1240
6.La néphrolithotomie percutanée (N.L.P.C.) chez le sujet âgé de 70 ans et plus : étude multicentrique de 210 cas (P. 1140. )
Chez un sujet âgé de 80 ans, ASA 2 ou 3, sans antécédent lithiasique, porteur d’un calcul pyélique de 25 mm (1 réponse fausse)
A)La NLPC peut être proposée de première intention avec un taux de succès probable de 81%.
B) La ponction peut être faite par l’urologue avec les mêmes risques qu’un radiologue.
C) Le risque de retentissement sur la fonction rénale ou l’hémoglobine santuine est plus important.
D) La NLPC y a les mêmes chances de succès si le malade est diabétique.
E) La sonde urétérale est plus souvent laissée en place que chez le sujet plus jeune.
Chez un homme âgé de 80 ans, non obèse, ASA 3, porteur d’un calcul unique de 15 mm dans le calice inférieur (1 réponse fausse)
A) La NLPC est possible avec un taux de succès escompté de 90%.
B) La facilité de ponction y est identique à celle du sujet jeune.
C) Le calcul peut être extrait en monobloc dans une gaine d’Amplatz de 30 Ch.
D) Le risque d’hémorragie est plus important que chez le sujet jeune.
E) Le malade peut être informé d’une durée moyenne de séjour de 6 jours environ.
7. Efficacité de la lithotritie extra-corporelle dans la phase aiguë de la colique néphrétique. Etude sur 57 patients consécutifs
(P. 1146 ) (1 réponse fausse) :
A) Les séances de LEC se réalisent le plus souvent sous anesthésie générale.
B) Le taux de succès sur les calculs de l’uretère pelvien est meilleur que celui sur les calculs de l’uretère lombaire.
C) La LEC a une efficacité maximale sur les calculs d’une taille inférieure ou égale à 10 mm.
D) Une infection urinaire fébrile contre-indique la LEC.
E) Si l’efficacité de la LEC est améliorée après une deuxième séance, une troisième tentative apportera peu de bénéfice.
8. Composition des calculs observés aujourd’hui dans les pays non industrialisés (P. 1151) (1 réponse fausse)
A) calculs majoritaines en oxalate de calcium sont devenus les plus fréquents dans la pluspar tdes pays du monde, y compris les pays
en développement.
B) La lithiase endémique vésicale régresse dans tous les pays en développement.
C) L’acide urique est le principal composant des noyaux de calculs chez l’enfant des pays en développement.
D) La plus forte prévalence de lithiase urique est observée en Polynésie française (Tahiti).
E) La plus forte prévalence de lithiase d’infection est observée en Afrique sub-saharienne.
9. Le risque urétéral en coelio-chirurgie (P. 1162)
Concernant les lésions iatrogènes de l’uretère en chirurgie coelioscopique (1 réponse fausse):
A) L’expérience insuffisante de l’opératuer est un facteur favorisant.
B) Les difficultés peropératoires sont un facteur favorisant.
C) La coagulation monopolaire diminue le risque de lésion.
D) Le délai diagnostique influence les modalités de la prise en charge.
E) Le scanner injecté avec coupes à la phase tardive est l’examen de référence pour le diagnostic.
10. Traitement de l’incontinence urinaire post-opératoire de l’homme par la prothèse INVANCE® : résultats préliminaires
(P. 1171)
Le traitement de l’incontinence urinaire post-opératoire de l’homme par la prothèse INV
ANCE®(1 réponse fausse) :
A) Est indiqué dans le traitement des patients présentant une incontinence urinaire d’effort faible ou modérée après chirurgie prostatique.
B) Est une technique mini-invasive réalisée par un abord périnéal.
C) Utilise une plaque en polyester fixée aux branches ischio-pubiennes.
D) Nécessite une incision du muscle bulbo-caverneux et une dissection de l’urètre bulbaire.
E) Le réglage de la tension de la plaque peut être réalisé par un test à la toux.