
3 
 
Le cours doit être complété par le PPT de la prof ! (jamais récupéré) 
sExemple : la rumeur ! C’est un des phénomènes les plus difficiles à traiter par l’entreprise. 
La rumeur a une apparence de crédibilité ce qui explique sa faciliter de développement. Elle a 
même tendance à rebondir. Différentes types de rumeurs : la rumeur grand public, rumeur 
entreprise ; le buzz (il n’utilise pas de médias spécifiques, mais tous les canaux de com° afin 
d’arriver  faire parler d’un produit ou d’une entreprise).  
Ex 2 : Les bruits ! Ce sont tous les messages qui parasitent la com°.  
¤ Le récepteur, c’est le consommateur, le client, l’acheteur professionnel/non, le leader de 
l’opinion, les prescripteurs, etc. Réfléchir au récepteur renvoie aux différentes explications et 
théories du comportement du consommateur. Le visuel publicitaire joue sur le prix pour influencer 
le récepteur.  
¤ Le codage/décodage des infos renvoie à la sémiotique (= étude du système de signe non 
linguistique). Le signe se compose de 2 éléments :  
 signifiant (= expression du signe) et  
 signifié (= le contenu, le sens du signe) reliés entre eux par le mode de signification.  
 
    Codage     
Signifié        Signifiant 
    Décodage     
 
Analyse de la relation entre signifiant et signifié (p.40) : la relation est conventionnelle, elle 
résulte d’un accord entre … 
 La convention explicite : que tout le monde donne le même sens à ce signe, ex : code en 
matière de lavage de linge, panneaux sur la route. A chaque signe est associé un seul sens.  
 La convention implicite : chaque personne a une interprétation et un sentiment différent 
envers le signe.  
Les codages du signifié en signifiant est une étape essentielle de la com° du message 
compréhensible par son destinataire. Une relation trop floue risque d’être male comprise. De 
manière absolue, une com° sera efficace et comprise si chaque signifiant correspond à un seul 
signifié, et si chaque … signe monosémique/polysémique (p44). Ex : les assurances ayant une 
image plutôt négative auprès du public, utilisent plus souvent de l’humour dans ses publicités pour 
atténuer cette image.  
Choix du code de com° par l’émetteur : la source ou l’émetteur doit choisir son code, càd qu’il 
doit choisir entre dénotation (= construction de valeurs objectives) et connotation (= construction 
de valeurs sociales ? …).  Souvent les signes utilisent des dénotations et des connotations de 
manière combinée. (P46) 
¤ Le feed-back, c’est le retour de l’info du récepteur vers l’émetteur. Il peut prendre 
différentes formes. Les médias publicitaires (…) . P48 
 
L
A STRATEGIE DE COM
° 
Elle s’intègre dans le cadre de la stratégie marketing. Il faut réfléchir aux meilleurs moyens 
de com° en fonction du message qui veut être passé aux cibles. Toute réflexion sur la com° doit 
s’effectuer dans la contrainte des objectifs-marketing, de la stratégie marketing et de ses 
principales décisions (cible, positionnement de la marque dans l’esprit du consommateur). Les 
objectifs de com° (notoriété) sont moins importants que les objectifs économiques (CA, 
rendement) de l’entreprise. Schéma : (p50) 
Le marketing mix comprend l’ensemble des variables qui permettent à l’entreprise d’agir 
sur le marché : stratégie du produit/prix/D°/com°. L’ensemble des variables composantes du 
marketing mix doivent être cohérentes entre elles, car elles sont reliées.  
Il faut distinguer entre objectifs de com° (=>cognitifs/affectifs/conatifs) et objectifs 
marketing (=> part de marché, volume de vente, contribution au profit de l’entreprise).  
 Objectif cognitifs : c’est ce que le produit évoque chez le consommateur, la croyance que 
l’on a par rapport aux marques et aux produits