C’est une tâche assez ardue de rédiger quelques mots de remerciements pour la réalisation
d’un travail de recherche qui aura duré 4 ans, ceci en raison du nombre de personnes
rencontrées, des évolutions ayant marqué ma vie professionnelle et personnelle, et de la
multiplicité des postes occupés.
Il est pourtant naturel de commencer en remerciant chaleureusement Madame le Professeur
Edith Ginglinger, qui, depuis mon année de DEA, a encadré et guidé l’avancée de mes
travaux. C’est tout autant pour la pertinence et la justesse de ses conseils scientifiques, mais
surtout pour la disponibilité et la gentillesse dont elle a fait preuve tout au long de ces années
que je souhaite lui exprimer aujourd’hui toute ma gratitude. J’espère d’ailleurs que cette
collaboration, fondée sur le respect et la confiance mutuelle, durera dans les prochaines
années.
Je remercie également MM. les Professeurs Louvet, Hamon, Lobez et Gajewski, et Mme le
Professeur Ginglinger, de m’avoir fait l’honneur de participer à ce jury.
Je souhaite également témoigner toute mon amitié aux membres de l’Institut de Recherche en
Gestion de l’Université Paris 12, qui m’ont apporté une aide précieuse et un encadrement
efficace pendant les trois premières années de ma thèse. Je citerai entre autres les professeurs
Jean-François Gajewski, Nathalie Mourgues, Pascal Grandin et Gérard Koenig, qui m’ont
accordé leur confiance et leur soutien. De plus, je voudrais souligner la disponibilité de
Gabrielle Stragand, d’Armelle Glérant-Glickson, et d’Arnaud Thauvron. Enfin, je profite de
ces quelques lignes pour remercier et exprimer toute ma sympathie à mes camarades
doctorants, et notamment, Simon Atron, Florence Amans-Labégorre, Shéhérazade Gatfaoui,
Eric Ducros, Sabri Boubaker, et tous ceux que j’oublie.
Ma volonté de quitter Paris m’a amené à exercer mes fonctions d’ATER à l’IUT de Valence,
et à rejoindre l’équipe de recherche du CERAG de l’Université Pierre Mendès-France de
Grenoble. A ce titre, j’aimerais remercier les responsables de l’IUT pour leur accueil amical
et leur compréhension, qui m’ont permis d’achever sereinement ma thèse : je pense entre
autres à Gérard Jouve, Philippe Madiès, Yves Lequin, Stéphanie Karcher, Laurence Carsanna
et Sabine Reydet, et à tous mes collègues enseignants. De plus, mon intégration au laboratoire
du CERAG a été largement facilitée par l’enthousiasme de ses membres, et notamment par la
bienveillance des professeurs Pascal Louvet et Patrice Fontaine, et de Charlotte Disle.
Mon entourage personnel a été un élément clé de ma réussite grâce à l’affection, le réconfort
et le soutien moral que ces êtres qui me sont chers m’ont naturellement apportés. Ma famille,
et particulièrement mes parents Denise et Jean-François, mon frère Matthieu et sa femme
Hélène (et Lise !), a constitué un allié de tous les instants que toute ma reconnaissance ne
pourra jamais assez remercier. Enfin, comment ne pas rendre hommage à la personne qui
partage ma vie, qui a enduré tous les moments difficiles et vécu les instants de joie, et qui m’a
fait don de son amour : Sabrina Pruvot. Ma dernière pensée ira à mes deux grand-mères,
Suzanne et Yvonne, et mon grand-père Camille, disparus durant ces années d’études, et qui,
j’espère, seraient fiers de moi.