-LAURENT
François Bilodeau
Téléphone : (418) 667-8812
(800) 363-2344 poste 251
Télécopieur : (418) 667-3536
(800) 910-0122
[email protected]
SAGUENAY – LAC-SAINT-JEAN,
ABITIBI, CÔTE-NORD, GASPÉSIE
Martin Bonneau
Téléphone : (418) 693-9071
(800) 363-2344 poste 252
Télécopieur : (418) 693-7911
(800) 910-0122
[email protected]
LANAUDIÈRE, LAVAL,
LAURENTIDES
Henri Paul Fillion
Téléphone : (800) 363-2344 poste 253
Télécopieur : (450) 979-5616
(800) 910-0122
[email protected]
MONTRÉAL (EST),
MONTÉRÉGIE (EST), ESTRIE,
MAURICIE – CENTRE-DUQUÉBEC
Gérald Gauthier
Téléphone : (450) 672-9330 poste 254
(800) 363-2344 poste 254
Télécopieur : (450) 647-0404
(800) 910-0122
[email protected]
MONTRÉAL (OUEST),
MONTÉRÉGIE (OUEST),
OUTAOUAIS
Jacques Lambert
Téléphone : (450) 672-9330 poste 255
(800) 363-2344 poste 255
Télécopieur : (450) 638-4217
(800) 910-0122
[email protected]
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
33
POUR MIEUX
VOUS SERVIR
IL Y A PLUS DE 17 ANS,
NOTRE CABINET, EN
COLLABORATION AVEC
VOTRE ASSOCIATION ET ING
COMPAGNIE D’ASSURANCE,
AVONS CONÇU UN PROGRAMME D’ASSURANCE
ADAPTÉ À VOS BESOINS
SPÉCIFIQUES.
Depuis, nous travaillons continuellement à le maintenir à jour selon l’évolution
du marché afin de combler vos besoins d’assurances, ce qui nous permet d’avoir
le produit de plus haute gamme sur le marché tant au niveau des protections que
du prix.
Afin de maintenir les standards de qualité et de mieux vous servir, nous avons
établi en collaboration avec votre association et ING une liste de cabinets
« meneur » dans les différentes régions du Québec. Ces cabinets ont reçu de la
formation spécifique à ce programme, possèdent l’expertise et toutes les
informations nécessaires pour répondre adéquatement à vos attentes.
Voici la liste par région :
Abitibi-Témiscamingue
André
Desmarais
Courtier
d’Assurances
ADC Assurances
50, 5e Avenue Est
La Sarre (Québec)
J9Z 1K9
(819) 333-5571
Montréal / Rive-Sud
Montérégie / Lanaudière
Groupe DPA Assurances
3395, rue Picard
Saint-Hyacinthe (Québec)
J2S 1H3
1 800 361-9866
Côte Nord
Estrie / Montérégie
André Desmarais
Nancy Duchesne
Mario Poirier
Favreau, Gendron
192, Saint-Pierre, bureau 100
Saint-Constant (Québec)
J5A 2G9
(450) 632-5512
Laurentides
Assurance Jones
255-3.1, rue de Martigny Ouest
Saint-Jérôme (Québec)
J7Y 2G4
(450) 432-2555
Outaouais
INOVESCO
500, Boul. Gréber, bureau 103
Gatineau, (Québec)
J8L 7W3
(819) 986-2789
©iStockphoto.com
Assurances Turcotte & Turcotte
690, Boul. Laure, bureau 104
Sept-Iles (Québec)
G4R 4N8
(418) 962-6915
Saguenay / Lac St-Jean
Tremblay Assurances
575, Dequi Nord
Alma (Québec)
G8B 5V9
(418) 662-6413
De plus, le programme d’assurance est
distribué par l’ensemble des cabinets
d’assurance du Québec qui représentent
ING compagnie d’assurance. Alors
n’hésitez pas à les contacter pour vos
besoins d’assurance.
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
35
LES ENCHÈRES F.L.Y. QUÉBEC INC. est une entreprise qui se spécialise dans la vente par encan de véhicules de tous genres.
Dotée d’une expérience de 25 années dans le domaine des encans d’automobiles, notre entreprise possède l’expertise nécessaire
afin de vous aider pour la vente de vos véhicules.
Les Enchères F.L.Y. Québec inc. vous offre
un service rapide, courtois, personnalisé et
de première qualité. Il est possible pour
notre clientèle, constituée de commerçants,
de profiter des services suivants :
•
•
•
•
Service de transport ;
Service de lavage à la main et remise à neuf ;
Possibilité de financement ;
Entreposage sécuritaire des véhicules (1 million de pieds carrés asphalté
et entièrement clôturé) ;
• Service de caméra digitale pour internet.
Les Enchères F.L.Y. Québec inc. est fière de son partenariat avec IMPACT AUTO AUCTIONS et vous invite à chaque
mois à son encan de véhicules accidentés. Nous offrons maintenant la possibilité à notre clientèle d’assister en direct
à cet encan via Internet. Allez faire un tour sur le site www.impactauto.ca pour en connaître d’avantage.
En terminant, l’équipe des Enchères F.L.Y. Québec inc. désire remercier tous ses clients et collaborateurs.
M. Yvon Bédard, président
601, route Lagueux, Saint-Nicolas (Québec) G7A 1A7
Téléphone : (418) 831-7656 • Télécopieur : (418) 831-2883 • www.encanfly.com
36 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
LA SOUPLESSE D’UNE PME
LA FORCE D’UNE GRANDE ENTREPRISE
Soyez parmi nous, sur place ou en ligne, tous les jeudis à 9h30
À tous les 2èmes jeudis du mois, surveillez nos encans de véhicules récréatifs.
www.encantransit.com
Profitez de notre site Web pour transiger en ligne 24 heures sur 24
et connaître nos événements spéciaux, promotions, nouveautés, etc.
FIERS DE VOUS SERVIR DEPUIS 1988
500, 1ère Avenue, Lévis (arrondissement St-Romuald) G6W 5M6
Téléphone : (418) 839-0070 Télécopieur (418) 839-1510 [email protected]
LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
37
©iStockphoto.com
Pourquoi
devenir
membre ?
Cautionnement à prix avantageux
300 $ par année / Gratuit après 5 ans
Annonces gratuites de vos véhicules
sur le site amvoq.ca
DEMANDE
D'ADHÉSION
Services juridiques conseils gratuits
Service de médiation-conciliation
gratuit / CAA Québec
Gestionnaire de véhicules / d'inventaires,
étiquettes de vitres, contrats, etc.
NOS PARTENAIRES
20-20
TECHNOLOGIES
514-332-4112
Logiciel et
Gestionnaires des
Véhicules
HEBDO-MAG
1 800 667-4444
Guide d’évaluation
ING - GROUPE DPA
1 800 361-9866
Assurances
BELL CANADA
1 866 673-4090
Téléphonie et
surveillance
LESPAC
514-282-8767
BELL MOBILITÉ
1 800 361-0040
Cellulaire
NAPA
1 800 561-1127
Pièces d’autos et de
camions
BID 1
514-616-2431
CAA-QUÉBEC
Médiation
conciliation
DEALER-ACCESS /
AUTO-ACCÈS
1 877 645-6287
DICOM
1 800 569-7007
Messagerie
GARANTIE
NATIONALE
1 800 363-4567
Garantie prolongée
mécanique
GESTION DE RISQUES
EXCELLENCE – ERM
1 800 838-7354
Produits F & I et de
crédit 2ième chance
38 LE MAGAZINE AMVOQ
VOLUME 17, NUMÉRO 2
5600, boulevard des Galeries, bureau 220, Québec (Québec) G2K 2H6
Téléphone : (418) 627-2164 / Sans frais : 1 800 569-7007 / Télécopieur : (418) 627-0349 / www.amvoq.ca / [email protected]
Je, soussigné, demande d’adhérer à l’AMVOQ inc. à titre de membre régulier. Je m’engage à me
conformer à ses règlements, son code d’éthique et à payer la cotisation annuelle fixée à
495,68$, incluant 26,10$ de TPS et 34,58$ de TVQ.
RENSEIGNEMENTS PERSONNELS
Date :
Nom :
Prénom :
SPÉCIALITÉS C.P.S.
1 800 263-5496
Accessoires et items
promotionnels
TECHNOLOGIES
20-20
514-332-4112
Site Internet
et autres services
internet
DESJARDINS
VISA
1 800-266-5662
F
Adresse :
Ville :
PÉTRO CANADA
1 800 668-0222
Essence
M
Tél. rés. : (
Code postal :
)
/
No d'ass. sociale :
Dossier criminel : OUI
NON
/
/
Date de naissance :
(Odomètre, fraude, vol, drogue, etc.)
/
Détail :
RENSEIGNEMENTS SUR L'ENTREPRISE
Nom de votre entreprise :
Adresse :
Ville :
Tél. bureau : (
Code postal :
)
Courriel :
Tél. cellulaire : (
Télécopieur : (
Nombre d'associés :
D’employés :
Nombre de véhicules en inventaire :
Vendus par an :
)
)
No de licence du commerçant (SAAQ) :
Date d'expiration :
No de TVQ :
No de TPS :
No d'identification de la SAAQ :
Toute fausse déclaration entraînera le refus de l’adhésion du futur membre et
des frais d’administration de 100$ seront dus et retenu sur les sommes reçus.
Toute demande d’adhésion sera refusée, si elle n’est pas accompagnée du
paiement de la cotisation.
Signature du futur membre
Je suis intéressé au cautionnement AMVOQ
Note : Lorsqu’un nouveau membre adhère, celui-ci doit acquitter la totalité de la cotisation, lorsque celui-ci devient membre entre le 1er avril et le 30 septembre.
Si celui-ci devient membre entre le 1er octobre et le 31 mars, un prorata mensuel sera appliqué sur la cotisation et le membre devra acquitter la cotisation
pour le nombre de mois restant, et ce, comprenant le mois en cours, et il devra aussi acquitter la cotisation annuelle complète pour l’année suivante.
Partenaire
Téléchargement