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on la ramène àl'équation (4) en posant a=In, et changeant
xen??x. Les polynômes Pncorrespondants vérifient, comme l'a
montré Tisserand, la relation
essentiellement distincte de (6).
Toujours dans l'hypothèse où ane dépend pas de n, nous
signalerons encore la relation
Considérons de même l'équation
C'est une équation du type de Fuchs, mais on ne peut, au moyen
d'un changement de variable dans le domaine réel, la ramener
àl'équation de Gauss. En posant
on est conduit àl'équation
Or, si l'on dérive nfois l'équation
on retombe, en posant u(n) ~z, sur l'équation en z. L'équation
en uadmettant l'intégrale (x2+i)nn~aesarctg*,e 5arctg*, l'équation en z
dn
admet l'intégrale ?-[(x2+1))n~aee barc tgx],àlaquelle corrres
dx
pond pour l'équation en yun polynôme de degré tt, lin. Nous
poserons
(8)
C'est la formule de définition des polynômes Y\n,
Remarquons que, quand best nul et aentier positif, la formule
(8) devient illusoire dès que les entiers net a, ce dernier dépendant
ou non de n, vérifient la double inégalité ~<a<n:le poly