Version 3.0, 04/2013 ANNEXE I RESUME DES

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TYPE II CLINICAL VARIATION – ID201852
Nitrolingual Pumpspray BE129254
Version 4, 02/2016
RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
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Octobre 2016
TYPE II CLINICAL VARIATION – ID201852
Nitrolingual Pumpspray BE129254
Octobre 2016
RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
1.
DENOMINATION DU MEDICAMENT
NITROLINGUAL PUMPSPRAY 0,4 mg
Solution pour pulvérisation sublinguale
2.
COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Une dose (une pulvérisation) contient 0,40 mg de nitroglycérine.
Excipients à effet notoire : Ce médicament contient de petites quantités d'éthanol (alcool), 9,6 mg par
dose pulvérisée.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3.
FORME PHARMACEUTIQUE
Solution pour pulvérisation sublinguale
4.
DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
- Arrêt des crises d’angor
- Comme traitement prophylactique, juste avant un effort physique ou d’autres situations dont on sait
par expérience qu’elles sont susceptibles de déclencher une douleur cardiaque épisodique
(prophylaxie de l’angor).
Nitrolingual Pumpspray est indiqué chez les adultes. Aucune donnée n’est disponible concernant
l’utilisation de Nitrolingual Pumpspray chez les enfants.
4.2. Posologie et mode d’administration
Si les symptômes ne sont pas levés après l’administration de la posologie recommandée maximale, le
patient doit consulter rapidement un médecin.
Conseiller aux patients de s’asseoir pendant la prise de nitroglycérine par voie sublinguale, lorsque c’est
possible.
Posologie
- Traitement
Adultes
Dès l’apparition d’une crise d’angor ou juste avant les situations dont on sait par expérience qu’elles
sont susceptibles de provoquer une crise d’angor, en fonction de la gravité de la crise, administrer 0,4
mg à 0,8 mg de nitroglycérine (ce qui équivaut à 1 - 2 pulvérisations). En l’absence de réponse, la même
dose peut à nouveau être administrée après 10 minutes.
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Patients âgés
La survenue d’une hypotension et d’une syncope peut constituer un problème en cas d'utilisation de
dérivés nitrés chez les patients âgés. Il n’est pas nécessaire d’ajuster la dose.
Population pédiatrique
Aucune donnée n’est disponible concernant l’utilisation de nitroglycérine chez les enfants.
Mode d’administration
Avant chaque utilisation, enlever le capuchon protecteur en le tirant verticalement vers le haut. Afin de
se familiariser avec l’utilisation de Nitrolingual Pumpspray et de remplir complètement la chambre de
dosage lors de la première utilisation, actionner tout d’abord la valve et pulvériser le contenu dans l’air
jusqu’à ce que du liquide sorte (enfoncer fermement l’embout du pulvérisateur aussi loin que possible,
puis le relâcher). Cette précaution peut également s’avérer nécessaire si le pulvérisateur n’a plus été
utilisé depuis longtemps. Le pulvérisateur est maintenant prêt à l’emploi et n’a pas besoin d’être secoué
au préalable.
Pendant la pulvérisation, le flacon doit être tenu verticalement, avec l’embout du pulvérisateur en haut .
Positionner l’orifice de l’embout du pulvérisateur aussi près que possible de la bouche. Cet orifice est
facilement palpable et peut donc servir d’indicateur fiable sur l’orientation du flacon lorsqu’on utilise le
pulvérisateur pendant la nuit. La pulvérisation s’effectue dans la bouche, de préférence sous la langue, à
intervalles d’environ 30 secondes. Retenir son souffle pendant l’administration, ne pas inhaler la
pulvérisation.
À travers le flacon transparent, le patient peut contrôler le niveau de solution contenue à l’intérieur. Le
pulvérisateur peut être utilisé tant que le tube en plastic de la pompe est immergée dans le liquide.
Comme c’est le cas avec tous les autres pulvérisateurs, il y a un volume résiduel au fond du flacon, qui
ne peut pas être utilisé.
4.3. Contre-indications
Nitrolingual Pumpspray ne peut pas être utilisé chez les patients présentant les situations suivantes :
- hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.,
- insuffisance circulatoire aiguë (choc, collapsus circulatoire, choc hypovolémique),
- hypotension sévère (tension artérielle systolique inférieure à 90 mmHg),
- choc cardiogénique, sauf si une pression ventriculaire gauche télédiastolique élevée est assurée par
une contre-pulsion intra-aortique ou des médicaments inotropes positifs,
- angor secondaire à une cardiomyopathie hypertrophique obstructive, car il peut renforcer l’obstacle à
l’éjection,
- augmentation possible de la pression intracrânienne (p. ex. hémorragie cérébrale ou traumatisme
crânien),
- anémie sévère.
En raison d’une augmentation considérable de l’effet hypotenseur et des effets indésirables graves qui
en résultent (p. ex. syncopes, ischémies myocardiques paradoxales), certains médicaments (inhibiteurs
de la phosphodiestérase) utilisés pour le traitement de la dysfonction érectile ou de l’hypertension
artérielle pulmonaire ne peuvent pas être simultanément administrés avec un traitement existant par des
donneurs de monoxyde d’azote (p. ex. Nitrolingual Pumpspray).
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d’emploi
Population pédiatrique
Sans objet
Une surveillance médicale particulièrement attentive est nécessaire dans les situations suivantes :
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- patients ayant une péricardite constrictive ou une tamponnade péricardique,
- infarctus aigu du myocarde s'accompagnant d’une faible pression de remplissage ; éviter une
réduction de la tension artérielle systolique en-dessous de 90 mmHg,
- sténose aortique et/ou sténose mitrale sévère,
- tendance aux troubles orthostatiques de la régulation circulatoire,
- patients ayant une maladie vasculaire cérébrale, car l’hypotension peut précipiter la survenue
des symptômes,
- les patients ayant un glaucome débutant doivent éviter le traitement.
L’utilisation de nitroglycérine peut théoriquement compromettre l’apport de sang au myocarde chez les
patients ayant une hypertrophie ventriculaire gauche associée à une sténose aortique, en raison des effets
néfastes de la tachycardie et de la réduction de la pression diastolique aortique.
Des études hémodynamiques détaillées, réalisées chez un faible nombre de patients ayant une sténose de
la valve aortique, avec et sans coronaropathie concomitante significative étudiée en décubitus, n’ont pas
révélé d’effets indésirables de la nitroglycérine par voie sublinguale. Néanmoins, il semble nécessaire
d’être prudent lorsqu’on traite des patients ambulants présentant simultanément un angor et une sténose
aortique modérée à sévère.
4.5. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
La prise concomitante d’autres vasodilatateurs, d’autres antihypertenseurs (p. ex. ß-bloquants,
antagonistes du calcium, IECA, diurétiques), de neuroleptiques ou d’antidépresseurs tricycliques,
d’alcool et de saproptérine, peut renforcer l’effet antihypertenseur de Nitrolingual Pumpspray.
La N-acétylcystéine peut renforcer les effets vasodilatateurs de la nitroglycérine.
La prise concomitante de donneurs de monoxyde d’azote (p. ex. Nitrolingual Pumpspray) et de certains
médicaments (inhibiteurs de la phosphodiestérase) utilisés pour le traitement de la dysfonction érectile
ou de l’hypertension artérielle pulmonaire, renforce l’effet hypotenseur. L’administration concomitante
de donneurs de monoxyde d’azote, p. ex. la substance active de Nitrolingual Pumpspray, et de ces
médicaments est donc contre-indiquée (voir rubrique « Contre-indications »). Si un(e) patient(e)
traité(e) par ces médicaments pour une dysfonction érectile ou une hypertension artérielle pulmonaire a
besoin d’un dérivé nitré à action rapide (p. ex. en cas de crise d’angor aiguë), il/elle doit faire l’objet
d’une surveillance étroite.
Chez les patients ayant reçu un traitement antérieur par des dérivés nitrés organiques (p. ex. dinitrate
d’isosorbide, 5-mononitrate d’isosorbide), il peut s’avérer nécessaire d’augmenter la dose de
nitroglycérine pour obtenir l’effet souhaité.
En cas d’utilisation concomitante avec la dihydroergotamine, Nitrolingual Pumpspray peut augmenter
les taux de DHE et donc renforcer son effet hypertenseur.
L’administration concomitante d’héparine et de nitroglycérine réduit l’effet de l’héparine.
Population pédiatrique
Sans objet
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Fertilité
Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d'effets délétères sur la fertilité.
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Grossesse
Il n’existe pas de données sur l'utilisation de nitroglycérine chez la femme enceinte.
Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur
la grossesse, le développement embryonnaire/fœtal, l’accouchement ou le développement postnatal.
La prudence est de rigueur en cas de prescription chez les femmes enceintes.
Allaitement
On ne sait pas si la nitroglycérine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Un risque pour
les nourrissons ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d’interrompre l’allaitement soit
d’interrompre/de s’abstenir du traitement par nitroglycérine en prenant en compte le bénéfice de
l’allaitement pour l’enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
4.7. Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Même s’il est pris selon les instructions, ce médicament peut altérer l’aptitude à conduire des véhicules
ou à utiliser des machines. Après l’utilisation du pulvérisateur, il est recommandé au patient d’attendre
au moins cinq minutes avant de conduire un véhicule ou d’utiliser des machines. Si le patient a
l’impression qu’il va s’évanouir, s’il ressent des étourdissements ou un malaise, il doit attendre de se
sentir mieux. Ces effets peuvent survenir en particulier au début du traitement, suite à une augmentation
de la posologie, en cas de changement de médicament ou en cas d'association avec l’alcool.
4.8. Effets indésirables
Au début de la thérapie, des céphalées induites par les dérivés nitrés peuvent très fréquemment survenir,
mais cet effet indésirable disparaît généralement au cours de la poursuite du traitement (effet indésirable
globalement fréquent).
Également au début du traitement par nitroglycérine ou en cas d'augmentation de la dose, une chute de
la tension artérielle et/ou une hypotension orthostatique ont été fréquemment observées. Cet effet peut
s'accompagner d’une augmentation réflexe de la fréquence cardiaque (tachycardie), d’une asthénie,
d’une somnolence et d’étourdissements. Peu fréquemment, en cas de chute importante de la tension
artérielle, les symptômes d’angor peuvent être renforcés (réaction paradoxale aux dérivés nitrés).
Peu fréquemment, un collapsus, s'accompagnant parfois de dysrythmies cardiaques avec un
ralentissement de la fréquence cardiaque (arythmie bradycardie), et une syncope (perte de connaissance
brutale) sont observés.
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés suivant un ordre
décroissant de gravité.
Les effets indésirables sont mentionnés ci-dessous, par ordre décroissant de fréquence de survenue :
Très fréquent
Fréquent
Peu fréquent
Rare
Très rare
Fréquence indéterminée
(≥ 1/10)
(≥ 1/100, < 1/10)
(≥ 1/1 000, < 1/100)
(≥ 1/10 000, < 1/1 000)
(< 1/10 000)
(ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
Affections du système immunitaire
Peu fréquent : hypersensibilité
Affections psychiatriques
Très rare : agitation
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Affections du système nerveux
Fréquent : céphalées, étourdissements, somnolence
Peu fréquent : syncope
Très rare : ischémie cérébrale
Affections cardiaques
Fréquent : tachycardie
Peu fréquent : augmentation des symptômes d’angor, bradycardie
Affections vasculaires
Fréquent : hypotension orthostatique
Peu fréquent : rougeur du visage, collapsus cardiovasculaire
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Très rare : troubles de la respiration
Affections gastro-intestinales
Peu fréquent : nausées, vomissements
Fréquence indéterminée : gonflement de la langue **
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Peu fréquent : dermatite allergique **
Très rare : dermatite exfoliative
Troubles généraux et anomalies au site d'administration
Fréquent : asthénie
Fréquence indéterminée : tolérance médicamenteuse *
Investigations
Fréquent : chute de la tension artérielle
* Le développement d’une tolérance et la survenue d’une tolérance croisée à d’autres dérivés nitrés ont
été décrits. Afin d’éviter une atténuation ou une perte de l’effet, éviter l’utilisation continue d’une
posologie élevée.
** Peu fréquemment, des réactions d’hypersensibilité peuvent survenir et se présenter p. ex. sous la
forme d’une dermatite allergique ou, dans des cas isolés, d’un gonflement de la langue.
Remarque :
Pendant l’utilisation de Nitrolingual Pumpspray, une hypoxémie transitoire peut survenir suite à une
redistribution relative du flux sanguin dans les régions alvéolaires hypoventilées ; chez les patients
ayant une cardiopathie ischémique, cela peut mener à une ischémie.
Population pédiatrique :
Sans objet
Déclaration des effets indésirables suspectés
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La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle
permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé
déclarent tout effet indésirable suspecté via :
Agence fédérale des médicaments et des produits de santé
Division Vigilance
EUROSTATION II
Place Victor Horta, 40/ 40
B-1060 Bruxelles
Site internet : www.afmps.be
e-mail : [email protected]
4.9. Surdosage
Symptômes d’un surdosage
Les signes et les symptômes d’un surdosage sont généralement similaires aux effets indésirables
décrits : p. ex. une chute de la tension artérielle s'accompagnant de troubles de la régulation
orthostatique, d’une tachycardie réflexe et de céphalées, une faiblesse, des étourdissements, des
bouffées vasomotrices, des nausées, des vomissements et une diarrhée peuvent survenir.
En cas d’utilisation de doses élevées, il faut s’attendre à la survenue d’une méthémoglobinémie, d’une
cyanose, d’une dyspnée et d’une tachypnée, en raison des ions nitrés formés au cours de la
métabolisation de la nitroglycérine.
En cas d'utilisation de doses très élevées, une augmentation de la pression intracrânienne peut survenir
et s'accompagner de symptômes cérébraux.
En cas de surdosage chronique, une augmentation des taux de méthémoglobine a été constatée mais la
pertinence clinique de cette observation est controversée.
Traitement
En cas de surdosage, évaluer l’état clinique du patient, y compris les signes vitaux et l’état mental, et
appliquer le traitement de soutien cliniquement indiqué des systèmes cardiovasculaire et respiratoire, ou
le traitement recommandé par le centre Antipoison national, si disponible.
En cas d'hypotension légère, l’élévation passive des jambes du patient et/ou l’abaissement de la tête,
peut s’avérer efficace.
Réaliser une ponction artérielle pour estimer les gaz du sang. En cas d'acidose ou si le patient est
cliniquement cyanosé, envisager la possibilité d’une méthémoglobinémie sévère.
Une oxygénothérapie doit être administrée avec 1 à 2 mg/kg de poids corporel de bleu de méthylène par
voie intraveineuse, sur une durée de cinq minutes, sauf si l’on sait que le patient présente un déficit en
G-6-PD.
Population pédiatrique
Sans objet
5.
PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
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Classe pharmacothérapeutique : Système cardiovasculaire – Thérapie cardiaque -Vasodilatateurs pour
maladies cardiaques-nitrates organiques- nitroglycérine, code ATC : C01DA02
L’effet vasodilatateur périphérique de la nitroglycérine provoque une réduction du retour veineux vers le
coeur. Il s’ensuit une réduction de la précharge ce qui se traduit par un abaissement de la pression de
remplissage du ventricule gauche, une réduction de la tension pariétale myocardique et une diminution du
volume de ventricule gauche, correspondant à une baisse de la postcharge.
Il en résulte une diminution du travail cardiaque et une réduction des besoins du myocarde en oxygène.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Après une administration par voie buccale, l’absorption est totale et très rapide ; les premiers effets se
manifestent déjà après quelques dizaines de secondes.
La nitroglycérine est présente sous forme libre et sous forme liée aux protéines plasmatiques. Sa demi-vie
plasmatique est comprise entre 2,5 et 4,4 minutes. Elle est métabolisée en dérivés mono- et dinitrés,
excrétés par voie urinaire.
5.3. Données de sécurité préclinique
Aucune donnée disponible.
6.
DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Triglycérides à chaine moyenne
Glycérides à chaine moyenne partiellement hydrolysés
Ethanol
Huile de menthe
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
Durée de conservation : Ne pas utiliser après la date de péremption indiquée sur l’emballage après le
sigle « EXP » ; cela signifie que le médicament est périmé le dernier jour du mois indiqué (mois/année).
6.4. Précautions particulières de conservation
Conserver à température ambiante (15-25°C).
6.5. Nature et contenu de l’emballage extérieur
Flacon pulvérisateur en verre plastifié transparent contenant minimum 200 ou 250 doses.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et manipulation
Sans objet.
7.
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TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
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TRAMEDICO S.A.
Walgoedstraat 12 A
B – 9140 Temse
8.
NUMERO D'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
BE129254
9.
DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE
L'AUTORISATION
Date de première autorisation : 25/10/1984
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
Octobre 2016
Date de la dernière approbation du résumé des caractéristiques du produit : 02/2017
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