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Les hommes qui participent à des sports où le poids a une
importance, comme chez les jockeys, les lutteurs et les coureurs,
on rencontre des risques accrus de développer un trouble
alimentaire tels que l'anorexie ou la boulimie. La pression de
réussir, d'être le meilleur, d'être compétitif et de gagner à tout
prix combiné à des pressions qui ne sont pas d'ordre sportif
(problèmes relationnels, familiaux, abus, etc.) peut contribuer au
début de leur trouble alimentaire.
Il semble être plus commun pour les victimes de sexe masculin de
souffrir simultanément d'alcoolisme et/ou d'usage de drogues
(même si de nombreuses femmes souffrent de ces problèmes
combinés avec un trouble alimentaire). Ceci peut être du à la
nature de leur santé mentale qui est plus encline aux dépendances
combinées au fait que la société est assez indulgente par rapport
à l'image de l'homme buvant plus que de raison. De plus, les
hommes souffrant d'anorexie et de boulimie sont plus sensibles à
l'anxiété sexuelle. Il peut également y avoir un lien chez les
hommes entre les troubles de l'attention et de l'hyperactivité,
l'anorexie, la boulimie et la violence auto-infligée. Des
recherches plus approfondies devraient être faites dans ce
domaine. Chez toutes les victimes, aussi bien chez les hommes
que chez les femmes, on peut retrouver des maladies
psychologiques co-existantes, comme la dépression, l'anxiété, le
stress post traumatique, des comportements d'auto-violence et
d'abus de substances, des troubles obsessifs-compulsifs de
personnalité borderline et de syndrome de personnalité multiple.
Les choses la plus important à retenir est que la plupart des
facteurs psychologiques qui mènent au développement d'un