CORRECTION AP16 : TRAVAIL D’UNE FORCE – TRANSFERTS ENERGETIQUES
EXERCICE 4 :
1.1. La période d’un pendule simple est donnée par : T = 2L
g L = g. T2
42 = 9,81x2,002
42 = 0,994 m
1.2. Si la longueur augmente, la période augmente car elle
est proportionnelle à la racine carrée de la longueur.
L’horloge se mettra donc à retarder car elle battra la seconde plus doucement.
2.1. A l’équateur, l’intensité de pesanteur est plus petite. Or, la période T
est inversement proportionnelle à la racine
carrée de « g », donc la période T est plus grande à l’équateur.
2.2. L’écart relatif s’écrit :
équateur
pôle
équateur
T
TT
équateur
pôle
équateur
équateur
pôle
équateur
équateur
pôle
équateur
équateur
pôle
équateur
g
1
g
1
g
1
g
1
.L
g
1
g
1
.L
g
L
g
L
g
L
g
L
.2
g
L
.2
g
L
.2
Ainsi :
équateur
pôle
équateur
T
TT
%.4,010.4
75,9
183,9
1
75,9
1
g
1
g
1
g
1
3
équateur
pôle
équateur
EXERCICE 5 :
1.1. EC = ½.m.v2 , Epp=m.g.y et Em = EC + Epp
1.2. Avant le rebond :
D’après la figure 1, l’altitude « y » de la balle diminue au cours du mouvement. On en déduit que la vitesse de la
balle augmente au cours du temps.
L'évolution de l’énergie cinétique EC correspond donc à la courbe rouge qui croît, celle de l’énergie potentielle de
pesanteur Epp à la courbe bleue qui décroît et celle de l’énergie mécanique Em à la courbe verte car elle correspond
à la somme des deux courbes précédentes.
2.1. La figure 2 permet d’estimer les valeurs des différentes formes d’énergie au cours du mouvement.
Au départ de la balle, on lit :
- EC (0) = 0,24 J Ainsi :
1
3
0C
0
2
0
0C s.m8,2
10.60
24,02
m
E.2
vetv.m.
2
1
E
- EPP (0) = 1,3 J Ainsi :
m2,2
81,910.60
3,1
g.m
E
yety.g.mE 3
0PP
000PP
La balle atteint sa vitesse maximale juste avant le rebond et EC (max) = 1,24 J
1
3
maxC
max
2
max
maxC s.m4,6
10.60
24,12
m
E.2
vsoitv.m.
2
1
E
.
3. Avant le rebond, l'énergie mécanique, se conserve d’après la figure 2 et il se produit un transfert d'énergie
potentielle de pesanteur en énergie cinétique.
4.1. Lors du choc, en l’abscisse x 2 m d’après la figure 1, il y a une forte diminution de l'énergie mécanique de la
balle. Lors du rebond, une partie de l'énergie de la balle est donc dissipée.
4.2. Graphiquement (figure 2), on estime que : Em = Em (après rebond) Em (avant rebond) = 0,9 1,5 = 0,6 J.
5.1. Après le rebond, l’énergie mécanique de la bille est constante d’après la figure 2.
Jusqu’à l’instant où la balle atteint le point culminant de sa trajectoire, il y a donc transfert de l'énergie
cinétique en énergie potentielle de pesanteur car la vitesse de la balle diminue et son altitude croît.
5.2. Graphiquement on lit, à x = 2,4 m (figure 2) : EPP (1) = 0,8 J et EC (1) = 0,05 J
m4,1
81,910.60
8,0
g.m
E
yety.g.mE 3
1PP
111PP
1
3
1C
1
2
1
1C s.m1
10.60
05,02
m
E.2
vsoitv.m.
2
1
E
6.1. Avant et après le rebond, l'énergie mécanique se conserve. Le travail des forces de frottements est donc
négligeable.
6.2. La présence de frottements entraînerait une diminution progressive de l'énergie mécanique au cours du temps.
L'énergie cinétique serait partiellement convertie en énergie potentielle de pesanteur (ou vice versa).