Exercice 3 : 1) a et c 2) a (et b hors programme de révision) 3) hors programme de révision (a et b) Exercice 4 : 1) a 2) a 3) c Exercice 9 : pour faire l’exercice il faut savoir que : glycogène = forme de stockage du glucose (il suffisait de jeter un œil sur internet) 1) 120min dans un exercice de faible intensité, 100min pour la moyenne intensité et 90 min pour une forte intensité 2) On observe que : plus l’intensité d’un exercice est élevée, plus la durée de l’exercice jusqu’à épuisement est faible. 3) On a évalué les réserves en glycogène du quadriceps, or le glycogène est une forme de stockage du glucose, donc on évalue de cette façon la quantité de glucose prélevée par le quadriceps pour réaliser l’effort (rappel : le glucose fournit de l’énergie pour faire fonctionner le muscle) 4) Dans le cas d’un effort de faible intensité on observe que la quantité de glycogène diminue de 20% en 120 min (c'est-à-dire jusqu’à épuisement), alors qu’elle diminue de 40% en 100min pour un effort de moyenne intensité, et de 80% en 90min pour un effort de forte intensité. (vous pouvez également faire une comparaison à temps égal , 90min par exemple, dans tous les cas, on s’aperçoit que plus l’effort est intense plus le glycogène est consommé par le muscle.) 5) D’après nos observations on peut en déduire que les glucides sont consommés en grande quantité par le quadriceps lorsque l’effort est très intense . Il est donc important d’avoir de grosses réserves en glucides avant une compétition d’endurance (effort intense sur une longue durée) c'est-à-dire beaucoup de glycogène. Un régimes riches en glucides permet de constituer ces réserves. Exercice 10 : 1) Cf graphique ci-dessous, auxquels il faut rajouter les titres des axes avec leurs unités, ainsi qu’un titre correct. 2) Plus l’intensité de l’effort augmente plus la fréquence cardiaque augmente : elle passe de 70 batt/min au repos à 180 batt/min à l’effort intense. Le VES passe quand à lui de 0.07L au repos à 0.12L environ lors de l’effort, quelque soit son intensité, donc on peut dire que le volume d’éjection systolique reste constant lorsque l’intensité de l’effort augmente. 3) Le débit cardiaque correspond au volume de sang éjecté du cœur par minute, c’est la FC (batt/min) multipliée par le VES (L) puissance de l'effort FC 0 50 100 150 200 VES 70 110 123 160 180 T° 0,07 0,12 0,13 0,12 0,11 37 37,5 38 38,5 39 Débit cardiaque 4,9 13,2 15,99 19,2 19,8 4) On observe que plus l’intensité de l’effort augmente, plus le débit cardiaque augmente (il passe de 13.2 L/min pour un effort de faible intensité à 19.8 L/min pour un effort intense). Cela permet d’envoyer de plus en plus de dioxygène et de nutriments (sources d’énergie), via le sang, aux muscles de plus en plus sollicités par l’intensité croissante de l’exercice. 5) Sur le graphique représentant la température en fonction de la puissance de l’effort, on observe une droite, c'est-à-dire que la température corporelle est proportionnelle à l’intensité de l’effort physique : plus l’effort est intense, plus elle augmente. Ceci peut s’expliquer par le faite que le dioxygène et les nutriments apportés aux muscles servent à fournir de l’énergie aux muscles grâce à une réaction chimique qui produit également de l’énergie sous forme de chaleur. (programme de 5ème) LEGENDES : En vert : nutriments, en bleu : dioxyde de carbone, en rouge : dioxygène, en jaune : énergie, carré noir : muscle, rond noir : réaction chimique, tube : sang. Schéma bilan des échanges entre sang et muscle Chaleur Energie utilisable