Exercices corrigés, tome 01 : les énoncés Table des matières : 1. Les bases du raisonnement, p.2. 2. Révisions de calcul, p.2. 3. L’ensemble des nombres complexes : C, p.3. 4. L’ensemble des réels : R, p.4. 5. L’ensemble des nombres entiers naturels : N, p.5. 6. Les fonctions, p.5. 7. Limites et développements limités, p.7. 1 1 Les bases du raisonnement Exercice 1 (+) (ensembles, réunion, intersection) 2 Soient E un ensemble et (A, B) ∈ P(E) . Prouver que : A = B ⇔ A ∩ B = A ∪ B . Exercice 2 (+) (ensembles) Soient F et G deux parties d’un ensemble E. Montrer que : F = F ∩ G ⇔ F ⊂ G. Exercice 3 (++) (ensembles) Soient A, B, C trois parties d’un ensemble E. Montrer que (A ∩ B) ⊂ (A ∩ C) ∪ (B ∩ C). Exercice 4 (+++) (ensembles) Si A est une partie de R on dit que : - A est séparée si : ∃ε > 0, ∀(x, y) ∈ A2 , x 6= y ⇒ |x − y| > ε ; - A est trouée si : ∀(x, y) ∈ A2 , x 6= y ⇒]x, y[∩A 6= ∅ ; - A est condensée si A n’est pas séparée ; 1. Traduire ces trois définitions en français et/ou ’en quantificateurs’ et donner pour chacune trois exemples et trois contre-exemples. 2. Donner, en les jutifiant, les liens entre ces notions. 3. Dessiner F = {3 + n1 , n ∈ N∗ }. F est-il séparé ? troué ? condensé ? 4. Mêmes questions pour Q, puis R \ Q, puis H = {n2 , n ∈ N∗ }. Exercice 5 (+++) (ensembles de fonctions) On considère les ensembles : A = {f : R → R, f (0) = 0} ; B = {f : R → R, ∃a ∈ R, ∀x ∈ R, f (x) = ax} C = {f : R → R, ∃(a, b) ∈ R2 , ∀x ∈ R, f (x) = ax + b} 1. Expliquer avec des phrases à quoi correspondent ces ensembles. 2. Donner les relations d’inclusions entre ces ensembles. 3. Ces ensembles sont-ils stables pour la composition des fonctions ? 2 Révisions de calcul Exercice 6 (+) (résolution d’équation) Résoudre en fonction du paramètre m : ex + me−x − m − 1 = 0. Exercice 7 (+) (résolution d’équation) x 2 Déterminer les antécédents de 0 dans R∗+ par la fonction : x 7→ x2 − xx . Exercice 8 (++) (résolution d’équation) 2 Résoudre dans R : 5sin x + sin x = 3. 5 Exercice 9 (++) (calculs avec des puissances) 4 2 Soient b > 0 et x > 0. Démontrer que : x 5 − 2 b2 x 5 + b4 = 0 ⇔ x = b5 . Exercice 10 (++) (résolution d’inéquation) Résoudre dans R l’inéquation : 2(ln x)3 − 5(ln x)2 + 2 ln x ≤ 0. 2 Exercice 11 (++) (démonstration d’inégalités) Soit a un réel strictement positif. 2 1 2x + a 1. Démontrer que : ∀x > 0, ≥ x 3 a 3 avec égalité si et seulement si x = a. 3 2. Soient b et c deux réels strictement positifs. En appliquant le résultat précédent avec x = prouver que : a+b+c √ 3 ≥ abc (inégalité arithmético-géométrique) 3 Etudier le cas d’égalité. Exercice 12 (++) (fonctions puissances) Soit α un réel strictement positif. On définit la fonction f sur ]0, +∞[ par : f (x) = (1 + x)α − xα − 1. 1. Dresser le tableau de variation de f en distinguant deux cas : 0 < α ≤ 1 et α > 1. 2. En déduire que : . Pour 0 < α ≤ 1, (1 + x)α ≤ 1 + xα quelquesoit x positif ; . Pour α > 1, (1 + x)α ≥ 1 + xα quelquesoit x positif. 3. Soit (a, b) ∈ (R∗+ )2 . Comparer (a + b)α et aα + bα . 3 L’ensemble des nombres complexes : C Exercice 13 (+) (trigonométrie, transformation de a cos x + b sin x) √ Résoudre l’équation : 2 cos(t) − 2 sin(t) = 6. Exercice 14 (+) (trigonométrie, transformation de cos(nx)) Résoudre l’équation : cos(3x) = −2 cos(x). Exercice 15 (+) (écriture exponentielle) Déterminer l’ensemble F = {n ∈ N , (1 + i)n ∈ R} . Exercice 16 (+) (Module) Soit z ∈ C. Montrer que : |z − i| = |z + i| ⇔ z ∈ R . Exercice 17 (+)√(résolution d’équation de degré 2) 2 + 2i 3 1 √ Soient u = et v = √ . 3 − 3i 3 2 3 + 2i Résoudre dans C l’équation : z 2 = u4 v 3 . Exercice 18 (++) (écritures algébriques et exponentielles, un classique) On donne les complexes suivants : √ √ √ z1 z1 = 2 6(1 + i) , z2 = 2(1 + i 3) , z = . z2 1. Ecriture la forme algébrique et la forme exponentielle de z. π π 2. En déduire cos( ) et sin( ). 12 12 7π 3. Déterminer cos( ). 12 3 b+c 2 , Exercice 19 (++) (équations dans C) Résoudre dans C l’équation : (z − 1)6 + (z − 1)3 + 1 = 0. Exercice 20 (++) (résolution d’équation) Soit λ ∈ R. Résoudre dans C l’équation d’inconnue z suivante : z 5 − λ = 0. Exercice 21 (++) (calcul de sommes géométriques, ultra-classique) n n X X Soient x ∈ R \ {2kπ, k ∈ Z} et n ∈ N. Calculer Sn = cos(kx) et Tn = sin(kx). k=0 k=0 Exercice 22 (++) (trigonométrie) Résoudre l’équation d’inconnue réelle : sin(6x) = 6 cos x . sin x Exercice 23 (++) (formules d’Euler) x x ei 2 − e−i 2 Soit x ∈] − π, π[. On pose : t = −i i x x . e 2 + e−i 2 1. Donner une expression simple de t avec la fonction tangente. 1 − t2 2. Simplifier la quantité . 1 + t2 3. En déduire une formule trigonométrique. Exercice 24 (++) (écritures algébriques et exponentielles) 1. Ecrire sous forme algébrique et sous forme exponentielle : z = π ). 12 3. Déterminer ensuite les entiers n ∈ N pour que z n ∈ R+ . 5 − 5i √ . − 3 + 3i 2. En déduire une expression de cos( Exercice 25 (++) (linéarisation) Linéariser cos3 (x) sin(x). Exercice 26 (+++) (résolution d’équation : très classique) Soient a ∈ R et n ∈ N∗ . Résoudre dans C l’équation : (z + 1)n − ei2na = 0. Exercice 27 (+++) (écriture exponentielle, formules d’Euler, très classique) On considère deux complexes u et v de module 1 tels que 1 + uv 6= 0. u+v Montrer que ∈ R. 1 + uv Exercice 28 (+++) (résolution d’équation, très classique) Soit n ∈ N∗ . Résoudre dans C l’équation : (z + i)n − (z − i)n = 0. 4 L’ensemble des réels : R. Exercice 29 (++) (borne supérieure) Soient A et B deux parties non vides de R telles que : ∀(a, b) ∈ A × B, a ≤ b . Montrer que sup(A) et inf(B) existent et que : sup(A) ≤ inf(B). Exercice 30 (+++) (minimum, raisonnement par l’absurde) 1 Prouver que : ∀x ∈ [0, 1], 0 ≤ x(1 − x) ≤ . 4 1 3 En déduire que : ∀(a, b, c) ∈ [0, 1] , min a(1 − b), b(1 − c), c(1 − a) ≤ . 4 4 5 L’ensemble des nombres entiers naturels : N. Exercice 31 (+) (récurrence) n X n2 (n + 1)2 Démontrer que : ∀n ∈ N∗ , i3 = . 4 i=1 Exercice 32 (+) (récurrence) Montrer que : ∀(x, y) ∈ R2 , ∀n ∈ N∗ , (x − y) n−1 Y k k x2 + y 2 n n = x2 − y 2 . k=0 Exercice 33 (++) (partie entière) Prouver que : ∀(a, b) ∈ R2 , E(a) + E(b) ≤ E(a + b) ≤ E(a) + E(b) + 1. 6 Les fonctions Exercice 34 (+) (injectivité, surjectivité) L’application qui à tout nombre complexe associe son module est-elle une injection ? une surjection sur R ? Exercice 35 (+) (bijectivité, composée) Soient f : N → N et g : N → N deux applications définies par : 0 si n = 0, ∀n ∈ N, f (n) = n + 1 et g(n) = n − 1 si n ≥ 1. 1. Les applications f et g sont-elles bijectives ? 2. Peut-on définir g ◦ f et f ◦ g ? Si oui, déterminer ces applications. Exercice 36 (+) (bijectivité, application réciproque) x On considère la fonction : g : x 7→ g(x) = . Montrer que g est une bijection entre deux parties 1−x de R à déterminer. Déterminer sa bijection réciproque. Exercice 37 (++) (bijection) 3 9 3 8−x Soit f : R \ {− } → R \ { } définie par : ∀x ∈ R \ {− }, f (x) = 2 − . 2 4 2 4x + 6 −1 Prouver que f est bijective et déterminer f . Exercice 38 (++) (fonction caractéristique) On considère un ensemble E. Si A est une partie de E, on rappelle la définition de la fonction caractéristique de A : n 1 si x ∈ A. χA : E → {0, 1}, x 7→ χA (x) = 0 si x ∈ / A. ∗ Ici, E = R et A = {x ∈ R+ : | ln(x)| ≥ 2}. Tracer la courbe représentative de χA dans un repère orthonormé. Exercice 39 (++) (image directe, image réciproque, complexes) z On considère l’application u : C∗ → C définie par : ∀z ∈ C, u(z) = . |z| 1. Déterminer u(C∗ ) et u−1 ({i}). 2. L’application u est-elle injective ? surjective ? 3. Prouver que u ◦ u = u. 5 Exercice 40 (++) (bijectivité) Soit f : C \ {1} → C \ {1} définie par : ∀z ∈ C, f (z) = z+1 . Etudier la bijectivité de f . z−1 Exercice 41 (++) (image directe, intersections) Soient f : E → F une application, A et B deux parties de E. 1. L’inclusion f (A ∩ B) ⊂ f (A) ∩ f (B) est-elle vraie ? Si oui, on le démontre, sinon on donne un contre-exemple. 2. Même question pour l’inclusion réciproque. Exercice 42 (++) (bijections et nombre d’élements) On considère E et F deux ensembles quelconques finis. On note n et le nombre d’éléments de E et q celui de F . Répondre, sans justifier, aux questions suivantes : 1. S’il existe une bijection de E sur F , comparer n et q. 2. S’il existe une injection de E dans F , comparer n et q. 3. S’il existe une surjection de E sur F , comparer n et q. Exercice 43 (++) (image directe) Soient E et F deux ensembles et f une application de E dans F . Soit A une partie de E. Peut-on comparer f (A) avec f (A) ? Exercice 44 (++) (bijection, produit cartésien) Soient E, F et G trois ensembles, f une application de E dans F et gune application de E dans G. On considère h : E → F × G définie par : ∀x ∈ E, h(x) = f (x), g(x) . 1. Montrer que si f ou g est injective, alors h est injective. 2. On suppose f et g surjectives. L’application h est-elle surjective ? Exercice 45 (++) (image √ réciproque) p 2 Soit u(x) = 1 − x2 − + x. Déterminer u∗ R− . 2 Exercice 46 (++) (partie entière, injection, surjection) On considère la fonction h : [0, π] → R définie par : h(x) = E (2 sin (x)), où E(t) désigne la partie entière de t. Tracer la courbe de h. En justifiant, dire si h est injective, surjective. Exercice 47 (++) (injections) Trouver toutes les injections f de N dans N telles que : ∀n ∈ N, f (n) ≤ n. Exercice 48 (+++) (fonction caractéristique) On considère un ensemble E, A et B deux parties de E. On rappelle la définition de la fonction caractéristique de A : n 1 si x ∈ A. χA : E → {0, 1}, x 7→ χA (x) = 0 si x ∈ / A. 1. Montrer que : χA = 1 − χA . 2. Prouver que : ∀x ∈ E, χA∩B (x) = χA (x) χB (x). 3. Démontrer que χA∪B = (1 − χA )(1 − χB ). 4. Déduire des questions précédentes une expression de χA∪B en fonction de χA et χB . 6 Exercice 49 (+++) (ensembles de fonctions) Soit E l’ensemble des fonctions qui vont de R dans R. On note : A = {f ∈ E, ∀(x, t) ∈ R2 , x < t ⇒ f (x) ≤ f (t)} ; B = {f ∈ E, ∃T > 0, ∀x ∈ R, f (x+T ) = f (x)}. 1. Expliquer plus simplement (en français) qui sont les ensembles A et B. Que constate-t’on ? 2. L’ensemble A est-il stable par produit ? 3. Ces ensembles sont-ils stables pour la composition des fonctions ? 4. Déterminer A ∩ B. Exercice 50 (+++) (borne supérieure) Soit f : [0, 1] → [0, 1] une application croissante. On considère : E = {x ∈ [0, 1] : f (x) ≥ x}. 1. Montrer que E admet une borne supérieure s. 2. On suppose dans cette question f (s) > s. Montrer que c’est absurde, en prouvant que f (s) ∈ E et que f (s) ∈ / E. 3. On suppose ici f (s) < s. (a) Justifier qu’il existe c ∈ E tel que f (s) < c ≤ s. (b) En déduire que f (c) < c, d’où une contradiction. 4. Conclure. Exercice 51 (+++) (bijectivité) Soient E un ensemble et f , g et h trois applications de E dans E. Montrer que : g ◦ f et h ◦ g sont bijectives ⇒ f, g, h sont bijectives . Exercice 52 (+++) (fonction sur l’ensemble des parties) Soit E un ensemble non vide, A et B dans P(E). On rappelle que P(E) est l’ensemble des parties de E. Soit f : P(E) → P(A) × P(B), X 7→ f (X) = (X ∩ A, X ∩ B). 1. Calculer f (E), f (∅), f (A) et f (B). 2. Prouver que f est injective si et seulement si E = A ∪ B. 3. Montrer que f est surjective si et seulement si A ∩ B = ∅. Exercice 53 (++++) (surjectivité, image réciproque et image directe) Soit f : E → F . Démontrer que : f est surjective ⇔ ∀B ⊂ F, f f ∗ (B) = B . 7 Limites et développements limités Exercice 54 (+) (limites) p 1 p 2 2x + 1 − x2 + x + 1 . x→+∞ x Existence et valeur éventuelle de lim Exercice 55 (+) (limites) p Calculer lim ( x2 + x + x) , puis lim x→−∞ x→−∞ √ 1 3 . x2 + x + x 7 Exercice 56 (+) (limite, expression conjuguée) √ x+2 − 2 √ . Existence et valeur éventuelle de lim x→2 1 − 3x − 5 Exercice 57 (+) √ (limites) √ x2 − 1 x2 − 1 Calculer lim , puis lim . x→+∞ x + 2 x→−∞ 2x Exercice 58 (+) (limites) √ x2 − x Existence et valeur éventuelle de lim √ . x→1 x−1 Exercice 59 (+) (limites) Calculer les limites en 0 de : f (x) = sin 1 x ; g(x) = xλ sin 1 x ; h(x) = sin(xλ ) . x Exercice 60 (++) (limites) 2 1 − . 2 x→0 sin x 1 − cos x Existence et valeur éventuelle de lim Exercice 61 (++) (limite, changement de variable, trigonométrie) πx Etudier la limite éventuelle en 3 de la fonction définie par g(x) = (x2 + 3 − 4x) tan . 6 Exercice 62 (++) (développements limités) DL3 (0) de x 7→ ln(2 cos x + sin x). Exercice 63 (++) (développements limités) x DL3 (0) de x 7→ . ln(1 − x) Exercice 64 (++) (limites) 1 e x + cos x On considère f (x) = . ln |x| 1. Déterminer le domaine de définition D de f . 2. Calculer les limites de f aux bornes de D. Exercice 65 (++) (limite, théorie) Soient f : R → R, g : R → R, u : R → R, v : R → R, et a ∈ R. On suppose que lim f (x) = l1 ∈ R, x→a lim g(x) = l2 ∈ R et u et v n’ont pas de limite en a. x→a 1. Que peut-t’on dire de lim (f (x) + g(x)) ? Redémontrer ce résultat. x→a 2. Que peut-t’on dire de lim (f (x) + u(x)) ? x→a 3. Que peut-t’on dire de lim (u(x) + v(x)) ? x→a Exercice 66 (++) (étude √ complète de fonction) Tracer la courbe de x 7→ x2 − 3x + 1. On précisera l’asymptote en +∞. Exercice 67 (++) (étude complète de fonction) x3 + 3x2 + 5x + 5 Tracer la courbe de x 7→ . On précisera l’asymptote en +∞ en étudiant la position (x + 1)2 de la courbe par rapport à l’asymptote. x3 + 3x2 + 5x + 5 cx + d On pourra d’abord déterminer les réels a, b, c, d tels que : = ax + b + . 2 (x + 1) (x + 1)2 8 Exercice 68 (++) (limites) Pour n ∈ N∗ on pose fn (x) = ln(x) . Déterminer les limites aux bornes de Dfn . xn − 1 Exercice 69 (+++) (limites, développements limités, etude de fonction) 1p 1. Etudier la fonction x 7→ g(x) = e x x(x + 2) (variations, limites). 1 2. En posant x = , donner un développement limité de g à l’ordre 2 au voisinage de +∞. t 3. Montrer que la courbe de g admet une asymptote en +∞. Déterminer son équation et sa position par rapport à la courbe. 4. Tracer la courbe de g. Exercice 70 (+++) (étude de fonctions, développements limités) 1 On définit p sur ]2, +∞[ par p(x) = x2 (x − 2) 3 . 2 4 1 1. Prouver qu’au voisinage de +∞, p(x) = x − − + o( ). 3 9x x 2. En déduire l’étude de la branche infinie de p. 3. Tracer Cp . Exercice 71 (+++) (limites) 3 + e2t ). Soit u(t) = ln( 1 + 4et 1. Montrer que u est définie sur R, donner ses limites en +∞ et −∞. 2. Montrer qu’au voisinage de −∞ : u(t) − ln(3) ∼ −4et , puis que u(t) − ln(3) + 4et ∼ 3. Montrer que Cu a une asymptote en +∞. En donner l’équation. Exercice 72 (+++++) (équivalents) n X k! ∼ n!. Montrer que lorsque n → +∞ : k=1 9 25 2t e . 3