Séminaire Henri Cartan H ENRI C ARTAN Ouverts fondamentaux pour le groupe modulaire Séminaire Henri Cartan, tome 10, no 1 (1957-1958), exp. no 3, p. 1-12 <http://www.numdam.org/item?id=SHC_1957-1958__10_1_A3_0> © Séminaire Henri Cartan (Secrétariat mathématique, Paris), 1957-1958, tous droits réservés. L’accès aux archives de la collection « Séminaire Henri Cartan » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ Séminaire H. CARTAN, 3-01 E.N.S., 1957/58. 25 novembre 1957 OUVERTS FONDAMENTAUX POUR LE GROUPE MODULAIRE par Henri CARTAN 1. Opérations , du groupe symplectique dans l’espace de Siegel. précédent, avec quelques nodificatiom reprend en partie la fin de Jans notations ; on délire notamment que le groupe symplectique spère à gauohe On dans l’espace Siegel, conformément de GL(2n , 20 est le sous-groupe des matrices symplectique Le groupe habi-tudes. aux qui conservent la forme bilinéaire alternée 1 o J forme dont la matrice est ’ symplectique ~ . { B-1 ~n est Utilisant les minuscules latines pour La condition qui exprime M que est ~/ 0 les matrices à désigner n et lignes n co- - ~’"’’-~. . lonnes, Alors (1) se traduit par (M) = det que 1 si M l’est ; donc les relations (2) remplaçant M par tM) : tique, en est On s’intéresse maximal K = (précisons (l ) ~ sont De équivalentes plus! aux si symplec- est M suivantes (obtenues a t b = b t a, (2~) court symplectique. G). quotient au du groupe G = Sp(n , R~ 0(2n , R~ ~ formé des matrices orthogonales quotient G/K se compose des classes à gauche MK , Sp(n , que ce Pour que la relation par le sous-groupe M JM = appartienne à K ~ il MJ (qui exprime que symplectiques et où faut et il suffit que l’on M est compact M par- ait, linéaire-commplexe pour 1"- outre complexe définie par J structure où satisfont b et a qui expriment que a + conditions aux U(n) . s ’identifie à K est unitaire. Ainsi ib de la forme On trouve ainsi les M sur .---...---,-...-___.~.._____~ -. À £il OE chaque sitive non M et que qui est symplectique, symétrique et po- associons M dégénérée; hi pour que aient même M’ et scient dans la même classe à Fi’ gauche il faut et il suffit image, suivant K ; comme toute ma- symplectique (ce qui se voit en réduisant P à la forme diagonale par une transformation symplectique) , on voit que l’espa,ce homogène G/K se réalise comme l’espace des matrices P symplectiques et symétriques positives; G opère à gauche dans cet espace par ) Mp tM ~ (M , p) Dire qu’une P symétrique est symplectique, revient à dire que (PJ)2 = 12n . trice symplectique positive Donc PJ défini t est alors une structure complexe (complexe) n , conjugués (4 ) Si et sont dans y On a 5> P-1(x , Jx , y> = P si c V x x é V sous-espace vectoriel de dimension Ainsi mension G/K n = - x V , y é l’intersection de en (4) ; 12n , alors P est nons-nous une et de (5 ) exprime = que son conjugué 0 . Définissons l’espace matrice inversible à n L sauf que lignes n é V , x est / satis- de V’ est réduite à une matrice réelle et 0 . » 0,; 0 , et des sous-espaces vectoriels de di- qui satisfont à (5 ) . Pour définir application C-linéaire L : en --% V , x pour symétrique Pest C2n est déterminée par 0 égale P-1 symplectique. s’identifie maintenant à de V J(x, Z) doit avoir iJx , z> > V ; V’ , est identiquement nulle; puisque G V , x ù 0 ; d’où finalement pour un y) et 0 fl V’ , (PJ)2 iÎ(x , symétrique donc est pour R2n et ix > 0 par la condition Puisque la forme bilinéaire - V de étant défini par V x) Réciproquement, soit faisant à (5 ) . Alors car V , iJ(x, y) , à la forme a,lternée )0 , (complexes) l ’autre, = C2n complexifié Le l’un de M avec sur OE V y*+% PJX x x M est de la forme directe de deux sous-espaces vectoriels somme de dimension P et est l’une des matrices attachées à peut n P , être un remplacée don- tel sous-espace ayant V pour pa.r Lk, où V , iwage ; k est L une colonnes. On voit immédiatement que si la matrice ML est l’une des matrices L attachées à Les MP Explicitens, (complexes) à en n L sous et n colonnes ; (6) lignes (6 ’ ) exprime deuxiène relation G en . d0t Q L~ pour Il en ux et résulte que ux (L) 1 0 , risée par forme (uv) B /j écrivant herni tien des veoteurs x (5) donnent, les conditions nécessai- et suffisantes res La conditions det (v) / qui est u , et devient 0 partie imaginaire du produi t scalaire est> 0 , quel que soit le vecteu: non nul et vx ù 0 x pour à0, 0 . Donc la classe de la matrice une étant des matrices v que la vx £ la natrice complexe autrement dit L ( uv) est = (6) Les relations z . on caracté- deviennent définitive, l’espace homogène G/K s’identifie à l’espace de Siegel Sn , formé des matrices complexes sysmétriques z (à n lignes et n colonnes) telles 0 . Explicitons les opérations de G si M est une maque n trice M transforme L en ML , donc opère on a vu que En symplectique (ac bd) , et sur u v comme Dor, sur z = uv-1 , suit : M opère par et les Il est facile P matrices En séparant On voit en d’expliciter la correspondance entre les points symplectiques, symétriques et positives. D’après (4), le réel et tenps l’imaginaire, et que la natrice P en posant z symplectique = x + et iy , on a on la trouve plus générale a ( /s- b bB ) la forme cd ad2014 db , = est une telle En les éléments de ( ab) _~ * a ne tb , = c ac = indépendantes) ; sont pas toutes ba . P si la matrice stabilité qui opèrent identiquement dans Sn ; est le groupe de z égale du point ce ~~’ ~ à J lé SOUS- Cherchpns = z sont les matrices telles que b exige 1 = n une formé de (remplacer (3 = tout a" ’ec A == - on a ~ définissent et 12n JB z par z , donc -12n ~ A étant un est de la forme a les opérations fidèle du quotient de représentation de G scalaire /B *1 G , = réel) ; et (le plus puisque ~) dans _~y n par le sous-groupe à 2 élé- c de Par la transformation de J-) 2; 1 . En Autre modèle pour 2. symétriques éÔ 0 , associée est z correspond 12n G de G doit commuter a conditions la matrice P sont ~ Ceci a à ?É compact (ces n cl et a 1 = matrice, particulier, groupe où Siegel. Cayley complexes et symétriques w , telles que ww ensemble qui est évidemment un ouvert borné de Le groupe symplectique se transforme dans un groupe transitif d’automorphismes de se transférée dans l’ensemble des n-matrices ’ . cet ouvert, où a et à savoir b sont des matrices Le groupe de stabilité du point Sous cette (~ i i , Partie forme, ce complexes satisfaisant w = "domaine borné 0 à est homogène" aV2_Í t été indiqué par E. CARTAN Il résulte d’un théorème général de 2, p. 1293 ? "Type la théorie des espaces symétriques (loc~ cit, ) que ce domaine n’admet pas d’autre automorphisme que ceux du groupe précédent. On peut d’ailleurs le vérifier : c’est un donaine cerclé (i.e. stable par les homothéties de rapport ei03B8 ), et l’on sait 1, vol. que tout automorphisme d’un domaine cerclé borné, qui laisse fixe l’ origine, est une transformation linéaire sur les variables complexes ; il reste seulement à vérifier, par un c alcul stable élémentaire, que les seules transformations linéaires qui laissent (12). ont la forme 5n , on voit qu’il n’admet pas l’espace de Siegel phisme analytique-complexe que ceux définis par la forculc (9). Revenant à d’autre automor- 3. Invariants différentiels. On va chercher dans G = groupe ~~z on a $ , Sp(n , R) .Un t et Etant donné 1 ,1 sont celles de z w x a- des expressions différentielles calcul immédiat montre que si désignant les différentielles de les matrices où z d c ib for~~e est la natrice unitaire la et (az + b)(cz z’) qui transforment ~ a ~ = est dans le point La formule plus différentielle est aussi égal à (~ (quadratique hermitienne) des covecteurs On Ceci prouve que la for- re G . Elle invariante par le groupe nulle, ce qui exige 03B4z tien défini positif, invariant est , déduit et le second me d ~ ~1 , i , . z indique alors comment la transformation considérée applique l’espace tangents au point z sur l’espace des covecleurs tangents au point en + b (a , z’ invariantes par le = ne 0 . Donc par peut être nulle que si la forme l’expression (15) définit G . On va voir e cc dsz un est ds2 hermikählérien. Pour cela, on considère la forme quadratique extérieure 03A9 associée au ds2 , à savoir 1 ( ~ y )00FF 1 _ - ~ (y 1 ) ~ Or Il s ’ensuit que àÉà (x.. ) ij et Si x = = de sorte que ds2 0 : le y~~ yJij. , = est bien kählérien. on a n(n+1) 2, élevant 03A9 àà la puissance extérieure d’ordre extérieure en G est invariante par trouvée ainsi 4. produit extérieur). un près . est bien définiun facteur constant produit des éléments (enp o sant toujours volune invariant est le et de voit que la forme l’élément de volume invariant dans sait, comme on (le symbole TT désigne on de par = x + K = avons G i lequel! On voit que cet élément de de volume euclidien de z Nous l’espace de x iy). Sous-groupes remarguables. Dans Sp(n , R) , G == considérera, on outre 0(2n , R) , Sp(n , les sous- groupes suivantss des T : sous-groupe par T I n Z ~ H c 0 p = bd) les transformations de n définies T possède un sous-groupe invariant U , formé des matrices S . n 0 tels que c sont les suivantes Le groupe 1 . ), z + est symétrique ; Où s s . Le groupe T Est les transformations de direct produit crcisé de U U sont les translations et du sous-groupe famé dos transformations . Pour que deux matrices .a bB j et d c’ il faut et il suffit que ~c droite suivant U i b’) c = appartiennent d = d= . à la même classe à Le groupe "bB j a a modulaire à éléments entiers . Il JT définit éléments d = possède z’ Si les sous-groupes suivants : ~ a(z + a est unimodulaire à coefficients entiers, sont à coefficients entiers) les transformations définit les translations H ~ 0393 formé des matrices G cor:pose du sous-groupe de se est transformé de z ~ z définit les "homothéties" z par où z z ~ une + az est s (en effet,, entiers à symétrique et a symétrique entière ; s, s ta , où - a est unimodulaire entière. F’ ~ transfornation de on a, d’après (14) : 5. Définition d’une famille d’ouverts fondamentaux. A chaque nombre réel suit : étant donné y -1 x ,. et nettons raents z di > 0), et u > 0 = x + v iy ,. notons uno matrice satisfaisant p. aux triangulaire ~ 0 au sens "(u) strict, se avec que assez pour le groupe nodulaire JT’ * l’Exposé 2, 1) : p. pour tout si une il n’existe ..- est une matrice symétrique diagonale (à élé- cest-à-dire compose des = z x + iy l’exposé les notations de ~ Pour (a) (b) connue 2014u 7-8). Alors, par définition, inégalités (en nonbre fini) : (Les inégalités (ii) expriment 1, P. 8). défini les éléments de la matrice d -- (cf. Exposé 1, xjk la forme sous .~~u ) associons l’ouvert u > matrice qu’un grande D’une façon 0 , la mesure symplectique nombre fini de - ..- .-. l’ouvert est précise (cf. appartient M. 6 f telles 1 est à que i * fondamental (M) de finie ; 0393 (notation ~ ouvert les conditions ’ invariante de M un de l’Exposé 2, rencontre p. 1) (c ) si ~(u ) 1~ les .r est y0 u (a) L’assertion image On ~. (u ) (b). phisme de Snn G Le groupe Soit sur associe la matrice des matrices l’espace opère sur Gn l’ouvert de Gn , image est le groupe des natrices (paragraphe 1) a vu = l’espace 2n iy ~ Sn, x + = que Observens d’ abord à coefficients rationnels. On et est réunion des transformés de inégalités (i ) f (ii )! (iii) entraînent l’espace y’" ) est bornée ; donc cette dans tiques chaque Dans Siegel est presque évidente : les de? démontrer z de volune euclidien fini. si un va grande l’ espace ~ JT’ . effet que en assez P-1 symplecl’application qui? à que (10’ est un symplectiques, symétriques et ~0. définie par par (u) de (y . par réelles, symétriques et 7>0 à 2n lignes ouverts S’ (v) (notation de l’Exposé 1, p. 8). de toutes les matrices colonnes, considérons les Soit 03C0 la matrice unimodulaire où (e ).. Ô... Kronecker). On a inégalités (i), (ii), (iii) expriment = facilement que les trice définie par P"~ pour un v ~ 0 M.S’ L’asscrtion (10~) (v) : (b) de On voit = la que si ma- Or si I~I ~ .~ 3 il n’existe entiers) telles que Siegel (cf. Exposé I ~ p. 8). à coefficients cela résulte du théorème de en u). sculcnent de (unirodulairc de l’énoncé t03C0 = satisfait à (dépendant convenable qu’un nombre fini de rencontre (symbole résulte. Il reste à prouver l’ assertion (c) ’ de l’énoncé. Elle va résulter d’une suite de propositions. z ~ Sn , PROPOSITION 1, .- Etant donné il existe det(In mz) det(Im Moz) Diaprés (16 ~ ~ sous-groupe T ~ ne f . La dépend proposition 1 un Mo ~0393 tel que pour toute que de la classe à droite de résulte a lors évidemment de la . M &#x26; JT’ . M suivant le PROPOSITION 2. - Pour tout ~ > T ~ 0393 , jouissant suivant de il 0, n’y qu’un nonbre fini a de classes la propriété que à droite M pour les d’une telle classe. Pour prouver la on réduite grâce peut choisir l~î au sens e..u proposition 2, observe d’abord quo, dans on de manière que la matrice de Minkowski : car si on groupe des homothéties entière ; qui, choix convenable de pour un On voit alors que la si désigne y’ In proposition 2 résultera a u s ens et (3 d De au sens de 1 nous dit alors provisoirement ce que chaque point r6nplacé qui Sn peut, on où a est par (le Minkowski. M = b /~ (c B d )~0393 telles que -....-.._:. 03B1> o . Alors Minkowski, et (que de valeurs. peuvent prendre qu’un nombre fini Nous admettons ta , az’ soit du étant donné, considérons les LEMME. - z ~ Snn soit réduite z’ ~ = 1 par est ~ --1 z’ z’ , y’-1 a , est réduite Mz instant 1 remplacer unimodulaire ! (Ln(Mz) ~1 positive un pose pour classe suivant chaque établi plus loin. La sera est congru, modulo 0393 , à un proposition point z tel que Observons que, d’après (14), la On a effet, on applique (17’ ) alors cz + Cela éta.nt, d ~17~ entraÍne : unimodulaire entière de Minkovski, z par z * s sans s /, O un z qqe (17) matrice et p;=r suite satisiaisant à convenable), cesse on j ~,~ 1 a où dans le = considérons à , PROPOSITION 3. - La relation En condition (17) équivaut peut (17) . Rcr. i>laç ant supposer que (Im z par az a (a est réduite d’être vérifiée. 0n peut ensuite, symétrique réelle, Îkl. (17’ ) entraînez à coefficients entiers en au sens remplaçant convenables), faire partie réelle sorte que la en du x ceci ne modifie pas (Im z)-1 , et (17) reste vérifiée. S PROPOSITION 4. - Tout point de l’ensemble Xn ("domaine nouveau satisfasse à |xjk| 0393 , point est con nodulo n fondamental" de 1/2 ; On a donc prouvé la z Siegel) défini à un de z par les conditions sui-- vantes : det(Im z ) 1o det 2° (Im 3° |xjk | z) est réduite 1/2, où x pour toute au sens = M e.-T ; Minkowski ; désigne la partie réelle de (c) théorème. Il suffit de montrer que les conditions 1~~ 2~ et 3~ de la proposition 4 entraînent les conditions (i), (ii), (iii) du théorème, dès aue u > 0 est assez grand. Or on sait (ExNous maintenant sommes de prouver l’assertion en mesure du SI (il) pour un u convenable, que (Im autrement dit : 2~ entraîne (ii). Il est trivial que 3~ entraîne (i) pour u ~ 1/2. Enfin~ 1~ et 3~ entraînent ((1" après la proposition 3 ) posé 1 ) et que la condition 2° d comme ~y ) , = (ii~. ~ nn nn implique est vérifiée lorsque Ainsi la démonstration du théorème est le lemme ~ qui 1’ aide de Soient en a ~14 ~? admis. on iz c. 1 et u.. ~0~ d. entiers ) ; lorsque d ~ 0 est à que nais fini est . lignes ;o , Lorsque nombre un est minoré par à éléments duite gy’" Y; les i-ièmes sont minorés par cy t c â cela Ms diagonaux de termes du second nombre est les 3 ~ " près qu’il z~t = J Im z = reste à établir Im y ~ zt ~ y’ , vérifie que les éléments u.. notant été achevée, u un et pour >0 nombre c = on a des matrices M parcourt fixe ’>0 C) ~ et d ; chacun des deux le sous-groupe dise ret donne) : J~ ~ car, y étant lorsque c ~ 0 (puisque est minoré par un nombre c est (une fixe c éléments entiers. Si maintenant fois on z suppose que y’-1 > 0 fixe est ré- produit des u.. est majoré par un nombre fixe, puieest majoré ; par hypothèse. De là résulte que chacun des u.. ceci implique, d’après (18), que c. et d. 1. ne peuvent prendre qu’un nombre de valeurs (car dès que l’une des composantes de c3 est assez grande, ci y au sens grand ; de Minkowski, et si les le composantes de cl rcstent bornées, et que l’une au moins des conposantes de est d. j- (c. 2014 grande, d. -*- )y" (x x + est + grand). Le lemme est donc démontré. 6. Les groupes considérons Sur l’espace J(x , y) du n~ leurs entières F~ rf et 1, considérons sur /B ~ un que ^ soit le’ lattice des Supposons par le donc que F Cr~ le groupe des matrices réelles non dégénérée F(x , y) , /B à va- qui conservent On en élémentaires~ qu’on peut choisir points à coordonnées entières, et forme, et la forme J ait cette une que base de manière F prenne la que /B soit le lattice des points entiers ; changement de variables devient à la forme F le groupe symplectique nouveau G diagonale ayant du groupe soient à éléme nts les entiers pour symplectique formé Il résulte des considérations générales 1). ouvert fondamental c’était le Mais il (pour cas pour de G.. devient donc au sous-groupe discret. M telles (103B41n0 0 3B.4) ,Ainsi où 03B4 (ac b. 039303B4 et s’appellera l’Exposé 2 que 0394 M 0394-1 0393f , ait désigne il ses la matrice devient le sous-groupe que les matrices telles 1 un groupe paramodulaire. qu’un tel groupe paramo- c ’est-à-dire satisfait à la condition dulaire est minkowskien dans page paragraphe 1, des matrices éléments entiers. Un tel groupe (M) (Exposé 2, du R) . Quant symplectiquos == devient le groupe des matrices éléments entiers, en notant A la matrice corme de la forme alternée canonique forme un lieu forme alternée le sous-groupe des matrices transformant théorie des diviseurs au une Soit par la 039303B4 /B ~ et, lattice le ne qu’on général il existe considéré) dans lequel y semble pas groupe 039303B4 le groupe modulaire. dans soit J") bornée 1 3-12 BIBLIOGRAPHIE [1] CARTAN (Elie). - 3parties en Oeuvres 6 volumes. complètes. - Paris, Gauthier-Villars, 1952-1955. [2] SIEGEL (C.L.). - Einfünhrung in die Theorie der Modulfunkti onen n-ten Math. 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